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Le capital de la SOTRACO haussera à 5 milliards avec 75% des parts pour l’Etat burkinabè

Burkina-Transport commun-Etat-Intervention

Le capital de la SOTRACO haussera à 5 milliards avec 75% des parts pour l’Etat burkinabè

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le capital social de la Société de transport en commun (SOTRACO) passera de 800 millions à 5 milliards FCFA avec au moins 75% des actions pour l’Etat et ses démembrements, a appris l’AIB ce mercredi de source gouvernementale.
Le gouvernement a adopté un décret permettant l’augmentation de la participation du Fonds burkinabè de développement économique et social et de la Commune de Ouagadougou dans le capital social de la SOTRACO, conformément à l’Assemblée générale extraordinaire de la SOTRACO qui en sa séance du 24 janvier 2024, avait acté la recapitalisation de la société pour passer d’un capital social de 800 millions F CFA à 5 milliards F CFA.

«Au regard du rôle important de la SOTRACO dans la mobilité urbaine de la population en général et celle des élèves et étudiants en particulier, le Gouvernement a décidé de sa restructuration par une recapitalisation aux fins de permettre la continuité de l’activité et de l’inscrire dans une dynamique de gouvernance vertueuse» précise le ministre porte-parole du gouvernement, jean Emmanuel Ouédraogo dans son compte rendu du conseil des ministres.

La SOTRACO a été créée en juillet 2003 grâce aux efforts conjugués de l’Etat Burkinabé, de la Commune de Ouagadougou et d’opérateurs privés et a démarré ses activités le 07 novembre 2003 à Ouagadougou avant de se déployer à Bobo-Dioulasso, à Koudougou et à Ouahigouya.

Agence d’Information
CK/ab

Fin de fonction pour le consul honoraire du Burkina à Manille aux Philippines pour raison de santé

Fin de fonction pour le consul honoraire du Burkina à Manille aux Philippines pour raison de santé

AIB avec DCRP/MAE

Burkina : création d’un organe de coordination des activités de l’AES, placé sous l’autorité du chef de l’Etat

Burkina-AES-Coordination-Commission-Création

Burkina : création d’un organe de coordination des activités de l’AES, placé sous l’autorité du chef de l’Etat

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a procédé ce mercredi à Ouagadougou, à la création de la Commission nationale de la Confédération «Alliance des Etats du Sahel», un organe national de coordination et de suivi des activités de l’AES, placé sous l’autorité directe du capitaine Ibrahim Traoré, chef de l’Etat.

«La Commission nationale de la Confédération « Alliance des Etats du Sahel » est l’organe national de coordination et de suivi des activités relatives à la Confédération de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). Elle est la structure technique chargée d’assister le Président du Faso dans le processus de structuration et de fonctionnement de la Confédération AES», selon le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi.

La CN-AES est également chargée entre autres de suivre la mise en œuvre des décisions du Collège des Chefs d’Etat, des sessions confédérales des Conseils des ministres de préparer les réunions du Collège des Chefs d’Etat, les sessions confédérales des Conseils des ministres et les réunions des Hauts fonctionnaires préparatoires des instances de la Confédération AES

Elle est chargée en outre de conduire des réflexions prospectives sur l’évolution de la Confédération AES, de proposer des mesures et actions à entreprendre en vue de la consolidation de la Confédération AES de promouvoir la sensibilisation des populations sur les objectifs de la Confédération AES. La Commission nationale de la Confédération «Alliance des Etats du Sahel » est placée sous l’autorité du Président du Faso.

Le 6 juillet 2024, le Burkina Faso, le Mali et le Niger ont signé le traité de l’AES après avoir exprimé leur détermination à mutualiser leurs forces en matière de défense et de sécurité et conscients de la nécessité à coordonner leurs actions politiques diplomatiques dans un esprit de fraternité et d’amitié entre autres.

Agence d’Information du Burkina
CK/ab

Les soins et services offerts dans les cliniques mobiles de l’Etat seront gratuits

Burkina-Santé-Gratuité

Les soins et services offerts dans les cliniques mobiles de l’Etat seront gratuits

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le Burkina vient d’adopter la gratuité des soins et services délivrés au sein des cliniques mobiles de l’Etat, précisément pour la mammographie et le dépistage des lésions précancéreuses du col de l’utérus, selon un compte rendu du conseil des ministres, tenu ce mercredi à Ouagadougou.

Pour le ministre de la Santé, Robert Lucien Jean-Claude Kargougou, cette mesure va permettre d’améliorer l’accessibilité financière des populations cibles à ces services de santé.

Le 25 juillet 2024, le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré a remis en personne les cliniques mobiles au ministre de la Santé. Leur acquisition avait été approuvée en décembre 2022.

Ces cliniques sont déployées vers les villages, les campagnes et certaines zones périphériques des villes pour permettre aux populations d’avoir des échographies, de faire des dépistages du cancer du col de l’utérus et du cancer du sein, et de prendre en charge les soins des enfants.

«L’objectif, c’est de rapprocher les soins des populations les plus vulnérables. Ce sont des cliniques mobiles qui seront dans toutes les régions du Burkina Faso et c’est ça la vision (…) pouvoir offrir des soins de qualité aux Burkinabè où qu’ils soient», avait déclaré le chef de l’Etat.

Agence d’Information du Burkina
Avec DCRP/PF
CK/ab

Burkina : Naissance de Faso-Rail, une nouvelle société qui permettra de relier par train les chefs-lieux de province

Burkina : Naissance de Faso-Rail, une nouvelle société qui permettra de relier par train les chefs-lieux de province

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le gouvernement du Burkina vient de créer ce mercredi Faso-Rail, une société de fabrication et de pose de rails dont le siège sera à Bobo-Dioulasso et qui contribuera à installer un réseau ferroviaire reliant les chefs-lieux de province.

«La création de cette société entre en droite ligne de la vision de Son Excellence Monsieur le Président du Faso, qui a instruit le gouvernement de travailler à mettre en place, au niveau national, un réseau ferroviaire qui puisse relier les différents chefs-lieux de province», a rapporté le Ministre en charge de l’industrie et du commerce, Serge Gnaniodem Poda.
Le coût de réalisation de la nouvelle société est d’environ 70 milliards FCFA et sa mise en place est attendue dans 18 mois.

Faso-Rail est dotée d’un capital de 10 milliards FCFA dont 75% détenus par l’Etat et les 25% restants ouverts au secteur privé burkinabè.

Le réseau ferroviaire actuel est rudimentaire, vétuste et aux mains du privé étranger.

Agence d’Information du Burkina
CK/ab

Le Burkina crée une agence chargée de l’énergie atomique

Burkina-Energie-Nucléaire-Agence-Création
Le Burkina crée une agence chargée de l’énergie atomique

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le Burkina vient d’acter la création d’une agence de l’énergie atomique, a appris l’AIB mercredi de source officielle
Réuni en conseil des ministres autour du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré, le gouvernement vient d’adopter un décret portant création, attribution, organisation et fonctionnement de l’Agence burkinabè de l’Energie atomique (ABEA), a rapporté le ministre porte-parole du Gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le Chef de l’État a «clairement indiqué que cette réalisation va permettre de garantir l’indépendance énergétique du Burkina Faso, l’industrialisation du pays et de faciliter l’accès à l’électricité partout sur le territoire national», a dit le ministre d’Etat, ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme au sortir du conseil des ministres tenu cet après-midi à Ouagadougou.

Agence d’Information du Burkina
CK/ab

Le Burkina crée une agence chargée de l’énergie atomique

 

Le Burkina crée une agence chargée de l’énergie atomique

Ouagadougou, 14 août 2024). Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé, ce mercredi, le Conseil des Ministres. Selon le ministre d’Etat, porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel OUEDRAOGO, le Conseil a examiné plusieurs rapports et pris d’importantes décisions pour la bonne marche de la Nation.

Au titre de la Présidence du Faso, le Conseil a adopté un décret portant création, attribution, organisation et fonctionnement de l’Agence burkinabè de l’Energie atomique (ABEA). Le ministre d’Etat, porte-parole du Gouvernement, Jean Emmanuel OUEDRAOGO a affirmé que le Chef de l’État a « clairement indiqué que cette réalisation va permettre de garantir l’indépendance énergétique du Burkina Faso, l’industrialisation du pays et de faciliter l’accès à l’électricité partout sur le territoire national ».

Pour le compte du ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, le Conseil a adopté deux rapports. Selon le ministre Serge Gnaniodem PODA, le premier rapport comporte deux décrets. Le premier consacre le transfert des Villages artisanaux au Salon international de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO). Quant au second décret, il vient consacrer la modification des statuts du SIAO pour prendre en compte les Villages artisanaux qui lui ont été transférés.

Le deuxième rapport est relatif à un décret portant création d’une société d’économie mixte dénommée Société de fabrication et de pose de rails (Faso Rails), dont le siège sera à Bobo-Dioulasso. « La création de cette société entre en droite ligne de la vision de Son Excellence Monsieur le Président du Faso, qui a instruit le gouvernement de travailler à mettre en place, au niveau national, un réseau ferroviaire qui puisse relier les différents chefs-lieux de province », a soutenu le Ministre PODA.

D’un coût de réalisation d’environ 70 milliards FCFA, la mise en place de la société est attendue dans 18 mois, avec un capital de 10 milliards FCFA dont 75% détenus par l’Etat et les 25% restants ouverts au secteur privé burkinabè.

Au titre ministère de l’Economie et des Finances, le Conseil a adopté un décret portant modalités de prise en charge des prestations spécifiques des agents publics et des personnes ressources. Selon le ministre Aboubakar NACANABO, « il s’agit des prestations relatives à l’organisation des manifestations d’envergure internationale, des prestations pour lesquelles l’on fait appel à des personnes ressources hors de l’administration, des prestations liées à la formation, à tout ce qui est lié à l’organisation des concours, la prise en charge de certaines activités dans les écoles professionnelles et les universités ».

En outre, le Conseil a adopté, pour le compte du même ministère, un décret portant conditions et modalités d’exécution et de rétribution des prestations de protection rapprochée effectuée par le personnel de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale au profit des particuliers. Pour le ministre de la Sécurité, le Commissaire divisionnaire de Police Mahamadou SANA, ce décret vient non seulement règlementer la matière, mais aussi permettre à l’Etat d’avoir désormais un contrôle sur le détachement de ce personnel.

Pour le compte du ministère de la Santé, le Conseil a marqué son accord pour la gratuité des soins et des services de santé des cliniques mobiles au Burkina Faso. Selon le ministre de la Santé, Robert Lucien Jean-Claude KARGOUGOU, l’adoption de ce décret va permettre d’améliorer l’accessibilité financière des populations cibles à ces services de santé. Il a précisé que cette gratuité des soins concerne la mammographie et le dépistage des lésions précancéreuses du col de l’utérus.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

 

Le Rwanda signe un accord de centrale nucléaire avec les États-Unis

Rwanda-USA-Nucléaire-Coopération

Le Rwanda signe un accord de centrale nucléaire avec les États-Unis

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – L’Autorité de l’énergie atomique du Rwanda (Raeb) a signé un accord avec l’entreprise américaine Nano Energy qui prévoit notamment la construction de petits réacteurs modulaires au Rwanda, selon des informations de Tass citant un journal américain.

Selon The New Times, un quotidien du Connecticut, Nano Energy accordera son assistance technique au Rwanda et assurera la formation d’experts nucléaires. Le Rwanda devrait également recevoir toute l’infrastructure moderne nécessaire.

Agence d’Information du Burkina
CK/ab

Ioba : Les populations curent à nouveau les caniveaux pour prévenir les inondations

Burkina-Ioba-Prévention-Inondations

Ioba : Les populations curent à nouveau les caniveaux pour prévenir les inondations

Dano, 14 août 2024 (AIB) – Les populations de Dano ont participé au curage des caniveaux le samedi 10 août 2024 pour la 4e fois, à l’appel du président de la délégation spéciale (PDS) de ladite commune.

Le président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Dano, Denis Zanré, a organisé une campagne d’assainissement et de curage des caniveaux dans la ville de Dano.

Depuis le 13 juillet 2024, les habitants de la ville de Dano se sont mobilisés quatre samedis consécutifs pour curer les caniveaux et ramasser la terre qui les obstruait.

Des camions-bennes, des tracteurs et des motos tricycles ont transporté les ordures et la terre pour les convoyer vers les sites de dépotage.

La haut-commissaire de la province du Ioba, Bernadette Adenyo, née Sermé, et l’ensemble des corps constitués ont participé activement à cette opération d’assainissement, initiée par la délégation spéciale communale de Dano.

Le PDS de la commune de Dano, Denis Zanré, a salué la mobilisation remarquable des jeunes et surtout des femmes, qui sont restées constantes dans leur engagement.

Selon lui, cette campagne s’inscrit dans le cadre de l’initiative présidentielle pour le développement communautaire.

Il a remercié les autorités provinciales pour leur participation effective, ainsi que les opérateurs économiques pour leur soutien.

Pour la première responsable de la province du Ioba, Bernadette Adenyo / Sermé, cette activité fait partie des mesures préventives pour éviter d’éventuelles inondations.

Des opérations similaires doivent se dérouler dans les autres communes du Ioba, en accompagnement de la mise en œuvre du plan d’organisation des secours (ORSEC) dans chaque circonscription, a-t-elle précisé.

Mme Adenyo a exhorté les habitants des zones à risque à prendre des dispositions pour éviter les dégâts matériels et surtout les pertes en vies humaines causées par les fortes pluies annoncées pour cette année.

Au cours de cette campagne d’assainissement, les riverains des caniveaux et autres usagers ont été invités à ne plus utiliser les caniveaux pour déposer les ordures et les sachets plastiques.

Agence d’information du Burkina
SZ/ATA/Ck

Prévention des risques biotechnologiques: Le règlement régional expliqué à Bobo-Dioulasso

Prévention des risques biotechnologiques: Le règlement régional expliqué à Bobo-Dioulasso

Ouagadougou, 14 août 2024(AIB)-L’Agence nationale de Biosécurité (ANB) a organisé un atelier de vulgarisation du règlement régional « C/REG.04/09/2020 » relatif à la prévention des risques biotechnologiques dans l’espace CEDEAO-UEMOA-CILSS, le mercredi 14 août 2024 à Bobo-Dioulasso. Les participants de cet atelier sont des acteurs nationaux parties prenantes des questions de biosécurité.

L’Agence nationale de Biosécurité (ANB) souhaite faire connaître davantage le règlement régional « C/REG.04/09/2020 » relatif à la prévention des risques biotechnologiques dans l’espace CEDEAO-UEMOA-CILSS.

C’est dans ce cadre qu’elle a organisé, le mercredi 14 août 2024 à Bobo-Dioulasso, un atelier de vulgarisation dudit règlement au profit d’acteurs nationaux impliqués dans les questions de biotechnologie.

Ces acteurs proviennent de différents secteurs ministériels, de la société civile, d’organisations non gouvernementales (ONG) et d’experts en biotechnologie.

Au cours de cette journée, deux communications ont été présentées aux participants : une présentation succincte de l’ANB et une communication sur le règlement en question.

Pour le Directeur général (DG) de l’ANB, Dr Koussao Somé, ce règlement régional est important car il vient combler les insuffisances de la loi nationale votée en 2012.

Selon Dr Somé, le règlement régional prend mieux en charge, par rapport à la loi nationale, la question des organismes génétiquement modifiés (OGM).

Il a également ajouté que ce règlement permet de résoudre les éventuels problèmes transfrontaliers entre pays voisins de l’espace.

« Quand vous pouvez travailler dans le même espace avec le même règlement, c’est plus intéressant », a affirmé le DG de l’ANB.

Le règlement permet non seulement de réguler les OGM et les produits issus des OGM, mais également de prendre en compte les biorisques qui peuvent survenir.

Une innovation permise par le règlement régional, selon Dr Somé, est le recrutement des membres des comités scientifiques.

En effet désormais, il est possible de recruter des spécialistes du domaine pour effectuer ce travail, ce qui n’était pas prévu dans la loi nationale.

La cérémonie d’ouverture de l’atelier a été présidée par le gouverneur des Hauts-Bassins, représenté par son conseiller technique chargé des libertés publiques, de la prévention et de la gestion des conflits, Souleymane Drabo.

Pour M. Drabo, c’est en raison des impacts que les OGM peuvent avoir sur le développement social, économique et durable de la région ouest-africaine que le conseil des ministres en charge de la biosécurité de la CEDEAO a adopté, le 5 septembre 2020 à Niamey, au Niger, le règlement « C/REG.04/09/2020 » qui est entré en vigueur le 23 septembre 2023.

François Tani, président d’une OSC, la Fédération nationale des agriculteurs biotechnologiques, a déclaré que cet atelier permet une participation active de la population, surtout à un moment où elle est sensible à la question des OGM.

Il convient de souligner que cet atelier de vulgarisation a bénéficié du soutien financier de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

Agence d’information du Burkina

Forum Armée 2024: Rencontre entre les autorités militaires du Burkina du Niger et de la Russie

Burkina-AES-Russie-Armée-Coopération

Forum Armée 2024: Rencontre entre les autorités militaires du Burkina du Niger et de la Russie

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le ministre burkinabè de la Défense, le général Kassoum Coulibaly, le directeur du département des relations extérieurs du ministère nigérien de la Défense ont eu un entretien avec Le ministre russe de la Défense, Andreï Belooussov lors du forum Armée 2024, a annoncé le ministère russe de la Défense, rapporte Tass.

«Dans le cadre du forum international militaro-technique Armée 2024, des réunions de travail ont eu lieu entre le ministre russe de la Défense, Andreï Belooussov, et le ministre de la Défense et des Anciens combattants du Burkina Faso, Kassoum Coulibaly, et le directeur du département des relations extérieures et de la coopération militaire du ministère de la Défense nationale de la République du Niger, le colonel Hamadou Djibo Bartie.

Au cours d’un entretien, les parties ont discuté des domaines de coopération prometteurs dans le domaine de la défense, ainsi que des questions relatives au renforcement de la sécurité en Afrique de l’Ouest», a indiqué le ministère russe de la Défense cité par Tass.

Le forum Armée 2024 se tient au Centre de congrès et d’exposition Patriot où sont exposés des échantillons d’armes, d’équipements militaires et spéciaux.
L’agence TASS qui donne l’information est le partenaire médiatique général du forum Armée 2024.

Agence d’Information du Burkina Faso
CK/ab

Les migrants africains vers Europe viennent principalement du Nigeria, de Côte d’Ivoire et de Guinée, selon un rapport

Afrique-Europe-Migration

Les migrants africains vers Europe viennent principalement du Nigeria, de Côte d’Ivoire et de Guinée, selon un rapport

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Les Africains candidats à l’immigration en Europe viennent principalement du Nigeria, de la Côte d’Ivoire et de la Guinée, selon un rapport d’organisations onusiennes et de Mixed migration Centre.

Le rapport souligne que les crises terroristes et l’instabilité politique au Soudan, au Mali et au Burkina Faso ont aussi contribué à accroitre le flux migratoire vers l’Europe.

Le nombre de personnes ayant péri en traversant le désert du Sahara est estimé à 1180 entre janvier 2020 et mai 2024. Ce nombre est considéré comme étant en deçà de la réalité sur le terrain, toujours selon le rapport.

Le rapport qui met l’accent sur la migration terrestre rappelle que les migrants, dans leur aventure, sont exposés à des risques d’enlèvement, de violences sexuelles en plus de la mort.

Agence d’Information du Burkina
CK/ab

Le Français Bernard Arnault, patron de LVMH, éjecté du podium des plus grandes fortunes

SOCIÉTÉ: ÉTATSUNIS-FRANCE-FORTUNES-CLASSEMENT

Le Français Bernard Arnault, patron de LVMH, éjecté du podium des plus grandes fortunes

NEW YORK, 14 août. /TASS/. Bernard Arnault, patron du géant du luxe LVMH, n’est plus sur le podium des plus grandes fortunes de la planète, seuls les Américains y sont présents, selon le classement Bloomberg Billionaires Index (BBI).

Selon l’agence, le propriétaire de X et Tesla, Elon Musk, reste le leader du classement avec une fortune de 235 milliards de dollars. Le fondateur du détaillant en ligne américain Amazon, Jeff Bezos, continue d’occuper la deuxième place, sa fortune est estimée à 193 milliards de dollars, suivi par le patron de Meta, Mark Zuckerberg, avec une fortune de 188 milliards de dollars, estimée la veille à 183 milliards de dollars.

Le Français est tombé à la quatrième place du classement avec une fortune de 184 milliards de dollars. Ainsi, le podium des fortunes de la planète est occupé uniquement par des ressortissants américains. M. Arnault est le seul non-Américain dans le top 10 du classement.

Bloomberg publie son classement depuis mars 2012, qui comprend des données sur les 500 plus grosses fortunes du monde.

Avec TASS

Il y a un an, le Niger a accusé la France d’avoir libéré des terroristes qui ont ensuite planifié une attaque

Niger-France-Tensions-Rappel

Il y a un an, le Niger a accusé la France d’avoir libéré des terroristes qui ont ensuite planifié une attaque

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB) – Le Niger a accusé la France, il y a un an, d’avoir libéré des terroristes de manière unilatérale et d’avoir violé son espace aérien dans une logique de déstabilisation du pays.

Dans un communiqué du 9 août 2023, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) avait révélé que la France a «d’une façon unilatérale libéré des terroristes prisonniers» qui ont ensuite pris part à une réunion de planification d’une attaque de positions militaires dans la zone des trois frontières.

Pour le CNSP il s’agissait d’ «un véritable plan de déstabilisation » du Niger qui vise à discréditer les nouvelles autorités pour les priver du soutien populaire et pour créer un sentiment d’insécurité généralisée dans le pays.

La France avait aussitôt rejeté tout en bloc, expliquant que le vol de son aéronef militaire s’est fait en collaboration avec les Nigériens et qu’elle n’avait procédé à aucune libération de terroristes.
Il y a un an aussi, la France a suspendu ses accords militaires avec le Niger. En réponse, le Niger avait tout simplement dénoncé ces accords contraires à sa nouvelle vision et à sa volonté de souveraineté.

Agence d’Information du Burkina
CK/ab

Gourma/Education : 30 élèves de lycées et collèges s’initient à écriture journalistique

BURKINA-GOURMA-EDUCATION-JOURNALISME-ECRITURE-FORMATION

Gourma/Education : 30 élèves de lycées et collèges s’initient à écriture journalistique

Fada N’Gourma, 14 août 2024 (AIB)- La Direction générale de la communication et des médias (DGCM) a organisé, les 12 et 13 août 2024 dans la cité de Yendabili, un atelier sur l’initiation à l’écriture journalistique, au profit de 30 élèves de lycées et collèges avec leurs encadreurs.

L’atelier de 48 heures sur l’écriture journalistique au profit des élèves du post-primaire et du secondaire de la région de l’Est du Burkina Faso, est une initiative de la Direction générale de la communication et des médias (DGCM), en partenariat avec le Fond des nations unies pour l’enfance (UNICEF).

Pour le Directeur général adjoint (DGA) de la communication et des médias, Alban Kini, il s’agit d’une sorte de mesure d’accompagnement du concours « ‘Galian Kids » initié lors de la dernière édition de la nuit des Galian (récompense des professionnels des médias), tenue le 14 juin 2024.

M. Kini a rappelé qu’au cours de cette nuit visant à célébrer l’excellence dans le journaliste au Burkina Faso, l’UNICEF a octroyé quatre prix à des élèves disposant de supports médiatiques dans leur établissement et ayant postulé au concours dédié à leur catégorie.

Selon le DGA,  l’initiation des scolaires à l’écriture journalistique vise, non seulement, à améliorer leurs productions lors des prochaines éditions des Galian Kids, mais aussi et surtout, à susciter en eux l’envie de devenir journalistes.

Cette formation en écriture journalistique, a poursuivi Alban Kini, devrait  permettre aux apprenants de comprendre les principes fondamentaux du métier de journalisme.

A en croire le Directeur général adjoint de la communication et des médias, les élèves participants, durant les deux jours, ont appris des connaissances sur quatre genres journalistiques, à savoir, la brève, l’interview, le reportage et le compte-rendu.

Au termes des 48 heures de travaux, organisateurs, accompagnateurs et bénéficiaires ont exprimé leur satisfaction.

L’élève de la classe de 4e II du lycée communal polyvalent de Fada N’Gourma, Artur Ouôba a souligné que la formation leur a appris beaucoup de choses qui vont les préparer à devenir plus tard de bons journalistes.

Il a dit qu’il est intéressé par le métier du journaliste car celui-ci permet de diffuser des informations qui sont très utiles.

Mademoiselle Pascaline Dina Lompo, de classe de 1re A4 du lycée Diaba Lompo, emboite la même trompette. Selon elle, les notions en écriture journalistique apprises durant la formation,  pourraient lui permettre de  réaliser son rêve de ressembler aux journalistes qu’elle voit à la télévision.

La formation organisée par la DGCM et financée par l’UNICEF, s’est déroulée simultanément à Fada N’Gourma (Est) et à Gaoua (Sud-ouest). Une formation similaire a été organisée, début juillet 2024, à Ouahigouya (Nord) et à Kaya (Centre-nord).

Aux dires des organisateurs, la formation devrait  s’étendre à l’ensemble des 13 entités administratives du pays.

Agence d’information du Burkina
KAC/hb/bz

 

Burkina : Lutte contre la criminalité urbaine et la maladie de la fièvre typhoïde à la Une des quotidiens Burkinabè

Burkina- Presse- Revue

Burkina : Lutte contre la criminalité urbaine et la maladie de la fièvre typhoïde à la Une des quotidiens Burkinabè

Ouagadougou, 14 août 2024 (AIB)- Les parutions de ce mercredi font échos de la saisie de 9 720 cartouches de produits chichas expirés et de la drogue par la police nationale dans la ville de Bobo-Dioulasso.

«Lutte contre la criminalité urbaine : 9 720 cartouches de produits chichas expirés et de la drogue saisies », affiche à sa une le quotidien d’Etat Sidwaya.
Selon le journal, c’est grâce à la collaboration de la population qu’un magasin dans lequel était stocké 810 cartons de produits chichas expirés a été localisé.

Ces produits ont été introduits illégalement par des sociétés de transport en commun.
En outre, une autre saisie a été réalisée des mains des femmes de nationalité étrangère. En effet, le mode opératoire de ces dames consistait a caché soigneusement la drogue dans des sacs à mains ainsi que des sacs d’effet d’habillement.

Le quotidien privé le Pays ajout que la valeur globale de l’ensemble de toutes ces saisies s’élèves à plus de 90 millions.
La Police nationale remercie l’ensemble des citoyens qui œuvre auprès des forces de sécurité et les exhorte à rester vigilants en continuant à dénoncer les cas suspects.
Sous un autre registre, le doyen des quotidiens L’Observateur Paalga affiche « fièvre typhoïde : le diagnostique est difficile à cause de l’automédication et du retard de consultation ».

Le journal rapporte que la fièvre typhoïde est une maladie liée à la saison pluvieuse et à la saleté. Le diagnostic de cette maladie est difficile du faite de l’automédication ou du retard de consultation.

Il poursuit pour dire que les mesures de prévention passent par la vaccination et le respect d’un certain nombre de mesures d’hygiène.

Agence d’information du Burkina
BA/hb/bz

Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE préside ce mercredi 14 août 2024, l’hebdomadaire Conseil des ministres.

Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE préside ce mercredi 14 août 2024, l’hebdomadaire Conseil des ministres.

Des dossiers inscrits à l’ordre du jour seront examinés et des décisions importantes prises pour la bonne marche de la Nation.

Elon Musk cité dans un procès pour cyberharcèlement intenté par l’algérienne Imane Khelif

SPORT: JO2024-KHELIF-MUSK-PLAINTE

Elon Musk cité dans un procès pour cyberharcèlement intenté par l’algérienne Imane Khelif

PARIS, 14 août. /TASS/. Elon Musk, Donald Trump et la romancière Joanne Rowling, devenue célèbre grâce à sa série de romans sur Harry Potter, sont cités dans une plainte pénale déposée auprès des autorités françaises pour de prétendus « actes de cyberharcèlement aggravé » contre la boxeuse algérienne et nouvelle championne olympique Imane Khelif. Cette information a été communiquée au magazine Variety par l’avocat de l’athlète, Nabil Boudi.

« J.K. Rowling et Elon Musk sont cités parmi d’autres dans le procès », a déclaré M. Boudi, ajoutant que Donald Trump ferait partie de l’enquête. « Trump a tweeté [écrit sur X], donc qu’il soit ou non cité dans notre procès, il sera inévitablement examiné dans le cadre de l’accusation ». « Ce que nous demandons, c’est que le parquet enquête non seulement sur ces personnes, mais sur toutes les personnes qu’il estime nécessaires. Si l’affaire est portée devant un tribunal, ces personnes seront jugées », poursuit l’avocat.

M. Boudi a également affirmé que bien que la plainte ait été déposée en France, « elle pourrait viser des personnalités à l’étranger », soulignant que « le parquet de lutte contre les discours de haine en ligne a la possibilité de formuler des demandes d’entraide judiciaire avec d’autres pays ».

Les performances aux épreuves de boxe de l’Algérienne Imane Khelif et de la Taïwanaise Lin Yu-ting, qui ont été disqualifiées des Championnats du monde de 2023 en raison d’un échec aux tests de genre, ont suscité un vaste débat parmi le public sportif. Aux Jeux olympiques de Paris, les deux athlètes ont remporté chacune une médaille d’or.

Avec TASS

Hommage rendu ce 13 août à Kuilga Emmaneul Yaméogo et Nonilobal Brice Hien, les néo-retraités du ministère de l’énergie et des mines.

Hommage rendu ce 13 août à Kuilga Emmaneul Yaméogo et Nonilobal Brice Hien, les néo-retraités du ministère de l’énergie et des mines.

Agence d’Information du Burkina

Bobo-Dioulasso : 9720 cartouches de produits chichas périmés et de la drogue saisies par la Police nationale

Burkina-Sécurité-Stupéfiants-Saisie

Bobo-Dioulasso : 9720 cartouches de produits chichas périmés et de la drogue saisies par la Police nationale

Ouagadougou, 13 août 2024 (AIB) – Le Service régional de la police judiciaire (SRPJ) des Hauts-Bassins a saisi, dans deux opérations distinctes, des plaquettes de cannabis des mains de femmes de nationalité étrangère ainsi que 9720 cartouches de chichas périmés introduits frauduleusement sur le marché.
La valeur globale des saisies, effectuées courant juillet 2024, est estimée à plus de 90.millions FCFA selon le SRPJ, basé à Bobo-Dioulasso.

Les plaquettes de cannabis saisies aux mains des femmes «étaient soigneusement enfouies dans leurs sacs. En effet, le mode opératoire de ces dames consistait à se rendre dans un pays voisin d’où elles s’approvisionnaient en drogue. Cette drogue était soigneusement cachée dans des sacs à main et des sacs d’effets d’habillement.

Elles (les dames) empruntaient par la suite les véhicules de transport en commun pour se rendre dans leur pays d’origine en transitant par Bobo-Dioulasso où une partie était écoulée sur place par leurs complices», explique la police.

La police a signalé avoir ramassé d’autres plaquettes abandonnées par des trafiquants en fuite sur des axes criminogènes.

Quant aux tabamels de chichas, ils ont été saisis grâce à la collaboration des populations qui ont orienté les agents vers un magasin clandestin à l’intérieur de Bobo-Dioulasso.

Les enquêteurs, explique la police, y ont découvert ces produits stockés dans 810 cartons, rentrés illégalement sur le territoire burkinabè via les sociétés de transport en commun.

La Police nationale a réitéré ses remerciements aux citoyens qui œuvrent au quotidien aux côtés des Forces de sécurité pour combattre l’insécurité sous toutes ses formes. Elle les exhorte à toujours demeurer vigilants et à continuer de dénoncer les cas suspects aux numéros verts que sont les 17, 16 et 1010.

Agence d’Information du Burkina
Photo; Police nationale

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