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Burkina/Arts : Dre Nongzanga Joséline Yaméogo appelle à sauver le théâtre de la participation des «envahisseurs»

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Burkina/Arts : Dre Nongzanga Joséline Yaméogo appelle à sauver le théâtre de la participation des «envahisseurs»

Ouagadougou, 23 sept. 2021(AIB)-Pour l’obtention de ses deux doctorats délivrés simultanément par l’université Pr Joseph Ki-Zerbo du Burkina et l’université Franche Comté de Besançon en France, Nongzanga Joséline Yaméogo a mené des recherches fournies sur les conditions d’efficacité des théâtres forum et communautaire, mais s’est également penchée sur les «envahisseurs» qui mettent en péril, ce théâtre d’intervention sociale.

Le mardi 21 septembre 2021, la doctorante Nongzanga Joséline Yaméogo a soutenu en présentiel et par vidéo-conférence respectivement à l’université Franche Comté de Besançon en France et à l’université Pr Joseph Ki-Zerbo à Ouagadougou au Burkina Faso.

«Esthétique et pragmatique dans la communication théâtrale : modélisation des spectacles des théâtres forum et communautaire du Burkina Faso de 2008 à 2020».

C’est le thème qui a été soumis à l’appréciation des jurys burkinabè et français, forts de huit personnes.

L’on retiendra que le théâtre forum a été créé au Burkina Faso par le Pr Prosper Kompaoré dans les années 80, aux lendemains de la grave sécheresse qui a frappé le Sahel.

C’est tout naturellement que Nongzanga Joséline Yaméogo a concentré ses recherches sur l’Atelier Théâtre du Burkina (A.T.B.) de M. Prosper Kompaoré et sur Bienvenue Théâtre du Bazèga (B.T.B.) de M. Mahamadi Bonkoungou.

Elle a expliqué que dans le cadre du théâtre forum, les animateurs de ces compagnies recensent d’abord les défis et les préoccupations des populations de leurs zones d’intervention (immersion anthropologique), les scénarisent ensuite avant de les diffuser auprès du public (écoles, marchés, dispensaires, arbre à palabre).

Après les représentations, il y a des moments d’échanges très instructifs entre les comédiens, les commanditaires de la pièce et le public afin de dégager des solutions aux problèmes soulevés.

Le théâtre communautaire, quant à lui, procède, d’abord par un diagnostic théâtralisé des problématiques sociales suivi de l’écriture d’une fable et de sa mise en scène ; puis d’une représentation des meilleures séquences lors d’une séance de restitution générale.

Les représentations sont des moments où les différentes catégories de la communauté s’engagent à se départir des comportements préjudiciables au développement local et interpellent les autorités compétentes présentes à la cérémonie de les aider dans la matérialisation des résolutions.

 

D’ailleurs, c’est cette force de persuasion des théâtres forum et communautaire et leur capacité à pouvoir changer le comportement d’un individu après un spectacle, qui a été en 2008, à l’origine de la passion de Mme Yaméogo.

Nongzanga Joséline Yaméogo a dépeint dans son travail, le professionnalisme et le dévouement de l’A.T.B., de B.T.B. et de bien d’autres compagnies théâtrales dans le développement de ce noble art.

Toutefois, elle a déploré ces publicitaires qui sont entrain de dévoyer le théâtre de la participation en faisant recours à des célébrités, à des animateurs et à des comédiens (des envahisseurs) qui savent mimer mais qui ignorent presque tout des enjeux et des missions de ce théâtre d’intervention sociale.

De son avis, cette pratique risque de jeter à la rue, des comédiens professionnels ou contraindre des compagnies théâtrales à baisser définitivement les rideaux.

La codirectrice de thèse Christine Douxami, Maitresse de Conférences Habilitée à Diriger les Recherches à l’université de Franche Comté, a salué les efforts de rédaction de son étudiante qui ont permis de mettre en exergue selon elle, une forme de «guérison collective des maux de la communauté».

Pour le co-directeur, le professeur titulaire de sémiotique à l’université Joseph Ki-Zerbo, Joseph Paré, le théâtre de la participation permet aux populations de participer à leur propre développement en s’interrogeant sur leurs propres réalités.

Le président du jury, le professeur titulaire de sémiotique à l’université Joseph Ki-Zerbo, Yves Dakouo, a relevé entre autres, l’étendue du corpus qui pouvait être scindé en deux en vue de recherches ultérieures, les perspectives relativement faibles et la nécessité de lier le théâtre de la participation à l’art africain qui est de son avis, esthétique et utilitaire.

M. Yves Dakouo a également salué l’originalité du sujet, l’effort de théorisation et de clarifications conceptuelles, le corpus suffisamment représentatif, la dimension temporelle assez importante. Toutes choses qui de son avis, renforcent la crédibilité du sujet et des résultats atteints.

L’enseignant a aussi apprécié la précision méthodologique, l’approche cohérente, le luxe de détails, les intelligentes démonstrations, la mise en relief des impacts des théâtres forum et communautaire et surtout  la variété, la diversité et la représentativité des acteurs du domaine.

Les autres membres du jury ont également eu des appréciations élogieuses à l’endroit de Nongzanga Joséline Yaméogo.

Elle a donc été déclarée «avec mention très honorable», digne du grade de docteure des Universités de Franche Comté de Besançon et Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina

Tilado Apollinaire ABGA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Burkina : La Fédération des associations islamiques du Burkina Faso s’engage à soutenir la CENI

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Burkina : La Fédération des associations islamiques du Burkina Faso s’engage à soutenir la CENI

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)-La Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIB) s’est engagé, jeudi lors d’une rencontre, à soutenir la nouvelle équipe de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dans l’exercice de ses fonctions.

« Les musulmans prieront 24h/24 pour que la matière électorale ne soit pas un sujet de tension entre Burkinabè », a affirmé El Hadj Souleymane Compaoré, représentant du président du présidium de la fédération.

La nouvelle équipe de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a été reçu jeudi par la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIB) à leur siège.

« Nous sommes une nouvelle équipe et jusque-là, nous n’avions pas eu l’occasion de permettre à la FAIB de faire connaissance avec l’ensemble de la nouvelle équipe de commissaires », a affirmé le président de la CENI, Elysée Ouédraogo.

Selon Elysée Ouédraogo, ils sont venus pour recueillir les « attentes et (les) conseils » de la FAIB.

La CENI, selon son président, a traduit son engagement à conduire sa mission avec beaucoup de professionnalisme à travers les processus électoraux qu’elle engagera.

« Nous avons eu plus que de l’assurance. Non seulement, ils se sont engagés à nous soutenir par leurs prières et leurs invocations, mais, ils se sont dit disponibles pour nous accompagner avec des conseils et des interpellations si nécessaires », a attesté Elysée Ouédraogo.

En rappel, la nouvelle équipe de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a pris fonction le 29 juillet dernier en remplacement de l’équipe de Newton Ahmed Barry.

Agence d’information du Burkina

CYR/wis

Photo CENI

Burkina : Iron Biby présente son trophée de champion du monde au président du Faso

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Burkina : Iron Biby présente son trophée de champion du monde au président du Faso

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)- Cheick Ahmed Al-Hassan Sanou, alias Iron Biby a présenté, jeudi, son trophée de champion du monde de Log Lifter au président du Faso Roch Marc Christian Kaboré.

« C’est un honneur d’être reçu pour la seconde fois ici à Kosyam (palais présidentiel). L’entretien s’est bien passé et le président du Faso m’a encouragé », a déclaré jeudi, le champion du monde de Log Lifter, Cheick Ahmed Al-Hassan Sanou, alias Iron Biby.

Iron Biby s’exprimait à sa sortie d’audience à Kosyam avec le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré à qui il a présenté son trophée de champion du monde de World Strongest Log Lifter.

L’international Burkinabè Cheick Ahmed Al-Hassan Sanou, alias Iron Biby a battu le record du monde de World Strongest Log Lifter vieux de 16 ans le samedi dernier à Glasgow en Ecosse, en soulevant une charge de 229 kg.

« En tant que fils du pays je vais continuer de défendre dignement les couleurs du Burkina Faso, et moi dans ma tête, je me dis qu’il n’y a jamais de limite donc on va continuer de persévérer et d’atteindre d’autres niveaux », a-t-il promis.

Iron Biby a déclaré que le trophée de champion du monde qu’il a remporté est sa manière de contribuer à l’apaisement des cœurs des Burkinabè qui traversent une situation sécuritaire difficile.

Ahmed Sanou a promis continuer de défendre « dignement » les couleurs du Burkina Faso en explosant d’autres records.

Il a également appelé les autorités à soutenir la relève afin que le Burkina Faso continue de briller à l’international.

Par la même occasion, il a témoigné sa gratitude au président Kaboré et à tout le peuple burkinabè pour la solidarité lors du décès de son papa le 21 août dernier et le soutien  qui lui a permis de remporter ce trophée.

Iron Biby a remporté le trophée de champion du monde de Strongest Log Lifter le samedi 18 septembre dernier en Ecosse en soulevant une charge de 229 kg.

Il a précédemment battu le record de champion du monde du Log Lift en avril 2019 à Leed en Angleterre en soulevant une charge de 220kg.

Le 24 juillet dernier à Londres (Angleterre) Iron Biby a également fait parler sa puissance lors du concours d’Axle Press en soulevant 217 kg.

Agence d’information du Burkina

KR/KAR/wis

Burkina : Tony Blair Institute for Global change discute d’agriculture et nutrition avec le président Kaboré

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Burkina : Tony Blair Institute for Global change discute d’agriculture et nutrition avec le président Kaboré

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)- Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a échangé ce jeudi, avec le directeur régional pour l’Afrique francophone de Tony Blair Institute for Global change, Antoine Huss, autour d’agriculture, de nutrition, d’énergie et de capital humain.

L’Institut Tony Blair « travaille au quotidien auprès de son excellence (président Kaboré) ainsi que de la primature (…) en vue de créer des résultats visibles pour les populations dans les secteurs prioritaires que sont l’agriculture, la nutrition l’énergie et le capital humain », a déclaré jeudi Antoine Huss, à Ouagadougou.

Le directeur régional pour l’Afrique francophone de Tony Blair Institute for Global change Antoine Huss, s’exprimait à la sortie d’audience, avec le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré. Il était accompagné d’une équipe de l’Institut.

Selon M. Huss, sa visite a permis « de faire le point (du) partenariat stratégique (entre le Burkina Faso et l’Institut) et de comprendre les priorités du chef de l’Etat ainsi que l’architecture gouvernementale qui est mise en place pour atteindre des résultats pour les populations ».

Tony Blair Institute for Global change collabore avec le président du Faso et le gouvernement burkinabè depuis 2019 de manière à améliorer la performance du gouvernement et l’action publique, a précisé Antoine Huss.

Agence d’information du Burkina

KR/wis

Burkina : « L’agro-écologie reconnue comme un levier d’une agriculture durable » (Responsable)

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Burkina : « L’agro-écologie reconnue comme un levier d’une agriculture durable » (Responsable)

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)- Le secrétaire général du ministère en charge de l’agriculture, Yassia Kindo a déclaré jeudi, que l’agro-écologie est reconnue comme un levier d’une agriculture durable, qui peut contribuer à la sécurité alimentaire et à la résilience des populations.

« De nos jours, l’agro-écologie est reconnue comme un levier sur lequel il faut désormais actionner pour rendre l’agriculture plus durable », a déclaré le secrétaire général du ministère en charge de l’agriculture, Yassia Kindo.

M. Kindo s’exprimait jeudi, lors d’un atelier de validation du rapport de l’analyse diagnostique de la situation de l’agro-écologie au Burkina Faso.

Il a reconnu que l’agro-écologie se positionne aujourd’hui comme un paradigme « incontournable » pour une agriculture techniquement « durable », écologiquement « viable » et socialement juste.

Pour M. Kindo, c’est fort de ce constat qu’une étude d’élaboration d’une stratégie a été engagée pour soutenir une mise à l’échelle des pratiques approuvées d’agro-écologie.

« L’agro-écologie propose des systèmes de production alternatifs qui s’inspirent du fonctionnement des écosystèmes pour préserver la biodiversité », a-t-il ajouté.

L’agro-écologie désigne l’ensemble des techniques visant à pratiquer une agriculture plus respectueuse de l’environnement et des spécificités écologiques.

Agence d’information du Burkina

HB/wis

 

Lutte contre le covid-19 : Le président Kaboré appelle au renforcement de la solidarité internationale

Burkina-Covid-19-ONU-Déclaration

Lutte contre le covid-19 : Le président Kaboré appelle au renforcement de la solidarité internationale

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)- Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a appelé jeudi, au renforcement de « la solidarité internationale pour lutter contre le Covid-19 qui endeuille des millions de familles » dans le monde.  

« Nous devons poursuivre la mobilisation et renforcer la solidarité internationale pour lutter contre cette pandémie (covid-19) qui endeuille des millions de familles et qui aggrave la situation économique déjà préoccupante des pays », a déclaré jeudi, le président Roch Marc Christian Kaboré.

Le chef de l’Etat burkinabè s’exprimait en direct de New York, depuis Ouagadougou à l’occasion de la 76è session de l’Assemblée générale des Nations unis.

Il a affirmé qu’« au plan national, le Burkina Faso a adopté un plan de riposte qui organise la réponse sanitaire et détermine des mesures sociales et de relance économique ».

« Grâce au mécanisme covax et les gouvernements des pays amis, des doses de vaccin ont été reçus et le programme de vaccination est en cours », a rappelé le président Kaboré.

Le chef de l’Etat a remercié « les partenaires multilatéraux, bilatéraux et privés qui ont accompagné le Burkina Faso dans ses efforts de mobilisation contre la pandémie ».

Il a lancé « un appel pressant à une plus grande solidarité internationale afin de nous permettre d’être à l’abri des effets dévastateurs de cette pandémie ».

Cependant, « la lutte contre la covid-19 ne doit pas faire oublier la lutte contre le VIH-Sida considéré comme une pandémie », a relevé le président Kaboré.

A cet effet, il a salué « la tenue de la réunion de Haut niveau sur le VIH-Sida, le 8 juin 2021 » et s’est félicité « de l’adoption d’une déclaration politique qui appelle à agir pour vaincre le sida d’ici à 2030 ».

La 76è session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) s’est ouverte le 14 septembre dernier.

Elle se tient sous le thème « Miser sur l’espoir pour renforcer la résilience afin de se relever de la covid-19, reconstruire durablement, répondre au besoin de la planète, respecter les droits des personnes et revitaliser l’organisation des Nations unies  ».

Agence d’information du Burkina

Wis/az

Insécurité au Sahel, « Tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité », président Kaboré

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Insécurité au Sahel, « Tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité », président Kaboré

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)-Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a annoncé jeudi que « tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité » au Burkina Faso et dans le Sahel fortement éprouvés par le terrorisme. 

« Tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité dans toutes les régions menacées du pays », a déclaré jeudi, le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré

Le chef de l’Etat s’exprimait en direct de New York (Etats unis), depuis Ouagadougou à l’occasion de la 76è session de l’Assemblée générale des Nations unis.

Pour assurer le retour de la sécurité dans toutes les régions menacées, le gouvernement (burkinabè) a adopté des instruments de pilotage de la politique de sécurité nationale, a rappelé le président Kaboré.

Le chef de l’Etat a affirmé que le gouvernement continue aussi de « renforcer les compétences de ces Forces de défenses et de sécurité pour une efficacité opérationnelle satisfaisante ».

Le président Kaboré a tenu « à rassurer la communauté internationale, que les opérations militaires, à l’instar de celles déjà réalisées, seront menées dans le strict respect des droits humains et en conformité avec les engagements internationaux du Burkina Faso dans ce domaine ».

Selon le président Kaboré, « le terrorisme demeure un grand défi auquel (les burkinabè doivent faire face au regard des nombreuses victimes à travers le monde ».

Il a déploré qu’ « en Afrique et dans les régions du Sahel en particulier, les efforts de développement (soient) annihilés ces dernières années par les attaques terroristes courantes ».

Il a aussi déploré la dégradation continue de « la situation sécuritaire (…) surtout dans la zone des trois frontières (Burkina Faso, Mali, Niger) mais aussi dans d’autres régions du pays ».

Dans la lutte contre le terrorisme, le président du Faso a estimé que « les seuls efforts des pays touchés, n’auront d’impacts durables que s’ils sont soutenus par la communauté internationale ».

« C’est le lieu pour moi de rappeler qu’il s’agit de paix et de sécurité internationale et qu’il est urgent pour la communauté internationale, voir le conseil de sécurité de soutenir les pays du G5 Sahel dans la lutte contre le terrorisme », a-t-il soutenu.

Pour Roch Kaboré, « la meilleure façon (de soutenir le G5 Sahel) serait de placer le mandat de la Force conjointe du G5 Sahel sous le chapitre 7 de la charte des Nations unis ».

La 59è session de la conférence des chefs d’Etats de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a nommé l’ancien président du Niger Mahamadou Issoufou et le président du Ghana Nana Akufo Addo comme champions de la mobilisation des ressources du Plan d’action 2020/2024 pour l’éradication du terrorisme dans la région.

Pour Roch Kaboré, ces nominations sont « une bonne indication et constitue un acte majeur de l’engagement de la CEDEAO » pour l’éradication du terrorisme.

La 76è session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) s’est ouverte le 14 septembre dernier.

Elle se tient sous le thème « Miser sur l’espoir pour renforcer la résilience afin de se relever de la covid-19, reconstruire durablement, répondre aux besoins de la planète, respecter les droits des personnes et revitaliser l’organisation des Nations unies  ».

Agence d’information du Burkina

SS/wis

Indépendance du Mali : Le président appelle à la responsabilité et au devoir de mémoire

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Indépendance du Mali : Le président appelle à la responsabilité et au devoir de mémoire

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)- Le colonel Assimi Goïta président de la transition malienne, à l’occasion de la commémoration des 61 ans de la fête d’indépendance du pays, a invité mardi soir, les maliens « à la responsabilité et au devoir de mémoire ».

 « Par-delà les aspects festifs de cette commémoration si importante pour notre nation, l’heure doit être à la responsabilité et au devoir de mémoire », a déclaré le colonel Assimi Goïta, dans son message à la Nation.

Selon le président de la transition malienne, « par une analyse rigoureuse, le constat (du pays) est certes préoccupant, mais cela ne doit nullement » pousser (les maliens) au désespoir qui n’est, en réalité, qu’un signe d’abandon ».

Il a indiqué que « la feuille de route et la charte de la Transition ont été validées par le peuple souverain (malien), à travers des journées de concertation nationale tenues les 10, 11 et 12 septembre 2020 ».

Cela « avec comme objectif ultime de favoriser le rétablissement de l’ordre institutionnel et amorcer le processus de refondation de l’Etat » a-t-il ajouté.

Il a relevé que « les premiers acquis de la Transition, après 8 mois d’exercice, avaient failli être compromis par une démarche impénitente qui violait l’équilibre sur lequel reposaient les institutions de la Transition ».

C’est pourquoi, selon lui, « le 24 mai 2021, l’Armée a décidé, une fois de plus, de prendre ses responsabilités pour éviter le chaos à (la) nation (malienne) ».

En effet, le 24 mai dernier, le colonel Assimi Goïta et ses hommes ont perpétré contre le président de Transition Bah N’Daw dont il était le vice-président, leur second coup d’Etat.

Ce dernier avait été porté à la tête de la Transition sous pression de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) après le premier coup d’Etat du colonel Goïta contre le président Ibrahim Boubacar Kéita le 18 août 2020.

Selon le colonel président Goïta, « son pays suit avec constance sa marche vers la refondation de son architecture politique et institutionnelle ».

A cet effet, il a affirmé que « le programme d’action gouvernemental s’articule autour de 4 axes notamment le renforcement de la sécurité sur l’ensemble du territoire national ».

Ce programme comprend également, « les réformes politiques et institutionnelles, l’organisation des élections générales et la promotion de la bonne gouvernance », a-t-il poursuivi.

Le colonel Assimi Goïta s’exprimait mardi soir à l’occasion de la commémoration des 61 ans de la proclamation de l’indépendance du Mali par le président Modibo Kéita le 22 septembre 1960.

La commémoration a été marquée mercredi par « le dépôt de gerbes de fleurs au monument de l’indépendance » par le président de la transition Assimi Goïta.

Le colonel s’est ensuite rendu à Kati afin de présider le défilé militaire marquant la commémoration du 61e anniversaire de l’indépendance du Mali.

Le chef de l’Etat malien a aussi reçu le marcheur Banou Diarra qui a parcouru 480 kilomètres à la marche de Mouribla (cercle de San) à Kati.

Ce dernier a marché pendant 6 jours, pour venir remettre le drapeau national au président de la Transition, colonel Assimi Goïta, à sa résidence de Kati. Le président l’a remercié pour son message de paix et son patriotisme.

Un autre temps fort de la commémoration a été l’organisation de deux compétitions de footballs.

La première entre la présidence de la république et le conseil national de Transition (Assemblée nationale) qui s’est soldée par un score nul et vierge (0-0).

Le second match entre le gouvernement malien et l’Association des journalistes maliens a été remporté par le premier par un but à 0. Le gouvernement a remporté la coupe Assimi Goïta.

Agence d’information du Burkina

SS/wis

Burkina : 72 personnes aux arrêts pour « contrebande aggravée de carburant blanchissement de capitaux »(Procureur)

Burkina : 72 personnes aux arrêts pour « contrebande aggravée de carburant blanchissement de capitaux »(Procureur)

Ouagadougou, 23 sept. 2021(AIB)-72 personnes ont été mis aux arrêts dans le cadre d’une enquête portant sur un vaste réseau de contrebande aggravée de carburant et de blanchissement de capitaux, s’étendant sur plusieurs régions du Burkina Faso, a annoncé le Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou, Harouna Yoda, à travers un communiqué.

Le communiqué dont l’AIB a reçu copie, renseigne que le 6 août 2019, l’Autorité supérieure du contrôle d’Etat et de Lutte contre la corruption (ASCE-LC) recevait une dénonciation  faisant cas de la commission sur le territoire Burkinabé, de faits de contrebande de carburant à grande échelle.

« Le carburant en question proviendrait du Nigéria en passant par le Bénin pour être stocké à Koualou, localité située à une dizaine de kilomètres de Nadiagou à l’Est du Burkina Faso », précise le procureur.

Il ajoute que « selon cette source, les trafiquants se ravitailleraient  à Koualou et les produits seraient transportés dans des fûts à l’intérieur de camions appelés « 10 tonnes » à destination de Fada N’Gourma, Koupéla, Pouytenga, Zorgho, Mogtedo, Minassem (Koulbila) et Ouagadougou ».

Le communiqué indique que suite à cette dénonciation mentionnant des faits aussi graves, une mission exploratoire de l’ASCE-LC dans la région de l’Est, en février 2020, a permis de recueillir des indices concordants tendant à la confirmation des faits évoqués dans la dénonciation.

« Nantis des informations recueillies par la mission, l’Autorité Supérieure du Contrôle d’Etat et de Lutte contre la Corruption, conformément à l’article 241-8 du Code de Procédure Pénale, informait mon parquet des faits ci-dessus évoqués », peut-on lire.

A en croire le procureur, « l’enquête ouverte des chefs de contrebande aggravée , blanchiment de capitaux, corruption, à l’effet d’élucider les faits mentionnés par le dénonciateur permettait d’identifier des dépôts illicites des produits d’hydrocarbures de contrebande dans les localités de Ouagadougou, Komsilaga, Mogtédo, minasom-nagréongo, Zorgho, Kombissiri, Kaya, Tenkodogo, Fada N’Gourma … ».

Selon le communiqué, des stations-services  bénéficiaires de ce carburant de contrebande  étaient identifiées à Ouagadougou, Kombissiri, Kaya… Le même document note que les principaux auteurs des faits de contrebande  étaient identifiés dans les régions  de l’est, du centre est , du centre nord, du plateau central, du centre sud et du centre ;

« Au regard de ces éléments, mon parquet en synergie d’action avec le ministère de la sécurité et l’Autorité Supérieure du Contrôle d’Etat et de la lutte contre la Corruption a lancé, du 17 septembre 2021 au 20 septembre 2021, une vaste opération à l’effet d’interpeller les personnes impliquées dans les faits infractionnels en cause, de procéder aux saisies des moyens servant à la commission des faits et à la mise sous scellés des différents dépôts d’hydrocarbure de contrebande », souligne le procureur Harouna Yoda.

Il fait remarquer que cette opération a permis, entre autres,  d’interpeller  soixante-douze personnes actuellement en garde à vue pour les besoins de l’enquête et de saisir des pièces documentaires et des numéraires en lien avec les activités illicites des mis en cause.

« Toutes ces actions ont été accomplies dans un environnement sécurisé grâce  à l’encadrement  sécuritaire  des éléments de la gendarmerie nationale qu’il convient de saluer’, mentionne le procureur du Faso près le TGI de Ouagadougou.

Agence d’information du Burkina

Insécurité au Sahel, « Tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité », président Kaboré

Burkina Faso President Roch Marc Christian Kabore speaks during a news conference with German Chancellor Angela Merkel at the Presidential Palace in Ouagadougou, Burkina Faso, Wednesday, May 1, 2019. Merkel has arrived in the West African nation of Burkina Faso. Merkel is on a three-nation tour in the region. (AP Photo/Alain Didier Compaore)

Burkina

Insécurité au Sahel, « Tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité », président Kaboré

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)-Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a annoncé jeudi que « tout sera mis en œuvre pour garantir la sécurité » dans le Sahel notamment dans la zone des trois frontières (Burkina Faso, Mali, Niger), fortement éprouvé par le terrorisme. 

Le chef de l’Etat burkinabè s’exprimait en direct de New York (États-Unis) depuis Ouagadougou, à l’occasion de la 76 session de l’Assemblée générale des Nations unis.

Nous y reviendrons

Agence d’information du Burkina 

Photo d’archive pour illustration 

Burkina: le « Fasofoot » devient la « Ligue1 LONAB »

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Burkina : Le « Fasofoot » devient la « Ligue 1 LONAB » 

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)- La Fédération burkinabè de football (FBF) a dévoilé jeudi au cours d’une cérémonie à Ouagadougou, le nouveau logo du championnat national de football de première division qui devient « Ligue1 LONAB » au lieu de « Fasofoot »,  a-t-on constaté sur place.

En changeant le nom et le visuel du championnat national de football de D1, la FBF, selon son président, Lazare Banssé, veut « donner une identité » à sa structure et surtout au football national, pour se conformer aux mutations sociales, économiques et culturelles.

L’esprit du logo selon toujours la FBF, « est de permettre de faire le distinguo entre le produit championnat national de première division et les autres qui, on suppose, auront aussi leur identité ».

Le projet de partenariat entre le désormais sponsor officiel de la Ligue 1, la LONAB et la FBF en gestation depuis près d’un an comme l’a indiqué le président Banssé, « entend matérialiser une vision du future qui veuille que les produits que la FBF offre soient de toute première qualité ».

Le président Banssé a rappelé que « les échanges ont pris le temps qu’il faut mais nous avons su chacun répondre avec force, que cette association était nécessaire car, pouvant se muer en une force transformatrice du vécu de nos deux entités respectives ».

Selon le patron du football burkinabè, « le projet d’adoption de ce label s’inscrit dans les actions prioritaires de mon mandat  qui est la diversification des sources de revenus de la Fédération et le renforcement de ses fonds propres ».

La Loterie nationale burkinabè (LONAB) à travers son Directeur général Patindèba Naza, s’est réjouie  de cette initiative de la FBF.

« Je pense ne pas me tromper en disant qu’à travers ce partenariat, les jeunes burkinabè férus de football, vont désormais disposer d’un cadre plus en rapport avec leur ambition et celle de leurs clubs respectifs de hisser notre championnat national à un niveau fort appréciable », a déclaré M. Naza.

Il a ajouté que c’est « la bonne cible pour mieux vendre nos produits et aller chercher une clientèle qui puisse nous rester fidèle sur le durée ».

La nationale des jeux du hasard entend conforter son engagement et son implication dans la mise en œuvre des politiques en matière de sport et de loisirs.

Il s’agit en effet de « concevoir avec la FBF un partenariat de type gagnant-gagnant en permettant qu’émergent des compétitions pour les jeunes où ils donnent leur pleine mesure et mettre à profit ces compétitions de valeur pour la grandeur de la marque LONAB ».

L’inventeur du défunt Fasofoot, le confrère à la retraite Yannick Laurent Bayala a été honoré par la FBF avec une attestation de reconnaissance. Il est passé à la tribune de la cérémonie avec ses confrères de la même époque pour rendre un vibrant témoignage des conditions de travail dans ces années 90.

La Ligue 1 LONAB démarre ce 25 septembre avec le choc ASFA-Yennenga # ASFB, les deux finalistes de la dernière coupe du Faso.

Le premier ticket de la journée a été vendu à 10 000F (le ticket de 1000F) au secrétaire général du ministère des sports et des loisirs, Hermann Zinguim Yabré qui représentait son ministre, patron de la cérémonie.

Plusieurs autres partenaires de la Ligue 1 LONAB se sont procurés ces tickets sur place à des prix variés.

Agence d’information du Burkina
AS/ak

Burkina : Une application pour gérer les cours d’appui, une trouvaille de Mohamed Ouédraogo

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Burkina : Une application pour gérer les cours d’appui, une trouvaille de Mohamed Ouédraogo

Ouagadougou, 22 sept. 2021 (AIB)-L’étudiant Manegbzanga Mohamed Ouédraogo a présenté mardi une application pour gérer les cours d’appui au cours de sa soutenance de fin de formation.

Mohamed Ouédraogo a soutenu mardi, son mémoire de fin de formation de cycle licence en informatique à l’Institut burkinabè des arts et métiers (IBAM).

La soutenance avait pour thème « la conception et la réalisation d’un système informatisé de gestion d’une structure d’appui pédagogique ».

Pour l’impétrant, cette application servira à sauvegarder les données et surtout à tenir les parents informés des résultats de leurs enfants.

Il a expliqué que l’accès à l’application est conditionné par l’utilisation d’une adresse email et d’un mot de passe.

L’impétrant a ajouté que les personnes intervenantes dans cette plateforme sont l’administrateur, les professeurs, les parents mais aussi les élèves.

Selon lui, l’administrateur peut agir à la place des professeurs pour reporter les notes, il peut également ajouter ou retirer un professeur

Aussi cette plateforme permet d’envoyer des notifications aux parents des élèves pour les signifier le retard ou l’absence de leurs enfants.

M. Ouédraogo a estimé le coup de réalisation de la plateforme à plus d’un million de FCFA. Il a été sanctionné par la mention très honorable avec la note de 18/20.

Mohamed Ouédraogo n’entend pas se reposer sur ses lauriers, il dit s’être déjà inscrit à l’université Félix Houphouët Boigny en Côte d’Ivoire pour poursuivre ses études en master.

Agence d’information du Burkina

KAR/wis

Burkina : terrorisme, politique et faits de société à la Une des journaux

Burkina-Revue-Presse

Burkina : terrorisme, politique et faits de société à la Une des journaux

Ouagadougou, 23 sept. 2021 (AIB)-Les quotidiens burkinabè du jeudi évoquent la question du terrorisme lié à l’Islam, le 2e congrès extraordinaire du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) et faits de société.

« Bilal Ramadan, philosophe : l’Islam s’oppose à toutes les formes d’injustices » titre Sidwaya.

Selon le journal, le centre Valère-Somé  pour l’innovation politique a organisé une conférence publique  à Ouagadougou.

L’institution a convié le philosophe et formateur, Bilal Ramadan, d’origine égyptienne et fin connaisseur  de l’Islam.

A la faveur de cet évènement, le philosophe a éclairé l’assistance dans un contexte marqué  par toutes sortes de confusions sur le terrorisme et l’Islam.

Pour la même nouvelle, L’Observateur Paalga le doyen des quotidiens privés affiche  « Terrorisme : ce n’est pas de l’Islam, c’est une trahison ».

Pour le journal, la conférence publique qui a eu lieu au centre national de presse Norbert- Zongo a porté sur le thème « Islam, Islamophobie et terrorisme ».

Le Pays de son côté a annoncé que selon Bilal Ramadan, «  Aucun imam ou érudit musulman ne peut faire l’apologie du terrorisme ».

Au chapitre politique, L’Observateur Paalga revient  sur le  2e congrès extraordinaire  du MPP (au pouvoir) à travers une interview accordée par le président du MPP Simon Compaoré intitulée  « Moi, Simon Compaoré, je n’ai plus d’ambition ».

Dans l’interview, il a été abordé le 2e congrès extraordinaire du MPP qui se déroulera du 24 au 26 septembre 2021.

En plus  de cela, il a été question du  bilan du président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) Simon Compaoré à la tête du parti, ses ambitions de renouvellement des instances dirigeantes, la stratégie de lutte contre les forces du mal ainsi que le récent jugement des présumés terroristes.

Toujours dans la rubrique politique, L’Express du Faso, le quotidien bobolais de son côté parle de la gestion du pouvoir d’Etat en écrivant « gestion de pouvoir d’Etat : PDIS-Laafia, le parti de la majorité qui se sent écarté ».

Le journal informe que le Parti démocratique pour l’intégration et la solidarité-Laafia a animé son 2e point de presse de l’année en cours.

La rencontre s’est articulée autour du rôle et de la contribution du parti dans la gouvernance de l’Etat.

Au registre des faits de société, L’Express du Faso parle d’une journée de concertation  communale par l’article titré « commune de Bobo : les acteurs de l’éducation en discussion ».

La rencontre a permis de réfléchir sur  les thématiques des Assises nationales sur l’éducation.

Pendant ce temps, Sidwaya se penche sur la réfection du Stade de 4 –Août.

Selon le journal de tous les burkinabè, il faut plus de 15 milliards  FCFA pour la mise aux normes du stade.

Agence d’information du Burkina

SS/ey-wis

ACTUALITÉS : LE MONDE EN BREF DU JEUDI 23 SEPTEMBRE 2021

ACTUALITÉS

LE MONDE EN BREF DU JEUDI 23 SEPTEMBRE 2021

 

PARIS – Six jours après le début de la crise des sous-marins, Joe Biden et Emmanuel Macron ont annoncé mercredi des « engagements » pour rétablir une confiance durement éprouvée, le président américain espérant désormais un « retour à la normale ». Les ministres américain et français des Affaires étrangères, Antony Blinken et Jean-Yves Le Drian, auront une tête-à-tête jeudi à New York.

 

WASHINGTON – Les Etats-Unis vont doubler leurs dons de vaccins contre le Covid-19, portant le total de doses promises à des pays pauvres à plus de 1,1 milliard, a annoncé Joe Biden mercredi, affichant clairement son intention de mener la riposte mondiale contre la pandémie, alors que la vaccination ne décolle pas dans les pays pauvres, notamment africains.

 

KIEV – Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a promis une « réponse forte » après une tentative d’assassinat à l’arme automatiques contre son premier conseiller, une attaque liée selon les autorités à la lutte contre des oligarques.

 

LOS LLANOS DE ARIDANE (Espagne) – La coulée de lave d’un volcan entré en éruption dimanche sur l’île de La Palma, dans l’archipel espagnol des Canaries, n’avançait plus que lentement mercredi après-midi, à tel point qu’il n’était plus certain qu’elle atteigne l’océan Atlantique.

 

PARIS – En France, l’obligation du port du masque à l’école primaire sera levée à partir du 4 octobre dans les départements les moins touchés par l’épidémie du Covid-19, a annoncé mercredi le gouvernement, alors que les syndicats appellent à la prudence.

 

PARIS – Ce pourrait être une « avancée majeure » dans la recherche des origines du Covid-19: des chercheurs de l’Institut Pasteur ont identifié dans le nord du Laos des virus proches du SARS-CoV?2 chez des chauves-souris, capables d’infecter l’homme.

 

WASHINGTON – Le président de la Banque centrale américaine a lancé mercredi un ferme avertissement au Congrès où les républicains refusent de relever le plafond de la dette au risque de précipiter les Etats-Unis dans une grave crise financière aux ramifications mondiales.

 

MEXICO – La crise déclenchée par l’arrivée massive d’Haïtiens aux États-Unis prend l’allure d’une bombe à retardement que le président mexicain Andrés Manuel López Obrador a appelé mercredi à désamorcer en passant de la rhétorique à l’action.

 

TUNIS – Le président tunisien Kais Saied a formalisé mercredi son coup de force du 25 juillet en promulguant des dispositions exceptionnelles renforçant ses pouvoirs au détriment du gouvernement et du Parlement, auquel il va de facto se substituer en légiférant par décrets.

 

ALGER – Les relations exécrables entre l’Algérie et le Maroc ont connu une nouvelle poussée de fièvre mercredi avec l’annonce de la fermeture de l’espace aérien algérien au voisin marocain accusé de « provocations et de pratiques hostiles ».

 

COTONOU – Le président Patrice Talon a reçu mercredi au palais présidentiel de Cotonou l’ancien chef de l’Etat Thomas Boni Yayi, cinq ans après leur dernière rencontre, signe d’un possible apaisement entre le pouvoir et l’opposition au Bénin après plusieurs années de tension.

 

PARIS – Des « vacances forcées » : c’est ainsi que Ilich Ramirez Sanchez, dit Carlos, a qualifié mercredi ses années derrières les barreaux à l’ouverture de son nouveau procès, le dernier en France, pour l’attentat meurtrier du Drugstore Publicis en 1974, qui lui a valu deux condamnations à la perpétuité.

 

NEW YORK – « Mensonges, manipulation, menaces, agressions physiques »: l’accusation au procès à New York de l’ex-star américaine du R&B R. Kelly a dépeint mercredi le chanteur en chef d’un « système » qui lui aurait permis pendant 25 ans d’exploiter sexuellement des jeunes femmes, dont des mineures.

 

BERLIN – L’Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus, que l’Allemagne a proposé mercredi à sa propre succession à la tête de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à 24 heures de la limite de dépôt des candidatures, pourrait bien être le seul candidat en lice.

 

WASHINGTON – Dans un geste rare, l’actrice américaine Uma Thurman révèle avoir avorté dans sa jeunesse, exposant son « secret le plus sombre » en soutien aux femmes du Texas interdites d’interrompre leur grossesse.

 

PARIS – Des milliers de kilomètres d’océan séparent les populations des îles Marquises, de Pâques ou de Tahiti. Mais elles sont connectées par les gènes, révèle une étude qui retrace, grâce à l’ADN, les routes de leurs ancêtres pionniers à travers l’immensité du Pacifique Sud.

 

MILAN – Du satin, des robes fluides, des fourrures exubérantes: le public était au rendez-vous mercredi pour le défilé Fendi, premier grand rendez-vous de la fashion week féminine printemps-été 2022 à Milan.

 

LOS ANGELES – Britney Spears demande à un tribunal de Los Angeles de mettre un terme à la mesure de tutelle la plaçant sous le contrôle de son père, afin de pouvoir se marier, selon une requête déposée mercredi par son avocat en vue d’une audience prévue la semaine prochaine. La star de la pop, qui avait jugé « abusive » cette tutelle sous laquelle elle est placée depuis treize ans, a récemment annoncé ses fiançailles avec Sam Asghari.

 

MADRID – « Il y a toujours eu des loups, mais à présent, ils nous dévorent ». Depuis mercredi, chasser le loup est interdit dans toute l’Espagne, une décision qui en ravit certains, mais en désole d’autres, comme dans la Sierra de la Culebra, paradis à la fois du loup ibérique et de l’élevage extensif.

(afp)

Burkina : Orodara rend un dernier hommage à l’Imam Barro

Burkina : Orodara rend un dernier hommage à l’Imam Barro
Orodara, 21 sept. 2021(AIB)-La population de Orodara est sortie nombreuse mardi pour accompagner son Imam El Hadj Mamadou Barro (73ans) dans sa dernière demeure terrestre.
L’imam de la grande mosquée de Orodara , El Hadji Mamadou Barro a tiré sa révérence à l’âge de 73 ans.
La nouvelle est tombée dans la nuit du lundi 20 Septembre 2021, et comme une traînée de poussière, elle s’est répandue dans la toute la province.
L’homme que tout le Kénédougou pleure est un homme épris de sagesse.
Selon des témoignages recueillis auprès de certains proches du défunt, avant qu’il ne tire sa révérence celui – ci aurait dirigé la prière de 18h à la grande mosquée de Orodara.
Son inhumation est intervenue dans l’après midi du mardi 21 Septembre 2021 au domicile familial sis au secteur N°.2 sous une pluie battante et en présence de nombreux parents, amis, connaissances , fidèles musulmans et d’autres confessions religieuses.
On notait aussi la présence d’une délégation des autorités locales sous l’égide du Secrétaire général de la province du Kénédougou Drissa Héma, représentant le Haut- commissaire.
Dans le groupe WhatsApp des Directeurs et chefs de services provinciaux, le premier magistrat de la province du Kénédougou Pathé Abdallah Sangaré a déclaré que: «c’est une énorme perte pour la province ».
Âgé de 73 ans, l’imam Mamadou Barro s’en est allé, laissant derrière lui deux femmes et près d’une quarantaine d’enfants et des fidèles inconsolables.
Apollinaire Kam
AIB/ Orodara

Gestion des terres : La nécessité des services fonciers ruraux expliquée à des maires de la Boucle du Mouhoun

1- Les participants ont promis rendre opérationnels, les services fonciers ruraux dans leurs communes.

Gestion des terres : La nécessité des services fonciers ruraux expliquée à des maires de la Boucle du Mouhoun

Dédougou, (AIB)-Le programme agroalimentaire pour la résilience intégrée et de développement économique du Sahel a organisé les 20 et 21 septembre 2020 à Dédougou un atelier régional de sensibilisation des maires des communes d’intervention du programme sur le processus de mise en place des structures locales de gestion foncière.

Les responsables du programme agroalimentaire pour la résilience intégrée et de développement économique du Sahel (Pro-ARIDES) veulent que les autorités communales s’imprègnent du dispositif légal et réglementaire régissant le service foncier rural.

C’est pourquoi dans la mise en œuvre de ce programme, porté par l’Organisation Néerlandaise de Développement (SNV) et ses partenaires dont l’observatoire National du Foncier du Burkina Faso (ONF-BF) qui est en charge cette activité, il est prévu un accompagnement des communes de la zone d’intervention afin que celles-ci puissent mettre en place et rendre opérationnelles des structures de gestion foncière.

Pour le représentant du coordonnateur de Pro-ARIDES, Abdoulaye Dabré, il s’agit d’outiller les maires sur les contours de cette loi relative à la mise en place des structures.

Ces structures qui sont des services fonciers ruraux ou bureaux domaniaux au niveau communal, ont des subdivisions au niveau des villages appelés commissions foncières villageoises et commissions de conciliations foncières villageoises.

Ainsi, les 20 et 21 septembre 2021 à Dédougou, les autorités des cinq communes d’intervention du programme (Kiembara, Di, Gassan, Yé et Nouna) ont été conviées à un atelier régional à Dédougou.

3- Kalirou Toé, deuxième adjoint au maire de Gassan, «la mise en place de ces structures foncières a permis de résoudre plusieurs revendications de terres».

Selon Salfo Zallé, chargé de projet à l’Observatoire National du Foncier au Burkina Faso (ONF-BF), il s’est agi au cours de ces deux jours, d’informer les autorités communales sur la loi 034 de 2009 et ses décrets d’application relatifs aux services fonciers ruraux, de partager avec elles les bonnes expériences en la matière.

A l’issue de cet atelier, les participants ont convenu d’un planning d’implantation de ses structures dans les communes ou elles n’existent pas.

Ils ont invité d’ailleurs les responsables des conseils municipaux à s’investir davantage, car une fois opérationnels, ces services permettront de résoudre certains problèmes fonciers.

4- Selon salfo Zallé, de l’ONF-BF, la rencontre a permis de partager les bonnes expériences en matière de gestion des terres.

Propos confirmés par Kalirou Toé, deuxième adjoint au maire de Gassan, pour qui la mise en place de ces structures de gestion dans sa commune a permis de résoudre plusieurs revendications de terres.

Néanmoins, a-t-il déploré des difficultés existent toujours. C’est pourquoi, il pense que l’atelier régional vient apporter des solutions à certaines de leurs préoccupations dans le domaine de la sécurisation des terres.

Quant au représentant du Coordonnateur National de Pro-ARIDES, Abdoulaye Dabré, il s’agit tout simplement d’outiller les maires sur les contours de cette loi relative à la mise en place des structures.

Le but étant pour lui de renforcer les capacités des communes où ces structures existent déjà et d’accompagner celles qui n’en ont pas à en installer. . Car, a-t-il souligné, la terre doit être sécurisée pour qui veut y investir durablement.

Pour rappel Pro-ARIDES est un programme exécuté au Mali, Niger et au Burkina sur une période de dix ans dont la première phase couvre la période 2021-2025.

Il veut contribuer à l’amélioration de la résilience, de la sécurité alimentaire et des revenus des ménages dans la zone soudano-sahélienne. Au Burkina, il intervient dans 24 communes reparties dans quatre régions à savoir la Boucle du Mouhoun, le Centre-Ouest, l’Est et le Nord.

Agence d’information du Burkina

Adama SEDGO

Santé et développement : L’initiative ‘’Voix essentielles’’ veut appuyer des organisations communautaires féminines en Afrique

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Santé et développement : L’initiative ‘’Voix essentielles’’ veut appuyer des organisations communautaires féminines en Afrique

Ouagadougou, 21 sept. 2021(AIB) – L’initiative ‘’Voix essentielles’’ mise en œuvre par l’ONG Speak up Africa au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Sénégal,  compte appuyer techniquement et financièrement, les organisations féminines (y compris celles non encore structurées), afin qu’elles participent pleinement à l’élaboration de meilleures politiques de santé et de développement.

«Voix essentielles est une initiative qui vise à renforcer la participation effective des femmes et des filles dans les instances de décisions nationales d’élaboration de politiques de santé», a déclaré la Directrice exécutive adjointe de l’ONG Speakup Africa, Fara N’Diaye.

Mme N’Diaye s’exprimait mardi à Ouagadougou, lors d’un atelier des parties prenantes, chargées d’identifier les défis et les opportunités afin de faciliter la mise en œuvre de l’initiative.

 

«L’idée est de pouvoir recueillir les recommandations et de ne pas dupliquer les efforts. L’objectif c’est de voir ce qui se fait déjà et de voir à travers cette initiative (Voix essentielles), ce qu’on peut apporter en plus», a précisé la Directrice exécutive de l’ONG Yacine Djibo.

Selon Mme Djibo, il y a un écart important entre les personnes qui prennent les décisions et les personnes impactées par ces décisions.

D’après Yacine Djibo, l’initiative Voix essentielles concerne les femmes et les jeunes filles dans toutes leurs diversités.

Fara N’Diaye a indiqué qu’une fois sélectionnées, les organisations bénéficieront d’un fonds plafond de 10 000 dollars américains et d’un accompagnement en renforcement de capacités.

«Les femmes et les jeunes filles savent de quoi elles ont besoin pour changer leurs quotidiens et améliorer leurs conditions de vie. C’est pourquoi, nous n’avons parlé que de santé et de développement au sens large», a-t-elle expliqué.

«Il nous faut élaborer des politiques de santé qui répondent réellement aux besoins de nos communautés et plus précisément aux femmes et aux jeunes filles», Fara N’Diaye.

Mme N’Diaye a noté la nécessité pour Speakup Africa de diversifier les partenariats surtout avec les instances nationales comme l’Assemblée nationales et les structures déconcentrées telles que les districts sanitaires.

Notons que l’initiative ‘’Voix essentielles’’ est financée par la Fondation Chanel et le Fonds mondial de lutte contre le sida,  la tuberculose et le paludisme. Elle est mise en œuvre au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Sénégal par  Speakup Africa jusqu’en décembre 2022.

Agence d’information du Burkina

ATA/ak

 

 

Burkina : Congrès des avocats de l’UEMOA et faits de société, à la une des quotidiens

Burkina-Presse-Revue

Burkina : Congrès des avocats de l’UEMOA et faits de société, à la une des quotidiens

Ouagadougou, 22 sept. 2021. (AIB) – Les quotidiens burkinabè de ce mercredi évoquent des faits de société, ainsi que le 2e congrès des avocats de l’espace Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), ouvert la veille à Ouagadougou.

 

«2e congrès des avocats de l’UEMOA : plaidoiries sur la corruption», titre Sidwaya le quotidien national.

Selon le journal, la conférence des barreaux de l’Union économique et monétaire Ouest africaine (UEMOA) se tient du 21 au 23 septembre 2021, à Ouagadougou, sous la présidence du Chef de l’Etat, Roch Marc Christian Kaboré.

Pour le même événement le doyen des quotidiens privés burkinabè, L’Observateur Paalga affiche: «2e congrès des avocats de l’UEMOA : les robes noires en ordre de bataille contre la corruption».

D’après ce quotidien, après Lomé en mai 2019 où s’est tenu le premier congrès, Ouagadougou a eu l’honneur d’abriter le second dont les travaux s’articulent autour du thème «justice et corruption».

Quant au  Le Pays, un autre journal privé, il mentionne que «la seule évocation de la corruption fait tourner les regards, à tort ou à raison, vers la justice», citant le bâtonnier de l’ordre des avocats du Burkina, Paulin Salambéré.

De son côté, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, confie que les participants ont trois jours pour disséquer «justice et corruption».

Le même journal privé, en politique, revient  sur  les propos de Simon Compaoré, président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir) qui déclare qu’« il n’y a pas de trois mandats qui tiennent pour le président Kaboré ».

Monsieur Compaoré dont les propos sont repris, répondait à une question de journaliste, le samedi dernier à Ouagadougou, lors de la conférence de presse en prélude au congrès extraordinaire de son parti le MPP.

L’Express du Faso arbore en première page, cette interrogation : « Politique : Propos de Simon Compaoré, est-ce cela qu’on pense au MPP ? ».

Sous un autre registre, Le Pays, à travers sa rubrique ‘’Révélations’’, fait écho d’une tentative de braquage d’un bus de la Société de transport en commun de Ouagadougou (SOTRACO).

Le journal renseigne aussi que le Réseau national de lutte anti-corruption (REN/LAC)  dénonce un manque de transparence dans les marchés publics, publiant une déclaration dudit réseau.

Pendant ce temps, Sidwaya dans sa rubrique ‘’On murmure’’ fait cas  d’un individu qui a orchestré son propre enlèvement pour escroquer 5 millions de francs CFA à ses parents.

Le même fait divers est abordé dans la rubrique humoristique de l’Observateur Paalga intitulé  »Les humeurs de Barry », sous le titre:  » Youpi! On m’a enlevé ».

 Agence d’Information du Burkina

KR/ey/ak

Burkina/Boulsa : La digue routière de Zéguédéguin désormais franchissable

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Burkina/Boulsa : La digue routière de Zéguédéguin désormais franchissable

Boulsa,  21 sept. 2021 (AIB)-Les forces vives de la commune de Zéguédéguin ont réhabilité, avec les moyens de bords, la digue du barrage éponyme, cela après des semaines de travaux démarrés le 2 septembre dernier.

Les travaux ont démarré sous la houlette d’un comité de gestion mis en place à cet effet.

Le comité a recueilli une somme de près de deux millions de francs CFA auprès de la population, des amis et connaissances de la commune, selon son trésorier.

De l’avis du président du comité, El Hadj Karim Dabilgou, le travail a consisté à déblayer les lieux suivi du ramassage de moellons, de la confection et la pose  des gavions, du remblayage du trou d’argile par la population elle-même dans l’enthousiaste, sans la présence de spécialiste.

El Hadj Karim Dabilgou a expliqué que le versement d’une couche de gravillon sur la digue ingénieusement refaite est le seul travail qui reste et qui sera réalisé le 29 septembre prochain.

Il a précisé  que les travaux ont connu une adhésion des populations des villages que compte la commune.

« Pour l’heure, même les gros porteurs peuvent passer là-dessus », a affirmé le maire  de la commune, Moussa Lallogo.

Il a remercié la Haut-commissaire de la province, Anastasie Sawadogo/Sawadogo pour ses appuis conseils et l’ensemble des forces vives de la localité, spécialement le bureau du comité de gestion.

En rappel, c’est le 15 août dernier que le barrage a cédé et s’est totalement vidé de son contenu.

Agence d’information du Burkina

JBD/wis   

Burkina : Le Réseau d’initiatives de journalistes lance la 5e édition du prix PaxSahel 2021

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Burkina : Le Réseau d’initiatives de journalistes lance la 5e édition du prix PaxSahel 2021

Ouagadougou, 21 Sept. 2021 (AIB)-Le Réseau d’initiatives de journalistes (RIJ) a lancé mardi, lors d’une conférence de presse à Ouagadougou, la 5e édition du « Prix PaxSahel pour le Journalisme sensible aux conflits (Jsc) ».

« La conférence de presse de ce jour marque le lancement officiel de la 5e édition du « Prix PaxSahel pour le Journalisme sensible aux conflits (Jsc) », a déclaré Adama Salambéré, secrétaire général du RIJ.

Le Prix PaxSahel est « un concours ouvert aux journalistes » du Burkina Faso, du Mali et du Niger travaillant dans les médias tels que la radio, la télévision, la presse écrite et la presse online.

Pour le Réseau d’initiatives de journalistes (RIJ), le prix PaxSahel vise à récompenser les meilleurs journalistes ayant fait « preuve de professionnalisme dans le traitement de l’information liée aux conflits ».

« Les œuvres en compétition doivent avoir été publiées ou diffusées entre le 1er octobre 2020 et le 30 septembre 2021 », a indiqué le secrétaire général Adama Salambéré.

La réception physique des œuvres constitutives de candidatures au Prix PaxSahel se fera du 23 septembre au 22 octobre 2021 au siège du RIJ, sis à Ouagadougou, non loin de la mairie de Bogodogo.

Trois meilleures œuvres dans trois catégories, à savoir la radiodiffusion, la télévision et la presse écrite y compris celle en ligne, seront retenues et récompensées le vendredi 12 novembre 2021 à Ouagadougou.

En rappel, le Réseau d’initiatives de journalistes a été créé en 2001 avec pour objectif « la promotion du développement, dans la prévention et la résolution des conflits ».

Le Prix PaxSahel est un concours organisé par le RIJ depuis 2017 visant à motiver les journalistes dans la pratique d’un « journalisme engagé dans la recherche de solutions durables pour la paix, la cohésion sociale et le développement ».

Agence d’information du Burkina

CYR/wis/ak

Photo : Burkina Demain

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