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Kaya (Centre-nord)/BEPC 2023: Le gouverneur Blaise Ouédraogo encourage les candidats

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Kaya (Centre-nord)/BEPC 2023: Le gouverneur Blaise Ouédraogo encourage les candidats

Kaya, (AIB)- Le gouverneur de la région du Centre-nord, Blaise Ouédraogo a encouragé jeudi matin, au lycée provincial Moussa Kargougou de Kaya, les candidats au début  de l’administration des épreuves écrites du Brevet d’étude pour le premier cycle (BEPC), session 2023.

Issaka Sawadogo est le seul élève handicapé visuel de la région du Centre-nord à l’examen du Brevet d’étude pour le premier cycle (BEPC), session 2023, parmi les 9 032 inscrits.

Composant au lycée provincial Moussa Kargougou de Kaya, un centre constitué de trois jurys, il a reçu les encouragements du gouverneur de la région du Centre-nord, Blaise Ouédraogo, lors de l’ouverture de la première épreuve qu’est la dictée : un lieu paradisiaque.

«Votre courage et abnégation est un modèle que nous devons magnifier à travers le Burkina Faso. Votre détermination prouve également que le handicap n’est pas une fatalité. Vous avez tout le soutien des autorités régionales pour la poursuite de vos études», a rassuré le gouverneur Ouédraogo.

Le premier responsable de la région a, par ailleurs, encouragé et souhaité bonne chance à tous les candidats à l’examen du BEPC.

«La région traverse une crise sécuritaire et humanitaire assez délicate. Et, parmi ces élèves, il y a des déplacés internes. Il est de bon ton de venir leur souhaiter bon courage, parce que pourvoir composer est une forme de résilience et être admis est une autre forme de lutter contre le terrorisme », a-t-il souligné.

Selon la Directrice régionale des Enseignements post-primaire et secondaire du Centre-nord (DREPS/CN), Guénéba Ouédraogo, le Centre-nord compte 30 jurys au BEPC, 4 jurys au BEP et CAP et 21 centres secondaires au BEPC.

L’effectif des inscrits au BEPC au niveau régional est de 9032 candidats dont 5942 filles et 3090 garçons.

Notons qu’il y a 446 inscrits dont 182 filles et 294 garçons pour le BEP/CAP dont les centres sont à Boulsa et Boussouma.

Selon Mme Ouédraogo, Soumaila Bamogo, né en 2009 est le jeune candidat et Paténéma Sawadogo né en 1978 est le vieux candidat de la région du Centre-Nord à l’examen du BEPC, session 2023.

Les résultats du premier tour sont attendus le 9 juin prochain et ceux du second tour, le 14 juin.

Agence d’information du Burkina

ES/aio/ho/ata

Namentenga (Centre-nord) : 1268 candidats prennent part aux épreuves écrites du BEPC

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Namentenga (Centre-nord) : 1268 candidats prennent part aux épreuves écrites du BEPC

Boulsa, (AIB)- Le haut-commissaire de la province de Namentenga, Adama Conseiga a ouvert jeudi matin dans le jury n°1 à Boulsa, la première enveloppe de l’épreuve de dictée du Brevet d’étude du premier  cycle (BEPC), donnant ainsi le top départ des examens  session 2023 auxquels prennent part 1268 candidats.

Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga a procédé à l’ouverture de la première enveloppe de l’examen du Brevet d’étude du premier  cycle (BEPC)  session 2023,  en présence des autorités provinciales ce 1er juin 2023 dans le jury N°1  de Boulsa.

M. Conseiga a ensuite encouragé les candidats qui prennent part, cette année à l’examen du BEPC dans sa province.

Le Directeur provincial des enseignements  post primaires  et secondaires  (DPEPS),  Abdoulaye  Yerbanga s’est réjoui du démarrage des épreuves du BEPC, session 2023.

Selon lui, la province compte quatre jurys, un centre secondaire pour le BEPC, deux jurys pour le CAP  et le BEPC et quatre centres principaux dont un centre secondaire.

En 2022, ils étaient 2072  candidats ayant pris part aux examens, avec un taux de succès de 35%.

Agence d’information du Burkina

JBD/ho/ata/ak

Burkina: L’Ex PM Isaac Zida et le conseil des ministres occupent la Une des journaux

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Burkina: L’Ex PM Isaac Zida et le conseil des ministres occupent la Une des journaux

Ouagadougou, le 1er  juin 2023 (AIB)- Les quotidiens burkinabè de ce  jeudi mettent en exergue la levée du mandat d’arrêt contre l’ex-Premier ministre, Yacouba Issac Zida et le compte rendu du conseil des ministres de la veille.

Le quotidien national Sidwaya aborde le conseil des ministres d’hier mercredi en titrant à sa Une : « Productivité agricole 2023-2024 : Le gouvernement adopte l’initiative présidentielle ».

Le journal informe que le président de la Transition, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré a présidé, mercredi 31 mai 2023, l’hebdomadaire Conseil des ministres qui a examiné et adopté plusieurs dossiers inscrits à son ordre du jour dont celui relatif à la productivité agricole.

A ce propos, Aujourd’hui au Faso affiche : « Conseil des ministres : Adoption de l’initiative présidentielle pour la production agricole 2023-2024 », là où Le Pays parle de : « L’initiative présidentielle pour la production agricole adoptée ».

Pour sa part, le quotidien privé L’observateur Paalga, sur ce même sujet, précise que les objectifs de cette  initiative gouvernementale sont, entre autres, la satisfaction de la demande nationale en riz dans un contexte marqué par des contraintes  sécuritaires, les changements climatiques et des restrictions d’importations liées à la crise russo-ukrainienne.

Toujours concernant le Conseil des ministres, Aujourd’hui au Faso, à travers sa Une, renseigne que « 2 195 758 personnes (sont) en insécurité alimentaire difficile ».

Le même journal arbore, en manchette : « Justice militaire incompétente : YIZ (Yacouba Isaac Zida, ancien Premier ministre, NDLR) pourrait bientôt humer l’air de la liberté au Burkina ».

A en croire Aujourd’hui au Faso, Yacouba Isaac Zida avait été radié des effectifs des Forces armées pour désertion. « Depuis janvier 2016, il vit en exil au Canada et avec cette décision de justice, il pourrait désormais rentrer libre sous réserve que l’appel du parquet militaire ne prospère pas », fait observer le confrère.

Le Pays traite du sujet dans sa rubrique ‘’Révélations’’, sous le titre : « Justice militaire : le mandat d’arrêt contre l’ex-Premier ministre, Yacouba Issac Zida, levé ».

Le journal relate que selon une information diffusée par plusieurs canaux médiatique, la justice militaire du Burkina Faso a levé le mandat d’arrêt international lancé contre l’ex-Premier ministre Yacouba Issac Zida.

Dans la rubrique sport, Sidwaya traite, à sa dernière page, de la 5e  journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2023), mentionnant que pour la rencontre Cap-Vert # Burkina Faso  « les 24 Etalons de Velud pour dompter les Requins bleus » sont connus.

Selon le journal, le sélectionneur des Etalons, Hubert Velud, a dévoilé, hier 31 mai, une liste de 25 joueurs au cours d’une conférence de presse à Ouagadougou.

Le journal Le Pays, quant à lui, tout en dévoilant la liste des joueurs de l’équipe burkinabè, renseigne que le 18 juin prochain, les Etalons seront face aux Reqins bleus du Cap-Vert sur leurs installations à Praia pour le compte de la 5e journée des éliminatoires de la CAN Côte d’Ivoire 2023.

Agence d’information du Burkina

KSG/ak

Meeting de Montreuil : Hugues Fabrice Zango remporte la médaille d’or

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Meeting de Montreuil : Hugues Fabrice Zango remporte la médaille d’or

Ouagadougou, 1er mai 2023 (AIB) – Le triple sauteur burkinabè Hugues Fabrice Zango a remporté mercredi, la médaille d’or du meeting de Montreuil (France) avec un bond de 17,29m, a-t-on appris de sources médiatiques.

Grade tête d’affiche le double médaillé (bronze en 2019 à Doha, argent à Eugene en 2022 en bronze aux JO 2021 à Tokyo) Hugues Zango a dominé le meeting international d’athlétisme de Montreuil en France avec ce bond de 17,29m.

Lors de la Diamond League de Doha, Zango avait remporté la médaille d’argent en réussissant un saut à 17,81m.

Hugues Fabrice Zango vise maintenant la médaille d’or des prochains Jeux Olympiques de Paris en 2024.
Agence d’information du Burkina
as/

Noumbiel/BEPC session de 2023: 626 candidats inscrits 

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Noumbiel/BEPC session de 2023: 626 candidats inscrits 

Batié, (AIB)-Le Haut-Commissaire de la province du Noumbiel, Jean Marie Kientega, a procédé au lancement officiel, ce jeudi 1er juin 2023 à Batié, des épreuves écrites du BEPC, session 2023. 626 candidats sont en lice pour tenter de décrocher le diplôme de fin de premier cycle.

A l’instar des autres provinces du Burkina Faso, les épreuves écrites et orales du 1er tour du BEPC, session 2023, se tiennent également dans la province du Noumbiel, ce jeudi 1er juin 2023.

Les candidats sont répartis en 02 jurys de 313 candidats chacun dont 332 garçons et 294 filles.

On constate que le nombre des candidats inscrits est en baisse par rapport à la session de 2022 qui était de 721 candidats.

D’après le corps enseignant, cela s’explique majoritairement par le nombre réduit des candidats libres qui ont trouvé d’opportunités dans les différents recrutements lancé par le gouvernement de transition ces derniers temps.

Le Haut-Commissaire de la province, a encouragé les candidats et les a souhaités une bonne chance.

La délibération et la proclamation des résultats du 1er tour sont attendues le vendredi 09 juin 2023.

Agence d’information du Burkina

HO/hb/bz

Le Zimbabwe adopte une loi « patriotique », liberticide selon l’opposition

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Le Zimbabwe adopte une loi « patriotique », liberticide selon l’opposition

 

 HARARE, 1 juin 2023  – Le Zimbabwe a adopté une loi qui criminalise le fait de « porter volontairement atteinte à la souveraineté et à l’intérêt national », vivement dénoncée dans la nuit de mercredi à jeudi par l’opposition comme un baillon supplémentaire imposé par un pouvoir autoritaire.

 

Le Parlement a adopté ce projet de loi dit « patriotique » mercredi soir, à moins de trois mois de l’élection présidentielle et des législatives dont le pouvoir a annoncé le même jour qu’elles se tiendraient le 23 août.

 

Le texte a été adopté à une majorité écrasante de 99 députés du Zanu-PF, le parti au pouvoir depuis l’indépendance, tandis que les députés de l’opposition ont vivement dénoncé une loi qui va restreindre la liberté d’expression et de la presse.

 

« Un jour très triste », a réagi le journaliste militant Hopewell Chin’ono, devenu une figure d’opposition après plusieurs séjours en prison en raison de ses tweets. « La liberté d’expression est désormais morte », a-t-il twitté dans la nuit.

 

« Que l’histoire retienne que je n’ai pris aucune part à cette agitation et à ce cirque », a commenté, amer, le député d’opposition Temba Mliswa, qui s’est vivement opposé au projet de loi.

 

Le texte va maintenant passer par le Sénat avant d’être approuvé par le président, sans suspense.

 

Il restreint la liberté d’association et interdit certaines critiques contre le gouvernement et les actes considérés comme portant délibérément atteinte à « la souveraineté et à l’intérêt national » du pays d’Afrique australe, un concept assez flou pour permettre des dérives selon les critiques de la loi.

 

« C’est un projet de loi honorable avec de bonnes intentions », a plaidé mercredi soir le député de la majorité Joseph Chinotimba, assurant que le texte « nous encourage à faire preuve de patriotisme à l’égard de notre pays, quelle que soit notre appartenance à un parti ».

 

« Le projet de loi vise à décourager les personnes qui disent du mal de leur pays », a-t-il ajouté et à « encourager les Zimbabwéens à aimer leur pays et à cesser de le dénoncer ».

 

Musa Kika, directeur du Forum des ONG de défense des droits de l’homme au Zimbabwe, a confirmé qu’il y avait de fortes chances que cette loi soit adoptée. « Le Sénat a l’habitude d’approuver des projets de loi en une heure », a-t-il commenté.

 

Cette loi, « draconienne » à ses yeux, est « terrible, terriblement mauvaise ».

 

« C’est une loi anticonstitutionnelle. Elle porte atteinte à la liberté d’expression, à la liberté de réunion, à la liberté d’association, à toutes sortes de droits civils et politiques », a-t-il affirmé à l’AFP.

Avec l’AFP

 

Sénégal: l’opposant Sonko condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse »

SÉNÉGAL-PROCÈS-TROUBLES-FEMMES-AGRESSION-ÉLECTIONS

Sénégal: l’opposant Sonko condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse »

DAKAR, 1 juin 2023  – Un tribunal criminel de Dakar a condamné jeudi l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle de 2024, à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse » et l’a acquitté des faits présumés de viols.

La chambre criminelle a par ailleurs condamné à deux ans de prison ferme la co-accusée de M. Sonko, Mme Ndèye Khady Ndiaye, patronne du salon de beauté où M. Sonko était accusé d’avoir abusé d’une employée à plusieurs reprises.

Avec l’AFP

Passoré/BEPC 2023 : 5 081 candidats à la conquête du premier diplôme de l’enseignement secondaire 

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Passoré/BEPC 2023 : 5 081 candidats à la conquête du premier diplôme de l’enseignement secondaire 

Yako, (AIB)-Le Haut-commissaire de la province du Passoré, Koutougou Laurent Tontogom, en compagnie du Directeur provincial en charge des enseignements secondaire, a donné ce jeudi 1er juin 2023, le top de départ des examens scolaires du BEPC, BEP et CAP, session de 2023, avec 5 081 candidats.

En dépit du contexte sécuritaire ayant entraîné la délocalisation de certains établissements dans les localités de Bagaré et de Yako, 5 081 candidats ont entamé ce jeudi 1er juin 2023, les épreuves écrites des examens du BEPC, du BEP et du CAP, à Yako.

C’est dans la salle 1 du jury 2 que l’enveloppe de la première épreuve de dictée a été ouverte par le Haut-commissaire de la province du Passoré, Koutougou Laurent Tontogom, assisté des autorités locales et

des responsables des deux jurys qui enregistrent 354 candidats.

 

Avant de procéder à l’ouverture de la première enveloppe, le Haut-commissaire du Passoré, a prodigué des conseils et des messages d’encouragements aux candidats.

 

Le Directeur provincial des enseignements post-primaire et secondaire du Passoré, Halidou Konfé a rassuré les candidats du bon déroulement de l’examen au niveau organisationnel et au démarrage.

 

M. Konfé a par ailleurs salué la résilience des différents acteurs impliqués dans l’organisation de ces examens sans oublier l’immense travail abattu par le corps enseignant et le personnel administratif des différents établissements scolaires du post-primaire de son ressort territorial.

 

Il faut noter que le nombre de candidats est en baisse contrairement à la session de 2022 qui était de 6 602 candidats en lice.

Les premiers résultats sont attendus le 9 juin prochain.

Agence d’information du Burkina

ZES/hb/bz

Kénédougou: 4 754 candidats  en lice  pour le  BEPC session de  2023

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Kénédougou: 4 754 candidats  en lice  pour le  BEPC session de  2023  

Orodara, 1er juin 2023 (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira a procédé ce jeudi 1er juin 2023, au lancement officiel des épreuves du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), session de 2023, au lycée Municipal de Orodara.                          

C’est au jury n°3, sis au lycée municipal de Orodara que le premier responsable  de la province du Kénédougou Saïdou Sakira, a donné ce jeudi 1er juin 2023, le top de départ des épreuves écrites du BEPC, session de 2023.

La province enregistre 4 754 candidats dont 2 547 filles et 2 207 garçons, répartis dans 17 jurys et 34 centres secondaires.

Avant l’entame de la composition, le haut-commissaire et sa délégation ont fait le tour dans deux salles d’examen pour encourager  les candidats et leur prodiguer des conseils.

M. Sakira les a exhortés à plus d’application et de concentration tout au long de la composition.

Dans la même veine, le Directeur provincial en charge de l’enseignement post- primaire et secondaire du Kénédougou, Seydou Traoré,  a aussi invité les différents candidats à travailler et à  se départir de la fraude.

Agence d’information du Burkina 

AK/hb/ak

Bazèga/BEPC 2023 : 3 410 candidats en lice

BURKINA-BAZEGA-ENSEIGNEMENT-EXAMEN-DEBUT

Bazèga/BEPC 2023 : 3 410 candidats en lice

Kombissiri, 1er juin 2023 (AIB)- La haut-commissaire de la province du Bazèga, Téné Justine Kientéga/Ilboudo a ouvert officiellement, ce jeudi 1er  juin 2023 à Kombissiri, l’enveloppe de la première épreuve du BEPC. 3 410 candidats sont inscrits et répartis dans 14 jurys et 18 centres secondaires.

Ils sont 3 410 candidats dont 127 candidats libres inscrits pour la session 2023 du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) sur toute l’étendue du territoire provincial du Bazèga.

C’est au lycée provincial de Kombissiri abritant les jurys 1 et 2 que les autorités provinciales ont procédé à l’ouverture officielle de l’enveloppe de la première épreuve de cette session.

Selon le Chef de service des examens et concours du Bazèga, Patrice Wédraogo Compaoré, la province compte 14 jurys et 18 centres secondaires.

« En plus du BEPC, la province présente des candidats aux examens du CAP (certificat d’aptitude professionnelle) en électromécanique et du BEP (brevet d’études professionnelles) avec 2 spécialités en électrotechnique et en maintenance des véhicules automobiles », a-t-il ajouté.

La haut-commissaire de la province du Bazèga a encouragé les candidats et leur a prodigué des conseils.

Agence d’information du Burkina

TPT/hb/ak

L’école  »A » remporte la finale en football de l’OSEP dans la CEB de Kombissiri 1

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L’école  »A » remporte la finale en football de l’OSEP dans la CEB de Kombissiri 1

Kombissiri, le 31 mai 2023 (AIB)-L’école « A » de la Circonscription d’éducation de base (CEB) de Kombissiri 1 a remporté le mercredi 31 mai, la finale en football de l’Organisation du sport à l’école primaire (OSEP) en battant aux tirs au but (3-1), l’école Sommitba, à la faveur de la clôture des activités sportives et culturelles de la circonscription.

La circonscription d’éducation de base de Kombissiri 1 a clos ses activités sportives et culturelles de la saison 2022-2023 par la finale en football, jouée ce mercredi 31 mai 2023 sur le terrain du stade provincial de Kombissiri. À l’issue de plusieurs mois de compétitions éliminatoires qui ont opposé 16 équipes au départ, ce sont les équipes des écoles primaires de l’école  »A » et Sommitba qui se sont retrouvées en finale.

Après un score nul de 0 but partout à l’issue du temps réglementaire, c’est finalement l’école  »A » qui est venue à bout de son adversaire aux tirs aux buts par le score de 3 buts à 1 au grand bonheur de ses nombreux supporters.

La cheffe de la circonscription d’éducation de base de Kombissiri 1 Laurentine Zongo/ Kiemtoré visiblement satisfaite du déroulement de la compétition, n’a pas manqué de rendre hommage à l’ensemble des enseignants de la CEB et plus particulièrement au bureau qui a conduit les activités de l’organisation sportive et culturelle cette saison.

Elle n’a pas manqué de traduire sa reconnaissance aux nombreuses personnalités présentes à la finale qui ont œuvré pour la réussite de l’événement, au nombre desquelles l’ancienne gloire des Étalons, Alain Nana.

Pour cette saison, les disciplines sportives et culturelles retenues dans la CEB sont le football, la course, le saut, le théâtre, le dessin, le récital, et la danse moderne et traditionnelle. Les prix de toutes ces disciplines ont été décernés aux lauréats pendant la pause de la finale.
Agence d’information du Burkina
TPT/as

BEPC Session 2023 : Le ministre Joseph André Ouédraogo donne le coup d’envoi officiel à Manga

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BEPC Session 2023 : Le ministre Joseph André Ouédraogo donne le coup d’envoi officiel à Manga

Ouagadougou, 1er juin 2023 (AIB)-C’est au lycée Provincial Naaba Baongo de Manga, précisément au Jury 2 que le ministre de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales, Joseph André Ouédraogo, a procédé au lancement officiel des épreuves du Brevet d’Etudes du Premier Cycle (BEPC), session 2023.

Au total, 216 284 candidats au BEPC, 9 540 au CAP et 14 055 au BEP vont à la conquête de leur diplôme de fin de cycle du post-primaire au cours de cette session.

A l’instar de leurs camarades de tout le Burkina, les candidats du lycée Provincial Naaba Baongo de Manga, ont découvert avec un sentiment spécial, l’épreuve de dictée titrée « Une candidate confiante « , tirée de l’œuvre « Aujourd’hui je m’en vais » de Jean Kaboré.

Bien avant l’ouverture de cette enveloppe, le ministre a tout d’abord effectué un passage dans les différentes classes pour adresser un mot d’encouragement aux candidats.

« Cette année nous enregistrons 216 mille candidats contre 250 mille à l’édition précédente. Ce qui signifie qu’il y a eu une baisse significative du nombre de candidats », a indiqué Joseph André Ouédraogo.

Cette baisse est due au « phénomène de l’insécurité » rendant très difficile le contexte des examens scolaires.

Il a rendu un hommage appuyé à « la résilience des apprenants, de leurs enseignants, de l’ensemble des acteurs du système éducatif », avant de rassurer que le gouvernement et ses partenaires se sont investis pour que ces examens se tiennent coûte que coûte.

Pour la bonne tenue de ces épreuves, Joseph André Ouédraogo en appelle « au sens de responsabilité de tous les acteurs de l’organisation afin que la crédibilité du diplôme ne soit pas entachée ».

Ce sont plus de 23 484 032 000 de F CFA qui seront mobilisés pour évaluer les 752 264 candidats inscrits à la session 2023 des examens scolaires.

La suite du calendrier prévoit respectivement, le début des épreuves du CEP et du BAC, les 6 et 20 juin prochains.

Agence d’information du Burkina 

Source : DCRP / MENAPLN

Sissili : 2 769 candidats en lice pour l’examen du BEPC 2023

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Sissili : 2 769 candidats en lice pour l’examen du BEPC 2023

Léo, 1er mai 2023 (AIB)- Le haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewendé Isaac Sia, a lancé ce jeudi 1er juin 2023 à Léo, les épreuves écrites du BEPC session de 2023 qui enregistre 2 769 candidats dont 1 512 filles et 1 257 garçons répartis dans 16 centres secondaires pour 12 jurys que compte la province.

Le lancement des épreuves du BEPC, session de 2023, s’est effectué au Lycée provincial de Léo ce jeudi 1er juin 2023, par le haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewendé Isaac Sia, en présence d’autorités communales et administratives.

« Nous sommes venus vous dire bonjour et comme c’est le premier jour de l’examen vous encourager et vous souhaiter bonne chance », a indiqué M. Sia.

Il a invité les candidats à se concentrer sur leurs copies et d’éviter de copier les voisins, « sinon le ou la candidate qui se laissera prendre à ce jeux sera purement et simplement suspendu pour toute la session ».

Le haut-commissaire de la Sissili, a procédé à l’ouverture de la première enveloppe contenant l’épreuve de dictée.

Agence d’information du Burkina                                                                                                                         

OAN/hb/ak

BEPC 2023 : Le ministre en charge de l’Education nationale souhaite que les efforts des candidats soient couronnés de succès

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BEPC 2023 : Le ministre en charge de l’Education nationale souhaite que les efforts des candidats soient couronnés de succès

Ouagadougou, 1er juin 2023 (AIB)-A l’occasion du démarrage ce jeudi de l’examen du BEPC, le ministre en charge de l’Education nationale Joseph André Ouédraogo a dans un communiqué parvenu ce matin à l’AIB, souhaité que les efforts d’apprentissage scolaire des candidats et candidates soient couronnés de succès à travers la réussite aux examens et concours.

« Candidates et candidats. Je souhaite que tous vos efforts d’apprentissage scolaire soient couronnés de succès à travers la réussite aux examens et concours », a indiqué le ministre de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des Langues nationales Joseph André Ouédraogo dans un communiqué parvenu ce jeudi matin à l’AIB.

« En tant que parent d’élève moi-même, je partage avec vos parents l’espoir de votre réussite », a-t-il affirmé.

Aujourd’hui jeudi 1er juin 2023 marque le début de l’administration des épreuves écrites et orales des examens et concours scolaires du BEPC (216 284 candidats), du BEP (14 000 candidats) et du CAP (9 540 candidats).

Aux candidates et candidats, le ministre Ouédraogo a rappelé que la réussite aux examens et concours est une étape décisive de leur parcours scolaire et que l’obtention d’un diplôme va leur ouvrir des opportunités.

« Je dirai même que c’est comme un sésame-ouvre-toi qui s’offre à vous, et vous aide à dessiner les contours de votre propre avenir social, professionnel et citoyen, tout en vous rendant techniquement compétent et apte à contribuer à la prospérité de notre pays », a-t-il souligné.

Le ministre de l’Education nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des Langues nationales a aussi invité les acteurs et partenaires de l’organisation des examens et concours à créer « les conditions pour la meilleure administration possible des épreuves ».

Il s’agit pour les acteurs et partenaires de l’organisation des examens et concours, de faire en sorte que la fraude à l’examen soit bannie et que tout soit mis en œuvre afin de garantir l’égalité des chances entre tous les candidats, a signifié le ministre.

« Je vous exhorte à la vigilance pendant tout le processus, notamment les phases d’administration des épreuves, de corrections des copies et de délibérations », a affirmé Joseph André Ouédraogo.

Pour relever le défi de l’organisation, le ministre Ouédraogo a expliqué qu’ils ont « déployé les moyens humains, financiers et logistiques nécessaires ».

« Avec le logiciel SIGEC mis au point avec l’intelligence et les compétences internes au MENAPLN, nous entendons impulser une plus grande performance dans la gestion des examens et concours scolaires », a-t-il promis.

Le ministre a exprimé sa sympathie avec les « candidats déplacés internes, qui ont bravé maintes situations difficiles pour parvenir à cette phase de l’administration des épreuves écrites et orales ».

Il a également abordé  » le cas des enseignants, particulièrement ceux affectés par la crise sécuritaire, mais qui ont fait preuve d’une résilience exceptionnelle dans le travail pédagogique quotidien ».

« Je fais une mention spéciale aux animateurs communautaires. Tous ont exercé leur métier comme un sacerdoce, dans des conditions loin d’être idéales et quelquefois au péril de leurs vies », a-t-il fait savoir.

Les examens du BEPC du BEP et du CAP seront suivis par ceux du CEP et du baccalauréat prevus respectivement à partir du 06 juin et du 20 juin prochains.

Agence d’information du Burkina

WIS/ak 

Examen BEPC/Bogandé (Est): Les candidats félicités pour leur résilience

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Examen BEPC/Bogandé (Est): Les candidats félicités pour leur résilience

Bogandé, 1er juin 2023 (AIB)– L’administration des épreuves écrites du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session de 2023 a débuté ce jeudi  dans la province de la Gnagna.

L’ouverture de la première épreuve notamment la Dictée a été faite dans la salle n°1 du jury 1 logé au lycée provincial de Bogandé par le Directeur provincial de la Police nationale de la Gnagna, le commissaire de Police Issa Congo représentant, le haut commissaire de la Gnagna.

« Une candidate confiante» est le titre de la dictée.

Le représentant de la première autorité provinciale a, à l’occasion, félicité les candidats pour la résilience dont ils ont fait montre depuis la rentrée scolaire, avant de les encouragés et leur souhaité une très bonne inspiration et la bonne chance.

A cette session, ils sont 1858 candidats qui prennent part aux épreuves écrites du BEPC dans la Gnagna. Les examens se déroulent dans deux localités à savoir Piéla et Bogandé.

Dans le centre de Bogandé, deux élèves qui n’ont pas trouvé leurs noms sur la liste des candidats ont été autorisés à composer en attendant des vérifications approfondies.

Agence d’information du Burkina

YAT/hb/ak

Boucle du Mouhoun : 16.339 candidats en lice pour les examens du BEPC, CAP et BEP, session 2023 

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Boucle du Mouhoun : 16.339 candidats en lice pour les examens du BEPC, CAP et BEP, session 2023 

 

Dédougou, 30 mai (AIB)-Les épreuves écrites des examens scolaires du BEPC, du CAP et du BEP, session 2023 ont commencé le jeudi 1er juin 2023 au Burkina Faso. Dans la région de la Boucle du Mouhoun, ils sont 16.339 candidats dont 15.593 pour le BEPC qui composent dans 59 jurys, et 746 candidats pour le CAP et le BEP qui composent dans 04 jurys.

 

 

La répartition des jurys par province donne 21 pour le Mouhoun, 17 pour les Balé, 9 pour la Kossi, 6 pour le Nayala et 6 pour le Sourou.

Le cas spécifique de la province des Banwa est lié au long moment d’arrêt des cours dans cette province où le nombre de candidats est relativement réduit et délocalisé.

La session mobilisera 63 présidents de jurys, 63 vice-présidents de jury, 74 présidents de centres secondaires, 252 secrétaires de jurys, 1.059 surveillants, 1008 correcteurs et 108 agents de santé.

Le lancement des épreuves s’est effectué le jeudi 1er juin 2023 à partir de 07 heures au Lycée Communal de Dédougou par les autorités régionales.

 

Agence d’information du Burkina

SB/dnk

 

« Nous voulons être libres »: les femmes philippines réclament le droit de divorcer 

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« Nous voulons être libres »: les femmes philippines réclament le droit de divorcer 

Par Ara EUGENIO

 

MANILLE, 31 mai 2023 (AFP) – Aux Philippines, Stella Sibonga, mère de trois enfants, réclame désespérément l’annulation d’un mariage dont elle n’a jamais voulu. « Tout ce que nous voulons, c’est être libres », plaide-t-elle dans son pays à majorité catholique.

« Je ne comprends pas pourquoi c’est si difficile », se désole Mme Sibonga, 45 ans. Depuis onze ans, cette femme tente de mettre fin à ce mariage, imposé par ses parents quand elle est tombée enceinte.

Mais le divorce reste illégal aux Philippines. L’archipel est le seul pays au monde où divorcer est impossible – avec le Vatican.

Les femmes victimes de violences peuvent difficilement quitter le domicile conjugal et les couples souhaitant une rupture à l’amiable ne peuvent pas l’obtenir.

Seule option : demander à un tribunal d’annuler le mariage ou de le déclarer invalide depuis sa signature.

Or la procédure judiciaire est lente et peut coûter jusqu’à 9.500 euros dans ce pays où des millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté.

Et si le mariage est rompu, le gouvernement philippin peut encore faire appel.

Mme Sibonga avait ainsi obtenu gain de cause après 3.500 euros de frais de justice et cinq ans de procédure débutée en 2012, pendant lesquels elle a invoqué l' »incapacité psychologique » de son époux, un des motifs recevables.

Mais le soulagement a été de courte durée : le parquet, chargé de protéger l’institution du mariage au nom du ministère public, a interjeté appel et obtenu en 2019 que le jugement soit renversé.

« Pourquoi nous, qui avons connu la souffrance, l’abandon et les abus, sommes-nous punis par la loi? », demande Mme Sibonga, qui a déposé un recours devant la cour d’appel et attend toujours la décision.

Dans un pays à 78% de confession catholique, où l’influente Eglise s’oppose au divorce comme à l’avortement et à la contraception, nombre d’élus hésitent encore à faire évoluer la législation.

Pourtant, les mentalités évoluent.

En 2018, la majorité et l’opposition à la Chambre des représentants ont approuvé ensemble une réforme sur le divorce, ensuite bloquée au Sénat. C’était la première fois qu’une telle proposition allait aussi loin.

– « Je suis une pécheresse » –

Les Philippins favorables à la légalisation du divorce gagnent du terrain au gré des sondages et sont devenus majoritaires en 2017.

 

Une loi autorisant la contraception a été votée en 2012 en dépit du refus de l’Eglise.

 

Un groupe de parlementaires mène une campagne pour le divorce, avec plusieurs propositions de loi déposées devant la Chambre et le Sénat.

« Nous ne détruisons aucun mariage », souligne Edcel Lagman, auteur d’un des textes.

Selon lui, le divorce est réservé aux « mariages irrémédiablement dysfonctionnels » et sa légalisation permettrait aux femmes et à leurs enfants d’échapper aux « maris intolérants et violents ».

L’impossibilité de divorcer conduit à des dérives.

L’AFP a détecté de nombreux posts Facebook propageant de fausses informations sur la procédure judiciaire d’annulation d’un mariage, démontrant la présence d’escrocs sur internet.

Une victime, qui cherchait « toutes les options possibles pour être à nouveau célibataire », a raconté à l’AFP sous couvert de l’anonymat avoir déboursé 2.250 euros dans une fausse procédure.

Elle envisage désormais de se convertir à l’islam dans l’espoir d’obtenir un divorce selon le droit musulman.

Pour Katrina Lagarde, spécialiste du droit de la famille, la multiplication de ces escroqueries montre « le besoin pressant » de légiférer.

Le père Jerome Secillano, de la Conférence des évêques des Philippines, estime au contraire que son pays devrait être « fier » d’être le seul pays en dehors du Vatican « à s’accrocher au concept traditionnel du mariage ».

Divorcer d’un partenaire violent « perpétuerait la violence » selon lui parce que l’auteur abuserait de sa prochaine partenaire.

Mme Sibonga, qui confie avoir fait deux tentatives de suicide, refuse que ses enfants se marient tant que le divorce ne sera pas légal.

« Je ne veux pas qu’ils finissent comme moi », dit cette catholique, qui ne va plus à l’église de peur d’être accusée d’adultère car elle a un compagnon qu’elle ne peut pas épouser.

« Les gens pensent que parce que je suis toujours techniquement mariée, une pécheresse » et « que ce que Dieu a uni ne peut être séparé », déplore la quadragénaire. « Vraiment ? Même si ton mari essaie de te tuer? ».

Avec l’AFP

 

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