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Kénédougou/FESTACUNS 2025 : Les anciens instruments de musique Sénoufo valorisés à travers un festival

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Kénédougou/FESTACUNS 2025 : Les anciens instruments de musique Sénoufo valorisés à travers un festival

Orodara, 18 mai 2025 (AIB)- L’Association solidarité entraide plus (ASEP), a organisé du 14 au 15 mai 2025 à Kourouma, la 4e édition du Festival des arts et de la culture Nanergué Sénoufo (FESTACUNS). Cette manifestation vise à valoriser les anciens instruments de musique Sénoufo en voie de  disparition. C’était sous la présidence du Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Kourouma, Angadia Tankoano.

C’est sous le thème : « Rôle de la culture dans la résilience et le développement de la commune de Kourouma : Enjeux, défis et perspectives », que la 4e édition du Festival des arts et de la culture Nanergué Sénoufo (FESTACUNS), s’est tenue du 14 au 15 mai 2025 à Kourouma.

Sous le patronage du député à l’Assemblée législative de Transition, Drissa Sanogo, les parrainages de la directrice générale de la Semaine nationale de la culture (SNC), Christiane Sanou/Coulibaly et du chef de terre de Kourouma, Mahama Traoré.

Selon le président de l’Association solidarité entraide plus (ASEP), Clément Sanogo, l’objectif recherché à travers l’organisation de ce festival est de promouvoir la culture Sénoufo dans toutes ses facettes en mettant un accent particulier sur la valorisation des anciens instruments de musique Sénoufo en voie de disparition.

Il a invité la population de Kourouma à s’approprier ce festival qui constitue un véritable cadre de promotion et de valorisation de la culture Nanergué Senoufo mais aussi pour sa pérennisation.

M.Sanogo, a déclaré que sa structure souhaiterait avoir un partenariat avec la direction de la SNC.

Le Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Kourouma, Angadia Tankoano, le représentant de la marraine, Augustin Kahoun et le chef de Kourouma, Mahama Traoré, ont salué positivement cette initiative culturelle de la part de l’ASEP.

Ils ont marqué leur disponibilité à les accompagner dans leur lourde mission de promotion des valeurs culturelles.

Tout en encourageant le comité d’organisation pour  la réussite de ce festival, Drissa Sanogo, a  appelé la population de Kourouma à l’union et à la cohésion sociale.

Augustin Kahoun a animé un panel sur la présentation de la SNC, les critères de notation en vigueur lors des compétitions du grand prix national des arts, au profit de la jeunesse.

Il leur a aussi prodigué des conseils pour susciter leur participation à la prochaine édition de la Semaine Nationale de la Culture.

Le FESTACUNS a coïncidé cette année avec la commémoration de la journée  des coutumes et traditions.

Plusieurs activités entre autres, des expositions d’anciens instruments de musique Sénoufo, des animations artistiques et une excursion touristique sur la mare aux caïmans sacrés de Kourouma, ont été organisées.

Agence d’information du Burkina

AK/hb/yo

Nayala : Clôture des activités du Centre de formation professionnelle Bangré nooma de Kolan

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Nayala : Clôture des activités du Centre de formation professionnelle Bangré nooma de Kolan

Toma, 17 mai 2025 (AIB)- Le Centre de Formation Professionnelle Bangré nooma de Kolan a célébré samedi, la clôture de sa saison de formation pour magnifier l’autonomisation des femmes à travers l’apprentissage.

Le président de l’Association Belle Espoir, Kientega Pascal, a salué les efforts des femmes et des jeunes de Kolan, affirmant que leur travail dans les champs et les ateliers de couture est bénéfique à la nation entière.

Il a également rendu hommage à la directrice du centre, Raïssa Couture, pour sa contribution à l’autonomisation des femmes à travers la formation à la fabrication du Kôkô Dunda et a souhaité que le gouvernement l’accompagne à construire le siège de l’association.

Le directeur régional de la jeunesse, de l’emploi, de la formation professionnelle et technique, Félix Sibiri, a encouragé les apprenantes à persévérer dans le travail tout en invitant les partenaires à soutenir leurs initiatives.

Il a par ailleurs souligné l’importance de l’engagement communautaire pour le développement local.

Le Chef Coutumier, Pascal Gourané, a ouvert la cérémonie en souhaitant la bienvenue aux invités et a évoqué la nécessité de créer ce type d’activités pour la communauté.

Une des bénéficiaires de la formation a, au nom de ses promotionnaires, remercié la promotrice pour sa patience et son écoute et a souhaité un soutien continu des autorités pour les femmes en formation.

Pour le Haut-commissaire de la province, Honoré Frédéric Paré, les doléances exprimées par les apprenantes seront examinées et traitées.

Il a aussi salué les efforts des formateurs et a invité la communauté à travailler ensemble pour le développement en rappelant que le progrès dépend de l’engagement collectif.

La cérémonie s’est achevée par la remise d’attestations aux apprenants, symbolisant leur abnégation au travail bien fait.

La cérémonie a rassemblé des personnalités dont le Haut-commissaire de la province du Nayala, le directeur régional de la jeunesse, ainsi que des autorités locales.

Agence d’information du Burkina

Nayala/OSCEP : Toma est champion de la province de l’ édition 2025

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Nayala/OSCEP : Toma est champion de la province de l’ édition 2025

Toma, 17 mai 2025 (AIB)- L’Organisation du Sport, de la Culture et des Loisirs à l’École Primaire (OSCEP) a organisé samedi, la finale provinciale du match de football opposant Toma à Gossinan sous le thème « le sport et la culture, véritables facteurs d’épanouissement et de résilience des scolaires dans le contexte d’insécurité. »
À l’issue du temps additionnel, l’équipe de Toma s’est imposée 1-0 contre Gossina sur le terrain en face du maquis Relwindé Plus.
Les équipes participantes ont reçu des récompenses telles des enveloppes et des équipements sportifs.

Le président du comité d’organisation, Abdoulaye Garané, a exprimé sa satisfaction quant à la réussite de l’événement.

Il a aussi souligné l’importance du sport et de la culture dans la vie quotidienne des élèves, surtout dans ce contexte d’insécurité.

Le représentant du chef coutumier, Remi Toé, a ouvert la cérémonie en remerciant les autorités provinciales pour leur soutien à l’organisation de cette journée.
Le parrain de l’événement, abbé Jean Paulin Ki, et par ailleurs enseignant chercheur à l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest, a salué l’engagement des participants et a promis la somme de dix mille francs au premier buteur de la partie, sept mille cinq cents francs au second buteur et cinq mille au troisième.

Le Directeur Provincial de l’Éducation Préscolaire Primaire et Non Formelle, Thomas Garané, a évoqué le courage des organisateurs face à l’insécurité, mettant en avant le rôle du sport et de la culture comme outils d’éducation et de cohésion sociale.

Quant au Haut-commissaire de la province, Honoré Frédéric Paré, il a félicité les jeunes pour leur talent et leur esprit de compétition, insistant sur l’importance de la culture et du sport dans le développement de la jeunesse.

Cette finale a non seulement célébré le sport et la culture, mais a également renforcé les liens communautaires et l’espoir d’un avenir meilleur pour la province du Nayala.

Agence d’information du Burkina

Kossi : Un opérateur économique offre un repas communautaire aux pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna

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Kossi : Un opérateur économique offre un repas communautaire aux pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna

Nouna, 18 mai 2025 (AIB)-L’opérateur économique de Nouna, Assimi Belème, a offert, ce samedi 17 mai 2025, un repas communautaire aux pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna, sur initiative de la direction provinciale en charge de la Solidarité nationale.

Les pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna, ont partagé, le samedi 17 mai 2025, un repas communautaire qui vise à améliorer leurs conditions de vie.

Selon le directeur provincial en charge de l’Action humanitaire, Alassane Kagoné, cette initiative s’inscrit dans une dynamique de la politique du gouvernement en matière de solidarité, de cohésion sociale et du vivre ensemble et d’assistance aux personnes vulnérables.

« Nous ne sommes pas seulement réunis autour d’un repas, nous sommes réunis autour des valeurs humaines fortes, Celles qui nous rappellent que quels que soient nos moyens, où nos parcours, nous appartenons tous à la même communauté », a-t-il dit.

S’adressant aux pensionnaires, le directeur de l’action humanitaire, a ajouté qu’ils sont des hommes et des femmes qui méritent respect et dignité.

Cette journée dédiée aux pensionnaires est le symbole de partage et une marque de solidarité et de fraternité.

L’Etat et ses partenaires joueront leur partition pour un accompagnement dans la dignité et le respect.

Le parrain, Assimi Belème, s’est dit disponible en cas de besoin, à accompagner toutes les actions visant à améliorer les conditions de vie de ces pensionnaires.

Le président de la délégation spéciale de la commune de Nouna, Souleymane Tiono, a souligné que face aux difficultés égrenées a pris l’engagement au nom de la délégation spéciale de la commune de Nouna d’apporter des réponses à certaines doléances.

Il a invité les opérateurs économiques à avoir une pensée pour ces personnes.

Le secrétaire général de la province de la Kossi, Firmin Bassolé, a précisé que dans la même dynamique, a également invité les filles et fils de la province de la Kossi, à avoir un regard compatissant à l’égard des pensionnaires de la cour de solidarité.

En rappel, la cour de solidarité a été créée en 1984 sur initiative du président Thomas Sankara dans le but de lutter contre la mendicité et venir en aide aux personnes vulnérables.

Elle accueille aujourd’hui 98 pensionnaires dont 35 permanents et 63 non permanents mais présente des difficultés dont l’âge du bâtiment et certaines infrastructures manquantes.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Kossi/Cour de solidarité de Nouna : Zoom sur un patrimoine de la révolution d’août 1984

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Kossi/Cour de solidarité de Nouna : Zoom sur un patrimoine de la révolution d’août 1984

Nouna, 18 mai 2025 (AIB)- La cour de solidarité de Nouna a été créé en 1984 sur initiative du père de la révolution d’août, le capitaine Thomas Sankara. Elle avait pour but de lutter contre la mendicité, les enfants talibés, de la rue et surtout de venir en aide aux personnes vulnérables notamment les personnes en situation de handicap. Constat.

La cour de solidarité de Nouna, créée en août 1984 par le capitaine Thomas Sankara, visait à offrir un refuge et un soutien aux personnes en difficulté ou en rupture sociale comme les talibés, les enfants de la rue et les personnes en situation de handicap.

L’institution bénéficie de nos jours, d’un gestionnaire pour la coordination des activités qui y sont menées.

Avec un personnel assez réduit, les appuis en conseil et d’éducation, l’appui psychologique ainsi que la prise en charge psycho-sociale, sont les activités phares.

Dans le contexte humanitaire difficile, marqué par le déplacement des populations, la précarité et les défis socio-économiques, la cour de solidarité n’a pas été épargnée.

Fort de ce constat, le directeur en charge de l’Action humanitaire, Alassane Kagoné tout comme le secrétaire général de la province de la Kossi, Firmin Bassolé, ont plaidé auprès des opérateurs économiques et des personnes ressources afin qu’ils aient un regard compatissant à l’égard des pensionnaires.

Les doléances se résument à la construction de latrines, la réhabilitation de la borne fontaine, la réhabilitation du bâtiment des pensionnaires, l’électrification de la cour, la dotation en matériels de couchage et surtout l’augmentation du financement des micro-projets.

Le secrétaire général de la province de la Kossi, a appelé les filles et fils de la province et aux personnes de bonne volonté, pour plus de solidarité à l’endroit des pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna.

Agence d’information du Burkina

AC/hb/yo

Kénédougou/Sangaba 2025 : « Une source vivifiante de cohésion sociale entre les filles et fils de Samorogouan », ministre. 

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Kénédougou/Sangaba 2025 : « Une source vivifiante de cohésion sociale entre les filles et fils de Samorogouan », ministre. 

Orodara, 18 mai 2025 (AIB)-Le ministre en charge de la Fonction publique, Mathias Traoré, a déclaré, le samedi 17 mai 2025 à Samorogouan, localité située à une cinquantaine de kilomètres de Orodara, chef-lieu de la province du Kénédougou, que la fête coutumière dénommée « Sangaba » qui signifie grandes funérailles, est une source vivifiante de cohésion sociale entre les filles et fils de Samorogouan.

Sangaba qui signifie ‘’grandes funérailles’’, est une fête coutumière qui est célébrée chaque année à Samorogouan pour souhaiter le repos éternel aux morts mais aussi qui annonce le début des travaux champêtres.

Les rideaux sont tombés sur l’édition 2025 de la « Sangaba » dans l’après-midi du samedi 17 mai 2025, sous le thème : « Culture et tradition dans un élan de cohésion sociale ».

Selon le ministre en charge de la Fonction publique, Mathias Traoré, parrain de la cérémonie, cette fête coutumière est une source vivifiante de cohésion sociale et constitue un vœu sacré de bonnes récoltes pour la saison humide qui commence.

Il a exprimé sa gratitude et sa reconnaissance aux forces vives de Samorogouan pour l’avoir associé à l’organisation de cette manifestation culturelle.

Mathias Traoré, a invité les populations à faire de cette fête une opportunité pour renforcer les engagements de leur culture à travers des actions telles que la formation des jeunes sur les pratiques ancestrales, la documentation de leurs rites et la valorisation de leurs expériences artistiques.

A en croire, le président du comité d’organisation, Daouda Traoré, la « Sangaba » est une réponse à l’appel de leurs ancêtres, leur manière de dire au monde d’où ils viennent.

Toutefois, il s’est réjoui de la forte mobilisation de la population de Samorogouan autour de cette fête coutumière.

Daouda Traoré, a soumis quelques doléances au ministre Traoré de la part de la population de la commune de Samorogouan.

Il s’agit de la réhabilitation des routes Banzon-Samorogouan, Samorogouan-Sindou, l’ouverture du centre médical de Samorogouan, l’érection d’un centre culturel et l’amélioration de la couverture téléphonique.

De l’avis du Président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Samorogouan, Kongna Zoumana Traoré, l’organisation de cette manifestation culturelle dans le contexte actuel, est un signe de résilience, de cohésion sociale et de vivre-ensemble.

« Cela renforce la vision du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré et du gouvernement de consacrer le 15 mai de chaque année à la journée des coutumes et traditions afin de réaffirmer la laïcité de l’Etat, d’offrir un cadre officiel pour promouvoir les coutumes et traditions et de susciter la communication entre les populations », a-t-il souligné.

Les notables de Samorogouan ont fait un don de vivres (maïs) aux Forces de défense et de sécurité (FDS), en guise de soutien dans leurs missions de sécurisation du territoire.

Un défilé des femmes de Kourouma et de la Diaspora a mis fin à la cérémonie.

Agence d’information du Burkina

AK/hb/yo

Burkina : Plus de 600 hectares de basfonds réalisés dans le cadre du projet de résilience et de compétitivité agricole 

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Burkina : Plus de 600 hectares de basfonds réalisés dans le cadre du projet de résilience et de compétitivité agricole 

Ouagadougou, 19 mai 2025 (AIB)-Le Projet de résilience et de compétitivité agricole (PReCA) dans sa mise en œuvre a aménagé 687 hectares de basfonds  dans 3 régions du Burkina Faso, d’un coût global de 3,48 milliards de FCFA, a indiqué lundi, le secrétaire général du ministère en charge de l’Agriculture, Gaoussou Sanon.

« Le projet a réalisé 234 hectares de basfonds dans la région des Hauts-Bassins,  257 hectares de basfonds dans les Cascades et 216 hectares de basfonds dans la Boucle du Mouhoun », a déclaré le lundi 19 mai 2025, le secrétaire général du ministère en charge de l’Agriculture Gaoussou Sanon.

Selon lui, le projet a réalisé des périmètres irrigués et a financé 1286 microprojets pour plus 3 milliards 600 millions FCFA et des 362 sous-projets pour un montant de plus de 17 milliards FCFA.

« En termes d’accompagnement, le PReCA a financé 526 personnes déplacées internes à hauteur de 602 millions 537 milles 497 FCFA », a ajouté le Secrétaire général.

M. Sanon, a indiqué qu’outre l’appui financier, le projet a apporté une assistance technique aux promoteurs et renforcé leurs capacités à travers divers formations.

Aujourd’hui, en collaboration avec l’ABNORM, le projet accompagne 84 promoteurs pour la certification de leurs entreprises, a-t-il précisé.

A en croire le SG, toutes ces actions, ont permis d’atteindre un taux de réalisation physique de 74% et financier de 81%.

« Nous sommes très heureux et satisfaits de la mise en œuvre de ce projet qui a connu des difficultés à son démarrage et nous félicitons tous les acteurs ayant contribué à ce résultat », s’est-il-réjoui.

Le secrétaire général du ministère en charge de l’Agriculture s’exprimait à Ouagadougou lors de la 11ème mission d’appui à la mise en œuvre du Projet de résilience et de compétitivité agricole (PReCA).

Selon le coordonnateur, Adama Siri, le PReCA a connu une avancée significative sur la mise en œuvre des grands chantiers de travaux notamment les périmètres irriguées de Dourou, Banzon, Seguéré et Sindou et dans la poursuite des travaux des voies de désenclavement des zones de productions.

Il a aussi apprécié la réalisation des infrastructures marchandes en cours d’achèvement qui vont permettre la commercialisation des produits issus des périmètres aménagés.

« Les résultats engrangés donnent de bons espoirs que les objectifs assignés seront atteints », a-t-il exprimé, affirmant que les indicateurs du projet parlent d’eux-mêmes.

Le coordonnateur a par ailleurs a annoncé le début de la réception des grands chantiers, notamment les périmètres irrigués pour juin 2025.

Pour l’après projet, les acteurs lors des travaux de cette 11ème mission vont proposer une feuille de route et formuler des recommandations afin de permettre au ministère en charge de l’Agriculture de prendre la main.

Il faut préciser que le Projet de résilience et de compétitivité agricole (PReCA), intervient dans  la région des Haut-Bassins, les Cascades, la région du Nord et de la Boucle du Mouhoun et à travers le financement des microprojets et les sous-projets sur toute l’entendue du territoire national.

Lancé en 2020, le PReCA prendra fin le 30 novembre 2025. Il bénéficie du financement de la banque mondiale.

Agence d’information du Burkina

ZO/ata

Commune de Ouagadougou : 5 avenues/rues baptisées au nom de cinq compagnons martyrs du président Sankara

Commune de Ouagadougou : 5 avenues/rues baptisées au nom de cinq compagnons martyrs du président Sankara

Ouagadougou, 19 mai 2025 (AIB)- Cinq rues et avenues de la capitale burkinabè ont été baptisées lundi par les autorités communales, en hommage à cinq compagnons d’infortune du père de la Révolution burkinabè le capitaine Thomas Sankara, assassinés 15 octobre 1987.

Ralegwindé Christophe Saba, Wallilaye Ouédraogo, Paténema Soré, Bonaventure Kompaoré et Fréderic Gannoaga Kiemdé sont les 5 des 12 compagnons d’infortune du président Sankara immortalisés lundi 19 mai 2024 dans les rues et avenues de l’arrondissement 11 de la ville Ouagadougou.

Les autorités communales ont confié que le baptême des rues va concerner les douze compagnons d’infortune du capitaine Thomas Sankara et est une initiative des autorités du pays pour perpétuer la mémoire de ces martyrs morts pour la dignité du peuple burkinabè.

Les proches des familles des illustres disparus présents aux cérémonies symboliques de dévoilement des plaques ont exprimé gratitudes aux autorités pour leur initiative.

« Christophe n’est pas immortel non pas seulement parce qu’il a des enfants mais aussi parce qu’Il a aujourd’hui une avenue », a déclaré un proche visiblement ému.

Selon le président du Comité international du mémorial Thomas Sankara, le Colonel Major Daouda Traoré, l’élan des autorités prouve que toute personne fut-elle, militaire, civil, autre, peut mériter de la reconnaissance de la patrie si elle se donne avec foi et courage pour sa propriété.

Il a indiqué que le camarade Kiemdé Frédéric, juriste de qualité, était un homme jovial, courageux, travailleur et très intelligent. Bonaventure Kompaoré le conseiller du chef de l’État était un homme discret et travailleur.

Sous-officier de gendarmerie et homme de confiance du président, Paténema Soré assurait des tâches de secrétariat et diverses missions.

Le camarade Wallilaye Ouédraogo, le plus jeune des disparus était un garçon formidable, tranquille, courageux et travailleur. Le camarade Saba Christophe était reconnu pour sa détermination, sa disponibilité, son sérieux et son courage.

En rappel, les autorités du pays ont inauguré le 17 mai 2025 le mausolée thomas Sankara, un site de mémoire et de recueillement construit pour rendre hommage au père de la Révolution et ses 12 compagnons d’infortunes.

Le dévoilement des plaques se poursuit demain dans la commune de Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina
YOS/ata

69e anniversaire des Forces Armées Royales : Sa Majesté le Roi Mohammed VI salue leurs « efforts colossaux » pour la défense de la Patrie

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69e anniversaire des Forces Armées Royales : Sa Majesté le Roi Mohammed VI salue leurs « efforts colossaux » pour la défense de la Patrie

Rabat, 16 mai 2025 (AIB)-Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en tant que Chef Suprême et Chef d’État-Major Général des Forces Armées Royales du Maroc, leur a réitéré mercredi, à l’occasion de leur 69e anniversaire, son « immense bienveillance et sollicitude pour les efforts colossaux et les énormes sacrifices » qu’ils ne cessent « de consentir pour la défense de la Patrie et de son intégrité territoriale ».

« Cet anniversaire, qui Nous est si cher, demeurera une des étapes remarquables de l’Histoire de notre Patrie que Nous, en tant que Chef Suprême et Chef d’État-Major Général des Forces Armées Royales, célébrons avec fierté, en vous réitérant, tous grades confondus, Officiers, Officiers du rang et Militaires du rang, femmes et hommes, et tous corps confondus, terrestre, aérien, naval et Gendarmerie Royale, Notre immense bienveillance et sollicitude pour les efforts colossaux et les énormes sacrifices que vous ne cessez de consentir pour la défense de la Patrie et de son intégrité territoriale », a affirmé Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans un message.

Pour l’occasion, le souverain marocain a rendu hommage à « leur fondateur qui en a jeté les premiers jalons, le Père de la Nation, le Roi combattant feu Sa Majesté Mohammed V, et Son compagnon de lutte, feu Sa Majesté le Roi Hassan II, qui a veillé à consolider les fondements de nos Forces armées, à les équiper, à les former et à les qualifier pour qu’elles puissent pleinement remplir les missions qui leur sont confiées ».

Il a ensuite adressé ses « salutations » et l’expression de sa « considération et fierté » à l’ensemble des membres des Forces Armées Royales, de la Gendarmerie Royale, de la Sûreté nationale et des Forces Auxiliaires qui veillent, nuit et jour, à surveiller les frontières terrestres, aériennes et maritimes, ainsi qu’aux différentes unités présentes dans le Sahara marocain, « pour leur dévouement dans l’accomplissement de leur devoir sacré de protéger l’unité de la Patrie et de sa sécurité, donnant plein sens aux valeurs de cohésion solide qui caractérisent tous les Marocains dans la défense de leur première cause nationale ».

En retour, les Forces Armées Royales dans un message, ont réaffirmé « leurs sincères sentiments d’obéissance, de loyalisme, d’estime, de fidélité et de reconnaissance à Sa Majesté le Roi, Chef Suprême et Chef d’État-Major Général des Forces Armées Royales » et « exprimer leur attachement indéfectible au pacte de la Baia et au Glorieux Trône Alaouite ».

« Puisse Dieu perpétuer la gloire de Votre Majesté, guider Vos pas, Vous préserver en tant que recours et rempart infranchissable et en tant que source d’inspiration pour cette Nation, sur la voie de son progrès et de sa prospérité, et Vous accorder longue vie ».

Les Forces Armées Royales marocaines ont été créé en 1956, juste après l’indépendance du Royaume proclamée par feu Sa Majesté le Roi Mohammed V. Les célébrations de cette 69e anniversaire se sont déroulées le mercredi 14 mai à travers tout le Royaume.

Sur Ordre du Roi Mohammed VI, Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, mercredi au Cercle Mess Officiers de Rabat, le déjeuner offert par Sa Majesté le Roi, à l’occasion du 69e anniversaire de la création des Forces Armées Royales (FAR).

Agence d’information du Burkina
WUROTÈDA Ibrahima SANOU
Correspondant de l’AIB à Rabat

Gourma/Elevage : FASO KOSAM lance ses activités pour renforcer la production des produits laitiers

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Gourma/Elevage : FASO KOSAM lance ses activités pour renforcer la production des produits laitiers

Fada N’Gourma, 17 mai 2025 (AIB)-Le ministre d’Etat, ministre en charge des Ressources animales, le Commandant Ismaël Sombié, à la tête d’une délégation ministérielle, a lancé, le vendredi 16 mai 2025 à Fada N’Gourma, les activités de l’agence FASO KOSAM, pour booster la capacité de production des produits laitiers et des ressources animales et halieutiques.

Avec l’arrivée du capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir, le gouvernement burkinabé s’est lancé dans la quête de la souveraineté totale du pays des hommes intègres.
Ainsi, le secteur agrosylvopastoral occupe une place de choix dans l’accession de cette souveraineté tant souhaité par le peuple burkinabé.

C’est dans ce contexte que les hautes autorités de ce pays ont créé par décret, FASO KOSAM comme une société d’Etat à caractère industriel le 23 décembre 2023 suite à la nationalisation de la Société de production de lait et de produits laitiers (SOPROLAIT-SA).

L’agence FASO KOSOM de Fada N’Gourma remplace l’unité de transformation de lait connue sous l’appellation « lait du Gulmu » de Fada N’Gourma qui a été inaugurée le 01 avril 2003 et a cessé de fonctionner en juin 2024 suite à d’énormes difficultés.
Selon le ministre délégué auprès du ministre en charge des Ressources animales, Dr Amadou Dicko, le lancement des activités de cette agence s’inscrit dans la promotion des filières porteuses comme le lait.

Le ministre délégué a rappelé que le Burkina Faso importe plus de 17 milliards de F CFA chaque année.
Donc, a-t-il soutenu, l’objectif visé par la création de l’agence FASO KOSAM est de limiter les importations afin qu’on puisse produire le lait en quantité, le transformer et le commercialiser tout en créant des emplois décents dans le domaine de la production laitière et de la transformation.
Pour booster ce secteur, Dr Amadou Dicko, a ajouté que bientôt une campagne d’insémination pour améliorer la production de lait et les campagnes de vaccination contre les maladies qui paralysent ce secteur seront lancées.

La transformatrice de produits laitiers et responsable de la coopérative simplifiée « YEMPABOU FADA », Pendo Maiga, s’est réjouit du lancement des activités de FASO KOSAM.

Pour elle, cette agence est venue pour aider les producteurs de Fada N’Gourma et de la région de l’Est en général.
Pendo Maiga, a salué cette initiative gouvernementale et s’est engagée à accompagner cette agence.
L’agence FASO KOSOM de Fada N’Gourma est doté d’un appareil industriel d’une capacité nominale de transformation de 3 000 litres de lait par jour.

Elle comprend un atelier de production composé entre autres, d’une salle de réception, de fabrication, d’une beurrerie, d’un laboratoire, et d’une chambre froide.
On y trouve également des bureaux, une boutique de vente directe des produits laitiers aux consommateurs, un dispositif de traitement des eaux usées et de deux forages équipés.

Agence d’information du Burkina
AWS/hb/yo

Kourweogo : Les autorités communales veillent à la libération des voies publiques

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Kourweogo : Les autorités communales veillent à la libération des voies publiques

Boussé, 17 mai 2025 (AIB)-Les autorités communales de Boussé, ont effectué, le vendredi 16 mai 2025 à Boussé, une sortie de terrain pour contrôler l’état d’avancement des opérations en cours, dans le cadre de l’application des directives relatives à la libération des emprises des voies publiques.

Accompagnée des services techniques de la mairie et des représentants des associations de veille citoyenne, la délégation conduite par le président de la délégation spéciale de la commune de Boussé, Issiaka Ganemtoré, s’est rendue sur plusieurs axes concernés par cette opération.

Les points inspectés sont le tronçon de la route de Soala et les abords de la Route nationale 2, entre le Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) et la sortie nord de la ville.

Cette descente a permis aux autorités de constater l’effectivité des mesures prises par les occupants des accotements.

Plusieurs hangars, kiosques, boutiques et étals qui encombraient les voies ont été démantelés et certains commerçants accusent encore du retard dans la mise en œuvre des directives.

Issiaka Ganemtoré, a souligné que cette sortie visait non seulement à faire un état des lieux, mais aussi à sensibiliser les retardataires.

Il a averti que des sanctions seront appliquées aux contrevenants qui ne vont pas se conformer dans les plus brefs délais, tout en saluant les efforts de ses concitoyens qui ont respecté les délais impartis.

Le président de la délégation spéciale de la commune de Boussé, a souligné les bienfaits attendus de ces aménagements.

Il a mentionné notamment l’amélioration de la sécurité routière, la réduction des accidents, une meilleure organisation du stationnement, et l’embellissement du cadre urbain.

Cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large d’urbanisation maîtrisée et de respect des règles d’occupation du domaine public.

Les autorités communales entendent poursuivre les opérations de supervision et de sensibilisation afin de garantir le respect des normes urbaines pour une ville plus sûre et attrayante.

Agence d’information du Burkina

DB/hb/yo

Kossi : Un opérateur économique offre un repas communautaire aux pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna

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Kossi : Un opérateur économique offre un repas communautaire aux pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna

Nouna, 18 mai 2025 (AIB)-L’opérateur économique de Nouna, Assimi Belème, a offert, ce samedi 17 mai 2025, un repas communautaire aux pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna, sur initiative de la direction provinciale en charge de la Solidarité nationale.

Les pensionnaires de la cour de solidarité de Nouna, ont partagé, le samedi 17 mai 2025, un repas communautaire qui vise à améliorer leurs conditions de vie.
Selon le directeur provincial en charge de l’Action humanitaire, Alassane Kagoné, cette initiative s’inscrit dans une dynamique de la politique du gouvernement en matière de solidarité, de cohésion sociale et du vivre ensemble et d’assistance aux personnes vulnérables.

« Nous ne sommes pas seulement réunis autour d’un repas, nous sommes réunis autour des valeurs humaines fortes, Celles qui nous rappellent que quels que soient nos moyens, où nos parcours, nous appartenons tous à la même communauté », a-t-il dit.
S’adressant aux pensionnaires, le directeur de l’action humanitaire, a ajouté qu’ils sont des hommes et des femmes qui méritent respect et dignité.

Cette journée dédiée aux pensionnaires est le symbole de partage et une marque de solidarité et de fraternité.
L’Etat et ses partenaires joueront leur partition pour un accompagnement dans la dignité et le respect.

Le parrain, Assimi Belème, s’est dit disponible en cas de besoin, à accompagner toutes les actions visant à améliorer les conditions de vie de ces pensionnaires.
Le président de la délégation spéciale de la commune de Nouna, Souleymane Tiono, a souligné que face aux difficultés égrenées a pris l’engagement au nom de la délégation spéciale de la commune de Nouna d’apporter des réponses à certaines doléances.
Il a invité les opérateurs économiques à avoir une pensée pour ces personnes.
Le secrétaire général de la province de la Kossi, Firmin Bassolé, a précisé que dans la même dynamique, a également invité les filles et fils de la province de la Kossi, à avoir un regard compatissant à l’égard des pensionnaires de la cour de solidarité.
En rappel, la cour de solidarité a été créée en 1984 sur initiative du président Thomas Sankara dans le but de lutter contre la mendicité et venir en aide aux personnes vulnérables.

Elle accueille aujourd’hui 98 pensionnaires dont 35 permanents et 63 non permanents mais présente des difficultés dont l’âge du bâtiment et certaines infrastructures manquantes.

Agence d’information du Burkina
AC/hb/yo

Burkina : 456 projets de plus 300 millions seront financés par le Fonds de promotion culturelle, Resp

Burkina : 456 projets de plus 300 millions seront financés par le Fonds de promotion culturelle, Resp

Ouagadougou, le 19 mai (AIB)- Le Directeur général du Bureau burkinabè des droits d’auteur (BBDA), Hamed Patric Lega a procédé lundi à Ouagadougou, au lancement officiel de l’appel à projets financés par le Fonds de promotion culturelle (FPC). Au total 456 projets de différents domaines culturels seront financés à hauteur de 300 280 000 F CFA.
« Cette année 2025, l’unique appel à projets du Fonds de promotion Culturelle financerait 456 projets avec une enveloppe globale de 300 280 000 F CFA », a déclaré Le Directeur général du Bureau burkinabè de droit d’auteur (BBDA), Dr Hamed Patric Lega.

Selon lui, cet unique appel à projet vise à permettre aux porteurs de projet de mieux se préparer pour présenter leurs candidatures et de les réaliser dans les délais.

« Nous attendons 294 projets dans le domaine de la musique, 37 projets pour la littérature, 25 projets dans le domaine de la danse, 36 projets du cinéma et l’audiovisuel, 32 projets AGP et 32 projets du théâtre », a-t-il précisé.

M. Lega a indiqué que « chaque projet recevra un financement représentant 85% du montant total à condition que le bénéficiaire s’engage à compléter les 15% restants pour la mise en œuvre de son projet ».

Hamed Patric Lega a informé que les dossiers seront reçus du 22 mai au 26 juin 2025, au siège du BBDA et dans ses représentations régionales.

Il a par ailleurs invité l’ensemble des promoteurs au strict respect du calendrier.

Le Directeur général du BBDA, Hamed Patric Lega s’exprimait lundi 18 mai 2025 au cours du lancement officiel de l’appel à projets financés par le Fonds de promotion culturelle qui vise à soutenir les projets novateurs dans le milieu culturel.

«Les critères de sélection vont se statuer principalement sur l’originalité, le thème et l’impact du projet pour le développement du secteur des arts et de la culture », a laissé entendre la cheffe de service du FPC, Aminata Ouédraogo/Ba.
Elle a indiqué que « nous attendons des projets novateurs, nous voulons que nos artistes creusent et présentent des œuvres qui apportent du nouveau à l’édifice culturel, des projets compétitifs sur le plan national et international ».

Aminata Ouédraogo/Ba a par ailleurs mis en garde les porteurs de projets « des mesures sont mises en place pour détecter les œuvres générées par l’intelligence artificielle (IA) ».

Agence d’Information du Burkina

Burkina : L’Institut africain des industries culturelles (IAIC) fête ses 10 ans d’existence, sous le signe de réflexion et des perspectives d’avenir

Burkina-IAIC-Commémoration

Burkina : L’Institut africain des industries culturelles (IAIC) fête ses 10 ans d’existence, sous le signe de réflexion et des perspectives d’avenir

Ouagadougou, 19 mai 2025 (AIB) – L’Institut africain des industries culturelles (IAIC) a lancé samedi les activités de commémoration de ses 10 ans d’existence, sous le signe de rétrospection et d’introspection, de réflexion et des perspectives d’avenir, devant anciens et nouveaux étudiants.

« Durant les 10 ans, nous avons tenté un projet avec l’accompagnement de tous le monde. Ce 10e anniversaire est un moment de rétrospection et d’introspection, de réflexion et des perspectives d’avenir », a indiqué le fondateur de l’Institut africain des industries culturelles (IAIC), Noël Sanou.

Selon M. Sanou, des travaux sont en cours pour évaluation pour voir ce qui a marché et ce qui reste à améliorer.

« Nous pouvons affirmer que les objectifs qui ont guidé la création de l’Institut africain des industries culturelles cadrent avec les objectifs de la politique nationale de formation orientée vers le développement des filières tertiaires et la professionnalisation des acteurs du tertiaire », a indiqué le représentant des parrains, Celestin Ky.

M. Ky a salué la vision derrière la création de l’Institut africain des industries culturelles pour proposer à la jeunesse et aux professionnels, des filières innovantes qui visent à faire des sciences sociales, de la culture, du tourisme, de l’hôtellerie, de l’évènementiel, de la communication, des secteurs pourvoyeurs d’emplois. L’IAIC commémore ses dix ans sous le thème : « L’éducation à l’économie de la culture et la médiation au service de la résilience ».
Depuis sa création, l’Institut africain des industries culturelles a formé 625 étudiants et professionnels nationaux et internationaux dans le secteur des techniques et sciences de l’homme et de la société, plus précisément dans les métiers des industries culturelles, l’hôtellerie, du tourisme, le management de l’évènementiel, la communication des institutions et des collectivités, et la gestion des conflits
Sur le plan de l’enseignement, l’Institut s’inscrit dans le système licence, master, doctorat (LMD).

Agence d’information du Burkina
DNK/zo/ata

Des panafricanistes saluent la réhabilitation du Président Thomas SANKARA

AUDIENCE DU PRÉSIDENT DU FASO

Des panafricanistes saluent la réhabilitation du Président Thomas SANKARA

(Ouagadougou, 19 mai 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a accordé, ce lundi en fin de matinée, une audience à une délégation de panafricanistes présents à Ouagadougou dans le cadre de l’inauguration du Mausolée Thomas-SANKARA et ses douze compagnons.

Ils sont connus pour être de fervents défenseurs du panafricanisme. Venus d’Afrique du Sud, du Ghana, du Congo, de la Côte d’Ivoire, du Tchad, du Niger, du Mali et d’Europe, des Hommes de culture, de sciences et des leaders d’opinion expriment leurs encouragements et leurs remerciements à Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État.

« Nous sommes venus lui dire merci d’être aujourd’hui le porte-flambeau de la jeunesse de l’Afrique et de sa diaspora », affirme le porte-parole de la délégation, le Pr Mamadou KOULIBALY, ancien ministre et ancien président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire. Les personnalités présentes à cette audience affichent également leurs appréciations des actions entreprises par le Capitaine Ibrahim TRAORÉ et le remercient pour avoir réhabilité le Père de la Révolution d’août 1983, à travers la construction de ce mausolée et au-delà, le projet global du Mémorial avec la quinzaine d’infrastructures.

Le Pr KOULIBALY traduit également la reconnaissance du groupe qui l’accompagne, au Président du Faso pour l’honneur et les hommages rendus à l’ancien Président du Ghana, Président Jerry RAWLINGS, à travers le baptême d’une rue à son nom, mais aussi pour les distinctions honorifiques accordées à des personnalités membres de la délégation.

« Nous sommes venus l’encourager à continuer à travailler pour le développement du Burkina Faso, à orienter les investissements vers les besoins cruciaux de la population. Nous sommes venus l’encourager à transmettre ce message aux autres Chefs d’État de l’AES », ajoute-t-il.

Le Pr Mamadou KOULIBALY réaffirme la disponibilité de la délégation à mener la lutte aux côtés du Président Faso et de ses homologues de la Confédération des États du Sahel : « Ils ne sont pas seuls. Par le passé, l’Afrique est restée indifférente lorsque les menaces ont commencé à planer sur Patrice LUMUMBA, l’Afrique est restée relativement indifférente lorsque les menaces ont plané sur le Président Thomas SANKARA. Nous ne resterons pas indifférents par rapport à toutes les menaces qui pèsent sur la Révolution dans l’AES ».

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Situation nationale : des membres du Gouvernement échangent avec le Corps diplomatique accrédité au Burkina Faso

Situation nationale : des membres du Gouvernement échangent avec le Corps diplomatique accrédité au Burkina Faso

(Ouagadougou, le 19 mai 2025)

Le Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de lExtérieur, avec à ses côtés ses collègues de la Défense et des Anciens Combattants, de l »Economie et de l’Action humanitaire, ont eu ce 19 mai, un dialogue direct avec l’ensemble des Chefs des Missions diplomatiques des Postes consulaires, ainsi que les organisations internationales et interafricaines accrédités au Burkina Faso.

La rencontre présidée par le ministre dEtat ministre de la Défense et des Anciens Combattants, a porté sur la situation nationale du Burkina Faso, notamment la sécurité-défense, la diplomatie, l’Economie, lAction humanitaire et dautres questions diverses.

Pour le gouvernement, ce cadre de dialogue avait pour objectif de donner les informations jutes et réelles aux partenaires diplomatiques, et par ricochet, relever les préoccupations et corriger certaines lectures erronées sur la situation nationale du Burkina Faso.

Cette rencontre, 4e du genre, vient renouveler, lesprit douverture et de dialogue, la disponibilité des autorités burkinabè à partager avec les partenaires l’information vraie découlant de la bonne source.

« La présente session se veut aussi un moment de réajustement et de correction de certaines actualités. Le Burkina Faso, le Mali, le Niger, néchappent pas à la pollution médiatique sur un certain nombre de sujets. Et lorsquon est dans un tel contexte, il est important que ceux qui détiennent linformation juste puissent rencontrer les diplomates et les représentants que vous êtes, pour vous apporter linformation, celle qui va aussi vous orienter dans vos choix dans le renforcement de la coopération et des relations avec le Burkina Faso », a souligné SEM Karamoko Jean Marie TRAORE.

Cette tribune, vise par ailleurs, « à renforcer la collaboration et la coopération de sorte que le Burkina Faso et les pays de lAES puissent atteindre leurs objectifs axés sur la recherche du bonheur des populations », soutient pour sa part le ministre dEtat, ministre de la Défense et des Anciens Combattants, chargé de diriger les travaux.

Le Général de Brigade Célestin SIMPORE a surtout déploré certains comportements, tendant à saper les efforts de la lutte contre le terrorisme comme la désinformation qui envahit les réseaux sociaux.

« Ces comportements nous poussent parfois à croire que le terrorisme nest quun instrument de géopolitique pour faire et défaire les Etats, dans le sens des intérêts de certaines puissances » a-t-il martelé.

Tout en saluant l’esprit douverture du gouvernement burkinabè envers le corps diplomatique, lAmbassadeur du Royaume du Maroc, doyen du Corps diplomatique Son Excellence Youssef SLAOUI, a invité lensemble des diplomates, « à saisir de cette occasion unique qui dénote de la volonté réelle de dialogue et déchanges du gouvernement, en donnant un contenu concret aux échanges et à avoir des informations de première main, de la part des autorités attitrées dans le cadre de la confiance mutuelle et de la sincérité ».

DCRP/MAECR-BE

Agence d’Information du Burkina

L’hymne de l’AES, ‘’la Confédérale’’, soumis au Président Ibrahim TRAORÉ

AUDIENCE DU PRESIDENT DU FASO

L’hymne de l’AES, ‘’la Confédérale’’, soumis au Président Ibrahim TRAORÉ

(Ouagadougou, 19 mai 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a reçu en audience, ce lundi matin, les ministres chargés de la culture des pays membres de la Confédération des États du Sahel (AES).

Conduite par le ministre de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme de la République du Mali, Mamou DAFFÉ, la délégation est venue soumettre au Capitaine Ibrahim TRAORÉ, le projet d’hymne de l’AES intitulé : la Confédérale.

Pour le ministre DAFFÉ, l’hymne de l’AES, ‘’la Confédérale’’ est une œuvre musicale poétique qui retrace les valeurs fondatrices, exalte les âmes communes et les ambitions collectives des États du Burkina Faso, du Mali et du Niger. « Cet hymne se veut un repère identitaire et surtout un puissant levier pour mobiliser les générations présentes et futures pour la victoire finale », indique le porte-parole de la délégation ministérielle.

‘’La Confédérale’’ viendra compléter le dispositif identitaire de l’AES après le drapeau et le logo, affirme le porte-parole qui soutient que le processus d’écriture de ‘’la Confédérale’’ a suivi plusieurs étapes à savoir, la phase des propositions, la synthèse par les experts et la validation par les ministres en charge de la culture des trois pays membres. Ce document a ensuite été soumis au président de la Confédération des États du Sahel, le Président GOÏTA, qui a diligenté la présente mission auprès de son homologue, le Président TRAORÉ.

Le ministre malien chargé de la Culture annonce que les prochaines étapes seront le lancement officiel synchronisé dans les trois pays, l’appropriation de l’hymne par les fanfares et l’apprentissage dans les établissements scolaires.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Burkina : « Il faut d’abord travailler à éliminer les sources de division pour réussir l’unité africaine », Nathalie Yamb

BURKINA–RÉVOLUTION–PROMOTION–IDÉAUX

Burkina : « Il faut d’abord travailler à éliminer les sources de division pour réussir l’unité africaine », Nathalie Yamb

Ouagadougou, 18 mai 2025 (AIB) – La militante panafricaniste Nathalie Yamb a indiqué, hier dimanche, qu’il faut d’abord œuvrer à éliminer les sources de division pour réussir l’unité africaine.

« Je pense que pour réussir l’unité africaine, il faut d’abord travailler à éliminer les sources de division, puisque désunis, nous sommes faibles, mais unis, nous sommes forts », a déclaré la militante.

Selon elle, pour concrétiser cette unité africaine, il est nécessaire que les Africains s’affranchissent au préalable de toutes les sources de désunion, qui profitent aux impérialistes.

Nathalie Yamb s’exprimait dimanche à Ouagadougou, au cours d’une conférence publique sur la promotion des idéaux du capitaine Thomas Sankara.

Cette conférence, consacrée aux idéaux du père de la Révolution burkinabè d’août 1983, a été placée sous le thème : « L’Afrique que nous rêvons selon Thomas Sankara ».

Animant la thématique « Unité africaine : Comment et quand ? », Mme Yamb a précisé que la division est une arme historique de l’impérialisme.

Elle a également expliqué que les guerres, le terrorisme sponsorisé, la corruption des États africains et la manipulation de la jeunesse africaine sont, entre autres, des sources de division.

À son avis, pour parvenir à une véritable unité africaine, il faut instaurer la bonne gouvernance, encourager des interactions équilibrées avec l’extérieur à travers des partenariats gagnant-gagnant, garantir la souveraineté des peuples et éviter la trahison au sein des États africains.

Le président de l’Urgence panafricaine au Niger, Abdouramane Oumarou, co-panéliste avec Nathalie Yamb, a indiqué que le plus important est de faire comprendre aux Africains qu’ils ne pourront rien réussir aujourd’hui sans l’unité.

Selon lui, la Confédération des États du Sahel (AES) peut être considérée comme un embryon des futurs États-Unis d’Afrique.

Le communicateur Abdouramane Oumarou a souligné que les Européens se sont inspirés des idées de l’ancien président ghanéen Kwame Nkrumah pour mettre en place l’Union européenne.

À ses dires, les Africains doivent se réapproprier les idéaux des pères des indépendances, en vue de créer une véritable unité africaine et de recouvrer leur souveraineté.

Il a souhaité que les dirigeants des pays de l’AES s’orientent vers une fédération des États africains pour un réel épanouissement des populations.

Agence d’Information du Burkina
BAK/NO/ata

𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐂𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐃𝐄𝐆𝐂)

𝐅𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐂𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 (𝐃𝐄𝐆𝐂)

Face à l’urgence écologique et aux défis du changement climatique, il devient essentiel de renforcer les capacités juridiques et stratégiques des acteurs du développement, des ONG, des collectivités, des juristes et des agents publics.

🔎 𝐎𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟
Renforcer les compétences des participants pour comprendre, appliquer et défendre les normes juridiques environnementales et climatiques aux niveaux national, régional et international.

📌 𝐀𝐮 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 (9 modules clés) :
𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟏 : 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐮 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭
– Évolution historique du droit environnemental
– Principes fondamentaux (principe de précaution, pollueur-payeur, etc.)
– Principales conventions internationales (CCNUCC, Convention sur la biodiversité, etc.)
– Déclarations et soft law environnementales

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟐 : 𝐂𝐚𝐝𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐮𝐱
– Accord de Paris : obligations et mécanismes
– Contributions déterminées au niveau national (CDN)
– Mécanismes de transparence et de responsabilité
– Financement climatique international

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟑 : 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐧 𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞
– Cadre normatif de l’Union Africaine
– Mécanismes de la CEDEAO relatifs à l’environnement et au climat
– Convergences et divergences des approches nationales en Afrique de l’Ouest
– Études de cas de litiges environnementaux régionaux

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟒 : 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐮 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭
– Analyse comparative des législations environnementales nationales
– Institutions et autorités environnementales
– Mécanismes d’application et d’exécution
– Études de cas pratiques de conformité et de non-conformité

𝐌𝐎𝐃𝐔𝐋𝐄 𝟓 : 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞
– Définition et piliers de la gouvernance environnementale
– Approches participatives et rôle des parties prenantes
– Redd+ et mécanismes de marché carbone
– Enjeux de transparence, redevabilité et justice climatique

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟔 : 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞
– Intersection entre droits humains et changement climatique
– Défense des droits des communautés vulnérables
– Litige climatique
– Protection des défenseurs de l’environnement

𝐌𝐎𝐃𝐔𝐋𝐄 𝟕 : 𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞
– ODD liés à l’environnement et au climat
– Transition énergétique et économie verte
– Défis du développement minier, agricole et urbain durable
– Politiques publiques environnementales

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟖 : 𝐎𝐮𝐭𝐢𝐥𝐬 𝐣𝐮𝐫𝐢𝐝𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐝𝐚𝐩𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥’𝐚𝐭𝐭𝐞́𝐧𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧
– Cadres juridiques pour les énergies renouvelables
– Instruments économiques et fiscaux (taxes carbone, subventions)
– Planification de l’adaptation juridiquement contraignante
– Évaluations d’impact environnemental et climatique

𝐌𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝟗 : 𝐌𝐢𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐥𝐚𝐢𝐝𝐨𝐲𝐞𝐫
– Élaboration de documents juridiques environnementaux
– Stratégies de plaidoyer pour la réforme des politiques
– Mobilisation des mécanismes juridiques pour protéger l’environnement
– Élaboration de plans d’action pour l’intégration juridique et environnementale

🎯 𝐏𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 𝐜𝐢𝐛𝐥𝐞 : Juristes, ONG, collectivités, ministères, chercheurs, étudiants, responsables environnement et projets.
📅 𝐃𝐮𝐫𝐞́𝐞 : 42 heures – Du 31 Mai au 22 Juin 2025.
𝐇𝐞𝐮𝐫𝐞 : 15h-20h – Chaque Samedi et Dimanche
📍 𝐋𝐢𝐞𝐮 : Ouagadougou ou par visioconférence | 📞 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐬 & 𝐈𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 : +226 76986565 /E-mail : siemana@outlook.be
Lien d’inscription : https://forms.gle/TqrwV1SsqSdwMgiSA
WhatsApp : https://wa.me/p/9821857681186756/22676986565
💰 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐞𝐭 𝐢𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 : 100 000 FCFA dont 20 000 FCFA à l’inscription. Possibilité de payer en deux tranches.

🔖 𝐑𝐞𝐣𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞𝐳-𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐮 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭 !

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