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Allégations contre les Forces armées burkinabè: Convocation du chargé d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique

Allégations contre les Forces armées burkinabè: Convocation du chargé d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique

Ouagadougou, 2 mai 2024(AIB)-Le chargé d’affaires de l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique au Burkina Faso, Eric P. Whitaker, a été convoqué jeudi soir par le ministère des Affaires étrangères, a appris l’AIB de sources proches du dossier.

Cette convocation fait suite à la publication d’une déclaration conjointe des Etats-Unis d’Amérique et du Royaume-Uni, reprenant les accusations de massacres de civils, formulées par l’ONG Human Rights Watch (HRW) contre les Forces combattantes burkinabè.

Eric P. Whitaker s’est vu remettre une note verbale contenant la réaction du gouvernement burkinabè en rapport avec la déclaration conjointe.

Selon nos sources, une autre note verbale a été envoyée au Haut-commissariat du Royaume-Uni au Burkina Faso avec résidence à Accra au Ghana.

Dans les deux documents, le Burkina Faso s’étonne que les Etats-Unis d’Amérique et le Royaume-Unis, habituellement attachés à la rigueur scientifique, réagissent sur la base d’un rapport aux conclusions hâtives.

Le Burkina Faso réitère que le rapport de HRW est un pamphlet en manque de crédibilité tant au niveau de la méthodologie de l’enquête que des données utilisées pour aboutir à ses conclusions.

Ouagadougou rappelle avoir ouvert des enquêtes qui suivent leurs cours, suite aux allégations de violations et d’abus de droits humains.

Le Pays des Hommes intègres réaffirme le professionnalisme de ces Forces combattantes et dit attendre de la communauté internationale, un soutien franc et sincère.
Agence d’information du Burkina
NB : Photo d’archive et d’illustration

SNC 2024 : Drissa Zon du Houet est le nouveau roi de l’arène de la lutte traditionnelle

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SNC 2024 : Drissa Zon du Houet est le nouveau roi de l’arène de la lutte traditionnelle

Bobo-Dioulasso 2 mai 2024 (AIB) – Le lutteur du Houet dans les Haut-Bassins Drissa Zon a remporté jeudi à Bobo-Dioulasso, le tournoi de lutte de la Semaine nationale de la culture (SNC) en battant une des figures de proue de lutte dans le Nayala, Karim Bazongo, a constaté l’AIB sur place.

Coup de tonnerre dans l’arène du plateau omnisport du stade Wobi de Bobo-Dioulasso. Drissa Zon vient de terrasser le redoutable Karim Bazongo, bien connu dans le Nayala et dans le championnat national burkinabè.

C’est par ce geste tranchant que Drissa Zon a terrassé Karim Bazongo

En moins d’une minute Zon avait fait le boulot. Il a placé une attaque tranchante qui a fait mordre le sable de l’arène, Bazongo. « J’ai préparé mon combat il y a deux mois de cela. Je ne suis donc pas étonné de ma victoire. Je sais qu’il est fort, j’ai utilisé une technique dont j’ai le secret pour pouvoir le gagner », a déclaré le champion 2024 en lutte de la SNC Drissa Zon.

Plusieurs autres finales se sont déroulées dans plusieurs catégories dans les deux sexes. 232 lutteurs de toutes les régions ont pris part aux compétitions dont 80 dames 152 hommes.

Les compétitions se sont déroulées du 29 avril au 2 mai avec 356 combats. La SNC est prévue pour se dérouler du 27 avril au 4 mai 2024.
Agence d’information du Burkina
As/ata

SNC 2024 : Les Forces Armées Nationales exposent leur savoir littéraire

SNC 2024 : Les Forces Armées Nationales exposent leur savoir littéraire

Bobo-Dioulasso 2 mai 2024 (AIB)- La 21e Edition de la Semaine Nationale de la Culture (SNC) se poursuit avec une participation remarquable des Forces Armées Nationales, qui exposent leur contribution littéraire au sein du site de la Chambre de Commerce, dédié aux activités littéraires.

Au cœur de cet espace l’armée a dévoilé environ une centaine de livres écrits par des membres des forces armées nationales. Ces œuvres, variées et riches en contenu, couvrent des thèmes allant de la politique à l’histoire en passant par la société contemporaine. Le coût moyen de chaque œuvre est estimé à 3000 francs CFA

Le Lieutenant-Colonel William Combary, un écrivain militaire chevronné avec 12 œuvres littéraires à son actif, a partagé quelques mots sur cette initiative. « Ces livres sont le fruit de notre engagement envers la culture et l’éducation, et nous espérons qu’ils contribueront à enrichir le patrimoine littéraire du Burkina Faso », a-t-il déclaré.

En exposant leur savoir littéraire à la SNC 2024, les forces armées nationales affirment leur place dans le paysage culturel du Burkina Faso et démontrent une fois de plus leur engagement envers le développement intellectuel et artistique de la Nation.

Agence d’information du Burkina
ASS/ata

Promotion touristique : Le journaliste Nida Ouédraogo invite le Burkina à emboiter les pas de la Chine

Burkina-Chine-Touristique-Culture

Promotion touristique : Le journaliste Nida Ouédraogo invite le Burkina à emboiter les pas de la Chine

Ouagadougou, 2 mai 2024 (AIB)- Le journaliste agencier Nida Ouédraogo à l’AIB a exhorté jeudi, les autorités burkinabè à emboîter les pas de la Chine, en matière de développement touristique, en vue de la création d’emplois pour les jeunes.

Le journaliste Nida Ouédraogo à l’Agence d’information du Burkina (AIB) a séjourné du 8 au 24 avril 2024, en République populaire de Chine, dans le cadre d’un séminaire de formation sur le développement économique, culturel et touristique du pays.

Au cours de son séjour, il a visité, entre autres, la grande muraille de Chine, l’île d’Orange, les musées du temple du ciel et celui du cinéma de Chine.
Au vu des différents sites, M. Ouédraogo a invité les autorités à emboîter les pas de la deuxième puissance économique au monde (Chine) pour promouvoir le tourisme burkinabè.

Le journaliste reporter de l’AIB a également expliqué que cette valorisation des sites touristiques va permettre de créer de nombreux emplois pour la jeunesse.
«Il faut rendre attractifs nos sites culturels et touristiques dans l’optique d’inciter beaucoup de visiteurs nationaux et étrangers à les fréquenter», a-t-il souhaité.
Selon lui, la Chine reste un cas d’école en matière de développement touristique et culturel pour le Burkina Faso.

M. Ouédraogo a fait remarquer que le pays regorge de diverses sites tels que les Cascades de Banfora, les pics de Sindou, les ruines de Loropéni, la mare aux caïmans sacrés de Sabou, mais restent peu fréquentés.

Bien que l’insécurité soit un facteur à prendre en compte, le journaliste a indiqué que la promotion de ces sites récréatifs demeure une nécessité pour l’économie nationale.

Nida Ouédraogo a, enfin, appelé les décideurs politiques à adopter des politiques de valorisation des sites touristiques du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina
MJR/zo/yos/ck

Sissili : Une délégation de la faîtière des caisses populaires du Burkina rend visite aux autorités locales

Burkina- Sissili-Faîtière-Visite

Sissili : Une délégation de la faîtière des caisses populaires du Burkina rend visite aux autorités locales

Léo, (AIB)- La directrice générale de la  Faîtière des caisses populaires du Burkina, Azaratou Sondo/Nignan et les membres du Conseil d’administration ont rendu visite aux autorités locales de Léo, le vendredi le 26 avril 2024, en marge de la tenue de la 1ere réunion ordinaire du conseil d’administration, au titre de l’année 2024.

Une visite de courtoisie aux autorités locales de Léo a  été effectuée le vendredi le 26 avril 2024 par une délégation conduite par La directrice générale de la  Faîtière des caisses populaires du Burkina (FCPB), Azaratou Sondo/Nignan.

La directrice générale de la FCPB, Mme Sondo et ses collaborateurs ont informé les autorités locales de la tenue le samedi 4 mai 2024 à Léo, dans la province de la Sissili, de l’assemblée générale constitutive de la caisse populaire de ladite localité.

Pour ce faire, elle a demandé  leur accompagnement pour la mobilisation communautaire et l’adhésion de membres.

« Nous mettons à profit  cette rencontre pour aller présenter nos civilités aux autorités locales et solliciter leur accompagnement et bénédictions pour la bonne tenue de nos travaux », a soutenu le Président du conseil d’administration(PCA) de la FCPB, Moussa Lankoandé.

Selon lui, les autorités administratives, coutumières et militaires  ont été satisfaites de la visite.

 

 

 

La délégation a été rassurée de l’entière disponibilité de la population à toujours les accompagner dans la mise en œuvre réussie de leurs actions.

Le haut- commissaire de la Sissili, Tewendé Isaac Sia, a remercié la délégation pour le choix porté sur la ville de Léo pour la tenue de la 1ère réunion ordinaire du conseil d’administration de la faîtière au titre de l’année 2024.

  1. Sia a traduit l’engagement de sa province à soutenir les activités au niveau provincial.

Le réseau des caisses populaires du Burkina est membre du grand réseau de l’Afrique de l’Ouest qui regroupe cinq pays. L’objectif visé à travers sa création est de promouvoir le développement endogène, à travers les produits et services offerts aux membres.

Leader au Burkina- Faso, le réseau des caisses populaires compte 35 caisses, plus de 200 points de vente avec un million de membres, à travers le pays. Le montant total de crédits accordés aux membres du réseau  s’élève à 124 milliards FCFA.

Agence d’information du Burkina

OAN/no/ck

 

Le ministre Sorgho menace de résilier le contrat du chantier Dandé-Kourouma

Burkina-Infrastructure-Chantier

Le ministre Sorgho menace de résilier le contrat du chantier Dandé-Kourouma

Ouagadougou, 02 mai 2024 (AIB) – Le ministre des Infrastructures et du désenclavement, Adama Luc Sorgho a exprimé son mécontentement à la suite d’une visite surprise sur le chantier de construction et de bitumage de la route Dandé-Kourouma, long de 30km.

«Ce n’est pas encourageant, le taux d’exécution qui est de 7% contre un délai consommé de 41% prouve que les travaux n’avancent pas», a déclaré le ministre, s’est offusqué le ministre Adama Luc Sorgho.
«On peut dire à la limite que le chantier est à l’abandon parce qu’aucun engin n’a été constaté sur le chantier», a-t-il ajouté.

Pour sa défense, selon le ministre, l’entreprise invoque un problème de sécurité que le ministre dit ne pas être au courant car la pratique commande de l’informer par écrit pour signaler toutes les difficultés liées à l’exécution des travaux.

Le ministre a invité le prestataire à lui notifier par écrit la difficulté en question afin qu’il saisisse les Forces de défense et de sécurité pour trouver une solution.
A défaut, si les lignes ne bougent pas, a prévenu le ministre en charge des Infrastructures, Adama Luc Sorgho, le contrat sera résilié à la prochaine visite.
Ce marché, d’un montant de 8,092 milliards FCFA avait été attribué en 2022 à un groupement de trois entreprises pour un délai d’exécution de 15 mois.

L’attribution du marché avait été attaquée, dans un premier temps, par une entreprise concurrente devant l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP) avant de connaitre d’autres difficultés de type administratif, ce qui avait retardé son exécution.

Lors de son passage en décembre 2023, le ministre Sorgho s’était déjà inquiété du retard pris sur le chantier.

Agence d’Information du Burkina
YOS/ck

Burkina : La sécurité dans l’AES constitue une nécessité existentielle de toute la sous-région, ministre

Burkina-Coopération-Diplomatie

Burkina : La sécurité dans l’AES constitue une nécessité existentielle de toute la sous-région, ministre

Ouagadougou, 2 mai 2024 (AIB)- Le ministre en charge des Affaires étrangères, Karamoko Jean Marie Traoré, a indiqué, mardi à New York, que la résolution de la crise sécuritaire au Burkina Faso et dans l’Alliance des Etats du sahel (AES), constitue un passage obligatoire pour la survie de toute la sous-région.

«La résolution de la crise sécuritaire au Burkina Faso et dans l’AES, est un passage obligatoire pour assurer la survie même de toute l’Afrique de l’Ouest», a déclaré le ministre en charge des Affaires étrangères, Karamoko Jean Marie Traoré.

Le chef de la diplomatie burkinabè, lors d’une audience avec la secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix des Nations unies, Mme Rosemary Anne Dicarlo, a exposé ce mardi 30 avril 2024, la situation qui prévaut au Burkina Faso, au Mali et au Niger.

Karamoko Jean Marie Traoré a expliqué à la diplomate onusienne l’attitude de la communauté internationale face à la guerre que mènent les pays de l’AES contre le terrorisme.

«La situation que nous vivons n’est pas évaluée avec justesse ; c’est une crise négligée alors qu’elle devrait interpeller le monde entier. Nous ne nous sentons pas écoutés et quand nous sommes écoutés nous ne sommes pas compris», a-t-il déploré.

D’où l’appel du ministre Traoré à la communauté internationale, d’avoir une bonne compréhension de la situation que travers ces pays.

Le ministre Traoré a, par ailleurs, relevé que c’est l’absence de solidarité de la CEDEAO vis-à-vis des pays en crise qui a poussé les trois Etats à prendre leur responsabilité en créant l’AES, en vue de mutualiser leurs forces pour combattre le terrorisme.

Agence d’information du Burkina

ZO/NO

Enseignement supérieur au Burkina : lecture croisée entre l’enseignement burkinabè et l’enseignement russe

Enseignement supérieur au Burkina : lecture croisée entre l’enseignement burkinabè et l’enseignement russe

Ouagadougou, (AIB)-L’association russo-burkinabè « African Initiative » a organisé le jeudi 18 avril 2024 une table ronde à l’Université Joseph Ki-Zerbo (UJKZ) sur l’enseignement supérieur au Burkina Faso. Des panelistes ont dépeint l’enseignement burkinabè en présentiel et en visioconférence devant près de cent étudiants.

 Cette table ronde qui a réuni plusieurs étudiants de différentes filières à l’UJKZ sur le thème « Enseignement supérieur et professionnel en cours au Burkina Faso: la situation actuelle et perspectives. L’expérience de la Russie » entre dans le cadre de la coopération entre le Burkina Faso et la Russie.

Dans le domaine de l’enseignement supérieur, le paneliste Jules César Wangré, géologue a intervenu sur le volet scientifique a recommandé la création des unités de valorisation professionnelle pour compléter les UFR de formation et de recherche.

Pour lui, la création d’une plateforme qui réunit les intelligences pourra aider à aller vers la transformation tout en profitant des expériences des uns et des autres.

Il a en outre recommandé la création d’un cadre de réflexion entre le Burkina Faso et la communauté géo- scientifique russe pour que la formation supérieure au Burkina soit accompagnée de la pratique comme c’est le cas en Russie.

 

Chybin Vladimir, un des panelistes qui a intervenu en visio-conférence a fait savoir qu’en Russie, les étudiants sont intégrés dans la vie professionnelle juste après leurs études parce que l’enseignement allie  théorique et pratique.

« Les étudiants du Burkina Faso étudient dans des conditions pénibles avec le système français qui ne produit pas de bons résultats », a indiqué Issiaka Ouédraogo, membre du comité d’organisation.

Pour résoudre ces problèmes liés à la formation professionnelle, l’association russo-urkinabè « African initiative » invite les autorités du Burkina Faso à coopérer avec la Russie dans le domaine de l’enseignement supérieur afin de faciliter l’insertion professionnelle des étudiants en fin de cycle.

Agence d’information du Burkina

 

 

SNC2024/Tir à l’arc : Lamou Célestin Ky de la Boucle du Mouhoun plus adroit que tous

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SNC2024/Tir à l’arc : Lamou Célestin Ky de la Boucle du Mouhoun plus adroit que tous

Bobo-Dioulasso, 2 mai 2024 (AIB) – L’archer Lamou Célestin Ky du Nayala dans la région de la Boucle du Mouhoun a remporté jeudi à Bobo-Dioulasso la compétition du tir à l’arc de la Semaine nationale de la culture dans la catégorie pool adultes hommes, a constaté l’AIB sur place.

Le tireur du Nayala Lamou Ky a engrangé au total 13 points sur 60 sur ses deux passages sur la ligne de tir. Il a récolté 6 points à son premier passage et 7 points au second, détrônant ainsi le vainqueur de l’année dernière Patrice Débé, auteur d’une surprenante contreperformance lors de ses passages sur la ligne de tir. Tous ses tirs se sont terminés hors cadre.

les compétitions ont été âprement disputées au stade Wobi

« J’échoue chaque année que je viens à cette compétition à la SNC mais je ne me suis jamais découragé. J’ai travaillé dur cette année avant de venir. Celui que j’ai succédé vient du Nayala », a dit le grand vainqueur du jour, du concours du tir à l’arc, Célestin Ky.

Au niveau de la catégorie pool dames c’est Sib Pahirèna de Gaoua dans le Sud-ouest qui a ravi la vedette à ses concurrentes. Elle a marqué 6 points sur 60 possible.

Dans la catégorie pool jeunes garçons c’est Houkoune Hien du Sud-Ouest qui a été plus adroit que tous. Il a engrangé 28 points, soit 15 au premier passage et 13 au second. Il dit s’être bien préparé avec du matériel adapté pour ces genres de compétition. Chez les filles c’est Wiè Dabiré qui a été championne.

Beaucoup de régions ont été représentées dans cette compétition du tir à l’arc

Le président du jury du tir à l’arc Pierre Badiel juge faible le niveau de la compétition cette année. « Le niveau n’est pas du tout bon », a-t-il dit mentionnant que c’est au niveau des jeunes que c’est acceptable avec le premier qui a récolté 28 points contre 13 chez les adultes hommes.

« C’est dû au fait qu’il n’y a pas eu assez d’entrainement. Lors des régionales il y a eu un peu de laxisme. Il y a des archers qui n’ont même pas tiré mais qui ont été qualifiés. D’autres n’ont même pas touché la cible mais qui ont été qualifiés », a expliqué le président du jury Pierre Badiel.

Il a relevé qu’il faut que les archers s’entrainent mieux et que les jurys de sélection dans les régions soient plus rigoureux pour les prochaines éditions. « Si le résultat est infructueux, qu’on déclare infructueux et on continue », s’est-il plaint.

Les organisateurs de la compétition ont fait savoir que les résultats officiels seront proclamés par la suite après une minutieuse vérification. La finale au niveau de la lutte, l’autre compétition sportive de la SNC, se déroule ce jeudi soir (15h30) dans l’arène du stade Wobi.

La SNC Bobo 2024 se déroule du 27 avril au 4 mai.
Agence d’information du Burkina
as/ata    

Nahouri : Début de vente de vivres à prix social pour les populations de la commune de Pô

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Nahouri : Début de vente de vivres à prix social pour les populations de la commune de Pô

Pô, (AIB) – La commune de Pô a bénéficié de 20 tonnes de vivres en ce début du mois de mai 2024, à vendre à prix social. La vente de ces vivres composés essentiellement de maïs, a débuté ce jeudi 02 mai 2024.

La commune de Pô a bénéficié de 20 tonnes de vivres composés essentiellement de maïs. La vente a commencé ce jeudi 02 mai 2024.

Sont  prioritaires, les personnes âgées, celles vivant avec un  handicap, les personnes vulnérables et les Personnes déplacées internes (PDI).

Le prix de vente est de 6 000 F CFA le sac de 50kg.

Vue l’engouement et la demande très forte, les populations souhaitent un approvisionnement régulier de ces vivres.

Pour elles, ces vivres viennent soulager surtout les personnes vulnérables de la province du Nahouri.

Il faut noter que les communes de Tiébélé,  de Zecco et de Ziou avaient bénéficié de 20 tonnes de maïs chacune en début d’année 2024.

Agence d’informations du Burkina

HKO/hb/bz

De hauts responsables des États membres se réunissent pour préparer le sommet de l’OCI en Gambie

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De hauts responsables des États membres se réunissent pour préparer le sommet de l’OCI en Gambie

Ouagadougou, 2 mai 2024 (AIB)-La réunion préparatoire de la quinzième session de la Conférence islamique au sommet a débuté mardi 30 avril 2024 à Banjul, la capitale de la République de Gambie, où se tiendra la Conférence islamique au sommet les 4 et 5 mai 2024.
L’objectif de la réunion est de discuter des documents de la session et de présenter son rapport à la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères, qui, à son tour, présentera un rapport à la Conférence islamique au sommet.

Au début de la réunion, Son Excellence le Conseiller au Ministère des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie saoudite pour les affaires multilatérales internationales, Dr Abdullah Al Tayer, a prononcé un discours au nom de son pays en tant que Président de la Conférence islamique au Sommet de sa quatorzième session.
Il a passé en revue les efforts, les initiatives et les réalisations dans les activités économiques, scientifiques, et les nombreuses conférences dans divers secteurs organisées par le Royaume au cours de sa présidence de la session précédente, exprimant son soutien aux efforts du Secrétariat général de l’Organisation de la coopération islamique.
Pour sa part, M. Lang Yabou, Secrétaire permanent aux Affaires étrangères de la Coopération internationale de la Gambie, a exprimé, au nom de son pays, qui accueille la quinzième session de la Conférence islamique au Sommet, sa bienvenue aux délégués des États membres, confirmant que son pays déploie tous ses efforts pour assurer le succès de la session tenue sous le thème « Renforcer l’unité et la solidarité par le dialogue pour le développement durable ».
Le Sous-Secrétaire général de l’OCI pour les affaires politiques, M. Yousef AlDobeay, a prononcé un discours dans lequel il a adressé ses sincères félicitations à la République de Gambie pour son accession à la présidence de cette session, remerciant une fois de plus le gouvernement gambien pour les excellentes dispositions prises pour accueillir ce sommet.
Il a également exprimé sa profonde appréciation et sa gratitude au Royaume d’Arabie saoudite pour ses efforts et initiatives précieux et appréciés au cours de sa présidence du quatorzième Sommet islamique, réaffirmant son ferme engagement en faveur de l’action islamique commune et de la mission de l’OCI.
AlDobeay a salué tout le soutien apporté par le Royaume à l’OCI en tant que pays hôte, sous les auspices et l’empressement du Serviteur des Deux Saintes Mosquées, le roi Salman bin Abdulaziz Al Saoud, et de Son Altesse Royale le Prince héritier et Premier ministre Mohammed bin Salman.
Le Sous-Secrétaire général a précisé que ce sommet, qui se tenait à un moment critique, a été témoin de développements d’une grande importance pour diverses questions inscrites à l’ordre du jour de l’OCI, au premier rang desquelles la question palestinienne, la question centrale de l’organisation.
« Le Sommet discutera, en plus des documents du sommet, des questions de paix, de sécurité, de sociétés et de minorités musulmanes dans les États non membres, ainsi que des questions juridiques, humanitaires, sociales, culturelles, économiques, scientifiques, technologiques, médiatiques, administratives et financières », a-t-il déclaré.
Le Sommet de Banjul représente une occasion unique pour les États membres de l’OCI de renforcer leur coopération en vue de renforcer l’action islamique commune et de s’engager dans un dialogue constructif sur les questions et les défis mondiaux auxquels la nation islamique est confrontée.
Agence d’information du Burkina
En collaboration avec l’UNA

Les syndicats burkinabè réagissent aux propos colonialistes du général français Lecointre

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Les syndicats burkinabè réagissent aux propos colonialistes du général français Lecointre

Ouagadougou, 2 mai 2024 (AIB)– L’Unité d’action syndicale (UAS) qui regroupe les centrales syndicales et les syndicats autonomes du Burkina, a dénoncé les propos du général français François Lecointre, appelant l’Europe à ré-administrer les pays d’Afrique dans les années à venir.

«Les récents propos tenus par le Général Lecointre, ancien chef d’Etat-major de la France traduisent bien la volonté de la France impérialiste de défendre ses intérêts par la guerre s’il le faut», a écrit l’UAS dans son message à l’occasion de la journée internationale du Travail.

«Fort heureusement, on note aussi une prise de conscience grandissante des populations de cette situation et la quête d’un changement en leur faveur», ajoutent les syndicats burkinabè.

Cette année, la célébration du 1er mai se tient au plan international dans un contexte marqué par l’approfondissement de la crise du système capitaliste impérialiste. Celle-ci se traduit sur le plan militaire par la multiplication des foyers de guerres autour des intérêts géostratégiques des puissances impérialistes.

Selon eux, le contexte international est marqué par «l’approfondissement de la crise du système capitaliste impérialiste», ce qui se traduit sur le plan militaire par la multiplication des foyers de guerres autour des intérêts géostratégiques des puissances impérialistes.

«Les rivalités inter-impérialistes constituent une des causes et un des ferments du terrorisme dans le monde», note encore l’UAS.

L’Unité d’action syndicale exprime toute sa solidarité aux travailleurs et aux peuples en lutte partout dans le monde pour la liberté, la justice, le droit à la vie et pour de meilleures conditions de vie et de travail.

L’UAS a en outre exprimé sa solidarité aux «travailleurs et aux peuples en lutte partout dans le monde pour la liberté, la justice, le droit à la vie»

En octobre 2022, l’UAS avait également demandé le départ de toutes les forces militaires étrangères et notamment françaises, dénonçant la «domination impérialistes» et «les accords léonins de coopération militaire et économique qui lient (le Burkina Faso) à la France».

Depuis, les quelque 400 soldats français de l’opération Sabre, installée discrètement au Burkina depuis 2009, ont quitté le pays, officiellement en février 2023.

Le pouvoir du capitaine Traoré a aussi dénoncé de vieux accords néocolonialistes avec la France et renvoyé chez eux les diplomates français qui s’adonnent à des actions jugées déstabilisatrices pour le Pays des hommes intègres.

Agence d’Information du Burkina

Houet/Fête du travail : L’UAS section Hauts-Bassins commémore à travers un meeting

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Houet/Fête du travail : L’UAS section Hauts-Bassins commémore à travers un meeting

Bobo-Dioulasso, (AIB)-L’Unité d’action syndicale (UAS), section des Hauts-Bassins a tenu un meeting à la Bourse du travail de Bobo-Dioulasso, le 1er mai 2024, pour célébrer fête du travail.

Des travailleurs se sont rendus à la Bourse du travail de Bobo-Dioulasso, le 1er mai 2024, pour célébrer la fête du travail.

Munis de banderoles, ils y ont tenu un meeting au cours duquel l’Unité d’action syndicale (UAS) a livré son message à l’adresse du monde des travailleurs.

Ce message lu par le secrétaire général du Syndicat national des personnels d’administration et de gestion de l’éducation et de la recherche, (SYNAPAGER), Kalifa Ouattara, les syndicats ont dépeint la situation internationale, africaine  et nationale, et les conditions de vie des travailleurs.

Après avoir fait un tour d’horizon de la situation nationale, les syndicats se sont réjouis au niveau de la région des Hauts-Bassins de l’aménagement des juridictions au palais de justice de Bobo-Dioulasso rénové.

En 2018 les syndicats  avaient exigé  la résiliation  des contrats  de bail  de certaines juridictions de Bobo-Dioulasso, et la réhabilitation du palais de justice de la ville de Sya.

L’UAS  exige toujours la délocalisation de certaines cimenteries  parce qu’elles  sont, selon elle, implantées  sur les zones  protégées  de la rivière Kou  mettant en danger, dit-elle, la vie  des populations  de la ville  et du pays  par les risques  de pollution  de la nappe phréatique.

En outre, les syndicats ont dénoncé la vie chère  consécutive  à la flambée des prix  des produits céréaliers liés à la guerre en Ukraine et à la  l’impossibilité pour de nombreux paysans de produire du fait de l’insécurité, aux retenues sur les salaires et les indemnités des travailleurs, a l’instauration des taxes sur les consommations de boisson, de tabac ou de téléphonie.

Elle a également fustigé les coupures d’eau et  les délestages  qui causent de  nombreux préjudices aux acteurs de l’économie notamment ceux évoluant dans les domaines de la construction métallique, de la vente des produits laitiers de la poissonnerie et de charcuterie.

La coordination des Hauts-Bassins de l’UAS a alors invité ses militants à plus de détermination dans leurs luttes  contre l’impunité, la corruption, la fraude et pour les libertés.

Agence d’information du Burkina

AD/hb/bz

Houet/13e édition du Prix Burkinabè de la Qualité : L’ABNORM sensibilise les acteurs à Bobo-Dioulasso 

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Houet/13e édition du Prix Burkinabè de la Qualité : L’ABNORM sensibilise les acteurs à Bobo-Dioulasso 

Bobo-Dioulasso, (AIB)-L’Agence burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM) a organisé, le lundi 29 avril 2024 à Bobo-Dioulasso, un atelier d’information et de sensibilisation des acteurs sur l’importance de la participation à la 13e édition du Prix Burkinabè de la Qualité (PBQ).

Les acteurs socio-économiques ont une faible connaissance au niveau national du concours « Prix burkinabè de la qualité » et de ses enjeux.

Pour remédier à cet état de fait, l’Agence burkinabè de normalisation, de la métrologie et de la qualité (ABNORM) a organisé un atelier de sensibilisation afin d’équiper ces différents acteurs pour mieux susciter la participation des Parties Intéressées Pertinentes (PIP) au concours Prix Burkinabè de la Qualité.

L’atelier s’est tenu le lundi 29 avril 2024 à Bobo-Dioulasso.

Selon le directeur général de l’ABNORM, Habraham Somda, cette session d’information et de sensibilisation est une initiative « novatrice » qui a pour objectif de renforcer les capacités en matière de Normalisation, de certification mais aussi et surtout sur le PBQ.

Plus spécifiquement, il vise à faire connaitre le PBQ aux PIP de l’ABNORM, susciter la participation des PIP à la 13e édition du PBQ, améliorer la promotion de la qualité.

La 13e édition du PBQ connaitra des innovations comparativement aux précédentes.

En plus des trophées et des attestations, a indiqué M. Somda, les prix seront accompagnés de packages, de prix en numéraire, des récompenses de participation à des foires ou des certifications pour les petites entreprises.

En effet, à l’en croire, ce prix est d’autant plus important qu’à l’état actuel, le déficit de qualité des produits et services constitue l’un des freins majeurs à la compétitivité des entreprises tant au plan national qu’international.

Ainsi, l’une des actions entreprises par l’ABNORM consiste à la réalisation d’actions de promotion de la qualité à l’endroit des décideurs, des entreprises, de la société civile.

D’où la tenue régulière du Prix Burkinabè de la Qualité qui vise à encourager les entreprises à mettre en place la démarche qualité afin d’améliorer la qualité des produits et services.

C’est pourquoi, il a invité les entreprises, des plus grandes au plus petites à adhérer pleinement aux activités de l’ABNORM et à participer activement à la promotion de la qualité dans le pays pour leur propre intérêt, celui des consommateurs et partant de l’économie nationale.

Par ailleurs, le directeur général de l’ABNORM, a exhorté les participants à l’atelier à s’investir pleinement pour des échanges fructueux sur les différents modules qui seront traités.

Pour sa part, Moïbo Basile Somé, représentant d’une société à la rencontre, a salué cette démarche de l’ABNORM.

Selon lui, les entreprises ne participent pas parce qu’elles ne connaissent pas la quintessence de ce concours.

« Les précédentes éditions, nous recevions uniquement la documentation. Ensuite, à la télé et à la radio, nous suivions les spots », a fait savoir M. Somé.

C’est pourquoi, il a salué cette approche de venir en contact pour donner aux acteurs l’information sur le PBQ. Toute chose qui pourra accroitre la participation des entreprises au concours, foi de Basile Somé.

Il s’est dit convaincu que beaucoup d’entreprises pourront y adhérer après cette séance de sensibilisation.

En rappel, les rencontres vont se poursuivre à Koudougou et Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina

BJMT/hb/bz      

Houet/SN-CITEC : Le président de l’ALT salue la résilience de la société

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Houet/SN-CITEC : Le président de l’ALT salue la résilience de la société

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le président de l’Assemblée législative de Transition (ALT), Dr Ousmane Bougouma, a visité le lundi 29 avril 2024, les installations de la Société nouvelle d’huilerie et de savonnerie (SN-CITEC) à Bobo-Dioulasso.

La Société nouvelle d’huilerie et de savonnerie (SN-CITEC)  a reçu la visite d’un invité de marque.

Il s’agit du président de l’Assemblée législative de  Transition (ALT), Dr Ousmane Bougouma.

Accompagné de parlementaires, Dr Bougouma  a visité les installations de la SN-CITEC à Bobo-Dioulasso ce lundi 29 avril 2024. A pas de course, le président de l’ALT a parcouru les installations industrielles de l’huilerie et de savonnerie de la SN-CITEC.

De l’atelier de conditionnement de l’huile, à l’atelier de savonnerie, le chef du parlement de la Transition a pu s’imprégner des processus de fabrication, de l’huile, du savon, et des coproduits (aliments de bétail et tourteaux de coton et soja).

La station de traitement des eaux et le laboratoire de contrôle qualité ont été aussi visitées par M. Bougouma.

Au terme de la visite, il s’est dit satisfait de ce qu’il a pu constater.

«Nous avons constaté une équipe dynamique composée exclusivement de Burkinabè qui travaille nuit et jour pour transformer des produits locaux  et mettre à la disposition du consommateur des produits de qualité », a-t-il fait savoir.

Malgré les difficultés, a souligné Dr Bougouma, la SN-CITEC arrive toujours à mettre sur le marché les produits de qualité.

La SN-CITEC est une unité industrielle qui tourne à peine à 40% de sa capacité de production qui, malgré tout, engendre des bénéfices, a-t-il indiqué.

C’est pourquoi, Dr Bougouma a salué la résilience de la doyenne des industries burkinabè qui a résisté au temps depuis sa création en  1941.

Dr Ousmane Bougouma a dit reconnaitre le mérite des pionniers qui ont maintenu depuis lors le flambeau allumé malgré les tempêtes de tous ordres venant de  tout part.

« Je salue l’abnégation du travail de nos devanciers qui nous ont légué un fleuron de l’industrie burkinabè, et l’expertise de l’ensemble des travailleurs », a-t-il renchéri.

Par ailleurs, il a encouragé le personnel à rester dans cette dynamique conformément à la vision des autorités de la transition : le développement endogène par la promotion de l’industrie nationale.

Pour lui, cette société  participe au développement endogène car les matières premières sont  essentiellement produites au Burkina Faso et toute la production burkinabè s’adresse aux consommateurs burkinabè.

Sa conviction est que si cette unité de production est correctement accompagnée par l’Etat burkinabè, elle peut également transformer substantiellement.

C’est pourquoi, il est important de soutenir cette unité industrielle afin qu’elle puisse grandir davantage pour le bonheur des consommateurs, et pour le développement de l’économie burkinabè.

Le directeur général de la SN-CITEC, Ibrahim Traoré, s’est réjoui du passage du président de l’ALT, qui, a-t-il dit, est une « excellente » source de motivation.

Elle constitue aussi, selon lui, un appel à continuer dans la résilience.

La SN-CITEC, a confié M. Traoré, est un modèle de partenariat public-privé et un modèle économique commercial au profit de l’ensemble des parties prenantes concernées par la société (actionnaires, personnel et à l’état).

Cependant, la société connait quelques difficultés dont la principale difficulté est liée à la mobilisation des matières premières (les graines de coton et de soja).

« Nous rencontrons d’énormes difficultés pour avoir les quantités à même  de couvrir les capacités installées de la société qui sont de l’ordre 120 000 tonnes de matières oléagineuses pour 122 500 000 litres d’huile par campagne avec une possibilité de travailler 11 mois sur 12 », a-t-il expliqué.

Malheureusement, a déploré Ibrahim Traoré, ces dernières années, l’unité industrielle a travaillé en moyenne sur trois mois sur 11 possibles.

Ce qui démontre la difficulté que la SN-CITEC rencontre dans la mobilisation des matières premières afin d’apporter sa contribution à l’atteinte de la sécurité alimentaire.

Il a souhaité que l’ALT puisse accorder au gouvernement, l’ensemble des moyens législatifs à même de travailler à organiser l’ensemble des filières au Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

BJMT/hb/bz

Décès de Pierre Claver Damiba, Célébration de la fête du travail et célébration de la SNC à la Une des quotidiens

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Décès de Pierre Claver Damiba, Célébration de la fête du travail et célébration de la SNC à la Une des quotidiens

Ouagadougou, 2 mai 2023 (AIB)- Les parutions du jour font écho du décès de l’ex ministre Pierre Claver Damiba, du chèque de 50 millions de la LONAB remis au comité d’organisation de la SNC et la commémoration de la journée du 1er mai par les syndicats.

« Journée mondiale du travail : les syndicats demandent plus de sécurité » affiche à sa manchette Sidwaya.

Le quotidien d’Etat informe que l’unité d’action syndicale, les centrales syndicales et les syndicats autonomes ont convié les travailleurs à une marche meeting hier à la Bourse du travail à l’occasion de la Journée mondiale du travail.

Le quotidien L’Observateur Paalga poursuit cependant qu’il y a eu certes le meeting mais pas la traditionnelle marche pour la remise de la plateforme revendicative au gouvernement.

A lire le quotidien privé Le Pays, selon les responsables syndicaux, la marche a été interdite par le gouvernement.

Pour le journal privé, dans leur revendication, ils ont demandé entre autres, plus de sécurité des populations et de leurs biens.

Dans un autre registre, le doyen des quotidiens privés écrit à sa Une : « SNC 2024 : La LONAB renforce le comité d’organisation de 40 briques ».

Le confrère rapporte qu’avec ce pactole de de la LONAB, plusieurs questions encore en suspens trouveront un début de solution pour le bon déroulement de la biennale.

De son côté le journal public indique que lors d’une visite sur le site du village des communautés, le ministre en charge de la Culture, Jean Emmanuel Ouédraogo a déclaré que ce site constituait des moments historiques de communion, de fraternité et surtout d’expression de proximité culturel entre les pays.

Sous un autre angle, Le Pays titre à sa Une : « L’ancien ministre Pierre Claver Damiba n’est plus ».

Le journal informe que Pierre Laver Damiba est décédé hier au centre hospitalier universitaire de Bogodogo à l’âge de 87 ans.

L’Observateur Paalga poursuit qu’il s’agit d’une perte pour la famille Damiba et le grand Koupéla mais aussi du Burkina et de l’Afrique à en juger par le parcours aussi bien national, qu’international du disparu/

Quant à Sidwaya, il revenu sur le parcours du défunt en passant de son poste de ministre des du plan et Tavaux publics en 1966, à sa dernière fonction c’est-à-dire celle de consultant international

Agence d’information du Burkina

AMZ/hb/bz

Houet/SNC 2024 : Le président de l’ALT à la foire artisanale et commerciale

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Houet/SNC 2024 : Le président de l’ALT à la foire artisanale et commerciale

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Le président de l’Assemblée législative de la Transition (ALT), Dr Ousmane Bougouma, a visité le mardi 30 Avril 2024 à Bobo-Dioulasso, la foire artisanale et commerciale de la 21e Semaine nationale de la culture (SNC). Il a loué le savoir-faire des exposants.

En compagnie des ministres en charge de la culture du Burkina Faso et du Niger, et des députés de la transition, le président de l’Assemble législative de la Transition (ALT), Dr Ousmane Bougouma, a fait le tour de quelques stands de la foire de la Semaine nationale de culture (SNC), Bobo 2024 pour apprécier le savoir-faire des exposants.

Les visiteurs du jour se sont rendus dans des stands des artisans, des commerçants, des entreprises privées comme publiques, ou  des institutions de l’Etat comme le CSC ou l’ASCE-LC.

Le président de l’ALT, après avoir fait le tour des stands, étals ou boutiques de la foire, a salué le savoir-faire des artisans burkinabè et la présence des autres pays africains dont les produits exposés ont de grandes similitudes avec les produits burkinabè.

« Je salue l’idée de rapprochement qu’il y a au niveau de l’Alliance des Etats du sahel et  l’approfondissement du rapprochement des peuples. C’est ainsi que  nous allons pouvoir bâtir ensemble un monde beaucoup plus paisible et prospère », a souligné le président de l’ALT.

Le directeur commercial et marketing des Editions Sidwaya, Moussa Congo, s’est réjoui du passage de  Dr Ousmane Bougouma et des deux ministres burkinabè et nigérien au niveau de leur stand.

« L’assemblée nationale et Sidwaya est une longue histoire de partenariat, de complicité. Et nous nous réjouissons de cette visite du premier responsable de l’ALT à notre stand.  Nous avons profité lui présenter toutes les éditions spéciales, les rétrospectives, et Sidwaya du jour », a fait savoir M. Congo.

Au président l’ALT, Moussa Congo et ses collaborateurs ont expliqué la dynamique des Editions Sidwaya de toucher le maximum de burkinabè à travers les medias classiques et en ligne.

« Les derniers chiffres que nous avons, donnent 5,5 millions de personnes que nous touchons tous les 28 jours », a fait savoir le directeur commercial et marketing des Editions Sidwaya, a poursuivi M. Congo, c’est le choix de la « rigueur » et de la « qualité de l’information », a relaté Moussa Congo.

Pour Ali Konaté, vendeur de Faso danfani, la visite du président est une marque de considération à leur égard. « Ce gendre de visite nous donne le courage. C’est une marque de considération  pour nous artisans de Faso danfani », s’est réjoui M Konaté.

Agence d’information du Burkina

AD/hb/bz

Houet/SNC 2024 : Les Forces armées nationales exposent leurs œuvres littéraires

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Houet/SNC 2024 : Les Forces armées nationales exposent leurs œuvres littéraires

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Les Forces armées nationales (FAN) sont présentes à la 21e Semaine nationale de la culture (SNC) avec leurs œuvres littéraires à la Chambre de commerce et d’industrie de Bobo-Dioulasso.

Les Forces armées nationales (FAN) exposent leurs œuvres littéraires à la 21e édition de la Semaine nationale de la culture (SNC).

Selon le responsable du stand à leur dédié à la Chambre de commerce et d’industrie de Bobo-Dioulasso, le lieutenant-colonel William Combary, par ailleurs écrivain, cette lucarne vise à faire connaitre davantage les auteurs militaires au public.

De ce qu’il a dit, ce sont au total une trentaine d’auteurs militaires qui sont mis en lumière dans ce stand à travers leurs œuvres qui abordent plusieurs thèmes.

Des thèmes qui, a précisé le lieutenant-colonel Combary, ne sont pas seulement militaires mais concernent la vie en générale.

Tous les genres littéraires, a-t-il poursuivi, sont représentés dans cette exposition des œuvres littéraires des FAN.

« Nous avons des romans, des contes, des nouvelles, etc. », a fait savoir William Combary.

Le lieutenant-colonel s’est par ailleurs réjoui de la prise en compte des doléances exprimées lors de la précédente édition par les exposants littéraires.

« Nous avons exprimé le besoin d’avoir un meilleur cadre parce que l’année dernière nous étions à l’air libre. Mais cette année nous sommes dans un pavillon climatisé », a-t-il apprécié.

La même appréciation a été faite par l’écrivain Hamidou Zonga qui s’est dit satisfait du cadre d’exposition littéraire de cette édition.

« Cette année, je tire mon chapeau aux organisateurs. Nous sommes dans un chapiteau climatisé, ce qui nous protège des intempéries. L’année passée, la pluie a mouillé les documents des exposants. Les visiteurs avaient également de la peine à visiter les stands à cause de la chaleur. Mais cette année franchement nous sommes très satisfaits », a-t-il déclaré.

Agence d’information du Burkina

NY/hb/bz

Houet/Village des communautés : Symbole de l’unité africaine

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Houet/Village des communautés : Symbole de l’unité africaine

Bobo-Dioulasso, (AIB)-Les ministres en charge de la Culture du Burkina et Niger étaient sur le site du village des communautés le mardi 30 avril 2024, pour encourager la délégation nigérienne qui célèbre sa journée à l’occasion de la SNC.

Pays invité d’honneur de la 21e semaine nationale de la culture (SNC), le Niger est fortement représenté au village des communautés institué.

La journée du mardi 30 avril 2024 était dédiée à ce pays membre de l’Alliance des Etats du Sahel (AES).

Les ministres en charge de la culture du Burkina Faso, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, et du Niger, le colonel major Adourahamane Amadou, ont fait le déplacement du village des communautés à la découverte des potentialités culturelles du Niger et apporter leur soutien à cette communauté.

« Nous avons pu apprécier un échantillon de la riche potentialité culturelle d’un pays frère, le Niger. En matière culinaire, nous avons vu le savoir-faire des nigériens. Nous avons pu apprécier les sonorités inspirées du patrimoine culturel. C’était un moment très enrichissant, très plaisant », a laissé entendre le ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.

Il a réitéré sa reconnaissance au peuple nigérien et aux acteurs culturels qui ont fait l’honneur au Burkina Faso se joindre à la 21e biennale de la culture du pays des Hommes intègres.

Pour le chef M. Ouédraogo, le village des communautés constitue des moments historiques de communion, de fraternité, et surtout d’expression de proximité culturelle entre les pays.

« Ce village, à lui seul résume tout l’esprit de la SNC. Au-delà du Niger, nous avons plusieurs pays frères qui sont là. C’est l’Afrique en miniature », a-t-il dit.

Il a rappelé que le message qui sous-tend cette initiative est que personne ne doit diviser l’Afrique et que les africains doivent prendre conscience que leur salut vient de leur solidarité, de leur proximité, et de leur unité.

« Il faut que les Africains sachent que nous avons un destin commun. Cette prise de conscience est déjà effective au sein de l’AES. C’est une dynamique qui est appelée à prendre toute la sous-région, et toute l’Afrique », a-t-il indiqué.

Quant au ministre nigérien de la culture, il a salué la tenue de cette journée dédiée à son pays.

Une journée, a-t-il dit, a offert une occasion pour son peuple  de présenter son art culinaire dans toute sa diversité et les prestations des artistes.

Agence d’information du Burkina

AS/hb/bz

Houet/Musée des  Armées à la SNC 2024 : Plus de 1600 visiteurs en une journée

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Houet/Musée des  Armées à la SNC 2024 : Plus de 1600 visiteurs en une journée

Bobo-Dioulasso, (AIB)-La 21e édition de la Semaine Nationale de la Culture (SNC) bat son plein à Bobo-Dioulasso. L’une des attractions de cette biennale est l’exposition du Musée des Armées qui attire une foule impressionnante  au village artisanal.

En une seule journée, plus de 1600 visiteurs ont convergé vers cette salle d’exposition  pour plonger dans l’histoire militaire et politique du Burkina Faso.

Les pièces exposées, témoins de différentes époques et événements, ont captivé  de nombreux festivaliers.

Parmi les artefacts les plus remarquables, on compte des tenues de combat dont celle portée par l’ancien président, le général Sangoulé Lamizana.

Des tenues confectionnées localement pendant la révolution sont également exposées aux côtés de casques coloniaux, de gourdes, d’ustensiles de cuisine et d’armes à poudre datant de la période coloniale.

« L’objectif est de rapprocher l’armée des citoyens et de créer un lien fort entre l’institution militaire et la population. Nous croyons que c’est en comprenant notre histoire commune que nous pouvons avancer ensemble et vaincre l’adversité », a expliqué le conservateur du musée, le Sergent Michel Sawadago.

Cette immersion dans l’histoire de l’armée burkinabè a créé  de vives émotions  chez certains  visiteurs.

C’est le cas de  Djeneba Sanou : « A travers cette exposition, j’ai appris beaucoup sur l’histoire de notre armée. J’ai été particulièrement impressionnée par l’authenticité des artefacts et l’engagement des organisateurs ».

Maiga Yacoubou, qui revient pour la deuxième année consécutive, a souligné l’importance de telles expositions pour l’éducation et la sensibilisation du public.

« Chaque année, je suis émerveillé par ce que je découvre ici. C’est une opportunité unique d’en apprendre davantage sur notre histoire et notre patrimoine », a-t-il déclaré.

Créé en juin 1999, le musée des armées est dans la capitale du pays, Ouagadougou.

Il témoigne de l’engagement de l’armée burkinabè à partager son histoire avec les populations et à renforcer les liens avec la nation.

Agence d’information du Burkina

ASS/hb/bz

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