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Burkina : Les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel travaillent sur l’élaboration d’un traité portant création de la Confédération Burkina, Mali et Niger

Burkina-Mali-Niger-AES-Réunion

Burkina : Les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel travaillent sur l’élaboration d’un traité portant création de la Confédération Burkina, Mali et Niger

Ouagadougou, 15 fév. 2024 (AIB)-Les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) sont réunis depuis ce jeudi matin à Ouagadougou, et travaillent sur l’élaboration d’un traité portant création de la Confédération Burkina, Mali et Niger.

Une vingtaine de ministres des trois pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) sont réunis depuis ce jeudi matin à Ouagadougou.

La réunion se tient à la suite d’une réunion préparatoire de trois jours, des experts des trois pays du lundi au mercredi dernier.

Elle vise à revisiter la Charte de l’Alliance des États du Sahel, et d’élaborer un traité portant création de la Confédération réunissant les trois pays que sont le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

Ce rendez-vous de Ouagadougou doit aussi permettre aux différentes délégations des trois pays d’examiner le contexte politique, marqué par la décision historique du Burkina, du Mali et du Niger de se retirer sans délai de la CEDEAO.

La rencontre est présidée par les trois chefs de délégation notamment celui du Burkina Faso, le général de Brigade Kassoum Coulibaly, ministre d’État, ministre de la Défense et des Anciens Combattants.

Les deux autres chefs de délégation sont le colonel Abdoulaye Maiga, ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, chef de délégation du Mali, et le ministre de la Défense nationale, le général de Corps d’Armée Salifou Modi, chef de délégation du Niger.

Le Burkina, le Mali et le Niger ont constitué le 16 septembre 2023, l’Alliance des États du Sahel (AES) consacrée par la signature de la charte du Liptako-Gourma par les trois présidents.

Agence d’information du Burkina

WIS/no

Burkina : Les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel travaillent sur l’élaboration d’un traité portant création de la Confédération Burkina, Mali et Niger

Burkina-Mali-Niger-AES-Réunion

Burkina : Les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel travaillent sur l’élaboration d’un traité portant création de la Confédération Burkina, Mali et Niger

Ouagadougou, 15 fév. 2024 (AIB)-Les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) sont réunis depuis ce jeudi matin à Ouagadougou, et travaillent sur l’élaboration d’un traité portant création de la Confédération Burkina, Mali et Niger.

Une vingtaine de ministres des trois pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) sont réunis depuis ce jeudi matin à Ouagadougou.

La réunion se tient à la suite d’une réunion préparatoire de trois jours, des experts des trois pays du lundi au mercredi dernier.

Elle vise à revisiter la Charte de l’Alliance des États du Sahel, et d’élaborer un traité portant création de la Confédération réunissant les trois pays que sont le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

Ce rendez-vous de Ouagadougou doit aussi permettre aux différentes délégations des trois pays d’examiner le contexte politique, marqué par la décision historique du Burkina, du Mali et du Niger de se retirer sans délai de la CEDEAO.

La rencontre est présidée par les trois chefs de délégation notamment celui du Burkina Faso, le général de Brigade Kassoum Coulibaly, ministre d’État, ministre de la Défense et des Anciens Combattants.

Les deux autres chefs de délégation sont le colonel Abdoulaye Maiga, ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, chef de délégation du Mali, et le ministre de la Défense nationale, le général de Corps d’Armée Salifou Modi, chef de délégation du Niger.

Le Burkina, le Mali et le Niger ont constitué le 16 septembre 2023, l’Alliance des États du Sahel (AES) consacrée par la signature de la charte du Liptako-Gourma par les trois présidents.

Agence d’information du Burkina

WIS/no

Burkina/Infrastructures : Le président Traoré remercie des « donateurs patriotes »

Burkina/Infrastructures : Le président Traoré remercie des « donateurs patriotes »

 

Ouagadougou, 15 fév. 2024 (AIB) – Le président Traoré a remercié jeudi, des opérateurs économiques et des chefs d’entreprise qui ont offert au peuple burkinabè, des infrastructures routières.

 

Le coordonnateur de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire, le capitaine Marcel Méda, a effectué jeudi une visite de terrain dans la ville de Ouagadougou afin de témoigner la gratitude et la reconnaissance du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, aux burkinabè « patriotiques » qui ont posé des actions entrant dans le cadre du développement communautaire.

 

« Il s’agit pour nous de témoigner la gratitude et la reconnaissance du chef de l’Etat aux burkinabè patriotiques qui ont posé des actions entrant dans le cadre du développement communautaire », a indiqué Le coordonnateur de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire, le capitaine Marcel Méda.

 

Des opérateurs économiques et des chefs d’entreprises ont réalisé plusieurs infrastructures routières dans la ville de Ouagadougou afin d’améliorer leur cadre de vie et ceux des populations riveraines.

 

Ces infrastructures entre dans le cadre de soutien aux actions du gouvernement qui inscrit actuellement l’implication des communautés dans la mise en œuvre d’infrastructures communautaires à travers l’initiative présidentielle pour le développement communautaire.

 

Le coordonnateur de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire, le capitaine Marcel Méda a invité l’ensemble des Burkinabè à emboiter le pas à tous ces donateurs « pour qu’ensemble nous puissions tracer la route du développement communautaire parce que nous restons convaincu que c’est à travers de telles actions que nous allons pouvoir développer nos communautés ».

Agence d’information du Burkina

DNK/ata

Namentenga : Les forces vives se concertent sur la mise en œuvre d’un comité de redevabilité 

Burkina-Namentenga-Comité

Namentenga : Les forces vives se concertent sur la mise en œuvre d’un comité de redevabilité 

Boulsa, (AIB)- Les forces vives de la commune de Boulsa se sont concertées le mercredi 14 février 2024 à Boulsa, sur la mise en place d’un comité de redevabilité de douze personnes, dans le cadre du projet de l’alliance technique d’assistance au développement (ATAD) dénommé Fonds humanitaire de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (FHAROC). La séance a été présidée par le Secrétaire général (SG) de la province du Namentenga Bassouleymane Ouattara.

A cet effet, l’équipe technique du projet a présenté le projet de l’Alliance technique d’assistance au développement (ATAD) dénommé Fonds humanitaire de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (FHAROC), avant de dévoiler le profit du membre du comité de redevabilité. La date de la mise en place effective du comité est fixée pour le 22 février 2024.

Ce comité de douze membres sera composé de quatre représentants des communautés coutumières et religieuses, de deux représentants des Personnes déplacées internes (PDI), de trois représentants des familles hôtes, un (e)représentant(e) de chacune des structures des femmes, des jeunes, des personnes vivant avec un handicap.

Des activités en lien avec l’agriculture, l’élevage, l’hygiène et l’assainissement, la santé et l’éclairage public seront réalisées, dans le cadre du projet sous la tutelle de la direction provinciale en charge de l’Action sociale.

Il entend aussi réaliser des investissements pour contribuer à l’amélioration de la résilience des communautés victimes de la crise sécuritaire et humanitaire dans la province du Namentenga.

La cheffe du projet, Aisseta Simporé née Ouédraogo a indiqué que le comité qui sera l’interface entre la base et le projet et aura pour mission également de dénoncer les différents abus qu’il constaterait sur le terrain.

Ceux-ci sont, entre autres, les violences basées sur le genre et la mauvaise gouvernance.

Mme Simporé a précisé qu’à l’issue de la mise en place du projet, le comité bénéficiera d’une formation relative à sa mission, à la dénonciation des cas et à l’utilisation d’un numéro vert.

Le SG de la province du Namentenga, Bassouleymane Ouattara a remercié le projet de l’alliance technique d’assistance au développement (ATAD) pour sa contribution inestimable à la résilience des populations.

Agence dinformation du Burkina

JPD/no/ata

 

 

 

Sissili: Une association lance la 2e phase de son programme contre l’extrémisme violent

Burkina-Sissili-Association-Programme-Lancement

Sissili: Une association lance la 2e phase de son programme contre l’extrémisme violent

Léo, (AIB)- L’association Saadon, en collaboration avec l’Institut des Etats-Unis pour la paix (USIP) a lancé le mardi 13 février 2024 à Léo, la 2e phase de son programme « women preventing violent extrémism (WPVE) » qui signifie les femmes contre lextrémisme violent, au profit des amazones de la paix de la Sissili.

La deuxième phase du programme de lassociation Saadon dénommée « women preventing violent extrémism (WPVE) » qui veut dire les femmes contre lextrémisme violent a été lancée le mardi 13 févier 2024 à Léo, chef-lieu de la province de la Sissili, dans la région du Centre-Ouest.

Cette cérémonie de lancement sous la présidence du représentant du haut-commissaire, le secrétaire général de la province de la Sissili, Baowindsida Bingo, a connu la présence du 2e vice-président de la délégation spéciale de la commune de Léo, Moussa Ouédraogo, des autorités coutumières et traditionnelles ainsi que des représentants des organisations de la société civile.

Selon la représentante pays de l’Institut des États-Unis pour la paix (USIP), Cendrine Nama, le programme WPVE a pour objectif de renforcer le leadership des femmes dans la réflexion stratégique, la formulation de politiques et la mise en uvre d’actions, en vue de prévenir l’extrémisme violent au sein de leurs communautés respectives.

Mme Nama a relevé que le programme est mis en uvre dans le sahel et dans la corne de lAfrique.

« Au Burkina Faso, le programme est porté par l’association saadon. La mise en uvre du programme a permis l’émergence des femmes leaders à Léo, dans la Sissili dénommées « amazones de la paix », a- t- elle précisé.

Elle a par ailleurs remercié les autorités locales de la province de la Sissili qui n’ont ménagé aucun effort pour les accompagner depuis le début de la mise en uvre de la phase pilote du programme.

Cendrine Nama a également rendu un hommage à leur partenaire de mise en uvre quest l’association Saadon, pour son dynamisme ainsi qu’à toute les parties prenantes dont leur engagement a permis d’atteindre les objectifs escomptés.

Le Secrétaire général (SG) de la province de la Sissili, Baowindsida Bingo a remercié l’ensemble des acteurs qui n’ont ménagé aucun effort, en vue de faciliter le déroulement des activités de la première phase.

M. Bingo a ensuite témoigné toute sa reconnaissance à l’Institut des États-Unis pour la paix et à l’association Saadon pour l’ensemble des activités menées dans le sens du renforcement des capacités des femmes leaders sur la prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent.

«Ce programme a sans doute contribué à mettre en avant, le leadership des femmes vaillantes de la province de la Sissili et des amazones de la paix dont le rayonnement s’est étendu sur le plan régional, à travers les partages d’expériences locales dans la sous- région », a-t-il soutenu.

Le SG de la province a rassuré que la deuxième phase sera mise à profit pour consolider les acquis du programme et positionner les femmes amazones et le réseau des jeunes comme un instrument incontournable de la prévention et de la lutte contre la radicalisation et l’extrémisme violent au Burkina Faso.

Baowindsida Bingo a souhaité que la province de la Sissili soit un modèle qui va inspirer les autres localités du pays tout en exhortant que la phase 2 du programme soit une réussite.

Le lancement de la phase 2 du programme WPVE placé sous le thème « Leadership au service de la paix » a été suivi d’une formation de deux jours, au profit des amazones de la paix et des jeunes de la Sissili.

Agence dinformation du Burkina

OAN/no/ata

 

 

Le Ghana maintiendra sa coopération avec le FMI et va chercher à restructurer sa dette

 

ÉCONOMIE: GHANA-FINANCES-FMI

Le Ghana maintiendra sa coopération avec le FMI et va chercher à restructurer sa dette

PRETORIA, 15 février. /TASS/. Le Ghana continuera à coopérer avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre d’un programme de prêt de 3 milliards de dollars et a l’intention d’achever la restructuration de sa dette extérieure cette année. C’est ce qu’a déclaré Mohammed Amin Adam, nommé ministre des Finances du Ghana le 14 février.

« Je tiens à assurer que le programme du FMI sera maintenu », a déclaré le ministre cité par l’agence Reuters. Parallèlement, Adam a annoncé qu’il poursuivrait les efforts visant à conclure des accords avec les investisseurs privés pour restructurer les 13 milliards de dollars de dettes que le pays africain détient auprès d’eux.

Le Ghana connaît actuellement d’importantes difficultés financières, avec une inflation élevée (23% en décembre dernier), une hausse rapide des prix des denrées alimentaires et de l’énergie, et une dette extérieure considérable. Au début de l’année 2023, la dette extérieure du pays s’élevait à environ 30 milliards de dollars. Le gouvernement ghanéen négocie actuellement avec ses créanciers pour restructurer la dette.

Avec TASS

L’Arabie saoudite organise une table ronde du rôle des agences de presses sur l’avenir économique du monde

Médias-Agence-Economie-Avenir

L’Arabie saoudite organise une table ronde du rôle des agences de presses sur l’avenir économique du monde

 

Ouagadougou, 15 fev. 2024 (AIB/ANP) – L’Agence de presse des Émirats (WAM) a organisé, en marge du sommet mondial des gouvernements 2024 une table ronde sur le thème «le Rôle central des agences de presse et Façonner les histoires économiques pour l’avenir»

Cette table ronde vise à mettre l’accent sur le rôle des agences de presse dans le soutien des économies futures, la diffusion de concepts économiques innovants, ainsi que la volonté des agences de presse de faire face aux secteurs économiques émergents, le renforcement du rôle des compétences médiatiques dans le journalisme économique futur, ainsi que le rôle important des partenariats médiatiques entre les agences de presse pour échanger des expériences et des formations afin d’améliorer l’expertise et les capacités des jeunes compétences médiatiques.

A cette occasion, Mohammed Jalal Al Raisi, directeur général de l’Agence de presse des Émirats (WAM), a souligné le rôle clé des agences de presse dans la promotion des concepts d’économies futures et leur diffusion efficace auprès du public, soulignant que le secteur des médias connaît un développement remarquable en ligne avec le développement technologique dont le monde est témoin avec la présence de nouvelles technologies dans le travail médiatique telles que l’intelligence artificielle et la révolution des données et de l’information qui façonnent l’avenir des médias économiques.

Al Raisi a déclaré que la table ronde a mis en évidence 4 questions clés, notamment l’importance de communiquer avec les nouveaux secteurs économiques, les défis et les opportunités offerts par ces secteurs, ainsi que les moyens de promouvoir le journalisme économique, et l’importance de renforcer les partenariats stratégiques entre les agences de presse et les différents médias.

Il a expliqué que la table ronde a abouti à plusieurs recommandations, représentées par la nécessité de former et de qualifier les travailleurs des agences de presse et des institutions médiatiques à travers la conclusion de partenariats avec des institutions gouvernementales et privées concernées par les affaires économiques afin de former les professionnels des médias sur la façon de traiter

les données et les informations liées aux nouvelles économies. Y compris l’économie verte, les monnaies numériques et l’intelligence artificielle.

Pour sa part, Mohammed Al-Yami, directeur général de l’Union des agences de presse de l’Organisation de la coopération islamique (UNA), a souligné le rôle de premier plan des agences de presse dans la gestion des nouvelles économies malgré les défis environnants, soulignant la nécessité de suivre le rythme des transformations et des changements qui ont lieu dans le domaine des médias à l’heure actuelle et de s’adapter aux nouveaux développements technologiques.

Quant à M. Farid Ayyar, Secrétaire général de l’Union des agences de presse arabes, il a souligné que les agences de presse jouent un rôle de premier plan dans la formation de l’opinion publique capable de comprendre les tendances économiques, soulignant que la majorité des agences internationales disposent de départements économiques spécialisés qui diffusent des nouvelles, des informations et des rapports économiques d’intérêt pour l’opinion publique.

Grégoire Nagaka, directeur général de l’Union africaine de radio-télévision (UAR), a pour sa part insisté sur la nécessité de vérifier les capacités actuelles des agences de presse et leur volonté

de couvrir et d’interagir avec des secteurs économiques émergents tels que l’énergie verte, les crypto-monnaies et les industries axées sur l’Intelligence Artificielle (IA).

Prenant la parole au cours de cette table ronde, Adrian Wells, PDG du réseau d’information européen INEX, a relevé l’intérêt croissant pour les économies nouvelles et futures, Sana Ali, directrice générale de Pakistan International Press (PPI), a, elle aussi, souligné l’importance des efforts de collaboration entre les agences de presse, les institutions gouvernementales et les entités économiques et leur impact potentiel sur le soutien et la promotion des économies futures, et en fin, Elena Savova, directrice adjointe du bureau de l’information économique à l’Agence de presse bulgare (BTA), a insisté, quant à elle, sur la nécessité de préparer les compétences médiatiques à travailler dans le journalisme économique en mettant l’accent sur les tendances et les innovations futures.

La rencontre s’est déroulée en présence d’un groupe de responsables et de directeurs d’agences de presse de la région arabe, d’Europe, d’Asie, d’Afrique et de l’Organisation de la coopération islamique, rapporte l’union des agences de presse de l’OCI (UNA).

Agence d’Information du Burkina

Le Nigeria ne peut plus maintenir les subventions à l’électricité (ministre)

 

Le Nigeria ne peut plus maintenir les subventions à l’électricité (ministre)

ÉCONOMIE: NIGERIA-ÉNERGIE-SUBVENTIONS

 

PRETORIA, 15 février. /TASS/. Les autorités nigérianes ne peuvent plus subventionner l’électricité pour la population, a déclaré le ministre de l’Énergie Adebayo Adelabu.

« Ce que nous avons prévu dans e budget 2024 pour les subventions est de 450 milliards de nairas [279 millions d’euros] et nous aurons besoin de 2.900 milliards de nairas [1,8 milliard d’euros] pour les subventions. Alors, pouvons-nous nous le permettre? Nous devons être réalistes. Pouvons-nous nous le permettre? », a-t-il déclaré selon le quotidien Premium Times.

Le Nigeria ne peut pas continuer à subventionner l’électricité, le pays doit commencer à évoluer vers un modèle tarifaire économiquement efficace, plaide-t-il. Toutefois, le ministre n’a pas précisé quand et dans quelle mesure le gouvernement comptait réduire les subventions à l’électricité pour la population.

L’année dernière, les subventions sur les carburants ont été supprimées au Nigeria, ce qui a entraîné un doublement des prix de l’essence et du diesel. En conséquence, l’inflation s’est aggravée et les prix des denrées alimentaires ont fortement augmenté dansle pays.

Avec TASS

Réunion des ministres de l’Alliance des Etats du sahel : la délégation nigérienne accueillie à l’aéroport international.de Ouagadougou par les autorités burkinabè 

BURKINA -DIPLOMATIE-AES-MINISTRES-RENCONTRE

Réunion des ministres de l’Alliance des Etats du sahel : la délégation nigérienne accueillie à l’aéroport international.de Ouagadougou par les autorités burkinabè 

Ouagadougou,15 fév .2024(AIB)-Le ministre d’Etat, ministre de la Défense et des Anciens combattants, le Général de Brigade Kassoum COULIBALY, et plusieurs membres du gouvernement ont accueilli ce matin à l’aéroport international de Ouagadougou, la délégation nigérienne venue dans le cadre de la réunion des ministres de l’Alliance des États du Sahel.

La délégation nigérienne est conduite par le ministre d’État, ministre de la Défense nationale, le Général de Corps d’armée Salifou MODI.

La réunion des ministres de l’AES qui se tiendra toute la journée de ce jeudi 15 février 2024, fait suite à la rencontre des experts des trois pays, réunis depuis le 12 février 2024 dans la capitale burkinabè.

Agence d’information du Burkina

Sources:DCRP/ MAECR-BE

Fonds de soutien patriotique et Football dominent la Une des quotidiens burkinabè

Burkina-Revue-Presse

Fonds de soutien patriotique et Football dominent la Une des quotidiens burkinabè

Ouagadougou,15fév.2024(AIB)-Les parutions de ce jeudi, évoquent l’arrivée de la star brésilienne du football, Roberto Carlos au Burkina Faso et le nouveau décret portant gestion du Fonds de soutien patriotique (FSP).

« Conseil des ministres : Un nouveau décret pour plus de transparence dans la gestion du Fonds de soutien patriotique », titre à sa Une le journal public Sidwaya.

Le quotidien d’Etat rapporte que le gouvernement a adopté hier mercredi à Ouagadougou, lors du Conseil des ministres, un nouveau décret portant gestion du Fonds de soutien patriotique (FSP) au Burkina Faso.

Le quotidien privé Le Pays, pour sa part, renchérit que ce nouveau décret permettra une transparence de la gestion du Fonds.

Le doyen des quotidiens privés burkinabè, L’Observateur Paalga soutient que cette rencontre hebdomadaire des ministres a été présidée par le chef de l’Etat le capitaine Ibrahim Traoré.

Sous un autre volet le même journal privé écrit à sa manchette : « Développement du football : La légende Roberto Carlos en terre burkinabè ».

Le confrère informe que l’ex international brésilien, Roberto Carlos a atterri hier mercredi, dans l’après-midi à l’aéroport de Ouagadougou.

De son avis, la visite de la légende du football brésilien entre dans le cadre de la vision du ministère des sports qui a pour ambition de rendre plus performant le football local.

Le quotidien d’Etat, Sidwaya poursuit que Roberto Carlos Da Silva Rocha dit Roberto Carlos, ambassadeur de la Fédération internationale du football association (FIFA), accompagné de deux autres s’est entretenu avec les autorités du football burkinabè.

D’après Sidwaya, l’ex sociétaire du Real Madrid déclare que le Burkina Faso est désormais son deuxième pays, après un accueil chaleureux de la part des Burkinabè au plateau SONAR non loin de l’aéroport de Ouagadougou.

Pour le quotidien d’Etat, l’ex international brésilien a laissé entendre qu’ils ont beaucoup de projet pour le football burkinabè.

Agence d’information du Burkina

MJR-AMZ/no /ata

 

 

 

La délégation spéciale de Sapouy offre 500 mille FCFA aux VDP

La délégation spéciale de Sapouy offre 500 mille FCFA aux VDP

Sapouy (AIB)-La délégation spéciale de Sapouy a offert le 9 février 2024, une somme de 500 000 FCFA aux VDP de la commune.

La chaîne de soutien aux volontaires pour la défense de la patrie (VDP) s’allonge dans la province du Ziro.

Le 9 février 2024, c’est la commune urbaine de Sapouy qui a apporté 500 000 F CFA de carburant à ces braves patriotes.

C’est le haut commissaire Saïba Zoromé qui a officiellement transmis la somme au coordonnateur des VDP.

Agence d’information du Burkina

Ys/ATA

 

Délégation spéciale de Sapouy: François Kaboré passe le témoin à Ourobé Dioma 

Délégation spéciale de Sapouy: François Kaboré passe le témoin à Ourobé Dioma 

 

Sapouy, (AIB)- Le secrétaire général de la province du Ziro, Adams Davou, a installé le vendredi 09 février 2024, le nouveau président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Sapouy, Ourobé Dioma. C’était au cours d’une cérémonie officielle qui a mobilisé les corps constitués de la commune, de la province et les agents de l’administration communale et de la préfecture.

La commune de Sapouy a désormais un nouveau président de délégation spéciale. Nommé en conseil des ministres le 24 janvier 2024, Ourobé Dioma a pris officiellement service ce vendredi 09 février 2024.

Il remplace à ce poste François Kaboré qui a passé 18 mois à la tête de cette administration communale.

Tous les intervenants à la tribune ont loué le leadership et le sens du service bien fait du président de la délégation spéciale sortant.

Ils ont exprimé leurs reconnaissances et gratitudes à ce commis de l’État qui a joué pleinement sa partition dans le développement communal malgré le contexte sécuritaire et humanitaire difficile.

Après avoir félicité son successeur pour sa nomination, François Kaboré a exprimé sa gratitude à la population de Sapouy, à ses collaborateurs de la préfecture et de la mairie et à tous les corps constitués.

Il leur a demandé d’épauler son successeur dans l’accomplissement de sa mission.

Pour sa part, Ourobé Dioma a rendu un hommage à son prédécesseur pour le travail remarquable accompli.

Il lui a rassuré qu’il travaillera sans relâche pour consolider voir renforcer les acquis. La cérémonie s’est achevée par des félicitations et des remises de présents.

Agence d’information du Burkina

Ys/ATA

 

 

 

 

 

Réunion des ministres de l’Alliance des Etats du sahel : la délégation malienne est présente à Ouagadougou

Réunion des ministres de l’Alliance des Etats du sahel : la délégation malienne est présente à Ouagadougou

Ouagadougou,  14 fév 2024(AIB)-Le ministre d’Etat, ministre de la Défense et des anciens combattants, le Général Kassoum COULIBALY, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur, SEM Karamoko Jean Marie TRAORE, le ministre de l’Energie des Mines et des Carrières monsieur Yacouba Zabré GOUBA, la ministre de la Transformation digitale, des postes et des communications électroniques Aminata ZERBO/SABANE, la ministre déléguée chargée de la Coopération régionale, Estella Eldine KABRE/ KABORE, la ministre déléguée chargée du Budget Fatoumata BAKO/TRAORE, et plusieurs cadres de départements ministériels, ont accueilli dans la soirée du 14 février 2024 une forte délégation malienne composée du ministre d’Etat, ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, le colonel Abdoulaye MAIGA, du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, SEM Abdoulaye DIOP et cinq autres ministres à l’aéroport international de Ouagadougou.

 

Cette délégation est dans la capitale burkinabè dans le cadre de la réunion des ministres de l’Alliance des Etats du Sahel qui se tiendra le jeudi 15 février 2024

Des premiers mots du ministre malien des Affaires étrangères, cette rencontre de Ouagadougou est un tournant majeur pour l’Alliance des Etats du Sahel « AES » au regard du contexte géopolitique et géostratégique.

Relevant que le Burkina Faso est un pays frère et un partenaire stratégique du Mali, SEM Abdoulaye DIOP a indiqué que SEM le Colonel Assimi GOITA a souhaité qu’il y »ait une grande mobilisation du gouvernement malien pour aller vite dans la concrétisation des choix stratégiques de l’AES.

Il faut noter que l’Alliance des Etats du Sahel a commencé par l’adoption le 16 septembre 2023 de la charte de l’Alliance des Etats du Sahel qui mettait en place une alliance militaire qui, progressivement, a évoluée en intégrant d’autres dimensions notamment l’intégration économique et commerciale et le rapprochement des peuples.

DCRP/ MAECR-BE

Burkina : Sabari Christian Dao est le nouveau directeur général du musée national

Burkina : Sabari Christian Dao est le nouveau directeur général du musée national

 

Ouagadougou, 14 février 2024(AIB)-Le Conservateur- restaurateur de Musée , Sabari Christian Dao, a été nommé mercredi Directeur général du musée national, en conseil des ministres.

Agence d’information du Burkina

ZES/ata

Région de l’Est: Ram Joseph Kafando, nouveau gouverneur

Région de l’Est: Ram Joseph Kafando, nouveau gouverneur

Ouagadougou, 14 février 2024(AIB)-L’administrateur civil Ram Joseph Kafando a été nommé mercredi, gouverneur de la région de l’Est, en conseil des ministres.

Précédemment, il occupait les fonctions de secrétaire général de la région de la région du Centre.

Agence d’information du Burkina

HKO/ata

Burkina : Le gouvernement annonce une campagne de vaccination du 15 au 21 mars 2024 contre la rougeole et la rubéole

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Burkina : Le gouvernement annonce une campagne de vaccination du 15 au 21 mars 2024 contre la rougeole et la rubéole

 

Ouagadougou, 14 fév. 2024 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a annoncé mercredi l’organisation d’une campagne nationale de vaccination contre la rougeole et la rubéole du 15 au 21 mars dans 170 districts sanitaires, visant à renforcer l’immunité de 3 489 383 enfants de 9 à 59 mois.

« Le ministre de la Santé et de l’hygiène publique a fait au Conseil une communication relative à l’organisation d’une campagne nationale de vaccination contre la rougeole et la rubéole en 2024 au Burkina Faso. La campagne qui va se dérouler du 15 au 21 mars 2024 dans 170 districts sanitaires, vise à renforcer l’immunité des enfants de 9 à 59 mois contre la rougeole et la rubéole dans notre pays », peut-on lire dans le rapport du conseil des ministres de ce mercredi.

 

Selon la même source, cette campagne de vaccination va permettre à 3 489 383 enfants de la tranche d’âge concernée de recevoir soit la première dose ou une dose supplémentaire du vaccin contre la rougeole et la rubéole.

Cette campagne de vaccination, programmée dans la Stratégie nationale de vaccination (SNV) 2022-2026, va également permettre d’améliorer la couverture vaccinale, de réduire le nombre de foyers épidémiques et la mortalité infantile, ajoute le document.

« Son coût global de 6 761 460 USD est financé par l’Etat burkinabè et les partenaires techniques et financiers dont l’Alliance mondiale du vaccin (GAVI) », conclu ledit document.

Agence d’information du Burkina

DNK/ATA

Burkina : La production de coton graine de la campagne 2023/2024 estimée à 407 500 tonnes, soit une hausse de 1%  

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Burkina : La production de coton graine de la campagne 2023/2024 estimée à 407 500 tonnes, soit une hausse de 1%

 Ouagadougou, 14 fév. 2024 (AIB) – Les prévisions de production de coton graine de la campagne 2023/2024 sont estimées à 407 500 tonnes, soit une hausse de 1% par rapport à la campagne écoulée, a annoncé le gouvernement, saluant l’adhésion des producteurs malgré le contexte sécuritaire difficile et le renchérissement des prix de certains intrants agricoles.

« Les prévisions de production de coton graine de la campagne 2023/2024 ressortiraient à 407 500 tonnes, soit une hausse de 1% par rapport à la campagne écoulée », lit-on dans le rapport du conseil des ministres de ce mercredi.

Selon le même document, le rendement moyen national prévisionnel pourrait s’établir à 882 Kg/ha contre 654 kg/ha la campagne 2022/2023, soit une amélioration de 35%.

Le gouvernement, qui faisait mercredi le bilan à mi-parcours de la campagne cotonnière 2023/2024, a salué l’adhésion des producteurs qui a permis d’atteindre ce résultat malgré le contexte difficile marqué par la crise sécuritaire et le renchérissement des prix de certains intrants agricoles tels que les engrais.

Selon lui, les prix de cession des intrants à crédit pour le coton conventionnel ont été fixés à 28 000 F CFA le sac de 50 Kg d’engrais NPKSB, à 32 000 F CFA le sac de 50 Kg d’engrais Urée et à 6 000 F CFA le traitement à l’hectare pour les insecticides.

Agence d’information du Burkina

DNK/ATA

Guibga: les vecteurs aériens maintiennent la pression sur les groupes terroristes 

Guibga: les vecteurs aériens maintiennent la pression sur les groupes terroristes 

Ouagadougou, 14 février 2024(AIB)-Une horde de terroristes venus récupérer le cadavre de l’un de leur chef à Guibga, a été décimé par les vecteurs aériens qui assuraient toujours la garde.

Hier 13 février 2024, l’armée burkinabè a mené des frappes précises sur des bandes de terroristes dans la zone de Guibga au Centre-nord.

Ce 14 février 2024, une trentaine de criminels en provenance du Nord de Guibga, sont arrivés sur les lieux à la recherche certainement de la charogne d’un de leurs chefs.

Ils seront rejoints plus tard par un groupe du même nombre pour converger ensemble sous un grand arbre.

Les vecteurs aériens à l’affût, ne vont pas leur donner le temps de se concerter.

Une grosse bombe s’écrase sur leur cachette provoquant une épaisse fumée noire.

Plusieurs bandits brûlent pendant que huit rescapés s’extirpent pour prendre leurs jambes à leur cou.

Cinq vont s’effondrer un à un et les trois autres vont poursuivre leur course folle.

Ils se feront certainement prendre car les opérations se poursuivent.

Agence d’information du Burkina

Le Burkina annonce sa participation à une rencontre des Etats Sahélo-Sahariens, au Tchad

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Le Burkina annonce sa participation à une rencontre des Etats Sahélo-Sahariens, au Tchad

Ouagadougou, 14 fév. 2024 (AIB) – Le Burkina vient d’annoncer son intention de prendre part à une importante rencontre de la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD), prévue en mars 2024 au Tchad, a appris l’AIB mercredi soir de source officielle à Ouagadougou.

Le chef de la diplomatie burkinabè, Karamoko Traoré, s’est exprimé devant le conseil des ministres sur la participation du Burkina Faso à la retraite des ambassadeurs, des représentants permanents et des points focaux de la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD), prévue les 04 et 05 mars 2024 à N’Djamena, au Tchad.

«Cette retraite sera une occasion pour les Etats membres de l’institution de discuter et proposer des projets ou activités prioritaires pour la période 2024-2025 et d’examiner la question globale du budget de la CEN-SAD », selon le compte rendu du conseil des ministres.

«Elle permettra également aux Etats membres de passer en revue certains projets d’accords en instance en vue de leur adoption, de réfléchir sur la mise en place d’une coordination ou plateforme de la jeunesse CEN-SAD et d’échanger sur les questions de sécurité et de développement de l’espace de la Communauté des Etats sahélo-sahariens», toujours selon la même source.

La Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD) est née en 1998 à Tripoli avec pour objectif de créer une économie globale et intégrée et de faciliter la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux, en adéquation avec les intérêts des peuples concernés.

Elle comprend 23 membres dont le Burkina, le Mali, le Niger, le Togo, le Nigéria, le Tchad, le Soudan, le Maroc, la Tunisie ou encore la Lybie.

L’élan de la CEN-SAD a été ralenti depuis l’assassinat de Mouammar Kadhafi en 2011 par une coalition occidentale, avec à sa tête la France.

Agence d’Information du Burkina

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