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Gourma/Sécurité : La culture du maïs, du sorgho et du mil interdite dans les centres urbains

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Gourma/Sécurité : La culture du maïs, du sorgho et du mil interdite dans les centres urbains

Fada N’Gourma, (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Gourma, Silas Nakanabo, a interdit la culture des spéculations hautes dans les centres urbains des communes et aux alentours des concessions dans les villages, afin d’assurer la sécurisation des populations, au regard du contexte sécuritaire.

Dans un communiqué en date du 11 juin 2024, le haut-commissaire de la province du Gourma, Silas Nakanabo, a interdit la culture des spéculations hautes où les céréales sèches notamment le maïs, le sorgho et le mil, dans les centres urbains des communes et aux alentours des concessions dans les villages.

Le même communiqué précise que cette mesure vise à assurer la sécurisation des populations, au regard du contexte sécuritaire, tout en facilitant les interventions des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), dans le cadre de la sécurisation et de la restauration du territoire.

Le même texte souligne qu’il est formellement interdit de cultiver à moins de 50 mètres les cultures suscitées de parts et d’autres des voies principales telles que la route nationale n°4, les routes régionales et les pistes rurales.
Agence d’information du Burkina
KAC/hb/yo

Namentenga : Une rencontre d’échanges pour élaborer un plan de secours d’urgence

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 Namentenga : Une rencontre d’échanges pour élaborer un plan de secours d’urgence

Boulsa, (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga a présidé le vendredi 14 juin 2024 à Boulsa, une rencontre sur le plan Organisation de secours (ORSEC) avec les services techniques de la province, en vue de parer à un éventuel sinistre ou une catastrophe.

Une rencontre sur le plan Organisation de secours (ORSEC) avec les services techniques de la province, en vue de parer à un éventuel sinistre ou une catastrophe a eu lieu le vendredi 14 juin 2024 à Boulsa, chef-lieu de la province du Namentenga, dans la région du Centre-Nord.

Les participants ont  fait le point des potentialités pouvant contribuer à secourir les personnes en détresse, en cas de survenue d’un sinistre ou d’une catastrophe naturelle dans la province.

Ils ont également recommandé, entre autres, la formation et l’équipement des secouristes, la réalisation des infrastructures routières, l’adoption des mesures d’hygiène et d’assainissement par les populations.

A l’issue de l’analyse de l’état des lieux  dans les différents domaines, il a été recommandé à la direction provinciale en charge de l’Action sociale, de faire la cartographie des zones inondables, des sites probables d’accueil d’éventuels sinistrés, l’état des magasins de stockage des vivres et  des non vivres.  .

En rappel, le 28 mai dernier, la commune de Boulsa a subi un vent violent qui a fait 5 morts, de nombreux blessés  et d’importants dégâts matériels.

Agence d’information du Burkina

JBP/no/ata          

 

 

 

Bobo-Dioulasso: incinération de 100 millions de FCFA de produits prohibés

 

Bobo-Dioulasso: incinération de 100 millions de FCFA de produits prohibés

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le service régional de la police judiciaire des Hauts-Bassins a procédé à l’incinération de plusieurs tonnes de de drogues, de cigarettes et autres produits prohibés le vendredi 14 juin 2024 à Bobo-Dioulasso. La valeur des produits est estimée à plus de 100 millions FCFA.

Coup dur pour les fraudeurs à Bobo-Dioulasso. En effet, plusieurs tonnes de produits prohibés préalablement saisis au cours de plusieurs enquêtes ont été incinéré dans la matinée du vendredi 14 juin 2024.

Il s’agit de 439 cartons de cigarettes, 1,132 tonne de drogues et de 20,345 tonnes de produits prohibés. Estimée à plus de 100 millions Francs CFA, ces produits ont été saisis par la Direction Régionale de la Police Nationale des Hauts-Bassins à travers son Service Régional de la Police Judiciaire (SRPJ).

Pour le cas de la cigarette, il s’agit de 21 950 cartouches soit 219 500 paquets de cigarette avec des étiquetages déclassés d’une valeur de près de 44 millions FCFA. En effet, selon le décret portant conditionnement et étiquetage des produits du tabac au Burkina Faso, les autorités compétentes procèdent chaque 24 mois au changement de l’étiquetage des cigarettes vendues au Burkina Faso, c’est-à-dire les mises en garde sanitaire et autres messages descriptifs. Ainsi pour le commissaire de police, chef de la Police Judiciaire des Hauts-Bassins, Yacouba Farta, après plusieurs changements opérés, la cigarette saisi s’est retrouvée en inconformité.

A l’en croire, le second lot de produits est composé de stupéfiants notamment du cannabis et du tramadol. « Ces drogues à haut risque d’une quantité d’environ 1,132 tonne dont les effets toxiques et psychotropes ne sont plus à démontrer ont été saisi des mains de trafiquants dont certains ont été appréhendés et déférés devant les autorités judiciaires », a-t-il indiqué.

Le troisième lot est quant à lui composé de produits prohibés d’une quantité de 20, 345 tonnes. Selon le commissaire de police, ces produits dont la fabrication et l’entreposage ne respectaient aucune norme en matière de santé humaine et d’hygiène publique étaient fabriqués et mis à la disposition de revendeurs par un individu ayant pris la fuite lors de son interpellation. « Essentiellement composés de produits de beauté, de médicaments prohibés contre les hémorroïdes, la tension artérielle et bien d’autres, ces produits selon l’expertise des personnes qualifiées sont nuisibles pour la santé de la population », a ajouté chef de la Police Judiciaire. Il a, par ailleurs, invité la population à la vigilance et à dénoncer tout cas suspect aux numéros vert que sont le 17, 16 et 1010.

Agence d’information du Burkina
Noufou NEBIE
Estelle KOUTOU

Crise politique en France: peu d’impact sur le tourisme et les JO, rassurent les professionnels

Crise politique en France: peu d’impact sur le tourisme et les JO, rassurent les professionnels

Paris, France

A la veille des Jeux olympiques de Paris, les élections législatives surprise en France et la poussée de l’extrême droite ne devraient avoir que peu d’effet sur la venue des touristes étrangers, davantage sensibles aux questions de sécurité que de politique estiment les professionnels du secteur. »Les résultats électoraux, ce n’est pas ce qui va jouer de façon fondamentale » sur la venue de touristes étrangers, selon Didier Arino, directeur général du cabinet Protourisme, même s’il est encore trop tôt pour chiffrer un éventuel impact. « Ce qui peut jouer c’est si ce climat d’incertitude génère un climat de tension, des violences, des blocages ».

En 2023, la France a accueilli 100 millions de visiteurs étrangers selon le gouvernement, ce qui en fait la première destination touristique mondiale, pour 63,5 milliards d’euros de recettes internationales.

Et la dissolution surprise de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron suite à la percée de l’extrême droite française aux européennes, avec l’organisation d’élections législatives les 30 juin et 7 juillet, arrive en plein pic de la saison touristique.

Et la tension politique est forte, avec rien que ce week-end quelque 21.000 policiers et gendarmes déployés pour encadrer les 150 à 200 manifestations contre l’extrême droite prévues dans toute la France.

Dans un télégramme adressé vendredi aux préfets, consulté par l’AFP, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin rappelle que la « période qui conduit au scrutin est caractérisée par des appels à des manifestations de voie publique, susceptibles d’entraîner des troubles grave à l’ordre public », avec « de violents affrontements entre ultradroite (2.700 individus suivis) et ultragauche (5.500 individus suivis) ».

A la saison touristique classique s’ajoutent les Jeux olympiques de Paris, où sont attendus 15,3 millions de visiteurs dont deux millions d’étrangers, qui débutent le 26 juillet.

« Quel que soit le gouvernement nommé, les pouvoirs publics feront en sorte que pour l’été, les Jeux olympiques soient une réussite », estime néanmoins Dominique Marcel, président de l’Alliance France Tourisme, cercle de réflexion regroupant des grandes entreprises du secteur comme Accor ou Disneyland.

« Pour les JO, l’essentiel du travail a été fait en amont. Toutes les problématiques de sécurité, le transport, la gestion des flux, les sites, tout cela a été anticipé et est prêt », souligne-t-il.

– Importance des images –

 

« Il n’y a pas d’annulations massives », selon Vanguelis Panayotis, président du cabinet de conseil MKG consulting, évoquant par le passé l’importance des images de la contestation sociale en France, notamment l’an dernier les manifestations contre la réforme des retraites ou la crise dite des « gilets jaunes ».

Lors de la crise des « gilets jaunes », au premier trimestre 2019, la fréquentation hôtelière des visiteurs étrangers avait baissé de 4,8%. Et lors des émeutes de juin 2023 suite à la mort d’un jeune abattu par un policier en région parisienne, les hôteliers « subissaient une vague d’annulation de leurs réservations » dans les zones touchées par les violences, selon le principal syndicat patronal de l’hôtellerie-restauration, l’Umih.

Les élections, quels que soient les résultats, n’ont pas le même effet sur la fréquentation touristique. La nomination de la dirigeante d’extrême droite Giorgia Meloni à la présidence du Conseil en Italie « n’empêche pas le tourisme italien de prospérer », souligne Didier Arino.

Avec AFP

Poutine propose les « conditions les plus concrètes » pour mettre fin au conflit en Ukraine

POLITIQUE: UKRAINE-RUSSIE-CONDITIONS-OPINION

Poutine propose les « conditions les plus concrètes » pour mettre fin au conflit en Ukraine

Ouagadougou,14 juin(AIB/TASS)- La nouvelle initiative de paix du président russe Vladimir Poutine est devenue la déclaration la plus détaillée des conditions de Moscou pour mettre fin au conflit en Ukraine. Cette opinion a été exprimée par le journal britannique Financial Times (FT).

L’auteur de l’article note que « les exigences du président russe, exprimées lors de son discours de vendredi, sont devenues les conditions les plus concrètes qu’il a mises en avant pour une éventuelle fin » du conflit. L’article précise que M. Poutine « a clairement indiqué qu’il adopterait une position maximaliste dans tous pourparlers de paix ». Il souligne qu’il est peu probable que l’Ukraine accepte les conditions de Moscou.

Auparavant, M. Poutine avait déclaré, lors d’une réunion avec le ministère des Affaires étrangères, que la Russie était prête à un règlement du conflit en Ukraine, ce qui impliquait la reconnaissance du statut de la République populaire de Donetsk (RPD), de la République populaire de Lougansk (RPL), des régions de Kherson et de Zaporojié en tant que sujets de la Russie, la consolidation du statut de non-alignement et de dénucléarisation de l’Ukraine, sa démilitarisation et sa dénazification, ainsi que la levée des sanctions antirusses. Mikhaïl Podoliak, conseiller du chef du bureau du président ukrainien, commentant la proposition sur sa page X sur le réseau social, en a rejeté tous les éléments.

Agence d’Information du Burkina

Mohamed Bassoum désarmé de son immunité présidentielle

Niger-Justice-Immunité-Levée

Mohamed Bassoum désarmé de son immunité présidentielle

Niamey, 14 juin 2024 (AIB) – La Cour d’Etat du Niger, la plus haute cour de pays, a ordonné ce vendredi la levée de l’immunité de l’ancien président de la république nigérienne, Mohamed Bazoum, rapporte l’Agence nigérienne de presse.

A son audience publique de ce 14 juin 2024, la cour d’Etat a ordonné la levée de l’immunité de Mohamed Bazoum, répondant favorablement à la requête du commissaire du gouvernement près du tribunal militaire.

Désormais, l’ancien président pourra répondre devant la justice de son pays des accusations de «complot ayant pour but de porter atteinte à l’autorité ou à la sûreté de l’État » qui pèsent contre lui en raison de ses positions et actions, aux premiers jours de son renversement, pour une intervention militaire pour le rétablir dans ses fonctions.

Mohamed Bazoum, renversé l’armée le 26 juillet 2023, reste toujours dans les mains des militaires. Son fils, Salem Bazoum, gardé avec son père, bénéficie quant à lui d’une liberté provisoire depuis janvier 2024.

Agence d’Information du Burkina

Le Secrétaire général adjoint de la FBF rend le tablier

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Le Secrétaire général adjoint de la FBF rend le tablier

Ouagadougou, 14 juin 2024 (AIB) – Le Secrétaire général adjoint (SGA) de la Fédération burkinabè de football (FBF) Noufou Rabo a adressé une lettre de démission au président de la FBF et dont l’AIB a eu copie jeudi.

« Je viens par la présente vous informer de ma décision de démissionner de mon poste de secrétaire général adjoint de la Fédération burkinabè de football avec effet immédiat pour convenance personnelle », a écrit le Secrétaire général adjoint de la FBF Noufou Rabo.

Nommé le 24 mars 2020, le SGA Rabo dit avoir travaillé avec « abnégation et détermination » qui lui a permis d’acquérir de l’expérience dans son parcours professionnel. Il a également remercié son employeur pour la confiance qui avait été placée en lui.

Ce n’est pas la première démission au sein de la FBF qui est à deux mois du renouvellement de son comité exécutif. Le coordonnateur des équipes nationales Adama Ouédraogo et l’officier média de la FBF Kader Traoré avaient eux aussi démissionné respectivement aux mois de février et avril de cette année.
Le renouvellement du Comité exécutif de la FBF est prévu pour le 17 Août prochain.
Agence d’information du Burkina
as/ata

Journée mondiale du donneur de sang : le Président du Faso donne l’exemple

Journée mondiale du donneur de sang : le Président du Faso donne l’exemple

(Ouagadougou, 14 juin 2024). Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE a pris part, ce vendredi matin au Palais de Koulouba, à l’opération de collecte de sang initiée dans le cadre de la Journée mondiale du donneur de sang, célébrée chaque 14 juin.

Pour le Chef de l’Etat, il est important de donner du sang pour sauver des vies. « Qui ne serait pas fier de savoir que son sang a contribué à sauver une vie ? », s’est-il interrogé. A la veille de la saison des pluies, période palustre au Burkina Faso, le Chef de l’Etat a invité ses concitoyens à manifester leur solidarité vis-à-vis des malades en donnant régulièrement du sang pour contribuer à sauver leurs vies.

Le Secrétaire général de la Présidence du Faso, Zakaria SORE a soutenu que cette opération de collecte de sang est d’abord l’expression d’une solidarité agissante. « Donner son sang, c’est s’engager à accompagner d’autres personnes qui sont dans une situation de besoin, surtout en cette période de forte demande », a-t-il dit.

Selon lui, cette initiative de la Présidence du Faso, première institution de l’Etat est salutaire et traduit l’engagement des plus hautes autorités à accompagner les couches vulnérables en ces temps de paludisme.

Le président national de l’association « SOS sang », Jean Bosco ZOUNDI a salué l’acte du Chef de l’Etat qui encourage les donneurs de sang. « Nous venons d’avoir l’adhésion du premier des Burkinabè qui a accepté ce jour 14 juin de donner l’exemple et montrer au monde entier et à tous les Burkinabè que toute personne peut donner son sang, surtout en cette période palustre », a indiqué le président de « SOS sang ».

Selon le directeur général du Centre national de transfusion sanguine (CNTS), Dr Désiré NEZIEN, les poches collectées seront d’un apport important pour sa structure.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Don de sang: Le Burkina Faso compte mobiliser 235 928 poches en 2024

Don de sang: Le Burkina Faso compte mobiliser 235 928 poches en 2024

Ouagadougou, 14 juin 2024(AIB)- Le ministère de la Santé compte en 2024, mobiliser 235 928 poches de sang pour venir majoritairement en aide aux enfants souffrant d’anémie et aux femmes pendant les accouchements, a appris l’AIB.

« Je voudrais que nous nous engagions pour des dons volontaires et réguliers afin d’atteindre l’objectif de 235 928 poches de sang en 2024 pour couvrir les besoins théoriques selon la méthode de calcul de l’OMS », a déclaré le ministre de la Santé Lucien Robert Kargougou dans son message à l’occasion de la journée mondiale du don de sang.

Ila rappelé qu’en 2023, au Burkina Faso, 135 818 poches de sang ont été collectées sur l’ensemble du territoire burkinabè.

« Ces poches de sang ont été traitées pour garantir leur sécurité avant d’être transfusées à des patients à grande majorité des enfants de moins de cinq (5) ans et des femmes âgées de 15 à 49 ans soit 60 % de l’ensemble des bénéficiaires. Ces statistiques s’expliquent par la prévalence de l’anémie liée au paludisme chez l’enfant et des hémorragies fréquentes lors des accouchements au Burkina Faso », a expliqué Lucien Robert Kargougou.

Il a félicité l’ensemble des donneurs et en particulier les donneurs fidèles qui ont atteint 29,95% en 2023 dans les zones CNTS pour un taux normal devant dépasser 30%.
Agence d’information du Burkina Photo d’archive et d’illustration

Sourou : Le Projet d’amélioration de l’apprentissage et de la résilience lancé

Burkina-Sourou-Projet-Lancement

Sourou : Le Projet d’amélioration de l’apprentissage et de la résilience lancé

Tougan, (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Sourou, Désiré Badolo a   été officiellement lancé le mercredi 12 juin 2024, les activités du Projet d’amélioration de l’apprentissage et de la résilience (PAARE).

Le Projet d’amélioration de l’apprentissage et de la résilience (PAARE) a   été officiellement lancé le mercredi 12 juin 2024 à Tougan, dans  la province du Sourou , région de la Boucle du Mouhoun.

Ce projet vise à améliorer l’apprentissage et la résilience  grâce à un accès équitable, à une éducation de qualité dans les espaces d’apprentissage sûrs inclusifs et protecteurs.

Ledit projet est destiné aux enfants en âge scolaire affectés par la crise sécuritaire dans la  province du Sourou.

D’une durée de 2 ans (mars 2024-fevrier 2026), il sera piloté par l’ONG Terre Des Hommes va toucher directement 3 480 filles, 3 212 garçons, 63 femmes et 53 hommes. Les bénéficiaires indirects se chiffrent à 17 634 femmes et 15 021 hommes.

Les activités du « PAARE » vont s’articuler, entre autres, sur la formation des acteurs  à la protection de l’enfant en situation d’urgence, des jeunes sur le leadership et l’appui à la cantine scolaire dotation de écoles en kits pédagogique et didactiques.

Le chef du projet,Vivien Pascal Yonli, a sollicité l’appui des autorités locales, des responsables coutumiers et religieux et des acteurs de l’éducation du Sourou pour un bon déroulement des activités.

Quant au premier responsable de la  province, Désiré Badolo, il a salué l’intervention de ce projet dans le Sourou.

Pour lui, cette initiative constitue une réponse au besoin en matière d’éducation dans la province, dans un contexte sécuritaire et humanitaire actuel, à travers la prise en charge des élèves déplacé et la formation du personnel enseignant pour une amélioration de la qualité de l’éducation.

M.Badolo a rassuré les responsables du projet que les autorités ne ménageront aucun effort pour un accompagnement conséquent et a  invité les bénéficiaires à prendre à bras le corps, les activités auxquelles ils seront invités.

Agence d’Information du Burkina

SS/pd/no /ata

 

 

Cohésion sociale à Niankorodougou : Des communautés dans les zones de transhumance transfrontalière, outillées

BURKINA-LERABA-COHESION-FORMATION

Cohésion sociale à Niankorodougou : Des communautés dans les zones de transhumance transfrontalière, outillées

Sindou, (AIB)-Le haut-commissaire de la province de la Léraba, Mahamadi Congo, a présidé le mercredi 12 juin 2024 à  Niankorodougou, l’atelier de concertation sur l’exploitation minière et de la préservation des espaces agro-pastoraux, au profit des communautés dans les zones de transhumance transfrontalière.

C’est dans l’objectif de recherche de solutions pour gérer les conflits entre les exploitants miniers, les agriculteurs, les pasteurs et les propriétaires terriens situés dans la zone de Niankorodougou, que le comité de dialogue périodique pour la gestion des crises dans la Léraba, a lancé un appel d’accompagnement.

Cet appel, a été adressé à l’ONG CARE international au Burkina Faso dans le cadre du projet Mobilité pastorale transfrontalière apaisée et stabilité sociale au Sahel (MOPSS).

L’atelier a eu lieu le mercredi 12 juin 2024 à  Niankorodougou, sous la présidence du haut-commissaire de la province de la Léraba, Mahamadi Congo.

Depuis novembre 2022, Niankorodougou, commune rurale située au Sud de la commune urbaine de Sindou, chef-lieu de la province de la Léraba, traverse une crise liée à l’exploitation minière.

Cette crise a occasionné beaucoup de pertes économiques et des difficultés liées au fonctionnement de l’administration publique et même de la mine Wahgnion gold opération (WGO), après plusieurs interventions dans le cadre de la résolution des crises entres les protagonistes.

Financé par l’Agence suédoise de coopération internationale au développement (Asdi) et Danida, l’objectif de l’ONG CARE international est de contribuer entre autres, à la cohésion sociale des communautés dans les zones de transhumance transfrontalière et une cohabitation pacifique entre l’ensemble des usagers des ressources naturelles.

Le haut-commissaire a remercié l’ONG CARE International pour avoir facilité la tenue de ce cadre de dialogue.

Les participants par la voix du chef de Niankorodou, ont salué l’initiative de la rencontre qui, selon eux, allait levée beaucoup d’incompréhension si elle était tenue avant.

Le responsable de l’ONG CARE international, Seydou Héma, s’est dit satisfait des réactions des notables.

Agence d’information du Burkina

MK/hb/yo

 

Bogandé/ Effort de paix: Les enfants des Églises Évangéliques SIM offrent 250 000FCFA

Bogandé/ Effort de paix: Les enfants des Églises Évangéliques SIM offrent 250 000FCFA

Bogandé, 14 juin 2024(AIB)- Les enfants des Églises Évangéliques SIM de la commune de Bogandé ont remis, jeudi 13 juin 2024, une somme de 250.000 francs au profit des orphelins des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de Bogandé tombés au front a constaté un journaliste de l’AIB.

Les enfants des Églises Évangéliques SIM de la commune de Bogandé, par ce geste ont voulu manifester leur soutien aux orphelins des VDP et traduire leur reconnaissance aux agents de la Direction provinciale de l’action humanitaire , de la solidarité nationale pour les efforts consentis aux côtés des PDI.

A l’occasion, ils ont également mis à la disposition de chaque bureau de la Direction provinciale de la Solidarité, de l’Action humanitaire, de la Réconciliation nationale, du Genre et de la Famille de la Gnagna, des bibles et procéder à la salubrité dans les locaux .

 » Notre langue a perdu la saveur des repas parce que quand tu manges et que ton voisin meurt de faim, la nourriture perd sa saveur » a déclaré Lankoandé Ben Salomon, porte-parole des donateurs.

 » Nous venons en visite chez nos soeurs et frères orphelins de parents victimes du terrorisme pour leur apporter notre modeste contribution » a-t-il confié. A l’entendre, les donateurs souhaitent que leur contribution serve à la scolarité desdits orphelins.

Selon le pasteur Dahandi Lankoandé, président des églises évangéliques SIM de la commune de Bogandé, les saintes écritures exhortent tout être humain à la solidarité.

C’est ainsi qu’il a justifié le geste des enfants. Puis il a traduit les vives considérations de sa communauté aux forces combattantes ainsi que les agents des services de l’action humanitaire.

Le Directeur provincial de l’Action humanitaire, de la Réconciliation nationale, du Genre et de la Famille de la Gnagna, Marcel Yameogo s’est réjoui de l’acte posé par les enfants.

 » Ce geste mérite d’être partagé. C’est une leçon de morale que les enfants nous donnent ce matin  » a-t-il soutenu.

Poursuivant il a laissé entendre que l’on n’est jamais riche ou pauvre pour se passer de la solidarité. Se faisant, il a invité les autres couches de la société à emboîter le pas de ces tout petits.

Dans le même ordre d’idée , le deuxième vice président de la délégation spéciale Communale de Bogandé, Oumarou Tindano a remercié les donneurs pour le geste. Il a lancé un vibrant appel aux filles et fils de la commune de Bogandé à suivre cet exemple de solidarité en faveur des forces combattantes et des personnes affectées par le terrorisme.

Agence d’Information du Burkina
Oyé Ardjima Yempabou TINDANO

Dori: Le CRUS aménage un périmètre maraîcher au profit des PDI

Dori: Le CRUS aménage un périmètre maraîcher au profit des PDI

Dori, (AIB)-Le Comité Régional des Unions du Sahel (CRUS) a organisé à Dori, le 12 juin 2024, une cérémonie inaugurale d’un périmètre maraicher aménagé de 2,5 hectares au profit de 50 ménages de personnes déplacées internes (PDI) et de remise de matériel d’une valeur de 70 millions de francs CFA à des associations de femmes et d’éleveurs.

Selon le représentant du secrétaire général du CRUS, monsieur Boubacar Diallo, la réalisation de ce joyau s’inscrit dans le cadre de l’offensive agro sylvo pastorale du gouvernement burkinabè.

À l’en croire, ce site maraîcher réalisé à Dori pour des raisons sécuritaires, était à l’origine destiné à des producteurs des communes de Déou et de Oursi.

Et monsieur Diallo d’ajouter que le CRUS attend des bénéficiaires une bonne organisation pour une exploitation optimale du site, le respect strict des itinéraires techniques et une bonne production leur permettant d’accroître leurs revenus.

Ce périmètre maraîcher est réalisé sur une superficie de 2,5 ha et compte 50 parcelles de 400 m2 chacune.

Il dispose d’une adduction d’eau, équipée de panneaux solaires, de trois réservoirs et des bassins à eau.

Les bénéficiaires ont reçu du matériel aratoire composé de gants, de pelles, de pioches, de brouettes et d’arrosoirs.

Huit plateformes multifonctionnelles, un broyeur, un compacteur et un mélangeur ont également été remis à des associations de femmes et d’agriculteurs.

Le coût estimatif de l’ensemble de ces réalisations du CRUS et de ses partenaires est de 70 millions de francs CFA.

Les bénéficiaires ont vivement remercié le CRUS et ses partenaires et se sont engagés à utiliser à bon escient le matériel reçu.

Au nom du gouverneur de la région du Sahel, monsieur Wulfran Bamas, haut-commissaire de la province du Séno, a salué cette action du CRUS.

Pour lui, ce geste est la preuve de la présence effective de cette ONG auprès des populations sahéliennes en ces moments pénibles.

À en croire monsieur Bamas, ce périmètre maraîcher et ces équipements permettront aux PDI de produire pour subvenir à leurs besoins.

Pour cela, il a demandé aux producteurs de prendre soin du site et de s’approprier des conseils des techniciens de l’agriculture qui seront à leurs côtés pour leur permettre de produire ce dont ils ont besoin.

Il faut rappeler que le CRUS est un regroupement de 1997 groupements évoluant dans l’élevage, l’agriculture et la pêche, créé en 1989 et reconnu en 1993, dans le but de valoriser les potentialités agro-sylvo-pastorales de la région du Sahel, grâce au développement d’approches valorisant le Sahélien dans son milieu.
Agence d’information du Burkina
Ali Mamoudou MAIGA
AIB/Dori

Paix et cohésion: Des communautés présentent leurs savoir-faire à Dori

Paix et cohésion: Des communautés présentent leurs savoir-faire à Dori

Dori, (AIB)-Le projet communautaire de relèvement et de stabilisation pour le Sahel (PCRSS) a organisé à Dori le jeudi 13 juin 2024, une journée communale des communautés en vue de promouvoir la paix et la cohésion sociale. L’activité a été marquée par l’exposition des savoir-faire, de l’art vestimentaire, culinaire, capillaire et un défilé de plus d’une dizaine de communautés.

Cette journée des communautés est placée sous le thème contribution et engagement des communautés dans la consolidation de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble.

Selon monsieur Abdoulaye Tamboura, assistant suivi évaluation de l’Association pour le monde rural (AMR), partenaire de mise en œuvre du PCRSS, la cohésion sociale n’est pas un vain mot, mais une réalité sociale à co-construire.

Pour lui, les communautés sont confrontées aux conflits et aux inégalités. C’est pourquoi elles doivent travailler ensemble pour les éradiquer.

Et monsieur Tamboura de conclure que la journée des communautés constitue à cet effet, une belle opportunité.

Monsieur Harouna Kaboré, chef d’antenne régional du PCRSS a vivement remercié l’AMR et les communautés participantes pour l’organisation réussie de cette journée communale des communautés.

Présentant à cette occasion sa structure, monsieur Kaboré a dit que le PCRSS est une initiative des gouvernements du Burkina, du Mali et du Niger, financée par le Groupe de la Banque mondiale. Au Burkina, il intervient dans 24 communes des régions du Centre Nord, du Nord et du Sahel.

Dans la région du Sahel, le projet est mis en œuvre dans les communes de Gorom-Gorom, Dori, Djibo, Sebba, Arbinda et Gorgadji.

A entendre monsieur Boureima Dicko, premier vice-président de la délégation spéciale de Dori, le Burkina Faso est caractérisé par une diversité culturelle et ethnique qui constitue une force unificatrice pour atteindre l’objectif commun de développement.

Pour lui, le thème de cette journée interpelle les communautés à œuvrer davantage au respect mutuel de nos valeurs. Monsieur Dicko a interpellé les communautés a avoir au quotidien des actes de paix et du vivre-ensemble.

Le représentant des communautés, monsieur Ibrahim Oumarou Diallo a témoigné toute sa gratitude au PCRSS et à l’AMR pour l’organisation de cette journée des communautés.

Pour lui, les communautés sont porteuses de valeurs culturelles dont la parenté à plaisanterie constitue un véritable mécanisme de prévention et de résolution des conflits sociaux.

Monsieur Diallo a souhaité que cette valeur soit transmise aux jeunes générations.

Cette journée communautaire a connu son épilogue avec une dégustation des mets locaux et un repas communautaire.
Agence d’information du Burkina
Ali Mamoudou Maiga
AIB/Dori.

La  fête de la Tabaski 2024 largement commentée par la presse burkinabè

Burkina-Presse-Revue

La  fête de la Tabaski 2024 largement commentée par la presse burkinabè

Ouagadougou, 14 juin 2024 (AIB)- Les parutions de ce vendredi, font cas du séminaire gouvernemental sur la cybersécurité et la protection des données à  caractère personnel et de la fête de la Tabaski 2024 qui sera célébrée ce dimanche.

Le quotidien d’Etat Sidwaya commente à sa Une, les propos de l’imam Nouhoun Bakayogo,  à propos de la fête de la Tabaski.

Selon le journal public, l’imam Bakayogo, affirme que la femme peut bien immoler le mouton.

Toujours dans la  même veine, il soutient que plus 8 000 pèlerins burkinabè sont en route pour Arafat au titre du Hadj 2024.

Le confrère, L’Observateur Paalga, explique que d’après l’imam de l’Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB) et du Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI), Ismaël Tiendrébéogo, l’animal ne doit avoir une infirmité  ni une malformation.

Le  journal privé Le pays, de son côté, renchérit que les moutons attendent des clients.

Sous un autre volet, le quotidien d’Etat Sidwaya, affiche à sa manchette : «  Echanges sur la cybersécurité et la protection des données à caractère personnel ».

Le journal public rapporte que le Premier ministre, Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla a présidé hier jeudi à Ouagadougou, un séminaire gouvernemental sur la cybersécurité et la protection des données à caractères personnel à l’ère du numérique.

A ses dires, au cours de la rencontre, l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI) a décrypté la notion de cybersécurité au profit des membres du gouvernement.

Le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, L’Observateur Paalga, dans ses colonnes, renchérit que la Commission de l’information et des libertés (CIL) a abordé pendant les échanges, les enjeux sur la cybersécurité.

Il poursuit que l’ANSSI est l’autorité nationale en  matière de protection des systèmes d’information au Burkina Faso.

L’Obs. fait également remarquer que ladite structure a pour mission principale d’assurer la protection du cyberespace national.

Agence d’information du Burkina

No/bh/ata

 

 

 

 

 

La région du Sahel veut se doter d’un musée futuriste

 

La région du Sahel veut se doter d’un musée futuriste

Dori, 14 juin 2024 (AIB)-La région du Sahel veut se doter d’un musée futuriste à la hauteur de sa richesse et de sa diversité culturelle, qui sera un véritable espace de transmission des valeurs culturelles, de dialogue intellectuel et interreligieux, d’apprentissage et de formation à la vie, a appris l’AIB.

 

Le gouvernorat de la région du Sahel a organisé à Dori, le mardi 11 juin 2024, une journée de concertation des forces vives en vu de déterminer de manière consensuelle le format et le site d’implantation du futur musée régional à réaliser. Ce cadre de concertation répond à une instruction du ministre d’État, ministre de la Communication, de la Culture des Arts et du Tourisme, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Selon Wulfran Bamas, haut commissaire de la province du Séno, représentant le gouverneur du Sahel, le Burkina Faso est un pays de vieilles traditions, qui a entrepris après son accession à l’indépendance plusieurs actions visant la sauvegarde et la valorisation de son patrimoine culturel.

A écouter monsieur Bamas, le pays connaît de nos jours les moments les plus difficiles de son histoire, à savoir l’insécurité dûe au terrorisme, dont les conséquences fâcheuses sont nombreuses dans tous les domaines de la vie.

Et monsieur le haut commissaire d’ajouter que le secteur de la culture paie le plus lourd tribu dans la région du Sahel, d’où la nécessité de préserver les objets d’art, les instruments de musique et les statuettes encore conservés au sein des communautés.

C’est pourquoi selon lui, il est impérieux de doter la région du Sahel d’un musée à la hauteur de sa richesse et de sa diversité culturelle, qui sera un véritable espace de transmission des valeurs culturelles, de dialogue intellectuel et interreligieux, d’apprentissage et de formation à la vie.

Afin de pouvoir donner leurs avis sur la réalisation d’une telle infrastructure, les participants ont eu droit à deux communications sur le patrimoine culturel comme levier pour un bien-être social et la cartographie des musées au Burkina Faso.

A l’issue de ces communications les participants ont proposé la ville de Dori, chef-lieu la province du Séno et de la région du Sahel, comme site d’accueil du futur complexe muséal, pour les raisons objectives de sa sécurité, de son accessibilité et de sa forte urbanisation.

Ils ont souhaité qu’il soit un musée général dont le thème de collection se rapporte à toutes les communautés de la région, une institution accessible et inclusive, attractive et aux multiples offres.
Agence d’information du Burkina
Ali Mamoudou MAÏGA
AIB/Séno

Kénédougou : Le nouveau médecin chef du district sanitaire de Orodara installé

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Kénédougou : Le nouveau médecin chef du district sanitaire de Orodara installé

Orodara, (AIB)-Le nouveau Médecin chef du district sanitaire de Orodara, Dr Evariste Idrissa Dakyo, a été officiellement installé le lundi 10 juin 2024. La cérémonie a été présidée par le Haut- Commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira.
Nommé à la tête dudit district suivant arrêté n°2024-233/MSHP du 13 mai 2024, Dr Evariste Idrissa Dakyo est médecin généraliste. Il remplace à ce poste Dr Ghislain Bouda qui y a passé trois ans à la tête dudit district.

Il a été officiellement installé dans ses fonctions le lundi 10 juin 2024, par le Haut-Commissaire de la province du Kénédougou, Saïdou Sakira.

Les représentants du personnel du district sanitaire de Orodara et des infirmiers chefs de postes ont exprimé leur gratitude et reconnaissance au Dr Ghislain Bouda, pour les résultats engrangés sur le terrain au profit du district.
Ils lui ont souhaité bon vent dans sa nouvelle carrière.

Dr Bouda a remercié les uns et les autres pour leur accompagnement dans l’accomplissement de sa mission à Orodara.
Il a présenté ses excuses à tous ceux qu’il aurait frustré dans l’exercice de ses fonctions au Kénedougou.

Dr Ghislain Bouda a demandé au personnel du district sanitaire d’accompagner le nouveau médecin chef afin qu’il puisse mener à bien sa mission.

Tout en mesurant l’immensité de la tâche à lui confiée, Dr Evariste Idrissa Dakyo a dit compter sur le concours des uns et des autres pour réussir.

Le Haut-Commissaire de la province du Kénédougou, a rassuré le nouveau médecin chef du district sanitaire de Orodara du soutien des autorités administratives et des forces vives pour mener à bien sa mission.

Agence d’information du Burkina
AK/hb/yo

Nahouri : Le centre médical de Pô dispose désormais d’un appareil échographe.

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Nahouri : Le centre médical de Pô dispose désormais d’un appareil échographe.

Pô, (AIB)- Le secrétaire général de la province du Nahouri, Sanfienalé Joseph Sirima, a présidé ce mercredi 12 juin 2024, la cérémonie de remise officielle d’un appareil échographe au Centre médical avec Antenne chirurgicale (CMA) de Pô.
Un appareil échographe a été remis le mercredi 12 juin 2024 au Centre médical avec Antenne chirurgicale (CMA) de Pô, sous la présidence du secrétaire général de la province du Nahouri, Sanfienalé Joseph Sirima.

Selon le médecin chef du district sanitaire de Pô, Dr Daouda Bamba, c’est un appareil très performant de dernière génération doté d’une autonomie pouvant fonctionner en cas de coupure d’électricité et est différent des autres appareils classiques.
Il a indiqué que la demande était très forte et faisait l’objet de plusieurs requêtes des forces vives auprès du chef de l’Etat qui a répondu favorablement.

« Aujourd’hui c’est chose faite et les choses sont allées très vite. Cet appareil qui manquait permettra au CMA de donner des prestations de qualité aux populations », a-t-il indiqué.

Le secrétaire général de la province du Nahouri, qui a remis ce joyau au CMA a dit toute sa satisfaction de voir cette doléance se concrétisée.

« Elle vient améliorer le plateau technique du CMA de Pô et enlève du même coup une grosse épine au pied de l’équipe cadre du district », a ajouté M. Sirima.
Il a ensuite invité les bénéficiaires à en faire bon usage.

Il faut noter que l’appareil peut réaliser des échographies obstétricales, gynécologiques, urologiques digestives, des parties molles e des échocardiographies.
Agence d’information du Burkina
HKO/hb/yo

Burkina : 150 jeunes de la région du Nord formés en montage de plans d’affaires et de recherche de financements

Burkina : 150 jeunes de la région du Nord formés en montage de plans d’affaires et de recherche de financements

Gourcy, (AIB)-Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Communautaire de Relèvement et Stabilisation du Sahel (PCRSS), 150 jeunes de la Région du Nord ont reçu une formation en montage des plans d’affaires et de recherche de financements du 4 au 8 juin 2024.

Ils étaient 150 jeunes dont 51 filles et 99 garçons venus des communes de Arbollé, Barga, Gourcy, Namissiguima, Ouahigouya, Ouindigui, Titao, Thiou et Yako dans la Région du Nord à bénéficier d’une formation qui a porté sur le montage des plans d’affaires et la recherche de financements.

Cette formation initiée par l’Association Monde Rural en partenariat avec le PCRSS s’est déroulée du 4 au 8 juin 2024 à Gourcy, chef-lieu de la province du Zondoma. Pour le Coordonnateur National de l’AMR Amadou Wangré qui a présidé la cérémonie de clôture, l’objectif de l’activité est de renforcer les capacités des jeunes sur l’esprit d’entreprise et l’auto-emploi.

« C’est un objectif atteint » dira-t-il, se basant sur les résultats présentés à cette cérémonie de clôture.

« Durant les cinq jours, nous avons abordé entre autres avec les jeunes la notion d’entreprise, les bonnes pratiques en matière d’entrepreneuriat, les qualités d’un bon entrepreneur, les stratégies de recherche de financement etc. » a indiqué Aristide Kouraogo, l’un des formateurs.

« Nous les avons aidés également à approfondir leurs idées d’affaire pour en faire en plan d’affaire qui sera par la suite traduit en un document vendable » a-t-il ajouté.

« Je suis une tisseuse, et je peux vous dire qu’après cette formation, j’ai réalisé que je travaillais dans le désordre total, mais à présent, je sais comment réorganiser mon travail pour en tirer le meilleur profit », a soutenu Safieta Ouédraogo bénéficiaire de la formation.

«Je ne savais pas qu’on pouvait entreprendre sans réunir de gros moyens. Mais avec les connaissances reçues, je vais commencer à faire quelque chose une fois de retour chez moi » foi de Abdoul Fatao Sogoba venu de la commune de Titao.

Prenant la parole au nom de ses camarades, Mariam Sawadogo a remercié les initiateurs de cette formation avant de plaider pour leur accompagnement dans la mise en œuvre des plans d’affaires qu’ils viendront à élaborer.

Chaque participant a reçu des organisateurs une attestation de participation.

Rappelons que cette formation a été possible grâce au PCRSS qui s’est donné pour mission principale de contribuer au relèvement et au développement des populations affectées par la crise sécuritaire dans trois régions du Burkina.
Agence d’Information du Burkina
Aziz KIEMDE

GNAGNA : Un lycée rouvert fait 46,81% au 1er tour au BEPC

GNAGNA : Un lycée rouvert fait 46,81% au 1er tour au BEPC

Bogandé, 13 juin 2024 (AIB)-Après une année blanche pour cause de l’insécurité, le Lycée départemental de Bilanga, dans la province de la Gnagna rouvert cette rentrée scolaire 2023-2024, a réalisé un taux de réussite de 46,81% au premier tour du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC), session 2024, a appris l’AIB.

Sur les 94 candidats présents, 44 candidats ont été déclarés admis à la proclamation des résultats du 1er tour.

Une seule candidate a été ajournée et les 49 autres candidats sont autorisés à composer les épreuves écrites du second tour.

En rappel, après une année blanche du fait de l’insécurité, le lycée départemental de Bilanga a réouvert ses portes au bonheur des élèves .

Agence d’Information du Burkina
Oyé Ardjima Yempabou TINDANO

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