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Le pasteur Paul Kouda appelle les Burkinabè à prendre conscience de leur situation et à se lever pour la réussite de la Transition

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Le pasteur Paul Kouda appelle les Burkinabè à prendre conscience de leur situation et à se lever pour la réussite de la Transition

Ouagadougou, 05 sept 2024 (AIB) – Le pasteur Paul Kouda a appelé les Burkinabè à prendre conscience de ce qui leur arrive et à soutenir la Transition jusqu’à son terme s’ils espèrent vivre un jour et pour la première fois une démocratie vraie et transparente, dans une tribune publié mercredi par le site d’information Lefaso.net.

Extraits : «Lorsque nous perdons un régime révolutionnaire ou une transition révolutionnaire, celui –ci pourrait éventuellement être retrouvé qu’au bout de 40 ou 50 ans : d’où l’intérêt de veiller à ce que la transition réussisse sa mission.

Ce succès, permettra au Burkina Faso de vivre la toute première démocratie, transparente dans le fond et dans la forme. Jusque-là, en termes de démocratie, nous n’y sommes pas. Si par exemple, je cultive mon coton, et au marché un client influent m’impose le prix et l’achète en même temps, n’est-ce pas une domination? Peut-on parler de droit ou de liberté ? Peut-on parler de souveraineté ?

Une transition réussie donne inéluctablement naissance à une démocratie fertile et souveraine. La solidarité permet de lancer un pays dans la dynamique de développement ( cf Marc 3 : 24). En effet l’attaque de Barsarlgho est un paradigme qui active à l’unanimité la conscience des burkinabè à saisir la réalité.

La question majeure qui reste posée cherche à savoir pourquoi des africains sont-ils aptes à livrer leurs compatriotes à la boucherie ?

(…). Bon gré, mal gré, par la grâce et la justice de Dieu, le soleil de la victoire pointe. Actuellement, la lutte que mène l’Afrique n’est plus réservée seulement à l’élite, mais à toutes les couches de la société…

Agence d’Information du Burkina

Burkina : La Turquie souhaite étendre sa coopération bilatérale au domaine de l’éducation

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Burkina : La Turquie souhaite étendre sa coopération bilatérale au domaine de l’éducation

Ouagadougou, 05 septembre 2024 (AIB)- L’ambassadrice de la Turquie au Burkina, Nilgun Erdem Ari a exprimé la volonté de son pays à coopération dans le domaine de l’éducation avec le Burkina Faso, jeudi à Ouagadougou.
Reçue en audience par la ministre burkinabè déléguée à la coopération régionale, Stella Eldine Kabré/Kaboré, la diplomate turque s’est réjouie de la qualité des relations turco-burkinabè et a exprimé le souhait de son pays de coopérer aussi dans le domaine de l’éduction.
«Les relations dans plusieurs domaines sont excellentes et nous voulons développer davantage nos relations cette fois dans le domaine de l’éducation» a déclaré l’ambassadrice Nilgun Erdem Ari citée par le service de communication du ministère des Affaires étrangères du Burkina.
Mesdames Kabré et Ari ont en outre exprimé la «ferme volonté» de raffermir les liens de coopération entre le Burkina Faso et la république de Turquie, toujours selon le service de communication du ministère des Affaires étrangères du Burkina.
Agence d’Information du Burkina

Burkina : Le Comité interministériel chargé des statistiques sur le tourisme se réunit pour la première fois

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Burkina : Le Comité interministériel chargé des statistiques sur le tourisme se réunit pour la première fois

Ouagadougou, 05 sept. 2024 (AIB) – La cellule de pilotage du Comité interministériel du tourisme burkinabè (CST-B) qui est chargé de produire des données statistiques sur les activités touristiques, tient sa première session ce mercredi à Ouagadougou, sous la présidence du ministre d’Etat, ministre de la communication, de la culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo.
Ce Comité, premier du genre dans l’histoire du tourisme burkinabè constitue aujourd’hui un levier important pour la réalisation des objectifs de croissance durable, de résorption du chômage et de réduction de la pauvreté, de l’avis du ministre Ouédraogo.

Le chef du département du Tourisme a rappelé que la mise en place du Compte satellite permettra au Burkina Faso, d’une part, de mesurer avec plus de précision, la contribution du tourisme à la formation de la richesse nationale et à la création d’emplois et, d’autre part, de disposer de données statistiques exhaustives et fiables à même d’orienter les planificateurs et les investisseurs.

Il a félicité les partenaires techniques et financiers qui ont contribué à la tenue de cette activité et lancé un appel aux membres de la Cellule de pilotage à apporter des observations utiles afin d’enrichir les documents soumis à leur appréciation.

Pour la directrice générale du Tourisme (DGT), Monique Ilboudo cette première session sert à faire le point du processus de mise en place du Compte Satellite du Tourisme Burkinabè (CST-B), de présenter le plan d’action triennal des activités de mise en place et le programme de travail annuel 2024.

Le Comité satellite du Tourisme Burkinabè a été mis en place en 2023 afin d’aider les acteurs du système statistique du tourisme à produire des données statistiques fiables et exhaustives sur le poids réel du secteur du tourisme dans l’économie nationale globale conformément aux exigences des instances internationales du Tourisme (OMT, ONU-Tourisme).

Agence d’Information du Burkina
Avec DCRP/MCCAT

Burkina : Création d’une commission de régulation des dysfonctionnements dans les administrations publiques

Burkina : Création d’une commission de régulation des dysfonctionnements dans les administrations publiques**

Ouagadougou, 5 septembre 2024 (AIB) – Comme annoncé le 11 juillet aux Forces vives, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a créé vendredi dernier la Commission de régulation des dysfonctionnements (CRD), en vue de corriger ou de faire corriger tout dysfonctionnement dans les administrations publiques.

Rattachée à la présidence du Faso, la Commission de régulation des dysfonctionnements (CRD) est chargée de corriger ou de faire corriger tout dysfonctionnement dans les administrations publiques, indique un décret du 27 août 2024 signé par le chef de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré.

Selon le même document, les dysfonctionnements dans les administrations publiques sont des défaillances découlant de comportements non éthiques ou non professionnels de supérieurs hiérarchiques ou d’agents publics.

Il s’agit notamment de fautes professionnelles non sanctionnées, de sanctions disciplinaires non appliquées, de dénonciations non poursuivies, de recommandations non mises en œuvre sans motif valable, de la violation des procédures et règles au détriment des usagers, et des implications des condamnations judiciaires non appliquées.

La CRD a compétence sur toute structure délivrant un service public. Il s’agit notamment des structures centrales et déconcentrées des administrations civiles, paramilitaires et militaires, de l’administration parlementaire, des collectivités territoriales, des sociétés d’État, des établissements publics de l’État et des associations reconnues d’utilité publique, précise le décret.

La CRD est chargée, entre autres, de requérir l’application des sanctions à l’encontre d’un agent fautif et du supérieur hiérarchique qui ne les applique pas, de veiller à la mise en œuvre des recommandations des rapports d’audit et de contrôle des structures et des corps de contrôle publics, et de suivre l’exécution des sanctions judiciaires et administratives.

Agence d’information du Burkina
DNK/yos/ata

Burkina : Les anciennes personnalités sommées de restituer des biens de l’État

Burkina : Les anciennes personnalités sommées de restituer des biens de l’État

Ouagadougou, 5 sept. 2024 (AIB) – Le ministère de l’Économie et des Finances a fixé le délai du 17 septembre 2024 aux anciennes personnalités pour restituer les bâtiments et les véhicules dont elles bénéficiaient pendant leurs fonctions.
Agence d’information du Burkina
ATTENTION : photos d’archives et d’illustration

«Au-delà du Burkina Faso, le secteur privé a un cadre plus grand à savoir la Confédération des Etats du Sahel où il peut déployer son expertise et ses ambitions», Bassolma Bazié (milieu), ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale.

«Au-delà du Burkina Faso, le secteur privé a un cadre plus grand à savoir la Confédération des Etats du Sahel où il peut déployer son expertise et ses ambitions», Bassolma Bazié (milieu), ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale.

Cuba et Luxembourg envisagent des projets collaboratifs de développement au Burkina

Burkina-Cuba-Diplomatie-Développement

Cuba et Luxembourg envisagent des projets collaboratifs de développement au Burkina

Ouagadougou, 04 sept. 2024 (AIB) – La république cubaine envisage, en partenariat avec l’Agence luxembourgeoise pour la coopération au développement, de développer des projets de coopération dans différents domaines au Burkina Faso.
L’ambassadrice de Cuba au Burkina, Nadieska Navarro, a confié hier mercredi au cours d’une audience avec la ministre déléguée chargée de la Coopération régionale Stella Eldine Kabré/Kaboré que son pays envisage apporter son expertise pour développer des projets au Burkina en partenariat avec l’agence luxembourgeoise pour la mobilisation des ressources requises.

«On peut développer les projets de façon trilatérale ; c’est-à-dire que Cuba va apporter l’expertise et le Luxembourg prendra en charge la mobilisation des ressources financières», a indiqué Mme Navarro citée par le service de communication du ministère burkinabè des Affaires étrangères.

Elle a «exprimé son intérêt d’engager Cuba pour développer des projets de coopération dans différents domaines au Burkina», indique la même source.

La ministre Kabré a salué l’excellence des relations Burkina-Cuba et souhaité que ces projets qui restent à être définir s’alignent sur les priorités du gouvernement et en phase avec les intérêts des populations.
La république cubaine a déjà exprimé son souhait d’étendre ses relations bilatérales avec le Burkina Faso, dans le cadre de la coopération sud-sud et sur des projets ayants un impact sur la vie des peuples respectifs.

Sa représentante diplomatique Ana Maria Chongo Torreblanca avait rappelé en 2019, avant de quitter le Burkina, que son pays possède un «potentiel énorme» dans la formation du capital humain, notamment dans les services de santé, de l’industrie biopharmaceutique, des sciences techniques générales ou de l’éducation pouvant intéressé le Pays des hommes intègres.

Les relations diplomatiques entre Le Burkina Faso et la république de Cuba remontent à décembre 1975. Elles se sont renforcées sous la première révolution burkinabè conduite par le capitaine Thomas Sankara.

Agence d’Information du Burkina

Boulkiemdé: La station de recherche de Saria veut remplacer les sachets plastiques utilisés par les pépiniéristes par des mottes de terre

Boulkiemdé: La station de recherche de Saria veut remplacer les sachets plastiques utilisés par les pépiniéristes par des mottes de terre

Koudougou, 4 sept. 2024 (AIB)- Pour répondre à la problématique de la pollution de l’environnement, la station de recherche de Saria a mis au point une technologie visant à remplacer les sachets plastiques utilisés par les pépiniéristes par des mottes de terre faites à base de matériaux locaux, a constaté l’AIB.

« Le département Environnement et Forêt de la station de Saria conduit un projet sur l’utilisation des mottes de terre dans la production des plants », a indiqué mercredi l’ingénieure de recherche Natacha Edwige Thiombiano, lors d’une visite de journalistes sur le terrain.

Selon elle, l’objectif de ce projet est de mettre sur le marché des pots produits à partir de matériaux locaux, notamment l’argile et le fumier, en lieu et place des sachets plastiques.

Ce travail vise, à terme, à éradiquer l’utilisation des pots en sachets dans la production des plants au Burkina Faso.

« Pour la production de plants, nous utilisons d’habitude des pots en sachets plastiques qui polluent l’environnement. Pour y remédier, nous avons fabriqué des mottes de terre faites d’argile et de fumier », soutient la chercheuse.

La technique consiste à mouler de l’argile et du fumier à l’aide de moules de différents diamètres selon le type de plant, puis à tester le procédé en pépinière avec plusieurs plantes, dont le baobab et le tamarinier.

Selon la chercheuse, un autre aspect du projet est d’observer l’évolution de ces plantes après leur passage en pépinière.

Il s’agit de voir si ces plants présentent une meilleure croissance et résistance face aux différents aléas.

Les producteurs pourront adopter cette technique à l’issue du processus, a-t-elle soutenu.

Il faut indiquer que Madame Thiombiano mène plusieurs travaux de valorisation des espèces végétales sauvages locales.

Elle a pour mission de promouvoir leur domestication auprès des producteurs.
Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Chine: Xi promet à l’Afrique 50 milliards de dollars sur trois ans

Chine: Xi promet à l’Afrique 50 milliards de dollars sur trois ans

Pékin, Chine

Le président chinois Xi Jinping a promis jeudi plus de 50 milliards de dollars de financement sur trois ans aux pays africains, dont une cinquantaine de dirigeants sont à Pékin pour un sommet.Cette somme, équivalente à environ 45 milliards d’euros, vise à renforcer les échanges en infrastructures et commerce entre le géant asiatique, deuxième économie mondiale, et l’Afrique.

Le sommet du Forum sur la coopération Chine-Afrique, plus grand rendez-vous diplomatique organisé à Pékin depuis la pandémie de Covid-19, réunit de mercredi à vendredi plus de 50 dirigeants africains, selon les médias d’Etat chinois.

Les relations Chine-Afrique connaissent leur « meilleure période de l’histoire », a assuré Xi Jinping lors de la cérémonie d’ouverture dans le Palais du Peuple, colossal bâtiment situé au bord de la célèbre place Tiananmen.

« La Chine est prête à approfondir sa coopération avec les pays africains dans l’industrie, l’agriculture, les infrastructures, le commerce et les investissements », a-t-il ajouté.

« Dans les trois prochaines années, le gouvernement chinois veut fournir un soutien financier à hauteur de 360 milliards de yuans », soit 50,7 milliards de dollars, a-t-il annoncé, promettant aussi d’aider à « créer au moins un million d’emplois en Afrique ».

S’exprimant également au sommet, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a assuré que la Chine et l’Afrique, en coopérant ensemble, pouvaient « mener la révolution des énergies renouvelables ».

« Le bilan remarquable de la Chine en matière de développement, notamment en ce qui concerne l’éradication de la pauvreté, est une grande source d’expérience et d’expertise », a-t-il estimé.

 

– Plus de coopération –

 

La Chine est déjà le premier partenaire commercial du continent africain, avec 167,8 milliards de dollars (151,8 milliards d’euros) en échanges bilatéraux au premier semestre 2024, selon les médias officiels chinois.

Elle a envoyé ces deux dernières décennies des centaines de milliers d’ouvriers et d’ingénieurs en Afrique pour construire ces grands projets, et gagné un accès privilégié aux vastes ressources naturelles africaines, notamment le cuivre, l’or et le lithium.

Les prêts des banques publiques chinoises ont permis de financer de nombreuses infrastructures destinées à doper la croissance africaine (voies ferrées, ports, routes…). Mais ils ont soulevé des interrogations en contribuant à creuser l’endettement de certains pays.

Le montant des prêts accordés par la Chine aux pays africains l’an passé a toutefois été divisé par six par rapport aux sommets atteints en 2016, où ils approchaient les 30 milliards de dollars (27 milliards d’euros).

Selon les analystes, le ralentissement économique actuel en Chine pousse Pékin à réduire ses investissements en Afrique, malgré la concurrence croissante avec les Etats-Unis sur ce continent, en matière d’influence politique et d’accès aux ressources naturelles.

En marge du sommet, le président chinois a eu ces derniers jours des entretiens en tête-à-tête avec une dizaine de dirigeants africains, promettant plus de coopération dans toute une série de projets.

 

– Trains et routes –

 

Mercredi, le président zambien Hakainde Hichilema a ainsi annoncé un accord entre la compagnie nationale d’électricité zambienne (ZESCO) et le groupe chinois PowerChina pour étendre l’usage de panneaux solaires sur les toits dans le pays africain.

Le Nigeria – l’un des pays africains ayant le plus emprunté à la Chine – et la Chine ont eux annoncé prévoir de « renforcer la coopération » dans les infrastructures, notamment « le transport, les ports et les zones de libre-échange ».

La présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan a obtenu l’engagement par Xi Jinping de faire avancer le projet de train entre son pays et la Zambie, qui a pris du retard.

Selon les médias zambiens, Pékin a promis un milliard de dollars pour ce projet, crucial dans cette partie du continent africain riche en ressources naturelles.

Quant au Zimbabwe, il a obtenu la promesse d’une coopération renforcée dans « l’agriculture, l’exploitation minière, les énergies propres et les infrastructures de transport », selon un communiqué conjoint.

Le président kényan William Ruto a par ailleurs indiqué que son homologue chinois avait promis l’ouverture du marché chinois aux produits agricoles de son pays.

Les deux parties se sont aussi mises d’accord sur l’expansion de la ligne ferroviaire du Standard Gauge Railway (SGR), reliant la capitale Nairobi au port de Mombasa, financée notamment par la Banque d’exportation et d’importation de Chine (Exim bank).

La Chine s’est aussi engagée à plus de coopération sur l’autoroute Rironi-Mau Summit-Malaba, qui devrait coûter 1,2 milliard de dollars selon les médias kényans.

L’an dernier, William Ruto avait demandé à la Chine un prêt d’un milliard de dollars et la restructuration de la dette existante: son pays doit aujourd’hui rembourser plus de 8 milliards de dollars à la Chine.

Avec TASS

Oumarou Mogmenga nommé membre du Conseil supérieur de la communication

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Oumarou Mogmenga nommé membre du Conseil supérieur de la communication

Ouagadougou, 04 sept. 2024 (AIB) – Oumarou Mogmenga, ancien directeur général de la direction de la communication et des médias de l’Assemblée nationale, a été nommé membre du Conseil supérieur de la communication, au titre de la présidence du Faso.

Agence d’Information du Burkina

Le Burkina Faso généralise le port du Faso Dan Fani après le succès de la phase pilote.

Burkina-Education-Tenue scolaire-Port-Généralisation

Le Burkina Faso généralise le port du Faso Dan Fani après le succès de la phase pilote.

Ouagadougou, 04 sept 2024 (AIB)-Apres la phase pilote expérimentée avec succès dans trois communes du pays, le gouvernement a autorise ce mercredi le port du Faso Dan Fani dans tous les établissements scolaires du Burkina Faso, privés comme publics, dès la rentrée scolaire 2024-2025.

«Après la phase pilote du port de la tenue scolaire en Faso Dan Fani au cours de l’année scolaire 2023-2024 dans les établissements d’enseignement post-primaire et secondaire de trois (03) communes urbaines (Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou) et une commune rurale (Sabou), il convient de généraliser le port de la tenue scolaire en Faso Dan Fani dans les établissements d’enseignement publics et privés du Burkina Faso, indique le gouvernement lors d’un conseil des ministres ce mercredi».

Le port de cette tenue se fera au moins tous les lundi et jeudi et sera sans contrainte, détaille le ministre porte-parole du gouvernement , Jean Emmanuel Ouédraogo qui ajoute que les acteurs des structures éducatives et les parents d’élèves ont la latitude de s’organiser, de contractualiser librement avec les acteurs du Faso Dan Fani, de choisir leur motif et leur modèle par structure ou collectivement selon le ressort territorial ou leur appartenance à une même faîtière.
Le port du Faso Dan Fani ou pagne localement tissé, est promu et fortement encouragé dans les services publics et lors des événements nationaux.

Agence d’information du Burkina

Le Burkina engage 30,844 milliards pour renforcer l’équipement des brigades de travaux routiers

Burkina-Infrastructures-Investissements

Le Burkina engage 30,844 milliards pour renforcer l’équipement des brigades de travaux routiers

Ouagadougou, 04 sept. (AIB) – Le Gouvernement burkinabè vient d’attribuer un marché de 30,8844 milliards FCFA pour l’acquisition d’engins au profit de 8 brigades de travaux routiers, ce mercredi à Ouagadougou.

Le marché, subdivisé en un lot de 17 674 441 200 FCFA et un autre de 13 169 840 000 FCFA le tout en hors taxe et hors douane sera financé par le Fonds spécial routier (FSR-B), pour un délai d’exécution de 6 mois pour chaque lot.
Le Conseil a marqué son accord pour l’attribution de ces marchés à l’entreprise Wend na Songdo Industrie

Agence d’information du Burkina
Photo d’illustration

Le 7è Forum national de l’intégration se tiendra du 14 au 18 octobre 2024 à Banfora.

Burkina-Intégration-Promotion

Le 7è Forum national de l’intégration se tiendra du 14 au 18 octobre 2024 à Banfora.

Ouagadougou, 04 sept. 2024 (AIB) – La 7è édition du Forum national de l’intégration regroupant les différentes communautés vivant au Burkina Faso, se tiendra du 14 au 18 octobre 2024 à Banfora, dans la région des Cascades, selon une source officielle.
Le Forum national de l’intégration est placé sous le thème ‘‘Dynamique confédérale et intégration africaine’’ et a pour objectif «de poursuivre la promotion de l’intégration à travers une interaction positive entre toutes les communautés vivant au Burkina Faso» selon le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi

Agence d’Information du Burkina.

Burkina: Des « faux mendiants et vendeurs ambulants » espionnent des sites sensibles, Sécurité

Burkina: Des « faux mendiants et vendeurs ambulants » espionnent des sites sensibles, Sécurité

Ouagadougou, 4 sept. 2024(AIB)-Le ministère de la Sécurité dit avoir donné des instructions fermes, pour mettre fin aux activités des faux mendiants et vendeurs ambulants qui espionnent des sites sensibles. Il appelle les populations à dénoncer les cas suspects en appelant gratuitement les numéros suivants : 16; 17 et 1010.
Agence d’information du Burkina
Lire le communiqué intégral

« Selon des renseignements recueillis, des individus mal intentionnés s’adonnent à des observations hostiles de certains sites sensibles sous le couvert d’activités « écran », notamment la mendicité et la vente ambulante d’articles divers.

Au regard du contexte sécuritaire, le Ministre de la Sécurité invite les populations à se départir de tels comportements et/ou activités, spécifiquement autour des grands artères et carrefours, des administrations publiques, des casernes des Forces de Défense et de Sécurité, des hôpitaux et autres sites sensibles.

En tout état de cause, des instructions fermes ont été données aux forces de sécurité publique de faire cesser de telles pratiques, d’ailleurs interdites par la loi, et ce, par tous les moyens.

Le Ministre de la Sécurité lance un appel à la plus grande vigilance et à la dénonciation de tels actes ou pratiques assimilées aux numéros verts suivants: 17; 16 et 1010 ».
Ouagadougou, 4 septembre 2024.
Ministre de la Sécurité, Mahamadou SANA.
#AIB

Burkina: un exercice de gestion de crise en sûreté ce jeudi à l’aéroport de Ouagadougou

Burkina: un exercice de gestion de crise en sûreté ce jeudi à l’aéroport de Ouagadougou

Ouagadougou, 4 septembre 2024(AIB)-Un exercice de gestion de crise en sûreté de l’aviation civile se déroulera le jeudi 05 septembre 2024 entre 08 heures et 12 heures à l’aéroport international de Ouagadougou, a appris l’AIB.
Agence d’information du Burkina
Lire le communiqué intégral :

« Le Ministre de l’Administration territoriale et de la Mobilité informe les populations de la ville de Ouagadougou et particulièrement les usagers de l’Aéroport International de Ouagadougou ainsi que les riverains qu’un exercice de gestion de crise en sûreté de l’aviation civile se déroulera le jeudi 05 septembre 2024 entre 08 heures et 12 heures sur ledit aéroport.

L’exercice ne perturbera pas l’exploitation normale de l’aéroport.

Le Ministre sait compter sur l’engagement citoyen de tous afin que cet exercice se déroule dans les meilleures conditions. »
Ouagadougou, 4 septembre 2024.
Ministre de l’Administration territoriale et de la Mobilité, Émile Zerbo.

Le Burkina mobilise environ 1 400 milliards FCFA de recettes au premier semestre sur 1 700 milliards attendus

Le Burkina mobilise environ 1 400 milliards FCFA de recettes au premier semestre sur 1 700 milliards attendus

Ouagadougou, 4 sept. 2024 (AIB) – Au premier semestre 2024, le Burkina Faso a mobilisé environ 1 400 milliards FCFA de recettes budgétaires, soit un taux d’exécution de 82,35% par rapport aux précisions à mi-chemin et 44,48% par rapport aux prévisions annuelles.

Soit un taux d’exécution de 44,48%, contre 1 700 milliards FCFA en dépenses, soit un taux d’exécution de 46%, selon le compte-rendu du conseil des ministres de ce mercredi.

«Au 30 juin, le budget de l’Etat, exercice 2024, a été exécuté à hauteur de 1 398,64 milliards FCFA en recettes et de 1 731,00 milliards FCFA en dépenses pour des prévisions annuelles respectives de 3 144,12 milliards FCFA et de 3 694,59 milliards FCFA», détaille le compte rendu du conseil des ministres.

La ministre déléguée en charge du Budget, Fatoumata Bako/Traoré, a ajouté que les décaissements effectués au titre de la trésorerie s’élèvent à environ 1 834 milliards FCFA, contre 1 831 milliards FCFA pour les encaissements.

«Globalement, il ressort que la mobilisation des ressources est en deçà des prévisions (semestrielles). Cela s’explique en partie par les difficultés rencontrées par les régies, notamment au niveau de la Direction générale des impôts. Des dispositions ont été prises pour résorber ces difficultés», a conclu Mme Traoré.

Agence d’Information du Burkina
DNK/ck

Kourittenga/Montée des couleurs nationales : Le Haut-commissaire, invite les populations à rester vigilante et en alerte permanente

Burkina-Kourittenga-Montée-Couleurs

Kourittenga/Montée des couleurs nationales : Le Haut-commissaire, invite les populations à rester vigilante et en alerte permanente

Ouagadougou, 4 septembre 2024 (AIB)- Le nouveau Haut-commissaire de la province du Kourittenga, Moctar Ilboudo a exhorté mardi, lors de la cérémonie de montée de couleurs, les populations à rester vigilantes et en alerte permanente.

Les corps constitués de la province du Kourittenga, se sont réunis L’agence de la Société Nationale d’Electricité du Burkina (SONABEL) de Koupèla à l’occasion de la traditionnelle montée mensuelle du Drapeau national burkinabè.

En chœur, l’ensemble des participants ont exécuté l’Hymne national, ont réaffirmé leur attachement aux valeurs de la nation.

Haut-commissaire de la province, Moctar Ilboudo a, dans son message rappelé l’importance de la traditionnelle montée mensuelle des couleurs nationales.

Il a encouragé et félicité les forces combattantes pour leur engagement à lutter contre l’hydre terroriste et à sécuriser les populations et leurs biens.

« Je voudrais les appeler à renforcer la cohésion et la collaboration inter-force, d’une part  et d’autres parts avec la population civile», a-t-il exhorté.

Pour lui, cet acte patriotique marque une adhésion au principe du respect des valeurs fondamentales de la république.

« Le drapeau, c’est le symbole de notre appartenance à une nation commune et à chaque fois que nous nous retrouvons pour monter nos couleurs nationales à l’unisson, ce sont toujours des occasions pour affirmer notre honneur et notre fierté d’appartenir à cette nation », a déclaré Moctar Ilboudo.

Le chef d’agence de la SOABEL, Eric Koudougou s’est réjoui de l’honneur fait à sa structure. M. Koudougou a, au nom du personnel exprimé sa gratitude envers les autorités et à l’ensemble des participants.

Agence d’information du Burkina

AS/yos/no/ata

 

Le Burkina dispose des compétences pour récupérer l’or et l’argent contenus dans les déchets électriques et électroniques

Le Burkina dispose des compétences pour récupérer l’or et l’argent contenus dans les déchets électriques et électroniques

Koudougou, 4 sept. 2024 (AIB) – Le Centre d’expertise pour la récupération et la valorisation des métaux (CERVAM) dispose des compétences nécessaires pour extraire des métaux précieux tels que l’or, l’argent et le palladium à partir des déchets d’équipements électriques et électroniques, a appris l’AIB.

« Nous avons mené des recherches fondamentales sur la récupération des métaux dans les composants électriques et électroniques. Nous avons obtenu des résultats intéressants qui ont permis d’obtenir un brevet, actuellement en cours de protection au niveau de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI) », a indiqué le coordinateur du CERVAM, le Pr Moussa Bougouma.

Le Pr Moussa Bougouma s’exprimait mardi lors d’une visite de journalistes de plusieurs médias burkinabè dans ledit centre.

Logé au sein de l’Université Norbert Zongo de Koudougou, le CERVAM s’intéresse à la partie riche des composants des appareils, tels que les barrettes RAM, les cartes processeurs, les cartes de téléphones portables et les cartes mères d’ordinateurs, afin de récupérer l’or, l’argent et le palladium qu’ils contiennent.

Selon le coordonnateur Moussa Bougouma, le centre a bénéficié du financement de l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES) de Belgique pour mener des travaux de laboratoire sur l’extraction de ces métaux précieux. Ces recherches ont abouti à des résultats concluants avec des paramètres de récupération bien déterminés.

Ces résultats, qui ont fait l’objet d’un brevet, ont été examinés et approuvés par des experts internationaux qui les ont jugés pertinents, a souligné le coordonnateur.

« Notre challenge actuel est de trouver l’accompagnement nécessaire pour la mise en place d’un dispositif pilote permettant la récupération de grandes quantités d’or, d’argent et de palladium », a-t-il confié.

Il a appelé les autorités à faire confiance à leurs résultats et à les soutenir pour la réussite de cette phase des travaux du centre.

Selon Pr Bougouma, le CERVAM travaille en collaboration avec l’Association burkinabè pour les emplois verts pour la collecte des déchets électriques et électroniques.

L’enseignant-chercheur a par ailleurs indiqué que sa structure s’intéresse également aux métaux tels que le nickel et le cobalt contenus dans les batteries et autres appareils, ainsi qu’à l’analyse de l’eau.

Le CERVAM, dans sa collaboration avec l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur (ARES), a entamé une phase d’essais en laboratoire de 2017 à 2021. Ce partenariat se poursuit dans une seconde phase jusqu’en 2027, ont rapporté les responsables du programme.
Agence d’information du Burkina
ZO/ata

Burkina : Le gouvernement adopte un quota à l’importation des produits similaires fabriqués ou produits

Burkina-Adoption-Quota-Importation

Burkina : Le gouvernement adopte un quota à l’importation des produits similaires fabriqués ou produits

Ouagadougou, 4 sept. 2024 (AIB) – Le gouvernement a adopté mercredi un quota d’enlèvement à l’importation des produits similaires fabriqués ou produits au Burkina en vue de renforcer la souveraineté nationale en matière de production, de transformation et de disponibilité des produits, et constitue un soutien manifeste à l’industrie au plan national.

Le gouvernement « a adopté un décret portant institution de quotas d’enlèvement à l’importation des produits similaires fabriqués ou produits au niveau national », indique le compte-rendu du conseil des ministres de ce mercredi

Le ministre en charge de l’industrie, Serge Gnaniodem Poda, a ajouté que l’adoption de ce décret s’inscrit dans la vision du président du Faso, qui veut que la production nationale et la transformation industrielle des matières premières nationales soient des priorités.

Selon M. Poda, ce décret vient renforcer la souveraineté nationale en matière de production, de transformation et de disponibilité des produits, et constitue un soutien manifeste à l’industrie au plan national.

« A travers l’adoption de ce décret qui instaure des quotas pour les produits à l’importation, qui sont aussi fabriqués au plan national, il s’agit de la mise en place d’un cadre de soutien important à la production nationale à travers l’instauration de débouchés pour les produits fabriqués au plan national », a-t-il précisé.

Agence d’information du Burkina
DNK/ata

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