Accueil Blog Page 344

Rencontre inédite entre le ministre burkinabè en charge de la Défense, le général Kassoum Coulibaly et son homologue ivoirien Tèné Biraîma Ouattara ce vendredi à Niangologo

Rencontre inédite entre le ministre burkinabè en charge de la Défense, le général Kassoum Coulibaly et son homologue ivoirien Tèné Biraîma Ouattara ce vendredi à Niangologo

Agence d’Information du Burkina

Cadre de concertation des acteurs des médias : La première session se penche sur la crise sécuritaire et humanitaire

BURKINA-MOUHOUN-MEDIAS-ACTEURS-CONCERTATION

Cadre de concertation des acteurs des médias : La première session se penche sur la crise sécuritaire et humanitaire

Dédougou, (AIB) : La direction régionale de la communication et des médias de la Boucle du Mouhoun, a organisé le mercredi 17 avril 2024 à Dédougou, la première session du cadre de concertation des acteurs des médias de la région, sous le thème : « Médias et crises sécuritaire et humanitaire : quelles stratégies de résilience pour les acteurs de la presse de la Boucle du Mouhoun dans la quête d’information des populations et pour la participation au processus de retour de la paix dans la région ? »

La première session du cadre de concertation des acteurs des médias de la région de la Boucle du Mouhoun s’est tenue le mercredi 17 avril 2024 à Dédougou.

Il a pour objectif, de créer un cadre d’échanges entre les acteurs locaux des médias en vue de susciter des réflexions à même de poser un diagnostic de l’impact de l’insécurité sur l’exercice de la profession et poser des stratégies de résilience face à la menace.

De manière spécifique, la session doit permettre de développer la réflexion sur les entraves que la crise sécuritaire fait peser sur l’exercice du métier de journalisme dans la région de façon particulière, proposer des stratégies de résilience des hommes et des femmes des médias régionaux en vue d’accroître les capacités d’adaptation des acteurs face à la menace et enfin, améliorer la participation des acteurs des médias au processus de construction d’une paix durable.

Pour le Directeur régional de la communication et des médias de la Boucle du Mouhoun, Yacouba Goro, la région connait une crise humanitaire engendrée par des attaques terroristes faisant de nombreux déplacés internes.

« Des efforts sont faits tant au niveau du Gouvernement mais aussi du côté des partenaires techniques et financiers et les acteurs des médias devront jouer également leur rôle en contribuant à une gestion efficace de cette crise humanitaire pour un retour à la paix » a-t-il dit.

Selon le communicateur, Issaka Zangré, la crise sécuritaire et humanitaire qui sévit au Burkina Faso a profondément bouleversé l’équilibre socio-économique et politique du pays.

« Cette crise exerce une pression considérable sur l’ensemble des secteurs, y compris celui des médias. Dans ce contexte tumultueux, les acteurs de la presse se retrouvent confrontés à des défis sans précédent, mettant en péril leur capacité à remplir leur mission d’information et de sensibilisation », a-t-il indiqué.

Comme impact de la crise sur les acteurs des médias, M. Zangré a fait savoir que les journalistes font face à des risques accrus en raison de l’insécurité, avec des menaces directes sur leur sécurité physique et des difficultés d’accès aux zones touchées.

 

« Aussi, les contraintes financières et logistiques limitent leur capacité à couvrir efficacement les événements, tandis que les pressions gouvernementales et les risques de censure compromettent leur indépendance éditoriale et leur liberté d’expression », a précisé le communicateur.

 

Il a aussi noté que la crise dans la Boucle du Mouhoun exacerbe les défis déjà existants pour les acteurs des médias, compromettant ainsi leur capacité à remplir leur rôle crucial dans la société.

 

Comme stratégies de résilience, Issaka Zangré, a proposé le renforcement de la sécurité des journalistes en les invitant à travailler en collaboration avec les autorités compétentes pour mettre en place des mesures de sécurité adéquates, telles que la formation sur la sécurité des journaliste, l’utilisation d’équipement de protection et la sensibilisation sur les risques spécifiques liés à la couverture des conflits.

Il a proposé la diversification des sources d’information en établissant des partenariats avec des organisations locales, ONG et des acteurs de la société civile qui peuvent fournir des informations sur le terrain.

Car, a poursuivi M. Zangré, cela permettra au journaliste de produire des reportages plus complets et équilibrés malgré les contraintes. Il a invité les participants à mettre en œuvre certaines stratégies de résilience pour continuer à fournir des informations aux populations.

« Il est important de souligner que la mise en œuvre de ces stratégies de résilience nécessite un environnement propice à la liberté de presse, à la protection des journalistes et à la garantie de leur indépendance. Le soutien des autorités compétentes et la solidarité de la communauté journalistique sont également cruciaux pour la réussite de ces initiatives » a-t-il conclu.

 Agence d’information du Burkina

SB/hb/yo

 Apurement du passif foncier urbain de la commune de Laye : La commission ad hoc installée

BURKINA-KOURWEOGO-FONCIER-COMMISSION-INSTALLATION

 Apurement du passif foncier urbain de la commune de Laye : La commission ad hoc installée

 Boussé, (AIB)-Le préfet, président de la délégation spéciale de la commune de Laye, Seydou Millogo, a procédé le 16 avril 2024 à Laye, à la mise en place d’une commission chargée de l’apurement du passif foncier dans la commune. La cérémonie s’est déroulée en présence des leaders d’opinion de la localité.

La commune de Laye s’est dotée d’une structure technique qui a pour charge la résolution  des réclamations ou litiges occasionnée par les différents lotissements opérés dans la commune depuis 1999.

La cérémonie d’installation des membres de la commission a eu lieu le 16 avril 2024 à Boussé, en présence de la chefferie coutumière, de responsables des communautés religieuses, de la coordination d’associations de femmes et de jeunesse.

Selon les termes de l’arrêté de création la commission a pour attribution d’une part, de faire l’état des lieux du passif foncier urbain de Laye, d’assurer le toilettage et la régularisation des procès-verbaux d’attribution de parcelles et d’autre part, assainir les registres foncier de la mairie et de recette domaniale et proposer des solutions pour chaque cas du passif foncier.

Forte d’une dizaine de personnes issues essentiellement des services techniques régionaux, provinciaux et départementaux en charge du cadastre, de l’urbanisme, des domaines, de l’environnement et de la police nationale, la commission est dirigée par Rimgninga Innocent Benjamain Yelyaoré, par ailleurs président de la commission aménagement du territoire et gestion foncière de la délégation spéciale.

La commission a quinze jours pour prendre connaissance de près de 375 dossiers réceptionnés par le service du foncier rural de la maire en 2020 puis en 2024.

Ceux-ci portent sur des situations d’attributaires non satisfaits, la présence de tombes ou de lieux de cultes sur des parcelles attribuées à autrui, la question des tirages au sort entre autres.

Le président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Laye, Seydou Millogo, a indiqué qu’il s’agit pour la commission d’apporter une solution définitive aux problèmes du foncier urbain à Laye.

Cela, a-t-il dit, va permettre à la localité de relancer sa dynamique d’organisation urbaine, de rassurer les acteurs au développement et de pouvoir ainsi exploiter au mieux son potentiel économique tout en contribuant à la consolidation du vivre en ensemble.

Dans cet élan, le PDS a exhorté les membres de la commission à accomplir leur mission avec sérénité et dans le respect des principes de transparence, d’objectivité et de loyauté.

Il a invité les forces vives de la commune a une franche collaboration afin que les travaux de la commission aboutissent à une conclusion heureuse au profit de toute la communauté.

Les autorités coutumières ont pour leur part traduit leur reconnaissance à l’exécutif communal  pour son engagement en faveur du développement de la commune.

Ils ont aussi imploré Dieu et les mânes des ancêtres afin qu’il protège et guide les membres de la commission.

Agence d’information du Burkina

DB/hb/yo

 

Banfora : Un décès et plusieurs blessés dans un accident de la circulation

Banfora : Un décès et plusieurs blessés dans un accident de la circulation

Banfora, 18 avril 2024 (AIB) – Une personne a trouvé la mort et d’autres ont été blessées, jeudi soir, dans la collision entre un véhicule de transport en commun (communément appelé Dina) et un camion de transport de marchandises, a appris l’AIB sur les lieux.

Selon des témoins, l’accident s’est produit à la suite d’un mauvais croisement, au pk 5 à la sortie de Kiribina en direction de Sindou.
Les blessés, parmi lesquels se trouvent des cas graves, ont été transférés au CHR de Banfora.

Notons qu’un autre camion venu sur les lieux de l’accident a broyé trois motocyclettes stationnées au bord de la route avant de s’immobiliser.

Fort heureusement, il n’y a pas eu de blessés à ce niveau.
Agence d’information du Burkina
MY/ata

Namentenga : Les partenaires au développement invités à assister les populations sans attendre la fin du terrorisme

Namentenga : Les partenaires au développement invités à assister les populations sans attendre la fin du terrorisme

Boulsa, le 17 avril 2024  (AIB)- « Nous ne devons pas attendre que les actes terroristes soient totalement arrêtés au Burkina pour nous redéployer sur le terrain pour accompagner les populations réinstallées », a lancé jeudi le haut-commissaire du Namentenga, Adama Conseiga,  aux partenaires de développement de la province.

 Les corps constitués de la province du Namentenga se sont retrouvés au lycée municipal de Boulsa le 17 avril 2024 pour la cérémonie solennelle de montée des couleurs. Cette occasion solennelle a permis de sensibiliser les citoyens en général et les élèves en particulier sur les actes patriotiques.

C’est avec enthousiasme que le personnel et les élèves du lycée ont accueilli les membres des corps constitués au sein de leur établissement pour la cérémonie solennelle de montée des couleurs.

Pour l’occasion, le message du haut-commissaire Adama Conseiga s’est focalisé sur l’importance de l’éducation dans la formation des citoyens de demain.

Il a illustré son idée en ces termes : « Le non-respect des feux tricolores par les usagers de la route, constaté avec regret par un bailleur de fonds dans la ville de Ouagadougou, a contraint celui-ci à repartir avec son financement. Car, selon lui, l’utilisation de son financement sera à l’image du non-respect des feux tricolores ».

Dans son message, Monsieur Conseiga a de nouveau rendu hommage aux forces combattantes pour les nombreux villages réinstallés.

Il a félicité l’assistance pour la beauté de la tenue Koko donda (produit burkinabè) qu’elle porte fièrement pour répondre ainsi à l’appel du président du Burkina Faso, Son Excellence le Capitaine Ibrahim Traoré, à savoir : « Produisons et consommons burkinabè ».

Il a également remercié certains agents de l’État et d’autres partenaires au développement qui accompagnent les populations réinstallées, avant d’inviter ceux qui traînent le pas à se mettre à la tâche car selon lui « Nous ne devons pas attendre que les actes terroristes soient totalement arrêtés au Burkina pour nous redéployer sur le terrain pour accompagner les populations réinstallées. »

À la suite du haut-commissaire, le responsable militaire en charge de l’unité Guépard a démontré comment plier le drapeau, comment le tenir, comment se comporter au passage du drapeau.

Selon lui, le drapeau ne doit pas être déchiré. Et, quel que soit son état, il ne doit pas toucher le sol ou se retrouver dans la poubelle.

Agence d’information du Burkina

Jean-Baptiste DAMIBA

Le Burkina célèbre la journée internationale des monuments et des sites par une montée des couleurs au Musée national

Burkina-Culture-Monument-Célébration

Le Burkina célèbre la journée internationale des monuments et des sites par une montée des couleurs au Musée national

Ouagadougou, 18 avr 2024 (AIB) – Le ministre d’État, ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo a procédé, ce jeudi à Ouagadougou, à une montée du drapeau burkinabè au Musée national, dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des monuments et des sites (JIMS)

Instituée en 1982 par le Conseil International des Monuments et des Sites (ICOMOS), sur proposition de l’UNESCO, la célébration de cette journée se veut un acte fort de lutte contre les catastrophes de tout genre qui constituent de sérieuses menaces contre les témoins culturels majeurs de notre civilisation.
Placée sous le thème : «Catastrophes et conflits à travers le prisme de la Charte de Venise», la célébration de la Journée Internationale des Monuments et des Sites marque également l’ouverture de la célébration du Mois du Patrimoine Burkinabè.

En saluant toutes les personnes qui ont contribué à faire naître des monuments au Burkina Faso et tous les gestionnaires des lieux de mémoire du pays, le Ministre d’État, Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo, souhaite que le Comité national de ICOMOS s’investisse davantage dans l’animation du Mois du Patrimoine Burkinabè et soutienne les efforts des structures publiques et privées à l’occasion des différents programmes de visite.

Selon le Président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), Monsieur Nangao Bély Hermann Abdoul Karim, l’objectif recherché à travers le mois du patrimoine est de mobiliser le maximum de compatriotes autour des monuments et sites dans notre pays et pour ICOMOS. C’est une mesure salutaire dans le domaine de la protection du patrimoine culturel immeuble qui constitue leur champ d’intervention.

En marge de la journée, le ministre a remis un lot de matériels au Musée national comprenant un ordinateur, un kit de sonorisation, des dictaphones et d’un appareil photographique entre autres.

Agence d’Information du Burkina
Avec DCRP/MCCAT

Le Burkina, invité d’honneur, est présent à Niamey pour la première édition de la Semaine nationale du numérique

Burkina-Niger-Diplomatie-Numérique

Le Burkina, invité d’honneur, est présent à Niamey pour la première édition de la Semaine nationale du numérique

Ouagadougou, 18 avr 2024 (AIB) – Le Burkina Faso, invité d’honneur à la première édition de la semaine du numérique du Niger, est représenté à Niamey par la ministre de la Transition Digitale, des Postes et des Communications électroniques, Dr Amina Sabane Zerbo.

Mme Zerbo a été reçu en audience ce matin par le chef de l’Etat nigérien, le Général Abdourahamane Tiani, en compagnie de ses homologues malien, Alhamdou Ag Ilyène et nigérien, Sidi Mohamed Ralihou.

«Cette audience a été l’occasion pour nous de transmettre les salutations de ses homologues, les Présidents de la transitions du Burkina Faso et du Mali au Président du CNSP mais également de transmettre les remerciements du Capitaine Traoré pour avoir non seulement invité le Burkina Faso mais aussi faire de ce dernier, le pays invité d’honneur de cet évènement», a déclaré Mme Zerbo à sa sortie d’audience, rapporte l’Agence nigérienne de presse.

«Le Président a également saisi cette opportunité pour nous rappeler un certain nombre d’orientations sur notre action qui doit être toujours guidée par les préoccupations de nos populations» a-t-elle poursuivi.

En tant qu’acteurs du numérique, ’’nous sommes très honorés de la place que nos plus hautes autorités accordent à notre secteur et également du soutien qu’ils nous apportent pour que nous puissions réaliser notre mission et faire effectivement du numérique un levier de développement socio-économique au service de nos populations’’ a salué Dr Aminata Zerbo.

Cette première édition de la Semaine nationale du numérique se tient du 18 au 20 avril sous le thème «le Numérique et la Souveraineté», au centre international de conférences Mahatma Gandhi de Niamey.
Elle est organisée par le ministère nigérien de la Communication, des Postes et de l’Economie Numérique et «vise à stimuler davantage le secteur privé à accompagner efficacement les actions du gouvernement et à promouvoir une industrie du numérique créatrice de valeurs au Niger», a expliqué l’agence nigérienne de presse.

C’est également une occasion de vulgariser les usages innovants du numérique par la productivité et la compétitivité des secteurs importants de l’économie nationale en améliorant les performance agricole, l’accès et la qualité des soins de santé, l’éducation et la formation, le commerce et les services publics régaliens.

Agence d’information du Burkina

Le Niger tient la première édition de la Semaine du numérique en présence des délégations de l’AES et de la Chine

Niger-Numérique-Promotion

Le Niger tient la première édition de la Semaine du numérique en présence des délégations de l’AES et de la Chine

Ouagadougou, 18 avr 2024 (AIB) – Les autorités du Niger ont ouvert ce jeudi 18 au centre international de conférences Mahatma Gandhi de Niamey, la 1è édition de la Semaine nationale du numérique sous, le thème «le Numérique et la Souveraineté» et en présence de délégations des pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) et de la Chine.

Organisée par le Ministère de la Communication, des Postes et de l’Economie Numérique, la semaine du numérique «vise à stimuler davantage le secteur privé à accompagner efficacement les actions du gouvernement et à promouvoir une industrie du numérique créatrice de valeurs au Niger», a expliqué l’agence nigérienne de presse.
Il s’agit aussi, poursuit l’ANP, de vulgariser les usages innovants du numérique par la productivité et la compétitivité des secteurs importants de l’économie nationale en améliorant les performance agricole, l’accès et la qualité des soins de santé, l’éducation et la formation, le commerce et les services publics régaliens.

En outre, cet évènement offrira également aux jeunes des opportunités de création d’entreprise, la diversité disciplinaire des participants, leur qualité intellectuelle, leurs professionnalismes et leurs expériences diverses.

Je m’en réjoui de la présence des fortes délégations des pays amis dont la Chine et plus particulièrement celle des pays de l’Alliance des Etats du Sahel, à savoir le Burkina Faso et le Mali’’ a déclaré le Premier ministre par intérim, le Général Salifou Mody,

La présence des pays de l’AES «Nous réconforte et dénote, si besoin est, de l’excellence des relations entre nos pays liés par l’histoire mais aussi et surtout par notre volonté commune d’accélérer le développement économique et social de nos Etats pour le bien-être de nos populations», s’est réjoui l’officier général.

«Aux frères de l’alliance des Etats du Sahel, votre collaboration doit se matérialiser dans tous les domaines de coopération, et je me réjouis qu’en marge de cette édition, vous, ministres en charge du numérique de notre alliance, ayez décidé de jeter les bases pour renforcer votre collaboration dans cet important domaine» a ajouté Mody

Présent à l’événement, la délégation chinoise a confié à l’ANP que le thème de la manifestation est bien choisi et témoigne de la volonté et la détermination du CNSP à faire jouer à ce secteur un énorme rôle dans le domaine du développement socio-économique,
«la Chine, en tant que le plus grand pays en développement, dont l’économie numérique est très développée, entend bien mener une coopération très étroite avec le Niger, un pays frère, pour le développer dans le domaine du numérique en vue de promouvoir la coopération bilatérale déjà excellente, un nouveau palier au service de nos deux peuples’’ a fait savoir le diplomate chinois auprès de l’État du Niger», a confié à l’ANP l’ambassadeur de la Chine au Niger, Jiang Feng après une rencontre avec le chef de l’Etat nigérien.

La semaine nationale du numérique prend fin le 20 avril.
Agence d’Information du Burkina

Les Professionnels de média nigériens créent le CAP-Médias-Niger pour soutenir le CNSP dans son engagement pour la souveraineté du pays

Les Professionnels de média nigériens créent le CAP-Médias-Niger pour soutenir le CNSP dans son engagement pour la souveraineté du pays

Niamey, 16 avril (ANP)- Les professionnels de média nigériens ont, à travers une déclaration de presse rendue publique, ce mardi 16 avril 2024, annoncé la mise en place du Cadre d’Actions des Professionnels des Médias du Niger (CAP-Médias-Niger) en vue d’améliorer les conditions de travail des médias dans un contexte de Sauvegarde de la Patrie.
L’objectif visé à travers cette déclaration est la mise en place du CAP-Médias-Niger par les professionnels de médias publics et privés du Niger, en vue d’apporter leur soutien aux autorités du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) dans la lutte pour la souveraineté nationale en plaidant pour l’améliorer des conditions de travail auxquelles font face les professionnels de médias nigériens.
A cet effet, le CAP-Médias-Niger, fruit d’une large concertation entre les professionnels des médias, vise entre autres, à promouvoir la liberté de la presse dans un contexte de refondation et de sauvegarde de la Patrie.
Aussi, cette synergie entend ’’entreprendre des actions de plaidoyer et de lobbying en faveur d’une prise en charge maximale des légitimes attentes des professionnels des médias dont la relance du processus de la signature de la convention collective de la presse, la mise en œuvre de la loi sur la publicité, le rehaussement de la subvention allouée aux médias publics, le recrutement de tous les agents contractuels au niveau des médias publics’’ et bien d’autres.
Par ailleurs, le Cadre d’Actions des Professionnels des Médias du Niger apporte son soutien ’’aux actions patriotiques que mène le CNSP aux commandes de l’Etat tout en approuvant et encourageant la mise en place de l’Alliance des Etats du Sahel (AES)’’.
Enfin, le Cadre appelle l’ensemble des journalistes et les organisations socioprofessionnelles des médias à se joindre à eux pour l’atteinte de leurs nobles objectifs.
DBZ/AS/ANP 048 avril 2024

Diapaga/Terrorisme : Les populations appellent l’Etat à intervenir rapidement

Diapaga/Terrorisme : Les populations appellent l’Etat à intervenir rapidement

Diapaga, 18 avril 2024 (AIB) – Les populations de Diapaga, dans la province de la Tapoa, ont appelé ce jeudi, les autorités burkinabè à libérer rapidement leur localité des terroristes et à acheminer urgemment des vivres, a constaté un journaliste de l’AIB sur place.

Dans la matinée du 18 avril 2024, les populations de Diapaga, répondant à l’appel des Organisations de la société civile (OSC), ont manifesté dans les rues pour demander à l’État d’agir avant qu’il ne soit trop tard.

Partis du lycée Untaani de Diapaga, les manifestants ont convergé vers le rond-point central pour un meeting au cours duquel la difficile situation sécuritaire et alimentaire a été mise en exergue. Ils ont alors demandé l’envoi en urgence d’un convoi humanitaire.

Sur le plan sécuritaire, les populations ont exigé des opérations de grande envergure pour libérer les communes des exactions terroristes. Elles ont également sollicité le départ du chef de corps du détachement et le remplacement des autorités administratives ainsi que des agents publics ayant quitté la localité.

Les populations fondent l’espoir que leur message soit entendu par les plus hautes autorités du Burkina Faso.

Agence d’information du Burkina

LKB/ata

Des réflexions sont en cours pour doter la région du Sahel d’un musée régional

Le directeur régional de la Culture du Sahel, Monsieur Hamidou Bamogo, a exhorté les forces vives du Sahel à prendre part aux différentes activités

Des réflexions sont en cours pour doter la région du Sahel d’un musée régional

 Dori, (AIB)- Les activités entrant dans le cadre de la deuxième édition du Mois du Patrimoine Burkinabè ont été lancées le jeudi 18 avril 2024 à Dori par le secrétaire général de la région du Sahel, lors d’une montée symbolique du drapeau national. Du 18 avril au 18 mai 2024, les participants vivront au rythme de cadres de concertation, de projections de films, de concerts et de visites de lieux symboliques pour se souvenir de leur passé.

Selon le directeur régional de la Culture du Sahel, Monsieur Hamidou Bamogo, le Mois du Patrimoine Culturel Burkinabè est une initiative du gouvernement burkinabè.

Il vise, selon lui, à permettre aux populations de faire une rétrospective afin de se réapproprier leur histoire.

Selon lui, ce mois, qui s’étend du 18 avril au 18 mai 2024, sera pour eux l’occasion de se remémorer leurs valeurs culturelles en visitant des lieux remplis de symboles et de significations historiques, tels que les musées, les cours royaux et les trésors humains vivants, détenteurs du savoir-faire et du savoir-vivre ensemble.

Les activités prévues au cours de ce mois incluent notamment un cadre de concertation des forces vives de la région le 14 mai 2024 sur la création d’un musée régional, une projection d’un film sur la parenté à plaisanterie le 15 mai 2024, une conférence éducative sur la contribution du patrimoine culturel au développement, et un concert de cohésion sociale entre la population civile, les FDS et les VDP, le 18 mai 2024.

Monsieur Hamidou Bamogo a invité les forces vives de la région à se mobiliser pour doter la région d’un musée digne de ce nom.

Il a exhorté les Sahéliens à visiter le mont Tondikara et la place de l’Aviateur à Gorom-Gorom, la tombe de Babmoye à Falagountou, l’école de la Sagesse et la cathédrale de Dori, les mosquées de Bani et le musée Oursi Hu Beero à Oursi.

Le Mois du Patrimoine Culturel Burkinabè a été lancé par une montée symbolique du drapeau burkinabè à l’hôtel administratif, suivie de la lecture du message du chef de l’État par le secrétaire général de la région du Sahel.

Agence d’information du Burkina

Ali Mamoudou Maïga

AIB/Dori

Conseil Régional des Unions du Sahel : Plus de deux milliards de FCFA investis en 4 ans

 Cissé Boubacar, pour qui le CRUS est affecté par la baisse du financement

Conseil Régional des Unions du Sahel : Plus de deux milliards de FCFA investis en 4 ans

Dori, 13 avril 2024 (AIB)-Le Conseil Régional des Unions du Sahel (CRUS) a organisé le samedi 13 avril 2024 à Dori sa 15ème assemblée générale ordinaire afin de dresser le bilan de quatre années d’activité et de renouveler son bureau exécutif.

Près de deux cents participants, membres de 62 unions, sont venus du Séno, du Soum, du Yagha et de l’Oudalan pour prendre part à cette rencontre.

Selon le coordonnateur du CRUS, Boubacar Cissé, en quatre années d’activité, cette faîtière a réalisé plus de deux milliards de FCFA de transferts à des personnes nécessiteuses et vulnérables.

À l’écouter, le CRUS a distribué ou vendu à prix social plus de 4200 tonnes de céréales et d’aliments pour bétail.

M.Cissé a ajouté que dans le cadre de la rechaptalisassions de la région durement touchée par l’insécurité et ses corollaires, 2600 têtes de bovins et d’ovins ont été distribuées aux ménages vulnérables.

Et le coordonnateur du CRUS de renchérir que sa structure a appuyé plusieurs centaines de ménages, accompagné des coopératives de maraîchers et des pisciculteurs.

De l’avis de son coordonnateur, en dépit de ce tableau reluisant, le CRUS a connu des difficultés au cours de ces quatre dernières années.

 

Vue des participants à la 15ème assemblée générale

Ce sont la baisse des financements due au départ des partenaires, la délocalisation de certaines réalisations et le déplacement interne des populations dont 14 membres sur les 16 qui composent le bureau exécutif.

Afin de poursuivre le combat pour la résilience des éleveurs, agriculteurs et des pisciculteurs du Sahel, l’assemblée a élu un nouveau bureau de 16 membres, dirigé par Koura Adama.

Le CRUS, faut-il le rappeler, a été créé en 1989 et reconnu en 1993. Il se compose de 4 fédérations et 1997 groupements d’éleveurs, d’agriculteurs et de pisciculteurs du Sahel.

Cette assemblée générale, au cours de laquelle les participants ont eu droit à une communication sur la cohésion sociale, a enregistré la présence du directeur régional en charge de l’agriculture, de l’élevage et des ressources halieutiques du Sahel, Monsieur Hié Abidiasse.

Il était venu témoigner de la disponibilité de son service à accompagner le CRUS.

Dans son mot de clôture, le président du CRUS a remercié les participants qui, malgré l’insécurité, ont effectué le déplacement jusqu’à Dori, preuve de leur résilience et de leur attachement à leur faîtière.

Agence d’information du Burkina

Ali Mamoudou MAÏGA

AIB/Séno

 

 

Burkina : Le gouvernement veut créer une Haute autorité de coordination de l’action diplomatique (HACAD)

Burkina-Creation-Haute-Autorité-Coordination-Action-Diplomatique

Burkina : Le gouvernement veut créer une Haute autorité de coordination de l’action diplomatique (HACAD)

Ouagadougou, 17 avr. 2024 (AIB) – Les cadres du ministère en charge des Affaires étrangères examinent du 16 au 18 avril 2024 à Ouagadougou, un projet de décret portant création d’une Haute autorité de coordination de l’action diplomatique (HACAD), afin de promouvoir les intérêts du Burkina Faso sur la scène internationale a appris l’AIB du ministère burkinabè des Affaires étrangères.

La création de cette instance permettra de « renforcer notre capacité à naviguer dans un monde en constante mutation, et de promouvoir les intérêts du Burkina Faso sur la scène internationale », a indiqué le directeur de cabinet du ministre en charge  des Affaires étrangères, Dieudonné Désiré Sougouri.

Selon M. Sougouri, il est impératif pour le Burkina Faso, de disposer d’un cadre de haut niveau autour du Chef de l’Etat, chargé de la coordination et de la cohérence de l’action diplomatique du pays.

A l’en croire, ce cadre permettra de formuler et de mettre en œuvre des politiques et stratégies efficaces en matière de diplomatie.

Durant trois jours d’atelier, les acteurs auront la tâche d’élaborer les différents textes, notamment un décret ainsi que les documents nécessaires pour l’introduction du dossier y relatif en conseil des ministres.

Outre les cadres du Ministère chargé des Affaires étrangères,  cette rencontre, « qui se voulait inclusive », a connu la participation des représentants d’autres départements ministériels et institutions, notamment la présidence du Faso et la primature, informent les services de communication du ministère en charge des Affaires étrangères.
Agence d’information du Burkina
DNK/AS/ATA

Burkina : 19 formations sanitaires bénéficient de 30 millions de FCFA pour la prise en charge de malades indigents internés

Burkina-Subventions-Formations-Sanitaires

Burkina : 19 formations sanitaires bénéficient de 30 millions de FCFA pour la prise en charge de malades indigents internés

Ouagadougou, 17 avr. 2024 (AIB) – Au total 19 formations sanitaires ont bénéficié de 30 millions de FCFA de subvention du Fonds national de solidarité et de résilience sociale (FNS-RS) en 2023 pour la prise en charge de malades indigents internés, a appris AIB du ministère en charge de la solidarité et de l’action humanitaire.

Les malades sont internés dans les hôpitaux et sont dans l’incapacité de payer les frais médicaux. C’est pour venir en aide à ces personnes en difficultés que le FNS-RS dote les CHU, CHR et CMA du pays d’une subvention pour la prise en charge de ces derniers, informent les services de communication du ministère en charge de la solidarité et de l’action humanitaire.

Selon la même source, 19 formations sanitaires ont bénéficié de cette subvention à hauteur de 30 millions de francs CFA en 2023.

Le Fonds national de solidarité et de résilience sociale (FNS-RS) est une structure d’Etat à caractère social et humanitaire relevant du Ministère en charge de la solidarité. Il a pour mission de contribuer à la prise en charge et à la résilience des personnes et des groupes sociaux vulnérables ou en détresse ainsi qu’au financement des actions humanitaires.

Pour le Directeur Général, Sami Nicolas Kambou, le gouvernement à travers le ministère en charge de la solidarité, s’est engagé à toujours apporter son soutien aux couches vulnérables. Les soutiens apportés à ces malades, de son point de vue, leur permet non seulement de recouvrer la santé mais aussi de contribuer à l’amélioration des conditions de vie de ces personnes.

Il a donc invité les personnes de bonne volonté à bien vouloir accompagner le FNS-RS pour la prise en charge des personnes vulnérables
Agence d’information du Burkina
DNK/AS/ATA

Burkina : 268 malades indigents ont bénéficié d’une prise en charge sanitaire pour plus de 158 700 000 francs CFA

Burkina-Santé-Fonds-Prise-Charge-Personnes-Indigentes

Burkina : 268 malades indigents ont bénéficié d’une prise en charge sanitaire pour plus de 158 700 000 francs CFA

Ouagadougou, 17 avr. 2024 (AIB) – 268 malades indigents ont bénéficié d’une prise en charge sanitaire à travers le Fonds national de solidarité et de résilience sociale (FNS-RS) pour un montant global de 158 728 220 francs CFA en 2023, dans l’ensemble des 13 régions du pays, a appris l’AIB du ministère en charge de la solidarité.

Des personnes malades et n’ayant pas les moyens pour prendre en charge les frais médicaux saisissent directement le FNS-RS ou les services déconcentrés du ministère en charge de la solidarité pour la transmission de leurs dossiers au fonds.

«C’est ainsi que 268 malades indigents ont bénéficié d’une prise en charge sanitaire pour un montant global de 158 728 220 francs CFA», informe les services de communication  du ministère en charge de la solidarité et de l’action humanitaire.

La prise en charge des frais médicaux et pharmaceutiques de grands malades indigents a concerné les 13 régions du Burkina Faso, précisent-ils.
Agence d’information du Burkina
DNK/AS/ATA

Burkina : Plus de 188 millions de francs CFA injectés dans la prise en charge sanitaire de 1268 personnes vulnérables

Burkina-Santé-Fonds-Prise-Charge-Personnes-Vulnérables

Burkina : Plus de 188 millions de francs CFA injectés dans la prise en charge sanitaire de 1268 personnes vulnérables

Ouagadougou, 17 avr. 2024 (AIB) – Le Fonds national de solidarité et de résilience sociale (FNS-RS) a injecté en 2023 plus de 188 millions de francs CFA dans la pise en charge de 1268 personnes vulnérables, a appris l’AIB du ministère en charge de la solidarité et de l’action humanitaire.

«1 268 personnes vulnérables ont bénéficié d’une prise en charge sanitaire du Fonds national de solidarité et de résilience sociale (FNS-RS) au cours de l’année 2023», a indiqué les services de communication du ministère en charge de la solidarité et de l’action humanitaire.

Selon la même source, cette prise en charge a coûté plus de 188 millions de francs CFA au FNS-RS et a permis à «un bon nombre de malades vulnérables de recouvrer la santé».

Cet accompagnement entre dans le cadre de la mission d’assistance sociale aux personnes défavorisées, marginalisées et en détresse de la structure, précise-t-elle.

La prise en charge sanitaire accordée par le FNS-RS se présente en deux volets. L’appui direct aux personnes indigentes faisant face à des cas graves de maladies et la subvention accordée aux formations sanitaires pour la prise en charge des malades indigents internés.
Agence d’information du Burkina
DNK/AS/ATA

 

Le champion du monde du Log Lift, Iron Biby, invite à visiter les sculptures rupestres de Laongo

Le champion du monde du Log Lift, Iron Biby, invite à visiter les sculptures rupestres de Laongo

Agence d ‘Information du Burkina

Burkina : Bientôt une nouvelle institution pour «promouvoir les intérêts du Burkina sur la scène internationale»

Burkina-Diplomatie-Institution-Création

Burkina : Bientôt une nouvelle institution pour «promouvoir les intérêts du Burkina sur la scène internationale»

Ouagadougou, 18 avr 2024 (AIB) – Les autorités du Burkina Faso se préparent à la création d’une haute autorité de coordination de l’action diplomatique (HACAD) pour renforcer leurs capacités à promouvoir et à défendre les intérêts du Burkina Faso dans le monde, rapporte les services de communication du ministère en charge de la diplomatie.

Un atelier du ministère des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur qui prend fin de jeudi à Ouagadougou a examiné le projet de décret portant création de la Haute Autorité de Coordination de l’Action Diplomatique (HACAD), explique la direction de la communication du ministère en charge des Affaires étrangères.

Il est «impératif de disposer d’un cadre de haut niveau autour du Chef de l’Etat, chargé de la coordination et de la cohérence de l’action diplomatique de notre pays», a souligné Dieudonné Désiré Sougouri, directeur de cabinet du ministère des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur.

Pour lui, la création de cette instance vise donc à «renforcer notre capacité à naviguer dans un monde en constante mutation, et à promouvoir les intérêts du Burkina Faso sur la scène internationale».
En plus des cadres du ministère chargé des Affaires étrangères, l’atelier de validation des textes de la HACAD a enregistré la participation de la présidence du Faso, de la Primature et des représentants d’autres départements ministériels et institution.

Le Burkina Faso s’est lancé dans une «diplomatie à la foi réaliste et conquérante» qui passe par une déification des partenariats, l’exigence d’un respect mutuel et la sincérité dans les relations.

Agence d’Information du Burkina

Mois du patrimoine, santé, polémique autour de la SONAGESS à la Une des quotidiens du jour

Burkina-Médias-Revue-Presse

Mois du patrimoine, santé, polémique autour de la SONAGESS à la Une des quotidiens du jour

Ouagadougou, le 18 avr. 2024 (AIB)- Les parutions de ce jeudi font cas de la stratégie nationale sur la santé communautaire, de la polémique autour d’une boutique de la Société nationale de gestion du stock de sécurité alimentaire (SONAGESS) située à Gounghin et du lancement du mois du patrimoine.

« Mois du patrimoine : citoyens, appropriez-vous vos sites ! », affiche à sa manchette le quotidien d’Etat Sidwaya.

Le journal rapporte que selon la secrétaire adjointe en charge de la communication, Adama première jumelle Segda, le mois du patrimoine donne l’occasion de célébrer nos racines, nos coutumes et nos valeurs communes.

Le quotidien public poursuit que pour Mme Segda, au cours des prochaines semaines, nous aurons la chance d’explorer notre histoire à travers des expositions, des conférences et des ateliers

Pour Sidwaya le ministre en charge de la communication, Jean Emmanuel Ouédraogo, s’appropriant les propos du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, exhorte à visiter les espaces et sites patrimoniaux, notamment les musées, les cours des rois et chefs traditionnels, les enceintes religieuses…

Le journal de tous les Burkinabè a poursuivi que le ministre en charge de la communication a appelé les autorités coutumières et religieuses de toutes les confessions à s’approprier suffisamment la célébration du patrimoine culturel.

Sous un autre angle, le doyen des quotidiens privés, l’Observateur Paalga affiche à sa Une «  SONAGESS Gounghin : Polémique autour d’une destruction de boutiques ».

Le journal informe que des policiers municipaux ont procédés à la destruction des boutiques situées sur le long du mur de la SONAGESS Gounghin.

Le confrère rapporte que selon le porte-parole des commerçants Kassoum Zongo, des policiers leur avaient informés autour du 11 Mars 2024 que la SONAGESS demandait à ce qu’ils libèrent le long de son mur pour des raisons de construction.

L’Observateur Paalga ajoute que cependant, à la question de connaitre le délai qui leur était donné pour libérer les lieux, les commerçants n’avaient reçu aucune réponse.

Le doyen des quotidiens privés écrit que par ailleurs, ces commerçants ont déplacé leur boutique d’un mètre après que l’entrepreneur du futur projet les ait rassurés  que cela lui permettra de construire son mur sans difficultés.

Le quotidien privé Le Pays, de son côté affiche à sa manchette « Santé communautaire au Burkina : La stratégie nationale en 4 axes ».

Le journal rapporte que selon les dires du secrétaire général du ministère en charge de la santé, Dr Issa Ouédraogo, la mise en place de cette stratégie s’inspire de la vision du ministère de la santé, de disposer d’un système de santé accessible, performant et surtout résilient.

Le pays ajoute que pour le représentant des partenaires techniques et financiers, Dr James Mugaju, La stratégie nationale 2024-2028 va favoriser la mise en place d’un cadre programmatique consensuel, multisectoriel et fédérateur de l’ensemble du département de la santé.
Agence d’information du Burkina
NJK/AMZ/AS/ATA

Burkina : L’homme d’affaire Amadou Tall appelle à la prorogation de la Transition

Burkina : L’homme d’affaire Amadou Tall appelle à la prorogation de la Transition

Ouagadougou, 18 Avril 2024 (AIB)- L’homme d’affaires burkinabè, Amadou Tall a invité le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, « à user des voix légales qui l’autorisent à revoir la durée de la Transition afin de poursuivre ses actions salutaires pour le pays des hommes intègres. »

Selon Amadou Tall, la victoire du Burkina Faso sur le terrorisme « est assurément au bout du chemin avec le capitaine Ibrahim Traoré » en témoignent les décisions courageuses qui visent à couper le nombril ombilical avec le colonisateur.

Aujourd’hui, grâce au leadership du président de la Transition, « nous voyagions à travers le monde avec dignité », nous sommes couverts « d’éloges par des forces de sécurité, des hommes d’affaires, des politiciens, des jeunes », a déclaré l’homme d’affaires burkinabè.

« Sa détermination, son courage, son audace », suscite beaucoup d’admirations au-delà des frontières burkinabè, notamment chez la jeunesse africaine.

Cette prolongation, foi d’Amadou Tall, amènera le pays au sommet de la dignité, loin des prédateurs qui ont conduit le terrorisme sur le territoire.

La Transition dirigée par le capitaine Ibrahim Traoré depuis le 2 octobre 20222 arrive à échéance en juillet 2024, selon la charte de la transition.

Agence d’information du Burkina

YOS/ata

Dernières publications