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Namentenga/Cohésion sociale : 72 heures d’activités communes pour briser les barrières civilo-militaires

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Namentenga/Cohésion sociale : 72 heures d’activités communes pour briser les barrières civilo-militaires

Boulsa, le 18 août 2024 (AIB)- Le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga, a présidé, ce dimanche 18 août 2024 à Boulsa, la finale du tournoi Maracaña des 72 heures d’activités de cohésion sociale, par le sacre de l’équipe des Forces combattantes (FC) contre celle des hôtes-personnes déplacées internes, par un but à zéro.

La finale du tournoi Maracaña des 72 heures d’activités de cohésion sociale, a eu lieu à Boulsa le dimanche 18 août 2024, par le sacre de l’équipe des forces combattantes contre celle des hôtes-personnes déplacées internes, par 1 but à 0.
Les activités qui ont marqué les 72 heures sont entre autres, un cross populaire, une séance aérobic, une plantation d’arbres, un Dassandaaga et des jeux de société.
« J’entends dupliquer dans la mesure du possible ce que j’ai vu dans ma localité», a fait savoir le chef du village de Noaka, commune de Pissila, province du Sanmatenga, Naaba Saaga.

Selon le haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga, ces 72 avaient pour objectif, d’accroitre d’une part la résilience des uns et des autres face à la crise sécuritaire et d’autre part, renforcer la cohésion sociale civilo-militaire et rendre un hommage bien mérité aux forces combattantes pour les résultats déjà engrangés sur le terrain.

« La lutte n’est pas encore terminée mais, au regard des avancées notables constatées, il est persuadé que la victoire sera incessamment célébrée », a indiqué M. Conseiga.

La finale du tournoi qui a drainé un grand monde au terrain a vu le sacre de l’équipe des forces combattantes contre celle des PDI et hôtes à la 7e minute de la 2e partie.
Le haut-commissaire a remercié le comité d’organisation, les parrains, les chefs coutumiers de Bouroum Naaba Sanem et Naaba Saaga de Noaka et toutes les généreuses personnes pour leurs contributions.

Agence d’information du Burkina
JBD/hb/bz

Sissili/Vaccination : Des acteurs de santé font le bilan de la campagne grand rattrapage

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Sissili/Vaccination : Des acteurs de santé font le bilan de la campagne grand rattrapage

Léo, (AIB)- Le district sanitaire de Léo a tenu, le mardi 13 août 2024 à Léo, une rencontre bilan de mise en œuvre de la campagne grand rattrapage vaccinal. C’était sous la présidence du haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia.

Le district sanitaire de Léo dans la région du Centre-Ouest, a initié le mardi 13 août 2024 à Léo, une rencontre bilan de mise en œuvre de la campagne grand rattrapage vaccinal avec les autorités et leaders d’opinions de la province de la Sissili.
Selon le responsable du Programme élargi de vaccination du district (Pev), Kassoum Babouan, la rencontre permettra de donner des orientations et faire le bilan de la campagne grand rattrapage vaccinal.

Il a indiqué que la crise sécuritaire depuis 2015 a impacté négativement les services de santé de façon générale et spécifiquement les services de vaccination à travers la faible voire la non réalisation de la stratégie avancée et de certaines activités de vaccination de routine au profit des enfants.

« Cette situation n’a pas permis à des milliers d’enfants de bénéficier des antigènes de leurs âges de sorte que beaucoup sont restés enfants zéro dose ou sous vaccinés », a-t-il indiqué.

Kassoum Babouan, a ajouté que face à la situation l’OMS, l’UNICEF et l’Alliance Gavi, ont lancé en 2023 l’initiative « Big Catch-Up » en français (Grand rattrapage).
De l’avis de Mr Babouan, l’objectif du grand rattrapage est de renforcer l’immunité des enfants contre les maladies évitables par la vaccination au Burkina Faso.

« Le grand rattrapage s’est déroulé du 12 au 18 juillet 2024 dans le district sanitaire de Léo. Il a concerné les enfants âgés de 24 à 59 mois et six types de vaccins sont utilisés au cours de cette campagne», a précisé le responsable PEV.
Selon lui, le Burkina est l’un des pays à avoir bénéficié des fonds CDS 3 pour ce grand rattrapage.

A l’entendre, cette opportunité a contribué au renforcement de l’immunité des enfants qui ont échappé à la vaccination au cours des cinq dernières années.
A l’en croire, la forte mobilisation et l’engagement de tous les acteurs du système de santé ont permis la réussite de l’activité.

Kassoum Babouan, a remercié Gavi et les Partenaires techniques et financiers pour leur accompagnement.
Le haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia, a traduit sa gratitude au district sanitaire de Léo pour le travail abattu et a salué la participation des uns et des autres aux échanges.

Agence d’information du Burkina
OAN/hb/bz

Passoré/Contrebande : Des cartouches de cigarettes d’une valeur de 4 millions 407 000 F CFA incinérées

BURKINA-PASSORE-JUSTICE-FRAUDE-CIGARETTES-INCINERATION

Passoré/Contrebande : Des cartouches de cigarettes d’une valeur de 4 millions 407 000 F CFA incinérées

Yako, 17 août 2024 (AIB)-Le Tribunal de grande instance (TGI) de Yako a incinéré, ce samedi 17 août 2024 à Yako, 678 cartouches de cigarettes non conformes à la réglementation d’importation, d’une valeur de 4 millions 407 000 F CFA, saisies par la Brigade territoriale de la gendarmerie de Yako, dans le cadre de ses missions de contrôle au Passoré.

Dans le cadre de ses missions de lutte contre le grand banditisme et de la protection des personnes et des biens dans la province du Passoré, la Brigade territoriale de la gendarmerie de Yako avait saisi une quantité importante de cigarettes prohibées des mains de contrebandiers.
678 cartouches de cigarette importées en violation des règles en vigueur ont été réduites en cendres, le samedi 17 août 2024 par le Tribunal de grande instance (TGI) de Yako, en présence des autorités administratives, militaires et paramilitaires de la province du Passoré.

Selon le Procureur du Faso, près le TGI de Yako, Lamine Kaboré, l’incinération du produit fait suite à une interpellation de contrebandiers ayant illégalement importé de la cigarette qu’ils transportaient sans doute vers les marchés du passoré.
Avant d’autoriser la destruction complète du produit saisi, l’autorité judiciaire, a rappelé le fondement juridique de l’activité notamment le Code des douanes sur l’importation de certain produit dont la cigarette.

Lamine Kaboré, a aussi informé qu’avant l’incinération, le tribunal avait déjà vidé sa saisie, à l’issue de laquelle une décision a été rendue, ordonnant ainsi la confiscation et la destruction des cigarettes saisies.
« Vous savez que les questions de contrebande sont souvent en lien avec les questions sécuritaires. Or, au regard du contexte dans lequel nous sommes, il est très important que ces questions soient traitées avec rigueur, selon la loi », a-t-il fait comprendre.

Pour M. Kaboré, lorsque les cigarettes sont importées en violation des règles, elles exposent les populations à des questions de santé et peuvent affecter négativement l’économie du pays.

En qualifiant cet acte d’incinération de symbole de lutte contre la contrebande et le terrorisme, le Procureur du Faso, près le TGI de Yako et le président de la délégation spéciale de la commune de Yako représentant le haut-commissaire du Passoré, Boukaré Zomodo, ont félicité et remercié les acteurs impliqués dans la saisie.

Ils ont invité la population à plus de vigilance et de collaboration avec les Forces de défense et de sécurité dans cette localité située dans la région du Nord, surtout dans un contexte où l’importation des produits prohibés et contrefaits rime avec le terrorisme.

En rappel, les cartouches de cigarettes prohibées et non conformes aux normes d’importation au Burkina Faso ont été saisies le 29 avril 2024 par la Brigade territoriale de la gendarmerie de Yako.

Agence d’information du Burkina
ZES/hb/bz

Léraba : La journée internationale de la jeunesse célébrée à Kankalaba

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Léraba : La journée internationale de la jeunesse célébrée à Kankalaba

Sindou, 17 août 2024 (AIB)- Le haut-commissaire de la province de la Léraba, Mahamadi Congo, a présidé, le samedi 17 août 2024, la cérémonie en différé de la journée internationale de la jeunesse dans la commune rurale de Kankalaba.

En prélude de la souscription du Burkina Faso à la résolution A/RES/54/120, adopté en 1998 à Lisbonne pour les jeunes, la direction provinciale en charge de la Jeunesse, a organisé en différé le samedi 17 août 2024 la Journée internationale de la jeunesse (JIJ).
Elle a été placée sous le thème : «Jeunesse, veille citoyenne et lutte contre l’insécurité au Burkina Faso».

« La journée a pour objectif d’encourager la veille citoyenne et la contribution des jeunes à la lutte contre l’insécurité et à la promotion de la cohésion sociale et du vivre ensemble dans la province de la Léraba», a souligné le directeur provincial en charge de la Jeunesse de la Léraba, Adama Konfé.

Les participants ont suivi une conférence sur le thème, dans la langue locale, procéB
dée d’une plantation d’arbres, d’une séance d’aérobic et d’une visite de l’exposition-vente des productions locales.

Selon le haut-commissaire de la province de la Léraba, Mahamadi Congo, la célébration provinciale de la JIJ se veut tournante dans la province par rapport au choix porté sur Kankalaba, commune rurale située à 16,8 km à l’Ouest de la commune urbaine de Sindou.

Pour le président de la jeunesse de Kankalaba, Dramane Traoré, la cérémonie est la preuve que les jeunes sont effectivement pris en compte dans le processus de développement du pays.
Mahamadi Congo a remercié les bonnes volontés qui ont contribué pour que la célébration soit une réalité.
Il a appelé la jeunesse à l’unité autour des objectifs de développement du Burkina Faso.

Tout en recevant le flambeau, le président de la délégation spéciale de la commune rurale de Ouéléni, Salif Sandwidi, a pris l’engagement de réussir à son tour la cérémonie en 2025.
Agence d’information du Burkina
MK/hb/bz

Nayala : une association plante 100 arbres et offre 25 fourneaux aux PDI de Toma

Nayala : une association plante 100 arbres et offre 25 fourneaux aux PDI de Toma

Toma, 18 août 2024(AIB)-L’Association « KA WA YOO » a remis 25 foyers améliorés aux personnes déplacées internes (PDI) de la commune de Toma et a mis en terre 100 pieds d’arbres, le 13 août 2024.

Dans le cadre de ses activités, l’association « KA WA YOO » a planté 100 arbres le long des axes routiers de la ville de Toma. Elle a également offert 25 foyers améliorés aux personnes déplacées internes (PDI) de la ville.

Selon le président de l’association, Raoul Baba Toé, cette initiative s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la déforestation, conformément aux objectifs du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

Le deuxième vice-président de la délégation spéciale de la commune de Toma, Donatien Paré, a assuré que le don permettra aux bénéficiaires d’économiser le bois de chauffe, une préoccupation majeure dans sa commune depuis un certain temps.

Pour sa part, le Haut-Commissaire de la province, Honoré Frédéric Paré, a salué l’initiative de l’Association « KA WA YOO ». Il a invité la centaine de femmes à qui l’association a par ailleurs remis un arbre à ne ménager aucun effort pour l’entretenir.

À noter que la séance de reboisement a bénéficié de l’accompagnement technique de la direction provinciale en charge de l’environnement du Nayala.
Agence d’information du Burkina
ATK/yos/ata

Burkina : La ministre Nandy Somé salue le dévouement des acteurs humanitaires

Burkina : La ministre Nandy Somé salue le dévouement des acteurs humanitaires

Ouahigouya, 18 août 2024 (AIB)-La ministre de l’Action humanitaire, Nandy Somé/Diallo, accompagnée de la coordonnatrice résidente du système des Nations Unies au Burkina Faso, Carol Flore, ont salué vendredi l’engagement des acteurs humanitaires pour protéger et sauver des vies.

C’est sous le thème « Agir pour l’humanité » que s’est tenue la Journée mondiale de l’aide humanitaire 2024.

Pour l’occasion, madame la ministre de l’Action humanitaire, Nandy Somé/Diallo, accompagnée de la coordonnatrice résidente du système des Nations Unies, a séjourné le vendredi 16 août 2024 dans la cité de Naaba Kango. L’objectif était d’échanger avec l’ensemble des acteurs intervenant dans le domaine de l’humanitaire.

Pour madame la ministre de l’Action humanitaire, Nandy Somé/Diallo, « la Journée mondiale de l’aide humanitaire est un moment pour saluer et magnifier le travail des acteurs humanitaires et surtout pour rendre hommage à tous ces humanitaires qui ont donné leur vie pour sauver et protéger d’autres vies. La présente journée est l’occasion pour moi de réaffirmer ma reconnaissance à l’ensemble des partenaires qui n’ont cessé de soutenir les efforts du gouvernement dans l’esprit de la solidarité nationale. J’invite tous les partenaires à s’inscrire en droite ligne avec les orientations du gouvernement dans l’objectif de repenser les stratégies et les interventions afin d’accorder une plus grande priorité à l’autonomisation et à la résilience des populations. »

Au cours de la cérémonie, un clin d’œil a été fait à l’ensemble des acteurs humanitaires à travers une visite guidée des stands.

Selon la coordonnatrice résidente du système des Nations Unies au Burkina, Carol Flore, « Dans une action conjuguée, soutenue par une planification conjointe et une coordination efficace avec le gouvernement, les partenaires humanitaires ont pu assister plus de 2,9 millions de personnes en 2023 dans différentes régions du pays et dans plusieurs secteurs. Au cours des trois premiers mois de cette année, plus de 700 000 Burkinabè ont été assistés par les acteurs humanitaires. La réponse humanitaire contribue à sauver des vies et à alléger les souffrances immédiates, à moyen et à long terme. Nous devons investir davantage dans des actions concrètes qui renforcent et façonnent la résilience au sein des familles et des communautés. »

Pour répondre aux besoins du moment, madame Carol Flore a invité l’ensemble des acteurs humanitaires et les autorités à renforcer davantage les mécanismes qui permettent de donner aux personnes vulnérables assistées les capacités de produire par elles-mêmes les moyens de subsistance afin de construire leur propre avenir.

Prenant la parole au nom des ONG nationales, madame Gladys Sawadogo/Ouédraogo a d’abord salué les efforts consentis par le gouvernement burkinabè et l’ensemble des acteurs humanitaires pour répondre aux urgences actuelles.

« La situation humanitaire que traverse le Burkina Faso nous engage à travailler dans une synergie d’actions et de mutualisation des moyens pour arriver à une réponse efficace et efficiente dont a besoin la communauté affectée par la crise humanitaire. Il faut un renforcement des capacités des acteurs nationaux, des ONG et des services techniques du gouvernement afin de permettre une véritable appropriation des mécanismes de prévention et de réponse aux crises humanitaires », a souligné madame Sawadogo.

En rappel, la Journée mondiale de l’aide humanitaire a été créée en 2008 par l’Assemblée générale des Nations Unies. Cette commémoration intervient le 19 août de chaque année pour rendre hommage aux victimes de l’attentat contre l’hôtel Canal à Bagdad, survenu le 19 août 2003, qui a fait 22 morts, dont le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies pour l’Irak, Sergio Vieira de Mello.

Agence d’Information du Burkina
BB/ata

Autonomisation économique des jeunes de Sabcé : Bissa Gold forme et équipe des producteurs de volaille locale

Autonomisation économique des jeunes de Sabcé : Bissa Gold forme et équipe des producteurs de volaille locale

Kongoussi, 18 août 2024(AIB)-La Société minière Bissa Gold SA a organisé une cérémonie de remise de matériel d’aviculture le 15 août 2024 au profit d’une coopérative d’aviculteurs de la commune de Sabcé, qui avait été préalablement formée et dont les membres sont issus des populations impactées par les activités de Bissa Gold. C’est le premier vice-président de la délégation spéciale de Sabcé, François Xavier Sawadogo, qui a présidé la cérémonie dans l’enceinte de la mairie.

Ce sont 50 aviculteurs, dont 10 femmes, regroupés en coopérative, qui ont été formés en élevage de volaille locale par la mine de Bissa Gold.

Selon le gérant du cabinet chargé de la formation, Pengwendé Roger Ilboudo, les 50 apprenants ont été formés en quatre jours sur la conduite de la volaille, la gestion des poussins, la gestion des œufs, l’incubation et la prophylaxie.

Il s’est dit satisfait du niveau des apprenants à l’issue de la séance.

« Nous avons apporté du matériel pour la volaille composé d’abreuvoirs, de mangeoires et d’aliments pour volaille au profit des 50 membres de la coopérative de Sabcé identifiée par Bissa Gold. La formation s’est bien déroulée et je suis très satisfait du niveau des apprenants », a-t-il indiqué.

Le représentant des membres de la coopérative, Soumaïla Sawadogo, a exprimé sa joie et celle de la coopérative envers Bissa Gold et la commune de Sabcé.

Pour lui, la formation et l’accompagnement en matériel permettront à la coopérative de booster la production de volaille locale à Sabcé.

Le représentant de Bissa Gold, Rasmané Ouédraogo, a invité les membres de la coopérative « à s’approprier l’activité en suivant les caractéristiques techniques qui leur ont été inculquées durant la formation ».

Selon lui, le choix de l’aviculture a été motivé par les techniciens du domaine, qui ont rassuré la mine et la commune de Sabcé que c’est un métier d’avenir qui nourrit son homme.

« C’est pour favoriser l’autonomisation économique des jeunes de la commune que nous avons initié cette formation. Vous savez très bien que la mine ne peut pas embaucher tout le monde. Et comme nous sommes conscients que les jeunes n’ont pas toujours de travail, nous avons initié ce type de formation pour faciliter leur insertion professionnelle », a-t-il expliqué.

En rappel, ce sont au moins cinq communes du Centre-Nord qui ont été impactées par Bissa Gold, et toutes bénéficient du même accompagnement chaque année.

Agence d’information du Burkina

Asmado RABO

La Biélorussie enregistre de 30 à 40 vols d’avions de reconnaissance de l’Otan par semaine

SÉCURITÉ: BIÉLORUSSIE-OTAN-FRONTIÈRE-VOLS

La Biélorussie enregistre de 30 à 40 vols d’avions de reconnaissance de l’Otan par semaine

MINSK, 18 août. /TASS/. La Biélorussie enregistre toutes les semaines de 30 à 40 vols d’avions de reconnaissance des pays de l’Otan à ses frontières et jusqu’à 30 vols d’avions tactiques par jour, a annoncé le commandant de l’armée de l’air et de la défense antiaérienne du pays, Andreï Loukianovitch, sur la chaîne de télévision biélorusse STV.

« Des vols d’avions de reconnaissance, que nous enregistrons quotidiennement, 30-40 par semaine, avec tout l’arsenal dont disposent les pays de l’Otan. Nous [constatons] également un nombre important de vols de l’aviations tactique. Jusqu’à 30 vols par jour, voire de 40 à 50 lors d’exercices avec entraînement à la tactique de frappes contre la région de Kaliningrad [la plus occidentale de Russie] et la Biélorussie. »

Selon lui, « il y a encore en mer Baltique et en Méditerranée des porteurs de missiles de croisière dont les munitions dépassent les 600 missiles capables d’atteindre des cibles sur le territoire de la Biélorussie ». Andreï Loukianovitch a évoqué aussi la modernisation en cours de l’ensemble des infrastructures militaires des pays de l’Otan voisins de la Biélorussie. « En ce qui concerne la Pologne et les pays baltes, cinq aérodromes, deux bases navales et six polygones d’entraînement ont déjà été modernisés. » Des armes de frappe modernes et des matériels militaires spéciaux de fabrication américaine et sud-coréenne sont fournis à la Pologne. « Des chars Abrams, des chars K2 Black Panther. Et dans un proche avenir, la Pologne prévoit de se faire livrer par les États-Unis 32 avions F-35 et 96 hélicoptères d’attaque Apache », a déclaré le commandant.

Avec TASS

Variole du singe : Le Burkina met en alerte toutes ses formations sanitaires

Variole du singe : Le Burkina met en alerte toutes ses formations sanitaires

Ouagadougou, 18 août 2024(AIB)-Suite à la recrudescence de la variole du singe en Afrique, le Burkina Faso qui n’enregistre pour l’instant aucun cas confirmé, a cependant décidé suivant le protocole requis, de mettre en alerte toutes ses formations sanitaires à tous les niveaux de la pyramide sanitaire. Cette mesure va permettre de diffuser des directives sur la variole du singe afin de détecter précocement tout cas suspect, selon un communiqué transmis dimanche soir à l’AIB.

« La variole du singe est une maladie virale dont les symptômes courants sont une éruption cutanée (des boutons, des bulles, des cloques qui se localisent principalement sur le visage, les mains et les pieds) accompagnée de fièvre, de maux de tête, de douleurs musculaires et dorsales, d’un manque d’énergie et d’un gonflement des ganglions lymphatiques.

Elle se transmet de l’animal malade à l’homme et entre les humains. La maladie évolue favorablement si elle est bien traitée », lit-on dans un communiqué signé dimanche par le ministre de la Santé Lucien Robert Kargougou.
Agence d’information du Burkina

Fanta Jolie Mousso se dit séduite par les peintures murales du Nahouri pour leur authenticité

Burkina-Tourisme-Promotion

Fanta Jolie Mousso se dit séduite par les peintures murales du Nahouri pour leur authenticité

Ouagadougou, 18 août 2024 (AIB) – Fanta Jolie Mousso, Burkinabè depuis trois ans et très active sur les réseaux sociaux, aime les peintures sur les murs des concessions kassena, notamment les murs de la cour royale de Tiébélé ou de la case-refuge de Binger particulièrement pour leur authenticité et leur naturel.

Invitée à prendre part à la tournée touristique au Nahouri, organisée les 17 et 18 août par le ministre en charge du Tourisme, elle s’est dit impressionnée par les courbes et les couleurs des décors qui ornent les murs de la cour royale de Tiébélé et la «case de Binger»

Elle pense que la Cour royale de Tiébélé qui vient d’être inscrite au patrimoine universel de l’Unesco est très attractive du fait que les peintures sont authentiques et traditionnelles, dans un monde il y a «trop de modernité»

«Beaucoup de gens recherchent ce qui traditionnel, original», a-t-elle dit depuis le site de la ‘‘case de Binger’’ dans le village de Tiakané, à 7 kilomètre à l’ouest de Pô.
Elle a promis de diffuser sur ses réseaux les images qu’elle a capturées de cette excursion touristique au Nahouri et espère que beaucoup d’autres yeux s’émerveilleront à la vue des images des peintures murales kassena

Agence d’Information du Burkina
CK/ata

Centre-Sud : Des membres du gouvernement et les journalistes au sommet du Pic Nahouri

Burkina-Tourisme-Promotion

Centre-Sud : Des membres du gouvernement et les journalistes au sommet du Pic Nahouri

Ouagadougou, 18 août 2024 (AIB) – Le ministre en charge du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo, à la tête d’une délégation gouvernementale et des professionnels des médias ont affronté l’escalade du Pic du Nahouri, haut de 447m, ce dimanche, bouclant deux jours de tournée touristique dans la province du Nahouri.

Partis tôt de la ville de Pô, dans le cadre la promotion du tourisme interne, les membres du gouvernement, la gouverneure du Centre-Sud, les autorités administratives locales et quelques 45 femmes et hommes des médias mais également des influenceurs et des personnes ressources, ont pris part à l’escalade du Pic de Nahouri situé à 7km à l’est de Pô.

D’une centaine de personnes au pied de la colline, certains se sont contentés des brochettes et de la boisson en vente sur le site. D’autres ont atteint le niveau qu’ils se sont fixés pour faire des photos souvenirs. Mais pour les plus endurants, la partie de plaisir s’est poursuivie jusqu’au sommet qui domine la province au-delà de la frontières avec le Ghana.

La gouverneure de la région du Centre-Sud Massadalo Yvette Nacoulam/Sanou et la secrétaire générale adjointe du ministère de la Communication, de la Culture, des Arts et du tourisme, Adama Segda Première jumelle se sont faufilées entre les passages étroits pour admirer la province du Nahouri de son plus haut sommet.

Les plus prompts à atteindre l’arrivée ont reçu des prix d’encouragement mis en jeu par le ministre d’Etat, ministre de la communication du tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo. Aucun incident n’a été signalé lors de l’escalade.
Après une visite de courtoisie chez le Nahouri-Pê, le chef du village, les autorités et les participants ont regagné Pô pour un déjeuner commun, puis Ouagadougou dans l’après-midi.

La veille, les participants ont visité la Cour royale de Tiébélé, désormais patrimoine de l’humanité et la case-refuge de Louis Gustave Binger dans le village de Tiakané, à 7 kilomètre à l’ouest de Pô.

Cette excursion dans la province du Nahouri s’inscrit dans le cadre de la grande saison touristique, une initiative des autorités burkinabè pour promotion le tourisme interne face aux pénuries constatées de touristes étrangers depuis la crise du Covid et accentuée par la crise terrorisme dans le Sahel.

Le ministre Ouédraogo a invité les résidents burkinabè a y faire un tour, en groupe d’amis, en camarades de travail ou en famille en cette période de vacances.

Agence d’Information du Burkina
CK/ata

Mouhoun : Les défenseurs de la Transition mettent un cadre de veille citoyenne à Bondokuy

Burkina-Transition-Soutien

Mouhoun : Les défenseurs de la Transition mettent un cadre de veille citoyenne à Bondokuy

Solenzo, 18 août 2024 (AIB)- Les « Wayiyans » de la commune de Bondokuy, commune située à 100 km de Dedougou, ont lancé leur veille citoyenne le 15 août dernier, en présence de plusieurs habitants mobilisés pour la circonstance.

Gédéon Tamboé, le coordonnateur communal du mouvement « Ma Patrie ou Rien » a confié que les activités de la veille citoyenne sont lancées afin de soutenir la Transition.

«Je voudrais demander une minute de silence en la mémoire de tous les Héros tombés pour la défense de la patrie, a-t-il dit dès l’entame. «Les objectifs de notre mouvement sont d’accompagner les FDS et VDP, d’adopter une communication de guerre pour soutenir nos braves FDS et VDP et aussi cultiver la cohésion et une franche collaboration entre les habitants de Bondokuy et les FDS et VDP», a ajouté M. Tamboé.

Il a rappelé que la commune de Bondokuy a connu ses premières attaques terroristes les 5 et 6 septembre 2022, occasionnant depuis lors, un déplacement d’honnêtes citoyens.

«Bondokuy renaît de ses cendres et grâce à la détermination des forces combattantes sous le leadership de notre président le capitaine Ibrahim Traoré et pourquoi ne pas soutenir», a ajouté le coordonnateur communal du mouvement Ma Patrie ou Rien.

À tour de rôle les personnes invitées ont prononcé des allocutions en interpellant les jeunes à plus de vigilance.

«Les jeunes, adhérez aux mouvements de la veille citoyenne en vous comportant tous comme des FDS ou VDP. Restez toujours en vieille pour contrecarrer le plan de l’ennemi dans la commune de Bondokuy en particulier et celle de la région de la Boucle du Mouhoun en général, a lancé Gnilé Tamini, fonctionnaire à la retraite à Bondokuy.

Un rond-point avec des pneus est érigé en guise de site de la permanence, d’où l’on peut voir les drapeaux du Burkina Faso, du mali, du Niger et de la Russie. C’est donc désormais à cet endroit que les wayiyans de la commune vont se retrouver chaque nuit pour leur veille.

Un partout dans tous les centres urbains et les centres secondaires, des acteurs de tous les âges se sont organisés pour veiller sur la bonne marche de la Transition.

Agence d’Information du Burkina
SO/ck

Rentrée sportive : l’US forces armées sort l’artillerie lourde pour la prochaine saison

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Rentrée sportive : l’US forces armées sort l’artillerie lourde pour la prochaine saison

Ouagadougou, 18 août 2024 (AIB) – La formation de l’Union sportive des forces armées (USFA) a mis les moyens dans le recrutement de cette année, avec les arrivées de plusieurs étrangers dans son effectif afin de « jouer les premiers rôles » à la prochaine saison qui va bientôt commencer.

La formation militaire a fait la présentation de ses nouvelles recrues ce samedi à Ouagadougou. En plus de l’arrivée de l’expérimenté coach ivoirien Monguéhi Guehi François, l’USFA a recruté 11 joueurs de « premier plan » dont 2 Ivoiriens (attaquant et gardien de but) et un attaquant malien.

« Nous avons trois objectifs majeurs : améliorer la structuration du club, donner une identité à l’USFA qui va perdurer dans le long terme. Le 3e objectif est sportif et pour le moment comme on est en préparation on va attendre de la finir avant de fixer les objectifs concrets. Avec le travail qu’on est entrain de faire, forcément on va jouer les premiers rôles », a expliqué le Secrétaire général (SG) de l’USFA, le capitaine Issouf Zongo.

Le SG de l’USFA, le capitaine Issouf Zongo (droite) posant avec le nouvel entraineur de l’USFA Monguehi Guehi

Justifiant le choix cette saison du coach ivoirien, le SG fait savoir que « quand vous regarder le CV (curriculum vitae) de l’entraineur, il a fait beaucoup de pays africains. Il a donc joué beaucoup de compétitions et cela est un avantage pour nous ».

Le capitaine Zongo a expliqué parce que « on compte devenir un club africain qui va être présent dans les championnats africains. Ce profil était nécessaire pour nous. Le 2e critère c’est son ancienneté parce qu’on avait besoin de quelqu’un qui a la sagesse, qui a le recul nécessaire pour bâtir une bonne équipe ».

L’USFA a pioché dans la sous-région pour étoffer son effectif et être plus solide. « On a recruté un attaquant ivoirien en plus du gardien de but qui sont des joueurs de premier plan. Le Malien vient de la Mauritanie (il a été 2e meilleur buteur la saison passée avec l’AS Police de la Mauritanie). Avec eux on espère passer un nouveau palier. On veut bâtir une équipe de concurrence », a mentionné le SG de l’USFA.

Le nouvel entraineur de l’USFA Monguéhi Guéhi François, ex international ivoirien veut jouer la prudence parce que l’équipe a frôlé la relégation la saison dernière. « Je suis entrain de prendre le pool de l’équipe donc je ne vais pas trop m’avancer. Après 4 ou 5 journées on pourra parler. Notre objectif c’est de faire mieux que l’année passée. On veut se maintenir et voir la suite ».

Le nouveau staff de l’USFA cette saison

Ce qui a convaincu le coach à la licence A CAF de venir à l’USFA c’est que « les joueurs, c’est qu’ils sont réceptifs, attentifs et ils veulent apprendre. Les supporteurs aiment venir au terrain ».

Le capitaine de l’USFA Maxim Ouattara est dans la même logique que son coach. « Nous voulons mieux faire que l’année dernière. Le nouveau staff travaille bien dans l’ambiance, la convivialité et on espère qu’on va continuer jusqu’au bout », a-t-il dit.

En tous les cas le mot d’ordre chez les anciens et supporteurs de l’USFA cette saison « c’est le titre ».

La nouvelle tête pensante de l’USFA qui avait déjà entrainé l’EFO, n’a donné ni le montant de son transfère encore moins le nombre d’année de contrat.

Liste des nouveaux joueurs de l’USFA

Modibo Touré (attaquant malien), Sékou Junior Diabaté (milieu), Mikailou Diallo (milieu relayeur), Cheick Guel (milieu défensif), Ezékiel Tra-Bi (attaquant venat du stade d’Abidjan), Fénidié Yéo (Racing club d’Abidjan), Ousséni Demian (défenseur), Mamadou Coulibaly, Naon Abdoul Latif (attaquant), Noufé Sié (milieu), Patrick Malo (défenseur)
Agence d’information du Burkina
as/ata

Banwa : La délégation spéciale de la commune de Kouka rend visite aux agriculteurs

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Banwa : La délégation spéciale de la commune de Kouka rend visite aux agriculteurs

Solenzo, (AIB) – Les membres de la délégation spéciale de la commune de Kouka située à près de 45 km de Solenzo ont effectué une visite dans les champs le samedi 17 août afin d’encourager les paysans et toucher du doigt les réalités des producteurs.

Selon le président de la délégation spéciale de Kouka,Raymond Ilboudo, cette tournée vise à constater l’évolution des travaux champêtres.

Pour M. Ilboudo, l‘initiative pour l’autosuffisance alimentaire lancé par le président du Faso se déroule bien dans la commune de Kouka. Selon lui, dans le cadre de cette initiative, la commune de Kouka produit 5 hectares de maïs et 30 hectares de riz.

« Actuellement, c’est l’épandage de l’engrais pour donner une bonne physionomie des plants et espérer de très bonnes récoltes », a-t-il constaté.

De son avis, 25 à 30 tonnes de maïs et 150 tonnes de riz sont attendues à la fin de cette campagne agricole.

La situation sécuritaire un peu stable dans la commune de Kouka a permis aux paysans de démarrer les travaux champêtres.

Agence d’information du Burkina

SO/dnk/ata

Niger : Le président Tiani change de ministre du Pétrole

Niger : Le président Tiani change de ministre du Pétrole

Ouagadougou, 17 août 2024(AIB)- Le président de la République du Niger, le général de brigade Abdourahamane Tiani, a nommé samedi, Sahabi Oumarou, ministre du Pétrole.

Sahabi Oumarou remplace Barké Bako Mahaman Moustapha, membre du premier gouvernement de la Transition formé le 9 août 2023, composé de 21 ministres.
Agence d’information du Burkina avec ANP

Burkina : les recrutements sur mesures nouvelles se feront désormais par une commission interministérielle, Resp

Burkina : les recrutements sur mesures nouvelles se feront désormais par une commission interministérielle, Resp

Ouagadougou, 17 août 2024 (AIB) – Le ministre de la Fonction publique, Bassolma Bazié, a annoncé la levée de la suspension de la planification et des recrutements sur mesures nouvelles ordinaires et spéciales.

Dans une circulaire datée du 8 août 2024, il précise que durant la suspension, le gouvernement a pris les dispositions nécessaires afin de garantir le droit d’accès aux emplois publics, sans distinction aucune, à tout Burkinabè remplissant les conditions requises pour chaque emploi postulé.

« Désormais, les opérations de planification des recrutements sur mesures nouvelles ordinaires et spéciales se feront par une commission interministérielle créée par le Chef du Gouvernement », a ajouté Bassolma Bazié.

M. Bazié indique que la suspension avait été décidée en avril 2022 en raison de certains manquements préjudiciables à l’image du service public constatés dans la mise en œuvre de cette modalité d’accès aux emplois de la Fonction publique.

En rappel, au Burkina, certains ministères au regard de leurs besoins particuliers ou pressants, sont autorisés à recruter du personnel, en dehors de la période des concours directs, organisés annuellement par le ministre de la Fonction publique.

Mais depuis quelques années, les recrutements sur mesures nouvelles sont souvent décriés pour leur supposé manque de transparence et d’équité.
Agence d’information du Burkina
ATA/bz

Burkina : Des forces de sécurité outillées pour mieux faire face à la criminalité

Burkina : Des forces de sécurité outillées pour mieux faire face à la criminalité

Ouagadougou, 17 août 2024 (AIB) – Le ministère de la Sécurité a lancé samedi au camp Paspanga un séminaire de renforcement des capacités des forces de sécurité, qui consistera à l’analyse du renseignement criminel et à outiller les forces de sécurité intérieure face à l’évolution rapide des agressions en zones urbaines.

Le colonel-major Coulibaly Tuandaba, désigné comme l’un des principaux facilitateurs de ce séminaire, a insisté sur la nécessité d’introduire des méthodes d’enquête plus élaborées et une approche plus ciblée des problèmes criminels dans les zones urbaines où les actes de violence extrême deviennent de plus en plus fréquents.

La cérémonie d’ouverture s’est tenue à la salle Norbert Zongo du camp Paspanga le samedi 17 août au matin, au profit des Officiers de Police Judiciaire (OPJ) de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale.

« Cette formation fait suite aux instructions du ministre de la Sécurité, visant à perfectionner les capacités des OPJ en matière de renseignement opérationnel », a déclaré le lieutenant-colonel Issa Yaguibou.

Selon lui, les résultats obtenus jusqu’à présent par les forces de sécurité sont certes encourageants, mais une amélioration continue est nécessaire pour répondre aux nouvelles formes de criminalité, notamment celles liées au terrorisme.

« Ce séminaire en matière d’analyse de renseignements criminels au profit des officiers de police judiciaire va les remettre à niveau et surtout leur permettre de conduire avec succès les enquêtes », a affirmé le colonel-major Tuandaba.

Pour lui, cette rencontre se veut un moment privilégié pour permettre aux OPJ de se ressourcer, d’acquérir de nouvelles compétences et de partager leurs expériences.

À travers cette initiative, les autorités espèrent apporter des solutions plus durables aux défis sécuritaires croissants du Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina
OSA/ata

Ouverture à Casablanca des Championnats d’Afrique d’E-Sports, une première

Ouverture à Casablanca des Championnats d’Afrique d’E-Sports, une première

Ouagadougou, 17 août 2024(AIB)-Le Championnat Africain d’eSports, s’est ouvert samedi à Casablanca et ce jusqu’au 21 août 2024, a-t-on appris.

La ville se transformera en véritable capitale de l’eSport africain, accueillant les meilleurs athlètes du continent prêts à s’affronter pour l’honneur de leur nation et une place tant convoitée aux Championnats du Monde d’eSports à Riyad en novembre prochain.

L’événement débutera en grande pompe avec une cérémonie d’ouverture spectaculaire le 16 août au Complexe Sportif Mohammed V. Ce sera le prélude à une série de compétitions intenses qui verront plus de 180 athlètes de 17 pays s’affronter dans cinq catégories : CS2 Open, CS2 Women, MLBB Open, MLBB Women et PubG Mobile. Ces talents exceptionnels mettront en lumière non seulement leurs compétences individuelles, mais aussi la montée en puissance de l’eSport en Afrique.

L’accès à ce championnat inédit est gratuit. Pour assister à cet événement historique, inscrivez-vous dès maintenant sur : https://bitly.cx/yCn0V.

L’eSport est en pleine expansion à l’échelle mondiale, et c’est maintenant au tour de l’Afrique de s’imposer sur la scène internationale. L’AEC24, en tant que premier championnat d’eSports hors ligne sur le continent, marque un tournant décisif, révélant la passion, le talent et le potentiel immense de l’eSport africain. Cet événement historique offre une vision claire de l’avenir radieux qui attend cette discipline sur notre continent.

La Confédération Africaine des Sports Digitaux (ACDS) joue un rôle fondamental dans l’unité du continent autour de l’eSport. En organisant cette première compétition panafricaine, l’ACDS renforce les liens entre les nations africaines et met en avant la force collective de la communauté eSportive africaine. Cet événement est bien plus qu’une simple compétition ; c’est une célébration de la solidarité africaine, de l’innovation et du potentiel incroyable de l’eSport en Afrique.

Alors que les meilleures équipes s’apprêtent à en découdre à Casablanca, cet événement promet d’être gravé dans les mémoires et de tracer la voie pour d’autres rendez-vous tout aussi excitants sur le continent. Rejoignez-nous pour célébrer ce moment exceptionnel pour l’eSport africain. Préparez-vous à vivre un tournoi qui rapprochera encore davantage la communauté de l’eSport et marquera un chapitre important de son histoire.
AIB avec MAP

La Confédération Africaine des Sports Digitaux (ACDS) en un mot
La Confédération Africaine des Sports Digitaux (ACDS) est l’organe unificateur de l’eSport en Afrique. Fondée en juin 2023, l’ACDS compte aujourd’hui 46 fédérations membres réparties à travers le continent. Elle a pour mission de promouvoir et de développer les sports numériques en Afrique, en rassemblant les fédérations membres pour favoriser l’unité et la coopération à travers des initiatives et des compétitions panafricaines. L’ACDS s’efforce de créer un écosystème eSportif durable et responsable en Afrique, jouant un rôle central dans l’élaboration des normes et des pratiques de gouvernance de l’eSport sur le continent.

Agence d’Information du Burkina

Yatenga : Deux structures associatives reverdissent la nature à Ouahigouya

Yatenga : Deux structures associatives reverdissent la nature à Ouahigouya

Ouahigouya, 17 août 2024 (AIB) – L’association Action Peace and Development (AP2D), en collaboration avec l’association Yam-WEKRE, a organisé une journée de reboisement au Centre d’écoute et de dialogue pour jeunes, le samedi 17 août 2024 à Ouahigouya.

La commémoration en différé de la Journée nationale de l’arbre (JNA), tenue le samedi 13 juillet 2024 à Ouahigouya, dans la région du Nord, et marquant également le lancement de la campagne régionale de reforestation, continue de susciter une grande mobilisation.

L’association Action Peace and Development (AP2D), en collaboration avec l’association Yam-WEKRE, vient de répondre à l’appel des autorités par une journée de reboisement dans la cité de Naaba Kango.

Hommes, femmes et enfants ont tous répondu à l’appel des responsables des deux associations.

Le président de l’association AP2D, Issouf Ouédraogo, a expliqué l’esprit de l’initiative.

« Cette journée de reboisement s’inscrit en droite ligne de l’appel des autorités de la transition, invitant les fils et filles de la nation à mener des actions citoyennes. Et la forte mobilisation de la population montre que le message des autorités a été bien reçu. Nous invitons la population de la région du Nord, surtout la jeunesse, à l’union autour de la vision des autorités pour le retour de la paix au Burkina Faso », a expliqué Issoufou Ouédraogo.

« Nous avons décidé d’unir nos forces avec l’association AP2D en cette journée de reboisement, qui est un acte patriotique, ce que les autorités de la transition louent chaque jour », a laissé entendre le porte-parole de l’association Yam-WEKRE, Harouna Kiémdé.

L’assistant des Eaux et Forêts, Fabrice Dabiré, après avoir passé en revue les techniques pour réussir la plantation, a invité les populations à prendre toutes les dispositions nécessaires pour l’entretien des arbres plantés.

Il précise : « Planter, c’est bien, mais entretenir, c’est mieux. Donc, j’invite chacun à bien entretenir ces arbres plantés. »

En marge de cette journée de reboisement, plus de 200 plants ont été offerts à différentes structures de la région. Les forces de défense et de sécurité, ainsi que les VDP, ont reçu 80 plants.

Au total, 60 plants d’espèces différentes ont été mis en terre sur le site du Centre d’écoute et de dialogue pour jeunes de Ouahigouya.

Agence d’information du Burkina
BB/ata

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