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Burkina/Transactions financières: Le premier ministre invite les Burkinabè à s’approprier la plateforme de paiement FASO ARZEKA

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Burkina/Transactions financières: Le premier ministre invite les Burkinabè à s’approprier la plateforme de paiement FASO ARZEKA

Ouagadougou, 30 janv. 2025 (AIB)-Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a invité, jeudi, les Burkinabè à s’approprier la nouvelle plateforme nationale de paiements numériques « FASO ARZEKA », en langue mooré qui signifie richesse, afin d’éviter les risques liés aux transactions financières dans le cadre de l’acquittement de leurs impôts, taxes et autres droits.

« Je vous invite à vous en approprier afin de vous épargner les longues distances et les risques liés à vos transactions financières dans le cadre de l’acquittement de vos impôts, taxes et autres droits », a déclaré le chef du gouvernement burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.Pour lui, la plateforme « FASO ARZEKA », va ouvrir une nouvelle ère de modernisation et de transparence au Burkina Faso.

Le premier ministre Ouédraogo, s’exprimait jeudi à Ouagadougou, lors de la cérémonie de lancement officiel de « FASO ARZEKA », la plateforme de paiements numériques de l’administration publique.«Plus qu’une plateforme technologique, FASO ARZEKA représente un changement profond dans notre manière de concevoir le service public et de servir nos concitoyens », a-t-il indiqué.

Le chef du gouvernement burkinabè a précisé que le processus de conception de la plateforme qui est entièrement local, illustre la capacité à trouver des solutions innovantes et adaptées à la réalité du Burkina Faso.

« En intégrant les technologies innovantes, elle nous permet non seulement de sécuriser nos ressources, mais aussi de promouvoir la transparence, la simplicité et la proximité avec nos citoyens, consolidant ainsi les bases d’une économie résiliente et inclusive », a soutenu Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.Dans le contexte actuel, a-t-il mentionné, le numérique est une aubaine pour garantir la prospérité de notre pays.

« Puisse cette plateforme, à l’instar des autres déjà opérationnelles, incarner cette révolution numérique qui transformera la gestion des finances publiques et assurera l’indépendance économique à notre pays », a souhaité le premier ministre.Il a exhorté les acteurs de l’administration financière à adopter la plateforme comme un outil de travail dans leur mission de mobilisation des ressources propres du pays.

Le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique, Bruno Raymond Bamouni, a expliqué que « FASO ARZEKA » est une plateforme numérique unique pour tout paiement au profit de l’administration centrale, des collectivités territoriales et des établissements publics de l’Etat.«Cette plateforme de paiements numériques multicanal de l’administration publique du Burkina Faso, dédiée au recouvrement des recettes publiques est interconnectée à toutes les plateformes monétiques, mobile money et virements bancaires », a-t-il ajouté.M. Bamouni a poursuivi que le gouvernement a entrepris le développement et l’implémentation de la plateforme nationale « FASO ARZEKA », afin de renforcer la dynamique de digitalisation en cours au Burkina Faso.

« FASO ARZEKA » est une nouvelle plateforme nationale de paiements numériques, accessible sur https://my.fasoarzeka.bf et téléchargeable sur App store et Play store ou via un téléphone basique, à partir de la syntaxe USSD unique *700# et par appel téléphonique sur le serveur vocal interactif 700.Elle est interconnectée aux plateformes Mobile Banking et Mobile Money existantes pour le transfert d’argent et les paiements, y compris GIM-UEMOA, VISA et Mastercard.Les modes de paiements implémentés sont entre autres, par Orange Money, Moov Money, par chèque et par cash.Elle est disponible sur l’ensemble du territoire burkinabè en version Web, Android, IOS, USSD et bientôt Point de Service.

Agence d’information du Burkina

HB/no/bz

Nahouri/Insécurité : La police nationale remet 09 motos volées à leurs propriétaires

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Nahouri/Insécurité : La police nationale remet 09 motos volées à leurs propriétaires

Pô, (AIB)-La police nationale du Nahouri, a remis ce mercredi 29 janvier 2025 à Pô, dans la province du Nahouri, 09 motos volées à leurs propriétaires. Ces motos ont été saisies lors des contrôles de police.

09 motos volées à Ouagadougou et saisies par la police nationale du Nahouri au cours des contrôles de police, ont été remises à leurs propriétaires ce 29 janvier 2025 dans la cour de la direction provinciale de la police nationale du Nahouri.

C’est donc dans la joie et de soulagement que les propriétaires ont retrouvé leurs engins dont la plupart ont été volés dans la ville de Ouagadougou.

« Ma moto a été volée dans la zone de Bonheur ville en 2022, c’est avec joie que je la retrouve aujourd’hui. Une moto volée quelques mois seulement après son achat. Je remercie la police pour cet énorme travail et j’invite la population à se plier et à accepter les contrôles de la police», a indiqué Aimon Traoré.

Même joie pour Diandia Lompo qui a récupéré sa moto volée dans la zone de Gounghin le 12 février 2020.

Il faut noter que les motos ont été volées dans la ville de Ouagadougou et les plaques d’immatriculation de certaines ont été changées et remplacées par celles ghanéennes.

La police a invité les populations à plus de collaboration et à se soumettre également aux différents contrôles de police, car c’est le respect de ces valeurs que l’insécurité sera boutée hors des villes du Burkina.

Agence d’information du Burkina

HKO/hb/yo

Revue de presse : Le renouvellement du fond de soutien patriotique et la réaffirmation du soutien de la Russie au Burkina

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Revue de presse : Le renouvellement du fond de soutien patriotique et la réaffirmation du soutien de la Russie au Burkina

Ouagadougou, 30 janv. 2025 (AIB)- Les quotidiens burkinabè de ce jeudi traitent de la décision lors du conseil de ministre portant renouvellement du fond de soutien patriotique pour une durée d’un an renouvelable et de l’audience du diplomate russe, Igor Martynov avec le Premier ministre, Emmanuel Ouédraogo.

« Coopération bilatérale : la Russie réaffirme son soutien au Burkina Faso », affiche dans ses colonnes, le quotidien d’Etat, Sidwaya.Selon Le journal, le premier ministre a reçu en audience l’ambassadeur de la fédération de la Russie au Burkina Faso, le mardi 28 janvier 2025, pour des échanges portant sur la coopération bilatérale entre le Burkina et la Russie dans divers domaines.

« Il est attendu dans les mois à venir la signature de plusieurs accords de partenariat, afin d’ouvrir la voie à une accélération de la dynamique de coopération entre les deux pays », précise le quotidien privé, Le Pays.Dans un autre registre, les journaux parlent du renouvellement du fond de soutien patriotiqueLe quotidien privé, l’Observateur Paalga informe que le conseil des ministres du mercredi 29 janvier 2025, a adopté un décret portant sur la prorogation de la durée du fonds de soutien patriotique (FSP) pour une année renouvelable « Après évaluation, il est ressorti qu’il est nécessaire de poursuivre la collecte et de renforcer le fonds de soutien patriotique au regard de son impact important sur le terrain pour la prise en charge des volontaires pour la défense de la patrie et leur équipement » rapporte Sidwaya, citant les propos du Ministre de l’Economie et des Finances, Aboubakar Nacanabo.

Agence d’information du Burkina

DM/yos/ata

Le BIR 23 poursuit le nettoyage au Nayala: 11 terroristes neutralités, deux capturés

Burkina-Antiterrorisme-Succès

Le BIR 23 poursuit le nettoyage au Nayala: 11 terroristes neutralités, deux capturés

Ouagadougou, 30 janv. 2025 (AIB) – Le 23e bataillon d’intervention rapide (BIR 23) a neutralisé 11 terroristes, en a capturé deux autres et récupéré des armes et du matériel, au cours d’une opération de sécurisation dans sa zone d’intervention au Nayala et environnant, selon des sources sécuritaires.

Les hommes du capitaine Zallé ont aussi comptabilisé, côté ennemi, six armes à feu récupérés, 12 boites de munitions calibre 12, 17 motos dont 3 parties en feu, 27 plaques solaires, 10 téléphones, des vivres et d’autres matériels divers.

L’opération a été jugée comme un «coup parfait», aucune perte en vie humaine n’ayant été enregistré côté ami.

En fin décembre, les combattants du BIR 23 avaient violemment répondu à un groupe terroriste terré dans les encablures de la commune rurale de Gassan, tuant 6 bandits et récupérant des kalaches et PKSM, des munitions, 14 motos, 8 téléphones, du matériel sanitaire et des médicaments.

Pour le gouverneur de la Boucle du Mouhoun, Bassinga qui ne cesse de saluer le BIR 23, la quiétude qui s’est relativement améliorée dans sa région, s’est renforcée depuis l’arrivée de ce bataillon.

Selon lui, plusieurs villages de la zone ont été réinstallés grâce à l’action conjuguée des différences Forces combattantes en présence.

Agence d’Information du Burkina

Réduction des risques nucléaires : le Plan d’Action national du Burkina Faso soumis à validation

Réduction des risques nucléaires : le Plan d’Action national du Burkina Faso soumis à validation

(Ouagadougou, 29 janvier 2025)

Le Ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, à travers la Direction des Opérations de maintien de la paix, de la Coopération militaire et du Désarmement, organise du 28 au 30 janvier 2025 à Ouagadougou, un atelier de validation du Plan d’Action national sur la réduction des risques Nucléaire, Radiologique, Chimique et Biologique (NRBC).

Selon monsieur l’Ambassadeur Issa BORO, Secrétaire général du département des Affaires étrangères, président de la cérémonie d’ouverture de l’atelier, les risques nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques (NRBC) sont des éléments à défi élevé, ayant pour enjeu la vie des populations, d’où l’adhésion en mai 2015 de notre pays à l’initiative des Centres d’excellence pour la réduction de ces risques, lancée par l’Union Européenne en 2010.

Selon l’ambassadeur Issa BORO, la situation actuelle de notre pays, associée aux risques des NRBC requiert notre vigilance et commande la mise en œuvre d’outils appropriés à l’instar d’un Plan d’Action national cohérent, réaliste, afin d’éviter que ces substances ne se retrouvent entre les mains des personnes malintentionnées.

D’où son invite à l’ensemble des participants à faire preuve d’assiduité, mais surtout à contribuer aux travaux durant les trois jours, à travers des propositions pertinentes, afin de valider le Plan d’Action national sur les NRBC dont sa mise en œuvre sera soumise à l’approbation des plus hautes autorités de notre pays.

Le Directeur des Opérations de maintien de la paix, de la Coopération militaire et du Désarmement, le Colonel Boukari BAGGNA note que la question des NRBC est transversale, précisant qu’au-delà des acteurs du ministère des Affaires étrangères, plusieurs autres départements prennent part à cet atelier de validation notamment la Défense, la Sécurité, l’Enseignement supérieur, la Santé, l’Énergie et la Commune de Ouagadougou.

Monsieur Youssef HEMIMOU, Expert OSA – NAS REGION, a rappelé que l’Union Européenne reste engagée aux côtés du Burkina Faso dans l’élaboration de son Plan d’Action national.

“ L’UE accompagne le Burkina Faso à travers une assistance technique et quelques conseils sur la formulation des actions afin de les rendre compréhensibles”, a précisé monsieur HEMIMOU.

DCRP/ MAECR-BE

Coopération bilatérale : le Chef de la diplomatie burkinabè échange avec l’ambassadeur du Sénégal en fin de mission et l’ambassadeur de la République de Cuba

Coopération bilatérale : le Chef de la diplomatie burkinabè échange avec l’ambassadeur du Sénégal en fin de mission et l’ambassadeur de la République de Cuba

(Ouagadougou, le 29 janvier 2025)

Le Chef de la diplomatie burkinabè SEM Karamoko Jean Marie TRAORE, a échangé le mardi 28 janvier 2025, respectivement avec l’ambassadeur du Sénégal SEM Mbaba Coura NDIAYE et avec l’ambassadeur de la République de Cuba Nadieska Navarro BARRO.

Le premier à être reçu est l’ambassadeur du Sénégal au Burkina Faso, qui est en fin de mission après quatre ans passés dans notre pays.

SEM Mbaba Coura NDIAYE, dit avoir bénéficié du soutien et de l’accompagnement constant de l’appareil diplomatique burkinabè, ce qui lui a permis de conduire avec succès sa mission.

Le diplomate du pays de la Teranga dit quitter le Burkina Faso avec un réel sentiment de satisfaction et de fierté au regard de l’excellence des relations qui unissent les deux pays.

Il a également salué l’hospitalité et la fraternité du peuple burkinabè, réitérant le soutien des plus hautes autorités du Sénégal à l’égard du Gouvernement et de tout le peuple burkinabè.

« J’ai fait beaucoup de pays mais, je ne me suis jamais aussi senti à l’aise qu’au Burkina Faso » a confié, SEM Mbaba Coura NDIAYE, qui avait pris fonction au Burkina Faso le 18 février 2021.

Après l’ambassadeur du Sénégal, c’est madame l’ambassadeur de la République de Cuba au Burkina Faso qui a été reçue par le Chef de la diplomatie burkinabè.

Elle dit être venue échanger avec SEM Karamoko Jean Marie TRAORE sur la prochaine visite officielle dans notre pays, du ministre cubain chargé des questions extérieures.

L’audience a permis aux deux personnalités d’accorder les vues sur l’organisation pratique de cette importante visite du ministre des relations extérieures de Cuba, une visite qui coïncide avec le début de la célébration des cinquante ans des relations diplomatiques entre les deux pays.

 

S.E Mme l’ambassadeur Nadieska Navarro BARRO précise aussi que les échanges ont également porté sur d’autres sujets d’intérêts communs pour nos deux pays, notamment sur des questions d’ordres sous-régionales et internationales.

Il faut noter que l’établissement des relations diplomatiques entre le Burkina Faso et la République de Cuba est intervenu en 1975.

DCRP/MAECR-BE

𝐂𝐎𝐌𝐏𝐓𝐄 𝐑𝐄𝐍𝐃𝐔 𝐃𝐔 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐈𝐋 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐄𝐒 𝐃𝐔 𝟐𝟗 𝐉𝐀𝐍𝐕𝐈𝐄𝐑 𝟐𝟎𝟐𝟓

𝐂𝐎𝐌𝐏𝐓𝐄 𝐑𝐄𝐍𝐃𝐔 𝐃𝐔 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐈𝐋 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐄𝐒 𝐃𝐔 𝟐𝟗 𝐉𝐀𝐍𝐕𝐈𝐄𝐑 𝟐𝟎𝟐𝟓

Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou,
le mercredi 29 janvier 2025,
en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 13 H 36 mn,
sous la présidence de
Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE,
Président du Faso, Président du Conseil des ministres.

Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour,
entendu des communications orales,
procédé à des nominations
et autorisé des missions à l’étranger.

𝐈. 𝐃𝐄𝐋𝐈𝐁𝐄𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒

𝐈.𝟏. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐏𝐑𝐄𝐒𝐈𝐃𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐔 𝐅𝐀𝐒𝐎
Le Conseil a adopté un rapport relatif à l’aménagement et à la stabilisation de 30 km de routes urbaines à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou.
Ces travaux sont réalisés dans le cadre de la phase pilote de l’Initiative présidentielle « Faso Mêbo » en sa composante 2 relative aux réaménagements et à l’embellissement urbains.

L’objectif est de décongestionner, de fluidifier le trafic et de sécuriser les usagers à travers la modernisation du réseau routier urbain et interurbain dans le cadre du schéma d’aménagement des artères principales des villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou.

Le financement sera assuré par le budget du Bureau national des Grands projets du Burkina (BN-GPB) à travers l’Initiative présidentielle « Faso Mêbo » pour la gestion budgétaire, exercice 2025.

𝐈.𝟐. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐆𝐑𝐈𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐑𝐄𝐒𝐒𝐎𝐔𝐑𝐂𝐄𝐒 𝐀𝐍𝐈𝐌𝐀𝐋𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐇𝐀𝐋𝐈𝐄𝐔𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒
Le Conseil a adopté deux (02) décrets.

𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 porte approbation des statuts particuliers du Conseil burkinabè des filières agropastorales et halieutiques, en abrégé CBF.
L’adoption de ce décret permet au Conseil burkinabè des filières agropastorales et halieutiques de se doter de textes réglementaires en vue d’accomplir ses missions, conformément au décret n°2014-614/PRES/PM/MEF/MFPTSS du 24 juillet 2014 portant statut général des établissements publics de l’Etat à caractère économique.

𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 porte adoption de projets spécifiques pour l’acquisition d’intrants et d’équipements agricoles ainsi que l’aménagement de périmètres irrigués et de bas-fonds dans le cadre de l’Offensive agro-pastorale et halieutique.
Ces projets spécifiques contribueront au développement, au renforcement de la résilience des populations et à l’atteinte de la souveraineté alimentaire.

Les investissements sont relatifs à :
– la réalisation d’aménagements hydroagricoles, pastoraux et aquacoles ;
– l’acquisition de matériels et d’équipements agropastoraux et zootechniques ;
– l’acquisition d’intrants agricoles et zootechniques.

𝐋𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐮𝐦𝐮𝐥𝐞́ 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭𝐬 𝐬𝐩𝐞́𝐜𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐬’𝐞́𝐥𝐞̀𝐯𝐞 𝐚̀ 𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞-𝐬𝐞𝐩𝐭 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐫𝐝𝐬 𝐝𝐞𝐮𝐱 𝐜𝐞𝐧𝐭 𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞-𝐧𝐞𝐮𝐟 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐪𝐮𝐚𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐢𝐧𝐠𝐭-𝐪𝐮𝐚𝐭𝐫𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐧𝐞𝐮𝐟 𝐜𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐚𝐭𝐫𝐞-𝐯𝐢𝐧𝐠𝐭-𝐜𝐢𝐧𝐪 (𝟑𝟕 𝟐𝟑𝟗 𝟒𝟐𝟒 𝟗𝟖𝟓) 𝐅 𝐂𝐅𝐀.
L’adoption de ce décret permet plus de flexibilité et de célérité dans la gestion des commandes de l’Offensive agro-pastorale et halieutique.

𝐈.𝟑. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒
Le Conseil a adopté deux (02) décrets.

𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐫𝐨𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐮𝐫𝐞́𝐞 𝐝𝐮 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐅𝐒𝐏).
Le Fonds de soutien patriotique, créé par décret n°2023-0021/
PRES-TRANS/PM/MDAC/MATDS/MEFP du 23 janvier 2023 pour une durée d’un an renouvelable en cas de besoin, a vu sa durée prorogée d’une année par le décret n°2024-0098/PRES-TRANS/PM/MEFP/MDAC/MATDS du 1er janvier 2024.

Après deux (02) années de mise en œuvre, le FSP s’est imposé comme un véritable mécanisme alternatif de mobilisation endogène des ressources en vue d’accompagner les efforts consentis par l’Etat dans le financement des actions de lutte contre l’hydre terroriste et la construction d’une paix durable.
La conjoncture internationale impose de poursuivre les actions de mobilisation des Burkinabè de l’intérieur et de la diaspora autour des nobles ambitions de ce Fonds.

L’adoption de ce décret permet la prorogation de la durée de mise en œuvre du Fonds de soutien patriotique pour une année supplémentaire pour compter du 1er janvier 2025.

𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐧°𝟐𝟎𝟐𝟒-𝟎𝟏𝟎𝟎/
𝐏𝐑𝐄𝐒-𝐓𝐑𝐀𝐍𝐒/𝐏𝐌/𝐌𝐄𝐅𝐏/𝐌𝐃𝐀𝐂/𝐌𝐀𝐓𝐃𝐒 𝐝𝐮 𝟏𝟔 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟒 𝐦𝐨𝐝𝐢𝐟𝐢𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐧°𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟎𝟎𝟐𝟏/𝐏𝐑𝐄𝐒-𝐓𝐑𝐀𝐍𝐒/𝐏𝐌/𝐌𝐃𝐀𝐂/𝐌𝐀𝐓𝐃𝐒/𝐌𝐄𝐅𝐏 𝐝𝐮 𝟐𝟑 𝐣𝐚𝐧𝐯𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟑 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐮𝐧 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐅𝐒𝐏).

Suite à l’adoption de la loi n°009-2023/ALT du 24 juin 2023 portant institution d’une contribution spéciale sur la consommation de certains produits et services, le FSP a été intégré dans la Loi de finances pour l’exécution du budget de l’Etat, exercice 2024, sous la forme d’un compte d’affectation spécial. Par conséquent, le décret n°2023-0021/PRES-TRANS/PM/MDAC/MATDS/MEFP du 23 janvier 2023 portant création d’un Fonds de soutien patriotique a été modifié à travers le décret n°2024-0100/PRES-TRANS/PM/MEFP/MDAC/MATDS du 16 février 2024, afin de prendre en compte les dispositions qui encadrent les nouvelles conditions d’exécution du Fonds.

La modification de ce décret vise la prise en compte de nouveaux besoins dans les textes juridiques du FSP afin d’apporter une réponse vigoureuse et adaptée à l’ennemi dans le cadre de la lutte contre l’hydre terroriste.

L’adoption de ce décret permet de disposer de textes règlementaires en vue de la prise en compte par le Fonds de soutien patriotique, d’autres dépenses stratégiques devant concourir à la reconquête du territoire national.

𝐈.𝟒. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐀𝐍𝐓𝐄
Le Conseil a adopté deux (02) décrets.

𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐧°𝟐𝟎𝟏𝟏-𝟏𝟎𝟓𝟐/𝐏𝐑𝐄𝐒/𝐏𝐌/𝐌𝐒/𝐌𝐄𝐅 𝐝𝐮 𝟑𝟎 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟏𝟏 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐝𝐢𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐟𝐮𝐦𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜𝐬 𝐜𝐥𝐨𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨.

Le Burkina Faso a adopté en 2010 la loi portant lutte contre le tabac et ses textes d’application dont le décret portant interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun. Dans son application, le décret a révélé des insuffisances notamment la non prise en compte de la responsabilité du propriétaire du lieu public, l’évolution du nouveau concept de transports en commun et la faiblesse des amendes imposées.

La présente révision vise à corriger ces insuffisances et à créer plus d’espaces sans tabac afin de mieux protéger les non-fumeurs des effets nocifs du tabac qui tue chaque année au Burkina Faso environ 1 300 fumeurs passifs.

Les innovations majeures de ce décret portent entre autres, sur la prise en compte de la responsabilité du propriétaire du lieu public ou du transport en commun et sur l’instauration de sanctions à l’encontre des responsables de lieux publics et de transports en commun.
L’adoption de ce décret permet de mieux protéger les non-fumeurs contre la fumée du tabac au Burkina Faso.

𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐧°𝟐𝟎𝟏𝟏-𝟏𝟎𝟓𝟎/𝐏𝐑𝐄𝐒/𝐏𝐌/𝐌𝐒/𝐌𝐄𝐅 𝐝𝐮 𝟑𝟎 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟏𝟏 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐚𝐭𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐦𝐢𝐭𝐞́ 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐭𝐚𝐛𝐚𝐜 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨.

En application de la loi n°040-2010/AN du 25 novembre 2010 portant lutte contre le tabac au Burkina Faso, l’Etat a mis en place par décret le Comité national de lutte contre le tabac en 2011. Des dysfonctionnements sont apparus au sein dudit comité en lien avec l’organisation, le changement de dénomination de structures membres et la non prise en compte de certaines structures clés.

L’adoption de ce décret permet au Comité national de lutte contre le tabac d’accomplir efficacement ses missions.

𝐈.𝟓. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐈𝐍𝐃𝐔𝐒𝐓𝐑𝐈𝐄, 𝐃𝐔 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄𝐑𝐂𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐑𝐓𝐈𝐒𝐀𝐍𝐀𝐓
Le Conseil a adopté deux (02) décrets.

𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐚𝐩𝐩𝐫𝐨𝐛𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐭𝐚𝐭𝐮𝐭𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐂𝐡𝐚𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐚𝐧𝐚𝐭 𝐝𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 (𝐂𝐌𝐀-𝐁𝐅).
L’adoption de ce décret permet à la Chambre des métiers de l’artisanat du Burkina Faso de se doter de textes réglementaires en vue d’accomplir ses missions, conformément au décret n°2014-611/PRES/PM/MEF du 24 juillet 2014 portant statut général des établissements publics de l’Etat à caractère professionnel.

𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐝𝐞́𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐝𝐢𝐬𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐂𝐡𝐚𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐚𝐧𝐚𝐭 𝐝𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 (𝐂𝐌𝐀-𝐁𝐅) 𝐞𝐭 𝐦𝐢𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞́𝐥𝐞́𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐩𝐞́𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞.
La CMA-BF est un Etablissement public de l’Etat à caractère professionnel (EPP). Cependant, dans son fonctionnement, le secteur privé domine sa gouvernance au mépris de la règlementation régissant les EPP.

La dissolution des organes consulaires vise à corriger ce dysfonctionnement et à instaurer une meilleure gouvernance de la CMA-BF.
L’adoption de ce décret consacre la dissolution des organes consulaires de la Chambre des métiers de l’artisanat du Burkina Faso et la mise en place d’une délégation spéciale consulaire sous l’autorité du ministre chargé de l’artisanat, en attendant l’organisation d’élections consulaires.

𝐈𝐈. 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐎𝐑𝐀𝐋𝐄𝐒

II. Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur a fait au Conseil plusieurs communications parmi lesquelles :
– une communication relative au compte rendu de la 7e édition du Forum national de l’intégration tenue du 05 au 09 décembre 2024 à Banfora.

Cette édition, placée sous le thème « Dynamique confédérale et intégration africaine », a permis de sensibiliser les populations locales et les communautés vivant au Burkina Faso. Les échanges ont porté sur le vivre-ensemble et les grands chantiers d’intégration au sein de l’espace confédéral des Etats du Sahel.
– une communication relative à la participation du Burkina Faso à la cérémonie d’investiture de Son Excellence Monsieur Nicolas MADURO, Président de la République bolivarienne du Venezuela, le 10 janvier 2025 à Caracas.

La délégation burkinabè conduite par Son Excellence Dr Ousmane BOUGOUMA, Président de l’Assemblée législative de Transition (ALT) a transmis les salutations et les félicitations du Président du Faso à son homologue du Venezuela. Elle a eu des audiences avec les plus hautes autorités du Venezuela, notamment le Président investi, le Président de l’Assemblée nationale et le ministre des Relations extérieures. Le Président de l’ALT a également rencontré les étudiants burkinabè vivant à Caracas.
La participation du Burkina Faso à cette cérémonie d’investiture a permis de resserrer les liens de coopération bilatérale et parlementaire. Le Burkina Faso et la République bolivarienne du Venezuela ont signé un mémorandum d’entente consacrant un nouveau départ dans la coopération parlementaire entre les deux pays.

𝐈𝐈𝐈. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒

 

𝐈𝐈𝐈.𝟏. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐅𝐎𝐍𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐈𝐍𝐃𝐈𝐕𝐈𝐃𝐔𝐄𝐋𝐋𝐄𝐒

𝐀. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐃𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐓𝐄𝐑𝐑𝐈𝐓𝐎𝐑𝐈𝐀𝐋𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐌𝐎𝐁𝐈𝐋𝐈𝐓𝐄
– Monsieur Drissa SAWADOGO, Mle 271 373 C, Enseignant-chercheur, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Directeur général de la Société de transport en commun (SOTRACO).

𝐁. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒

– Monsieur Barthélemy DABRE, Mle 44 066 W, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 16e échelon, est nommé Directeur général de l’Institut des finances publiques du Burkina (IFPB) ;
– Monsieur Bernard OUEDRAOGO, Mle 54 651 Y, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 14e échelon, est nommé Inspecteur technique principal ;
– Monsieur Jean-Baptiste TAPSOBA, Mle 47 697 A, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 16e échelon, est nommé Inspecteur des finances ;

– Madame Ragnagninwindé KABORE/OUEDRAOGO, Mle 44 063 M, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 17e échelon, est nommée Inspecteur des finances ;
– Monsieur Isso OUEDRAOGO, Mle 111 062 Z, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Directeur des affaires immobilières à la Direction générale des affaires immobilières de l’Etat ;
– Monsieur Noël Jean Romuald Zomassou BASSINGA, Mle 91 663 N, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Directeur du contrôle fiscal ;

– Monsieur Daniel HIEN, Mle 49 071 Y, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Directeur des opérations spécifiques ;
– Madame Ema Lydie ZOUNGRANA/KABORE, Mle 59 652 Z, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 12e échelon, est nommée Directrice des moyennes entreprises du Centre V ;

– Monsieur Donatien ZONGO, Mle 111 073 A, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Directeur du Guichet unique du foncier (GUF) de Ouagadougou n°1 ;
– Monsieur Mayel DABIRE, Mle 49 078 N, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Directeur des grandes entreprises ;

– Monsieur Karim LEPAN, Mle 35 913 W, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Conseiller fiscal du Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics (LNBTP) ;
– Monsieur Seydou SIMPORE, Mle 52 162 Z, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 15e échelon, est nommé Conseiller fiscal de la Centrale d’achats des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG) ;
– Monsieur Kassou KY, Mle 272 955 E, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier régional des Hauts-Bassins.

𝐂. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐍𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐏𝐔𝐁𝐋𝐈𝐐𝐔𝐄, 𝐃𝐔 𝐓𝐑𝐀𝐕𝐀𝐈𝐋 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐏𝐑𝐎𝐓𝐄𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐒𝐎𝐂𝐈𝐀𝐋𝐄

– Monsieur Emmanuel SORGHO, Mle 118 969 G, Administrateur civil, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Directeur de Cabinet ;
– Monsieur Suanyaba Rodrigue OBOULBIGA, Mle 217 036 A, Conseiller en gestion des ressources humaines, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Secrétaire général ;

– Monsieur Nagaonlé Eric SOME, Mle 231 955 Z, Maître de recherche, catégorie P, grade initial, 1er échelon, est nommé Conseiller technique, en remplacement de Monsieur Karim PORGO ;
– Monsieur Brahima TRAORE, Mle 20 24, Administrateur civil, 1ère classe, 12e échelon, est nommé Chargé de mission.

𝐃. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐈𝐍𝐃𝐔𝐒𝐓𝐑𝐈𝐄, 𝐃𝐔 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄𝐑𝐂𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐑𝐓𝐈𝐒𝐀𝐍𝐀𝐓
– Monsieur Seydou TOU, Mle 10 197 J, Spécialiste en commerce international, est nommé Directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso (CCI-BF).

𝐄. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐍𝐒𝐄𝐈𝐆𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐒𝐄𝐂𝐎𝐍𝐃𝐀𝐈𝐑𝐄, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐑𝐌𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐏𝐑𝐎𝐅𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍𝐍𝐄𝐋𝐋𝐄 𝐄𝐓 𝐓𝐄𝐂𝐇𝐍𝐈𝐐𝐔𝐄

– Madame Solange COMPAORE/TRAORE, Mle 54 530 K, Inspecteur de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 12e échelon, est nommée Responsable du Programme budgétaire 102 « Enseignement et formation techniques et professionnels », cumulativement avec ses fonctions de Directrice générale de l’enseignement et la formation techniques et professionnels ;

– Madame Nomwendé Véronique ALIRA/WANGRAWA, Mle 225 071 U, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 8e échelon, est nommée Responsable du Programme budgétaire 104 « Pilotage et soutien aux services », cumulativement avec ses fonctions de Directrice générale des études et des statistiques sectorielles ;

– Monsieur Amadou Tidiani YINYIN, Mle 112 498 B, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Responsable du Programme budgétaire 144 « Compte d’affectation spéciale du trésor/Appui à la politique sectorielle d’enseignement et de formation techniques et professionnels », cumulativement avec ses fonctions de Directeur de la gestion des finances ;

– Madame Rasmata OUEDRAOGO, Mle 44 006 F, Inspecteur général de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 3e grade, 7e échelon, est nommée Responsable du Programme budgétaire 163 « Enseignement secondaire général », cumulativement avec ses fonctions de Directrice générale de l’enseignement général ;
– Monsieur Boureima NABALOUM, Mle 117 336 K, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 11e échelon, est nommé Responsable du Programme budgétaire 164 « Orientation, pratiques d’activités parascolaires et périscolaires et continuité éducative », cumulativement avec ses fonctions de Directeur général des appuis spécifiques.

𝐅. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐍𝐕𝐈𝐑𝐎𝐍𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓, 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐀𝐔 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐒𝐒𝐀𝐈𝐍𝐈𝐒𝐒𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓

– Monsieur Aly COULIBALY, Mle 42 841 T, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 13e grade, 2e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts de la Boucle du Mouhoun ;
– Monsieur Issouf TRAORE, Mle 202 546 W, Inspecteur des eaux et forêts, catégorie 1, 5e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts des Cascades ;

– Madame Guestaba Pascaline NIKIEMA/KIENTEGA, Mle 29 648 E, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 3e échelon, est nommée Directrice régionale des eaux et forêts du Centre ;
– Monsieur Pagomdzanga Jean Bosco ZONGO, Mle 222 098 D, Inspecteur des eaux et forêts, catégorie 1, 12e grade, 5e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Centre-Est ;
– Monsieur Justin PARE, Mle 110 798 E, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 2e grade, 1er échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Centre-Nord ;

– Monsieur Louis NEBIE, Mle 46 110 M, Inspecteur des eaux et forêts, catégorie 1, 12e grade, 6e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Centre-Ouest ;
– Monsieur Aimé COMPAORE, Mle 94 489 L, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 13e grade, 1er échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Centre-Sud ;
– Monsieur Romuald NIKIEMA, Mle 306 795 U, Inspecteur des eaux et forêts, catégorie 1, 5e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts de l’Est ;

– Monsieur Hassime RABO, Mle 47 802 A, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 12e grade, 4e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts des Hauts-Bassins ;
– Monsieur Harouna OUEDRAOGO, Mle 216 342 S, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 3e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Nord ;

– Monsieur Salifou SANDWIDI, Mle 59 023 C, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 5e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Plateau-Central ;
– Monsieur Dramane FOGO, Mle 42 852 K, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 2e échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Sahel ;
– Monsieur Foé André Joseph Bonaventure TRAORE, Mle 94 480 M, Inspecteur principal des eaux et forêts, catégorie 1, 1er échelon, est nommé Directeur régional des eaux et forêts du Sud-Ouest.

𝐆. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐔𝐑𝐁𝐀𝐍𝐈𝐒𝐌𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐇𝐀𝐁𝐈𝐓𝐀𝐓
– Monsieur Lassané OUEDRAOGO, Mle 92 722 P, Ingénieur de conception en génie civil, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Responsable du Programme budgétaire « Accès au logement décent », cumulativement avec ses fonctions de Directeur général du logement ;
– Monsieur Moussa ZONGO, Mle 59 924 V, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Directeur de l’acquisition et de l’aménagement des sites de promotion immobilière ;

– Monsieur Ousmane KABRE, Mle 205 531 D, Ingénieur en génie civil, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur de la gestion du parc de logements au sein de la Direction générale du logement ;
– Monsieur Issoufou KONATE, Mle 49 093 P, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Directeur de la promotion du logement.

𝐇. 𝐀𝐔 𝐓𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐃𝐔 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐒𝐏𝐎𝐑𝐓𝐒, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐉𝐄𝐔𝐍𝐄𝐒𝐒𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐌𝐏𝐋𝐎𝐈
– Monsieur Patindé Yannick Arnaud KOUSSOUBE, Mle 259 731 M, Conseiller en emploi et en formation professionnelle, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Responsable du Programme budgétaire « Promotion de l’emploi », cumulativement avec ses fonctions de Directeur général de la promotion de l’emploi ;
– Monsieur Romain KABORE, Mle 97 590 D, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Responsable du Programme budgétaire « Jeunesse et éducation permanente », cumulativement avec ses fonctions de Directeur général de l’autonomisation des jeunes et de l’éducation permanente ;

– Monsieur Kusavie Crépin SOMDA, Mle 210 951 E, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Directeur régional de la jeunesse et de l’emploi des Hauts-Bassins ;
– Monsieur Yacouba COMPAORE, Mle 245 832 T, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial des sports et des loisirs de la Sissili.

𝐈𝐈𝐈.𝟐. 𝐍𝐎𝐌𝐈𝐍𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐂𝐎𝐍𝐒𝐄𝐈𝐋𝐒 𝐃’𝐀𝐃𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs aux Conseils d’administration :
– du Bureau national des sols (BUNASOLS) au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques ;
– du Fonds burkinabè pour le développement économique et social (FBDES) et de la Loterie nationale burkinabè (LONAB) au titre du ministère de l’Economie et des finances ;

– du Musée national du Burkina Faso (MNBF) et du Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) au titre du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme ;
– de l’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP) au titre du ministère de la Santé ;
– de l’Université Nazi BONI au titre du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.

Le Conseil a également procédé à la nomination de Présidents aux Conseils d’administration du Fonds burkinabè pour le développement économique et social (FBDES), de la Loterie nationale burkinabè (LONAB), du Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) et de l’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP).

𝐀. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐀𝐆𝐑𝐈𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐑𝐄𝐒𝐒𝐎𝐔𝐑𝐂𝐄𝐒 𝐀𝐍𝐈𝐌𝐀𝐋𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐇𝐀𝐋𝐈𝐄𝐔𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒
Le Conseil a adopté un décret portant nomination de Monsieur Mathias BADO, Mle 91 344 E, Ingénieur en agriculture, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques au Conseil d’administration du Bureau national des sols (BUNASOLS) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Parfait NANEMA.

𝐁. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐂𝐎𝐍𝐎𝐌𝐈𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐍𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒
Le Conseil a adopté trois (03) décrets.
Le premier décret nomme Madame Kadiatou OULLA/PARE, Mle 58 445 H, Inspecteur du trésor, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Economie et des finances au Conseil d’administration du Fonds burkinabè de développement économique et social (FBDES) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Célestin Santéré SANON.

Le deuxième décret nomme Madame Kadiatou OULLA/PARE, Mle 58 445 H, Inspecteur du trésor, Présidente du Conseil d’administration du Fonds burkinabè de développement économique et social (FBDES) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Célestin Santéré SANON.

Le troisième décret nomme Monsieur Seydou OUEDRAOGO, Mle 217 042 L, Conseiller en gestion des ressources humaines et management des administrations, Administrateur représentant l’Etat, au titre du Secrétariat général du Gouvernement et du Conseil des ministres au Conseil d’administration de la Loterie nationale burkinabè (LONAB) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Ousmane OUATTARA.

𝐂. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐌𝐔𝐍𝐈𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄, 𝐃𝐄𝐒 𝐀𝐑𝐓𝐒 𝐄𝐓 𝐃𝐔 𝐓𝐎𝐔𝐑𝐈𝐒𝐌𝐄
Le Conseil a adopté cinq (05) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs représentant l’Etat au Conseil d’administration du Musée national du Burkina Faso (MNBF) pour un premier mandat de trois (03) ans.
Au titre du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme :
– Monsieur Alassane WAONGO, Mle 49 913 F, Professeur certifié des lycées et collèges.

Au titre du ministère de l’Enseignement de base, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales :
– Monsieur Sidzabda Emmanuel YAMEOGO, Mle 84 859 Z, Professeur certifié des lycées et collèges.

Au titre du ministère de l’Environnement, de l’eau et de l’assainissement :
– Monsieur Saidou Patrick THIOMBIANO, Mle 46 119 L, Inspecteur principal des eaux et forêts.

Le deuxième décret renouvelle le mandat des personnes ci-après, Administrateurs représentant l’Etat au Conseil d’administration du Musée national du Burkina Faso (MNBF) pour une dernière période de trois (03) ans.

Au titre du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme :
– Monsieur Abdoulaye DIONI, Mle 216 780 F, Conseiller des services touristiques et hôteliers.

Au titre du ministère de l’Administration territoriale et de la mobilité :
– Monsieur Sié HIEN, Mle 97 426 E, Administrateur civil.

Au titre du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation :
– Monsieur Pon Jean-Baptiste COULIBALY, Mle 241 848 S, Enseignant-chercheur.

Le troisième décret nomme Monsieur Alassane WAONGO, Mle 49 913 F, Professeur certifié des lycées et collèges, Président du Conseil d’administration du Musée national du Burkina Faso (MNBF) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le quatrième décret nomme Monsieur Mathias ZANTEA, Mle 48 101 G, Conseiller des affaires culturelles, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme au Conseil d’administration du Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le cinquième décret nomme Monsieur Mathias ZANTEA, Mle 48 101 G, Conseiller des affaires culturelles, Président du Conseil d’administration du Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) pour un premier mandat de trois (03) ans.

𝐃. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐒𝐀𝐍𝐓𝐄
Le Conseil a adopté trois (03) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs représentant l’Etat au Conseil d’administration de l’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP) pour un premier mandat de trois (03) ans.
Au titre du ministère de la Santé :
– Madame Kotim YAMEOGO, Mle 130 543 R, Magistrat ;
– Monsieur Siaka OUATTARA, Mle 95 853 R, Administrateur des hôpitaux et des services de santé.

Le deuxième décret renouvelle le mandat des personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration de l’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP) pour une dernière période de trois (03) ans.

ADMINISTRATEURS REPRESENTANT L’ETAT
Au titre du ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale :
– Monsieur Pakidumsamba David BELEMNABA, Mle 212 157 S, Inspecteur du travail.

Au titre du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation :
– Madame Estelle Noëla Hoho YOUL, Mle 216 336 C, Professeur titulaire hospitalo-universitaire.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS DE L’ANRP
– Monsieur Daouda COMPAORE, Mle 43 052 P, Préparateur d’Etat en pharmacie.
ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES ASSOCIATIONS DES MALADES
– Madame Wendpagnangdé Joséphine ZOUNGRANA/KISSOU, Pharmacien.

Le troisième décret nomme Madame Kotim YAMEOGO, Mle 130 543 R, Magistrat, Présidente du Conseil d’administration de l’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP) pour un premier mandat de trois (03) ans.

𝐄. 𝐌𝐈𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋’𝐄𝐍𝐒𝐄𝐈𝐆𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐒𝐔𝐏𝐄𝐑𝐈𝐄𝐔𝐑, 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐑𝐄𝐂𝐇𝐄𝐑𝐂𝐇𝐄 𝐄𝐓 𝐃𝐄 𝐋’𝐈𝐍𝐍𝐎𝐕𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍
Le Conseil a adopté deux (02) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration de l’Université Nazi BONI pour un premier mandat de trois (03) ans.
ADMINISTRATEURS PREPRESENTANT L’ETAT
Au titre du ministère de la Transition digitale, des postes et des communications électroniques :
– Monsieur Pegdwindé Justin KOURAOGO, Mle 334 030 N, Enseignant-chercheur.

Au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques :
– Monsieur Siaka YE, Mle 91 345 N, Ingénieur d’agriculture.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DU BURKINA FASO (CCI-BF)
– Monsieur François DRABO, Mle 23 18 968 N, Economiste.
Le second décret renouvelle le mandat de Monsieur Seydou OUATTARA, Mle 215 303 M, Enseignant-chercheur, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation au Conseil d’administration de l’Université Nazi BONI pour une dernière période de trois (03) ans.

𝐋𝐞 𝐏𝐨𝐫𝐭𝐞-𝐩𝐚𝐫𝐨𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭,

𝐏𝐢𝐧𝐠𝐝𝐰𝐞𝐧𝐝𝐞́ 𝐆𝐢𝐥𝐛𝐞𝐫𝐭 𝐎𝐔𝐄𝐃𝐑𝐀𝐎𝐆𝐎
𝐂𝐡𝐞𝐯𝐚𝐥𝐢𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐭𝐚𝐥𝐨𝐧

Gayéri : L’équipe de la Croix-Rouge assainit les locaux de la mairie

Gayéri : L’équipe de la Croix-Rouge assainit les locaux de la mairie

Fada N’Gourma, 23 janvier 2025 (AIB) – L’équipe de la Croix-Rouge de Gayéri a organisé une journée de salubrité le mercredi 22 janvier 2025 pour assainir les locaux de la mairie de Gayéri. Le Haut-Commissaire de la province, Valentin Gnanou, a donné le top départ de l’activité.

Sous la conduite de M. Kondjoa Combary, l’équipe de la Croix-Rouge de Gayéri a manifesté son engagement citoyen à travers cette action de nettoyage.

Présent sur les lieux, le Haut-Commissaire de la province de la Komondjari, Valentin Gnanou, a salué cette initiative qui, selon lui, s’inscrit pleinement dans la participation citoyenne. Il a encouragé la Croix-Rouge à poursuivre de telles actions.

Valentin Gnanou, Haut-Commissaire de la Komondjari :

« Cette initiative entre dans le cadre de la participation citoyenne. Nous vous félicitons pour avoir pris cette belle initiative de venir nettoyer nos locaux. Il faut dire que nous sommes également hébergés ici, dans un espace obtenu grâce au PDS. Nous souhaitons que ce genre d’initiative puisse se répéter. »

Le président de la Délégation spéciale de la commune de Gayéri, Emmanuel Lankoandé, s’est réjoui du choix porté sur sa structure et a exprimé sa gratitude à l’équipe pour l’excellent travail accompli.

Agence d’Information du Burkina

Gayéri : Plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde

Gayéri : Plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde

Fada N’Gourma, le 25 janvier 2025 (AIB)- le Haut-Commissaire de la province de la Komondjari Monsieur Valentin GNANOU a présidé une rencontre de plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde le samedi 25 janvier 2025 au district sanitaire de Gayéri.

Cette rencontre visait à informer les populations des causes de la fièvre typhoïde, du danger de cette maladie, des avantages qu’il y a en se faisant vacciner et les inviter à se mobiliser pour la réussite de cette campagne.

Le samedi 25 janvier 2025, le Haut-Commissaire de la province de la Komondjari a présidé une rencontre de plaidoyer en faveur de la campagne de vaccination contre la fièvre typhoïde. Cette rencontre s’est tenue dans la salle de réunion du district sanitaire de Gayéri est a connu la participation de l’ensemble des leaders d’opinion de Gayéri. L’essentiel de la rencontre consistait à sensibiliser les populations à se faire vacciner contre la fièvre typhoïde qui sévit de manière endémique dans notre pays et de les rassurer de l’efficacité du vaccin.

Selon le communicateur monsieur Aguima DIAMONGOU, attaché de santé en soins obstétricaux et de gynécologie obstétrique en service à la maternité du CMA de Gayéri, au Burkina Faso on estime à 80 672 cas de typhoïde, soit 356 cas pour 10 000 habitants, dont 69% enfants de moins de 15 ans en 2019 et 1530 décès imputables à la typhoïde, dont 84% parmi les enfants de moins de 15 ans pour la même période.
Selon toujours le communicateur, la typhoïde est une maladie des mains sales très contagieuse causée par une bactérie appelée Salmonella typhi pouvant entrainer de graves complications ou même la mort. Il note cependant que cette maladie curable.

Il a renchéri que cette maladie se manifeste par la fièvre, les maux de têtes, les courbatures, la diarrhée, les vomissements, les nausées, les douleurs abdominales, etc et peut être facilement confondue avec de nombreuses autres maladies fébriles courantes comme le paludisme, la grippe et la dengue…. La confirmation du diagnostic repose sur l’examen des selles et du sang au laboratoire.

Les principaux modes de transmission de la typhoïde sont la transmission par voie féco-orale, la consommation d’aliments contaminés ou en raison de l’insuffisance des mesures d’hygiène et d’assainissement, la contamination de l’environnement plus étendu par exemple à la pollution des sources d’approvisionnement en eau par les eaux usées, au traitement inadéquat de l’eau courante ou à l’utilisation de matières fécales humaines ou d’eaux usées non traitées.

Comme mesures de prévention, il est recommandé d’observer les règles d’hygiènes alimentaires et environnementales et de se faire vacciner.
Selon le communicateur, le vaccin contre la fièvre typhoïde est sûr, efficace et gratuit et une seule dose suffit pour assurer la protection des enfants.
Cette campagne la cible est les enfants de 9 mois à 14 ans révolus et couvre la période du 23 au 29 janvier 2025.
Agence d’information du Burkina

Espace AES : le Président du Faso tient son passeport biométrique

Espace AES : le Président du Faso tient son passeport biométrique

(Ouagadougou, 29 janvier 2025). Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a fait son enrôlement biométrique et a reçu son passeport de la Confédération des États du Sahel (AES) qui entre en vigueur à compter de ce 29 janvier.

Devant les services techniques, le Président du Faso a suivi les différentes étapes de l’enrôlement pour le passeport AES. Après quelques moments, son passeport lui est remis par le ministre de la Sécurité, le Commissaire divisionnaire de police, Mahamoudou SANA.

L’enrôlement du Chef de l’État marque le début du processus d’enrôlement et de mise en circulation dans notre pays du passeport AES, document commun aux trois États membres.

Même si le passeport arborant le logo CEDEAO reste valable jusqu’à sa date d’expiration et les citoyens de l’espace AES sont invités à le faire remplacer par le nouveau passeport AES conformément aux règles en la matière.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Burkina : Une délégation consulaire chargée de la gestion des affaires courantes de la Chambre des métiers

Burkina-Commerce-Dissolution-Chambre-Consulaire

Burkina : Une délégation consulaire chargée de la gestion des affaires courantes de la Chambre des métiers

Ouagadougou, 29 janv. 2025 (AIB)-Le gouvernement a annoncé ce mercredi la dissolution des organes consulaires de la Chambre des métiers de l’artisanat du Burkina Faso (CMA-BF) et la mise en place d’une délégation consulaire chargée de gérer les affaires courantes jusqu’aux prochaines élections consulaires.

Le ministre en charge du Commerce, Serge Poda, a expliqué que deux décrets ont été adoptés par le gouvernement : l’un portant sur l’approbation des statuts particuliers de la CMA-BF et l’autre sur la dissolution de ses organes consulaires.

Selon M. Poda, cette décision s’inscrit dans une dynamique de refondation de l’État visant la reformulation des statuts de certaines structures étatiques stratégiques pour assurer une meilleure gouvernance économique.

Parmi les innovations introduites, le ministre a souligné la suppression de la relation hiérarchique qui existait entre le bureau consulaire et l’administration de l’entité.

Il a également annoncé la création d’une assemblée générale et d’un conseil d’administration intégrant des représentants de l’administration publique, afin de renforcer la gouvernance vertueuse de la CMA-BF.

Agence d’information du Burkina
NO/YOS/ata

Sourou : Le nouveau directeur provincial de la police nationale appelle à une synergie d’actions

Burkina/Sourou-Installation-Directeur-Police

Sourou : Le nouveau directeur provincial de la police nationale appelle à une synergie d’actions

Tougan, le 27 janv. 2025 (AIB)-Le nouveau Directeur provincial de la Police nationale (DPPN) du Sourou, le commissaire principal de police, Adama Hélou Sagnon, a appelé lundi à une synergie d’actions avec toutes les Forces vives pour assurer la paix aux populations.

Le haut-commissaire de la province du Sourou, Désiré Badolo, a présidé le lundi 27 janvier 2025 la cérémonie d’installation du nouveau Directeur provincial de la Police nationale (DPPN) du Sourou, le commissaire principal de police, Adama Hélou Sagnon.
C’était en présence du représentant du directeur régional de la police nationale de la Boucle du Mouhoun, Abdoul R. Ganam, également directeur provincial de la police nationale du Nayala.

Dans son discours, le nouveau DPPN du Sourou a affirmé son engagement à travailler de concert avec les autres forces de défense et de sécurité.

« Nous mesurons l’ampleur de la tâche que nous prenons comme un défi commun. C’est pourquoi, dès à présent, nous nous engageons avec les autres forces de défense et de sécurité pour qu’ensemble, dans une synergie d’actions, nous apportions ce climat de paix et de sécurité tant attendu par les populations », a-t-il déclaré.

M. Sagnon a également souligné que la recherche de la paix et de la sécurité ne relève plus exclusivement des forces de défense et de sécurité.

« Je voudrais m’appuyer sur la solidarité et la collaboration sincère de l’ensemble des corps constitués de la province du Sourou, car la recherche de la paix et de la sécurité n’est plus uniquement l’apanage des forces de défense et de sécurité. Je salue déjà les initiatives de collaboration et de solidarité existantes, sous l’égide du premier responsable administratif de la province », a-t-il ajouté.

Le directeur sortant, le commissaire principal Éli Sama, a exprimé sa gratitude pour la franche collaboration qui lui a permis d’atteindre les objectifs escomptés. Il a reconnu que tout n’a pas été parfait, mais a salué l’engagement et la discrétion de ses collaborateurs.

« Je vous exhorte à mettre ces qualités au service de M. Sagnon, le directeur provincial entrant, pour lui permettre de réussir sa mission », a-t-il déclaré.

Le haut-commissaire a également loué la bonne collaboration avec le directeur sortant et a souhaité la même dynamique avec le nouveau directeur. Il a précisé que le commissaire principal Éli Sama n’était pas parti sur la pointe des pieds, mais avait été appelé à d’autres missions.

Le commissaire principal Éli Sama est en effet admis à un stage à l’École nationale des régies financières (ENAREF). Son successeur, Adama Hélou Sagnon, précédemment directeur provincial de la police nationale du Sanguié, a été nommé lors du conseil des ministres du 26 décembre 2024.

La cérémonie d’installation s’est déroulée en présence des autorités coutumières et religieuses, des corps constitués de la province, des représentants des commerçants ainsi que des forces de défense et de sécurité.

Agence d’Information du Burkina
SS/ata

Burkina : Le Fonds de soutien patriotique renouvelé pour 12 mois

Burkina-Collecte-Fonds-Renouvellement

Burkina : Le Fonds de soutien patriotique renouvelé pour 12 mois

Ouagadougou, 29 janv.2025 (AIB)- L’Etat burkinabè a décidé mercredi, en Conseil des ministres, du renouvellement du Fonds de soutien patriotique pour un an renouvelable.

« Le Conseil des ministres a adopté un rapport portant renouvellement du Fonds de soutien patriotique (FSP) pour une durée d’un an renouvelable », a indiqué le ministre en charge de l’Economie, Aboubakar Nacanabo.

Le ministre Nacanabo, à l’issue de la rencontre hebdomadaire des ministres a précisé qu’il était prévu que le décret qui l’a institué soit examiné après une année de mise en œuvre pour voir la nécessité de poursuivre.

Selon lui, après l’évaluation dudit décret, il était nécessaire de poursuivre la collecte des fonds pour la prise en charge des Volontaires pour la défense de la patrie et leurs équipements.

Ce texte autorise la collecte des Fonds à compter du 1er janvier au 31 décembre 2025, a-t-il poursuivi.

Agence d’information du Burkina
NO-YOS/ATA

Burkina: L’hôpital Yalgado Ouédraogo modernise l’enlèvement des corps des défunts

Burkina: L’hôpital Yalgado Ouédraogo modernise l’enlèvement des corps des défunts
Ouagadougou, 28 jan. 2025 (AIB) – Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou effectue désormais le transport des dépouilles des défunts depuis les salles de décès à la morgue de façon digne et discrète, par des tricycles motorisés, a constaté lundi l’AIB.
Ce sont deux tricycles de couleur blanche, fonctionnant à l’énergie électrique et couverts de bâches, qui servent de moyen de transport des dépouilles du CHU Yalgado Ouédraogo depuis octobre 2024, selon les responsables dudit hôpital.
Selon le directeur général de l’hôpital, Ousmane Néré, cette acquisition vise à assurer un transport discret et humanisé des dépouilles vers la morgue, remplaçant ainsi les moyens rudimentaires et inappropriés utilisés jusque-là.
Pour lui, à travers cette initiative, le CHU s’inscrit dans une dynamique de progrès, répondant aux besoins croissants de la population tout en améliorant les conditions de prise en charge des deuils après le décès d’un malade.
« Ces engins représentent une avancée majeure. Sans bruit et avec une couverture totale du corps, ils offrent une solution plus respectueuse des personnes décédées dans notre hôpital », a rassuré le directeur général.
Selon le Major aux urgences médicales de Yalgado Ouédraogo, Sitafa Konaté, auparavant, le matériel roulant qui servait au transport des malades était également utilisé pour évacuer les corps à la morgue, posant souvent des difficultés entre les équipes en termes d’exploitation du matériel.
À l’en croire, l’acquisition de ces tricycles constitue une bouffée d’oxygène pour le personnel des services d’hospitalisation et ceux de la morgue.
« Avant, tout le monde voyait qu’un corps était transporté, ce qui n’était pas discret. Maintenant, cela se fait avec dignité et en silence », a apprécié le Major tout en souhaitant l’acquisition d’autres tricycles afin de mieux gérer les regrettables périodes de forte affluence.
Selon M. Konaté, Yalgado accueille en moyenne 600 à 700 patients par mois. Vu cette charge de travail, il a souhaité la mise en œuvre d’autres actions pour soulager le personnel soignant et les malades.
« Les tricycles ont démontré leur utilité, et avec le soutien du directeur général, nous espérons que d’autres initiatives verront le jour », a-t-il indiqué.
Avec une expérience de 11 ans de service à la morgue de l’hôpital, Rasmané Yaogo a salué ce changement constaté dans le transport des dépouilles depuis l’arrivée de ces engins motorisés.
« Avec ces tricycles, le travail de transport des dépouilles est moins fatigant et plus respectueux pour les familles éplorées », a-t-il confié.
Agence d’information du Burkina
ZO/DM/ata

Burkina/Énergie : Le nouveau SG de l’Autorité de régulation compte sur l’accompagnement de ses collaborateurs pour réussir sa mission

Burkina-Énergie-Régulation

Burkina/Énergie : Le nouveau SG de l’Autorité de régulation compte sur l’accompagnement de ses collaborateurs pour réussir sa mission

Ouagadougou, 29 janv. 2025 (AIB) – Installé mercredi dans ses fonctions, le nouveau Secrétaire général de l’Autorité de régulation du secteur de l’énergie (ARSE) au Burkina Faso, Kalifa Romuald Dao, a invité ses collaborateurs à l’appuyer pour relever les défis de la structure.

« Je mesure pleinement l’ampleur de cette responsabilité que je ne pourrai assumer correctement sans votre soutien indéfectible », a affirmé Kalifa Romuald Dao.

Convaincu que « c’est en apportant de la terre à la terre que la termitière se construit », M. Dao a dit espérer « l’appui sincère » de ses collègues pour jouer sa partition dans l’œuvre de construction de l’ARSE.

Le Secrétaire général s’adressait à ses collaborateurs le mercredi 29 janvier 2025 à l’issue de son installation officielle par le président de l’Autorité en charge de la régulation de l’énergie au Burkina Faso, Dr Jean Baptiste Ky.

Nommé Secrétaire général de l’ARSE le 22 janvier 2025 en Conseil des ministres, Kalifa Romuald Dao est un économiste recruté à la suite d’un test organisé par un cabinet.

Il a également saisi l’occasion pour exprimer sa reconnaissance aux autorités qui ont cru en lui en le nommant à la tête du secrétariat général de la structure.

« Je m’engage sans réserve à servir avec loyauté, dévouement et transparence, sous la supervision de la hiérarchie », a promis Kalifa Dao, afin de toujours mériter cette confiance.

Il a par ailleurs promis de se servir comme boussole de la vision de l’ARSE à l’horizon 2027, qui consiste à développer sa notoriété et son image de marque au niveau national, et à s’imposer comme un régulateur de référence dans la sous-région.

L’Autorité de régulation du secteur de l’énergie a pour mission de veiller au respect des lois régissant le secteur de l’énergie, de préserver les intérêts des usagers du service public de l’énergie et de proposer à l’État des tarifs applicables dans le secteur, entre autres.

Agence d’information du Burkina
YOS/ata

Burkina/Énergie : Le nouveau SG de l’Autorité de régulation compte sur l’accompagnement de ses collaborateurs pour réussir sa mission

Burkina-Énergie-Régulation

Burkina/Énergie : Le nouveau SG de l’Autorité de régulation compte sur l’accompagnement de ses collaborateurs pour réussir sa mission

Ouagadougou, 29 janv. 2025 (AIB) – Installé mercredi dans ses fonctions, le nouveau Secrétaire général de l’Autorité de régulation du secteur de l’énergie (ARSE) au Burkina Faso, Kalifa Romuald Dao, a invité ses collaborateurs à l’appuyer pour relever les défis de la structure.

« Je mesure pleinement l’ampleur de cette responsabilité que je ne pourrai assumer correctement sans votre soutien indéfectible », a affirmé Kalifa Romuald Dao.

Convaincu que « c’est en apportant de la terre à la terre que la termitière se construit », M. Dao a dit espérer « l’appui sincère » de ses collègues pour jouer sa partition dans l’œuvre de construction de l’ARSE.

Le Secrétaire général s’adressait à ses collaborateurs le mercredi 29 janvier 2025 à l’issue de son installation officielle par le président de l’Autorité en charge de la régulation de l’énergie au Burkina Faso, Dr Jean Baptiste Ky.

Nommé Secrétaire général de l’ARSE le 22 janvier 2025 en Conseil des ministres, Kalifa Romuald Dao est un économiste recruté à la suite d’un test organisé par un cabinet.

Il a également saisi l’occasion pour exprimer sa reconnaissance aux autorités qui ont cru en lui en le nommant à la tête du secrétariat général de la structure.

« Je m’engage sans réserve à servir avec loyauté, dévouement et transparence, sous la supervision de la hiérarchie », a promis Kalifa Dao, afin de toujours mériter cette confiance.

Il a par ailleurs promis de se servir comme boussole de la vision de l’ARSE à l’horizon 2027, qui consiste à développer sa notoriété et son image de marque au niveau national, et à s’imposer comme un régulateur de référence dans la sous-région.

L’Autorité de régulation du secteur de l’énergie a pour mission de veiller au respect des lois régissant le secteur de l’énergie, de préserver les intérêts des usagers du service public de l’énergie et de proposer à l’État des tarifs applicables dans le secteur, entre autres.

Agence d’information du Burkina
YOS/ata

𝐅𝐄𝐒𝐏𝐀𝐂𝐎 𝟐𝟎𝟐𝟓 : 𝐋𝐞 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐬𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐩𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐮 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞

𝐅𝐄𝐒𝐏𝐀𝐂𝐎 𝟐𝟎𝟐𝟓 : 𝐋𝐞 𝐓𝐜𝐡𝐚𝐝 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐬𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐩𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐮 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a reçu en audience, le mardi 28 janvier 2025, à Ouagadougou, une délégation tchadienne conduite par Abdoulaye Souleymane Babalé, Secrétaire général du ministère en charge de la Culture. La délégation a été présentée au Chef du Gouvernement par le ministre en charge de la Culture, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo. Cette rencontre a permis de faire un point d’étape des préparatifs de la 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), qui se tiendra du 22 février au 1ᵉʳ mars 2025.

Le FESPACO 2025 dont la République du Tchad est le pays invité d’honneur, c’est 235 films sélectionnés parmi 1351 œuvres provenant de 48 pays. C’est en vue de préparer la participation du Tchad à la fête du cinéma que la délégation tchadienne séjourne à Ouagadougou. Elle a eu des séances de travail avec le ministre Pingdwendé Gilbert Ouédraogo et les membres du Comité national d’organisation de la biennale du cinéma africain et de sa diaspora. De ces concertations, la délégation fait un bilan satisfaisant ouvrant la voie à une participation sereine des festivaliers tchadiens.

Le Premier ministre a exprimé à la délégation tchadienne la détermination des autorités burkinabè à assurer le succès de cette manifestation. Il a remercié le Président tchadien, le Maréchal Mahamat Deby Itno, pour avoir répondu favorablement à l’invitation fraternelle de son homologue burkinabè à prendre part au FESPACO 2025.

Le Secrétaire général du ministère en charge de la Culture du Tchad, Abdoulaye Souleymane Babalé, a salué les efforts du Burkina Faso pour réserver un excellent accueil aux festivaliers et souligné la mobilisation tchadienne pour cet événement. « Nous vivons une effervescence pré-FESPACO à N’Djaména. La population est très enthousiaste pour cette fête du cinéma à Ouagadougou », a-t-il déclaré.

Il a par ailleurs annoncé la participation d’une forte délégation officielle.

Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a insisté sur l’importance des détails dans l’organisation de l’évènement. Fort de cette instruction, le Comité national d’organisation s’active. À quelques jours de l’ouverture de la prestigieuse biennale, le ministre Pingdwendé Gilbert Ouédraogo a affirmé que les préparatifs avancent convenablement.

« La logistique, l’hébergement et les programmes des ateliers et masterclasses sont en place. Une conférence de presse sera prochainement organisée par le président du Comité national d’organisation pour partager les dernières informations. Le FESPACO sera jugé sur la qualité des moindres aspects. Les grandes lignes sont maîtrisées, mais nous devons redoubler d’efforts pour peaufiner chaque élément », a-t-il expliqué.

La tradition d’hospitalité du Burkina Faso ne sera pas trahie à cette édition du FESPACO. « Nous entendons réserver un accueil chaleureux à la forte délégation tchadienne et garantir des conditions optimales pour les réalisateurs et participants. Le Burkina Faso est mobilisé, au plus haut niveau, pour faire de ce FESPACO une réussite éclatante », a-t-il souligné.

Entre autres activités que mènera la délégation tchadienne lors du FESPACO, Abdoulaye Souleymane Babalé a annoncé l’installation d’un village culturel, dénommé « Village Tchad au FESPACO », destiné à mettre en lumière la diversité culturelle et le patrimoine touristique de son pays.

« Ce village sera une vitrine du Tchad en miniature, permettant aux festivaliers de découvrir nos richesses culturelles et touristiques », a-t-il affirmé.

Le FESPACO 2025 est placé sous le thème : «Cinémas d’Afrique et identités culturelles » et se distingue par une participation record avec 48 pays annoncés contre 35 à l’édition passée. Le festival est un espace d’échanges et de formations pour les professionnels et un bel exemple de la résilience et de la richesse culturelle du Burkina Faso.

𝐃𝐂𝐑𝐏/𝐏𝐫𝐢𝐦𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞

Bam : L’association Dignus et l’ONG Christian Aid viennent au secours des populations retournées de deux villages de Kongoussi

Bam : L’association Dignus et l’ONG Christian Aid viennent au secours des populations retournées de deux villages de Kongoussi

 Kongoussi, 24 janv. 2025 (AIB) – Le président du Comité technique d’appui (PCTA) de l’association Dignus, Pasteur Tegwendé Léonard Kinda, a annoncé jeudi à Kongoussi que l’association Dignus et son partenaire financier Christian Aid vont accompagner deux villages de la commune de Kongoussi à travers un projet visant à faciliter leur réinstallation.

Le Projet d’appui à la réinstallation et au renforcement de la résilience des populations retournées dans ces deux villages de la commune de Kongoussi, province du Bam couvre la période de novembre 2024 à avril 2025 et est financé à hauteur de 35 millions de FCFA. Il bénéficiera directement à environ 100 ménages, soit une population estimée à 1 500 personnes.

Cette initiative vise à améliorer la sécurité alimentaire, les moyens d’existence et la cohésion sociale au sein des communautés bénéficiaires. Concrètement, elle prévoit un appui pour l’élevage de caprins, la relance de la production maraîchère, la distribution de semences améliorées pour l’agriculture pluviale, ainsi qu’un renforcement des capacités et un suivi technique.

Par ailleurs, des activités de sensibilisation et des actions d’intérêt communautaire seront organisées pour renforcer la cohésion sociale à travers un plan d’action villageois communautaire.

M. Kinda s’exprimait ce 23 janvier 2025 lors de l’atelier de socialisation du projet, qui a réuni les leaders communautaires, notamment les chefs de village, présidents de CVD, représentants des organisations de femmes et de jeunes, structures de prévention et de gestion des conflits, services techniques concernés et autorités communales.

Pour Halimata Soré, habitante d’un des villages, ce projet sera une opportunité pour les femmes de relancer leurs activités économiques. « Le projet veut nous aider dans l’élevage en nous octroyant des animaux. Au niveau de la culture maraîchère également, il entend nous appuyer. C’est vraiment une opportunité pour nous », a-t-elle témoigné.

Le premier vice-président de la délégation spéciale de la commune de Kongoussi, Étienne Sawadogo, a salué l’initiative de l’association Dignus, la première du genre dans la zone. Selon lui, ce projet arrive à point nommé et contribuera à restaurer « la dignité humaine des populations des villages concernés ». Il a exhorté les bénéficiaires à tout mettre en œuvre pour assurer sa réussite.

En rappel, l’association Dignus et l’ONG Christian Aid sont membres de ACT Alliance, un réseau mondial d’Églises et d’agences d’Églises intervenant dans l’humanitaire, le développement et le plaidoyer.

Agence d’information du Burkina

AR/ata

Maroc-Etats Unis : Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio salue le leadership de Sa Majesté le Roi en faveur de la paix et de la sécurité

Maroc-USA-Coopération

Maroc-Etats Unis : Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio salue le leadership de Sa Majesté le Roi en faveur de la paix et de la sécurité

Ouagadougou, 28 Janv. 2025 (AIB)-Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio a salué lundi, le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en faveur de la promotion de la paix et de la sécurité régionales et internationales.

Dans un communiqué diffusé lundi à Washington à la suite d’un entretien téléphonique avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, le secrétaire d’Etat US a souligné l’importance du partenariat stratégique maroco-américain en faveur de la paix et de la sécurité régionales et internationales, saluant le leadership de Sa Majesté le Roi dans ce contexte.

Les discussions entre les deux parties ont également porté sur la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu à Gaza, la libération des otages ainsi que le leadership du Maroc dans l’acheminement de l’aide humanitaire aux Palestiniens, a indiqué le communiqué de la porte-parole du département d’Etat.

Le chef de la diplomatie américaine a, par ailleurs, fait part de la volonté des Etats-Unis d’intensifier la coopération avec le Maroc pour faire progresser les intérêts communs dans la région et mettre fin aux conflits, notamment dans le cadre des Accords d’Abraham.

Au cours de cet entretien, MM. Rubio et M. Bourita ont, en outre, insisté sur l’importance du renforcement des échanges commerciaux et des investissements entre les deux pays au bénéfice des deux peuples, conclut le communiqué du département d’Etat.

Agence d’information du Burkina
En collaboration avec la MAP

Sécurité alimentaire : Un projet lancé pour renforcer la résilience de 150 ménages vulnérables

BURKINA-GOURMA-AGRICULTURE-SECURITE-PROJET-LANCEMENT

Sécurité alimentaire : Un projet lancé pour renforcer la résilience de 150 ménages vulnérables

Fada N’Gourma, (AIB)-Le secrétaire général de la région de l’Est, Siaka Ouattara, a lancé, le mardi 28 janvier 2025 dans la cité de Yendabili, l’atelier technique du projet de renforcement de la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et d’accroissement des revenus, au profit de 150 ménages vulnérables dans les communes de Fada N’Gourma, Tibga et Piéla.

Au regard du contexte actuel marqué par l’insécurité qui a occasionné des déplacements massifs des populations et des besoins exprimés par les bénéficiaires dans les communes de Bilanga et de Piéla dans la Gnagna, le partenaire en collaboration avec OCADES SED de Fada, a décidé d’apporter un nouveau financement pour la 2e phase du projet.

Le lancement de l’activité a eu lieu le mardi 28 janvier 2025 à Fada N’Gourma.
Selon le secrétaire général de la région de l’Est, Siaka Ouattara, la 2e phase sera mis en œuvre dans les provinces du Gourma et de la Gnagna, avec pour objectif global de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et des revenus de 150 ménages vulnérables ciblés dans la zone d’intervention du projet.

Il a ajouté que les bénéficiaires indirects sont les habitants de 15 villages cibles du projet dont le nombre est estimé à 75 015 individus y compris les prestataires.
Pour le secrétaire exécutif de l’OCADES SED de Fada, l’abbé Landry Yaogo, a indiqué le projet intervient dans la restauration/fertilisation des sols et la promotion de bonnes pratiques nutritionnelles.

Il a également cité le domaine d’accroître le niveau de revenus des ménages vulnérables par la recapitalisation de la volaille de race locale et la promotion par de la méthodologie Communauté d’épargne et crédit interne (CECI/SILC) avec les femmes de la zone d’intervention.
Le vicaire général, l’abbé Théophane Tindano, a s’est réjoui du fait que le diocèse de Fada N’Gourma accueille le projet qui incarne les valeurs fondamentales de leur foi chrétienne et leur enseigne à aimer leur prochain et à tendre la main à ceux qui sont dans le besoin pour exprimer leur générosité.

« C’est une immense joie pour la commune de Piéla d’accueillir ce projet. C’est un ouf de soulagement au regard des Personnes déplacées internes (PDI) que Piéla a accueillies à cause de l’hydre terroriste », s’est exprimé la 2e vice-présidente de la délégation spéciale de Piéla, Bahanla Damolga/Lankoandé.

Elle a relevé que le projet va soulager les PDI sur le plan alimentaire et sur celui de l’accroissement des revenus.
« C’est un grand soulagement pour les femmes PDI car beaucoup de ces femmes sont devenues des cheffes de ménages parce que leurs époux les ont fuies à cause l’insécurité », a-t-elle dit.

Pour le président de la délégation spéciale de Tibga, Toumané Sankaré, ce projet aura un impact sur ses populations.
Il a affirmé qu’il va permettre à ses populations d’améliorer leurs productions agricoles et de s’auto prendre en charge.
Ce projet est financé par MISEREOR/Allemagne et va coûter plus de 220 millions de F CFA pour une durée de 03 ans dont 01 pour le suivi, la consolidation de ses acquis et la préparation pour une autre phase.

Agence d’information du Burkina
KAC/hb/yo

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