Burkina : Pama, Soudougui et Sebba, l’enfer pour les terroristes
Ouagadougou, 22 juin 2025 (AIB) – C’est dans les régions de Pama, Soudougui et Sebba que les opérations les plus spectaculaires des dernières semaines ont été menées.
L’une des plus grandes opérations militaires de ces dernières semaines s’est déroulée dans la région de Pama, où plusieurs centaines de terroristes préparaient une attaque d’envergure contre la ville. Rassemblés dans une forêt à proximité, ces criminels – déjà actifs dans les régions de l’Est et du Centre-Est – ont été discrètement surveillés par les vecteurs aériens.
Au fur et à mesure, des dizaines de motos ont convergé vers la zone, formant un dispositif dense, avec un noyau central et des éléments postés en périphérie pour monter la garde. Au moment jugé opportun, un premier missile d’une puissance redoutable a été lancé, frappant directement le cœur du regroupement. La panique s’est immédiatement emparée des guetteurs qui tentaient de fuir.
Un second missile a ciblé ceux qui, plus prudents, s’étaient aussitôt dissimulés à proximité. Les survivants qui ont tenté de secourir leurs camarades ou de récupérer du matériel ont, à leur tour, été pris pour cibles.
Pendant ce temps, dans une coordination parfaitement synchronisée, les éléments du 25e BIR ont progressé vers la zone. À leur arrivée, ils ont affronté les derniers résistants lors de combats sporadiques, avant d’achever le nettoyage complet de la position.
À l’issue de l’intervention, plus d’une centaine de corps de terroristes jonchaient le sol. De nombreuses armes et équipements roulants encore utilisables ont été récupérés par les forces burkinabè.
Le 17 juin, une surveillance active dans la zone de Soudougui a permis de détecter la progression de plusieurs centaines de terroristes en route vers des positions des forces armées, vraisemblablement pour lancer une attaque d’envergure. Pris en filature, ils ont été suivis jusqu’à leur installation à proximité des fortifications militaires, où ils attendaient le moment opportun pour frapper.
Les vecteurs aériens ont immédiatement été mobilisés et ont convergé vers la zone. À leur arrivée, les drones ont repéré les assaillants en pleine manœuvre, probablement en train de se repositionner pour passer la nuit.
Un premier missile a alors ciblé la tête de la colonne, stoppant net le mouvement. Les éléments restants, surpris, se sont immobilisés pour comprendre la situation, mais n’auront pas eu le temps de réagir : plusieurs frappes successives ont pulvérisé la quasi-totalité du dispositif.
Quelques rescapés ont tenté de fuir et de se replier vers une base secondaire, mais ils ont été suivis et violemment pris pour cible. La nuit s’est rapidement transformée en cauchemar pour eux, marquée par des frappes incessantes.
Le lendemain, 18 juin, des renforts terroristes venus pour tenter d’évacuer les blessés vers une école abandonnée ont également été repérés. Installés sous le couvert des arbres, ils ont été foudroyés par une nouvelle salve de missiles. D’autres éléments, pensant être mieux dissimulés, ont eux aussi été localisés et neutralisés avec précision.
Le 20 juin, des renseignements fiables ont signalé l’arrivée de plus d’un millier de terroristes dans une forêt dense située au nord de Sebba, laissant présager une attaque imminente contre la localité. Les vecteurs aériens ont été immédiatement déployés pour confirmer et affiner les données.
Sur place, les forces aériennes ont effectivement constaté une forte concentration d’éléments ennemis dissimulés sous le couvert végétal. Une opération a alors été planifiée avec précision : un premier missile de forte puissance a été lancé, frappant en plein cœur le centre de regroupement.
La panique s’est aussitôt emparée des survivants, mais avant même qu’ils ne puissent réagir, un second missile s’est abattu, aggravant davantage les pertes.
Non loin de là, des combattants qui dormaient ont été réveillés brutalement par les explosions et ont tenté de se replier précipitamment. Ils n’en auront pas le temps : une nouvelle frappe les a foudroyés sur place.
Les rescapés ont essayé de fuir en abandonnant leur logistique, mais leurs efforts ont été vains. Ils ont été immédiatement pris pour cibles et neutralisés. Les zones refuge de ces fugitifs, où étaient stockés des équipements, ont également été visées. Ceux qui pensaient y être à l’abri ont vu leurs cachettes détruites par des frappes successives, réduisant leur base temporaire en cendres.
D’autres terroristes, embusqués dans des hameaux abandonnés des environs, ont assisté à distance à la destruction de leurs camarades. Craignant pour leur vie, ils ont attendu la nuit pour tenter de s’échapper discrètement. Ce qu’ils ignoraient, c’est que le ciel au-dessus d’eux restait constamment surveillé.
Alors qu’ils émergeaient prudemment des bâtiments en ruine, un missile s’est abattu sur eux, suivi d’une série de frappes qui ont décimé la colonne en fuite. Même ceux qui ont pris la fuite à pied n’ont pu échapper à la traque aérienne : ils ont été localisés et neutralisés avec une grande efficacité.
Tôt dans la matinée du 21 juin, les vecteurs aériens ont survolé la zone des frappes de la veille afin d’évaluer les effets de l’opération. Du ciel, les combattants ont pu constater l’ampleur des dégâts infligés : des dizaines de corps ennemis jonchaient le sol et la logistique ennemie était entièrement détruite ou incendiée.
Après cette vérification minutieuse, les opérations de ratissage au sol ont été confiées aux unités déployées dans la zone pour finaliser le nettoyage.
C’est ainsi que finiront tous ceux qui ont pris les armes pour attaquer le Burkina. Ils vivront l’enfer sur terre d’abord pour finir au festin des charognards.
Agence d’information du Burkina.
