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Gourma/Préparatifs de la campagne de reforestation 2025 : Le lieutenant-colonel Romuald Nikiéma visite des bosquets

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Gourma/Préparatifs de la campagne de reforestation 2025 : Le lieutenant-colonel Romuald Nikiéma visite des bosquets

Fada N’Gourma, 13 juin 2025 (AIB)-Dans le cadre des préparatifs de la campagne de reforestation 2025, le directeur régional des Eaux et Forêts de l’Est, le lieutenant -colonel Romuald Nikiéma, a visité trois (03) bosquets à Fada N’Gourma. Par cette sortie, il veut tirer des leçons pour mieux réussir cette campagne.

Reverdir le Burkina Faso est l’une des grandes visions du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré.

Dans cette optique, la campagne de reforestation 2025 sur l’ensemble du territoire national est prévue pour le 21 juin 2025.

Ainsi, le directeur régional des Eaux et Forêts de l’Est, le lieutenant-colonel Romuald Nikiéma a visité 03 bosquets dans le but de tirer des leçons des expériences passées pour améliorer cette campagne de reforestation.

La sortie-terrain lui a permis de s’imprégner des taux de survie des plants et de l’organisation de gestion des bosquets réalisés dans le cadre des éditions passées des Journées nationales de l’arbre.

Ces bosquets sont de l’Association Tin-ba, de l’Association culturelle Terre et Percussion du Gulmu (ACTP/GUL) et de l’Institut régional de l’Administration (IRA) de l’Est

Des contacts du lieutenant-colonel Romual Nikiéma, les taux de survie des plants dans les bosquets de l’Association Tin-Ba et de l’IRA de l’Est sont de 100% et celui de l’ACTP/GUL est de 90%.

Il a jugé très satisfaisant le travail abattu par ces acteurs que sont les énarques et les structures associatives.

Selon lui, l’objectif de sa visite -terrain vise à tirer des leçons pour préparer le site de cette campagne de reforestation qui est spéciale.

Il a précisé que la spécificité du site de cette année résulte du fait que ce site sera en même temps un bosquet à plantes médicinales avec des hommes et femmes engagés. Ce bosquet à plantes médicinales doit profiter aux tradipraticiens et à la population de la région de l’Est.

Par rapport à la campagne de reforestation 2025, le lieutenant -colonel a soutenu que sa structure est prête pour une campagne réussie.

A ce titre, il a indiqué que les démarches sont en cours, les sites sont identifiés, la mobilisation sociale se poursuit pour que les acteurs comprennent les nouvelles innovations.

« Parmi ces innovations, il y a la création des bosquets à plantes médicinales instaurés par le président du Faso et l’implantation de cinq (05) bosquets scolaires dans la région de l’Est », a-t-il déclaré.

Le directeur régional a invité chacun à accompagner la politique de l’heure patriotique pour reverdir le Faso prévue le 21 juin 2025 où chaque citoyen doit planter au minimum un arbre qu’il est capable d’entretenir.

Pour réussir, cette politique des plus hautes autorités du Faso, le lieutenant-colonel a souligné que son service mettra des plantes à la disposition de tous ceux qui veulent planter des arbres et qui n’ont pas de moyens.

Agence d’information du Burkina

KAC/hb/yo

 

Ioba/BEPC 2025 : Le Petit Séminaire Saint Tarsicius réalise un taux de réussite de 100 %

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Ioba/BEPC 2025 : Le Petit Séminaire Saint Tarsicius réalise un taux de réussite de 100 %

Dano , 12 juin 2025 (AIB)- Le Petit Séminaire Saint Tarsicius de Ligwaré a enregistré un taux de succès de 100% dès le premier tour du BEPC pour la 4e fois consécutive, a constaté l’AIB mercredi 11 juin 2025.

Tous les 27 candidats présentés par le Petit Séminaire Saint Tarsicius de Ligwaré, à l’examen du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session 2025 ont été déclarés admis des le premier tour.

C’est la 4e fois consécutive que cet établissement enregistre dès le premier tour le taux de 100% depuis la session de 2022. Le directeur du Petit Séminaire Saint Tarsicius , l’ abbé Norbert Doly s’est dit satisfait du travail et du comportement de ses élèves.

Agence d’information du Burkina

SZ/yos

 

Passoré/Cadre de concertation provincial : Le Haut-commissaire invite les PDS à une meilleure gestion des déchets des ménages  

BURKINA-PASSORE-GESTION- DECHETS

Passoré/Cadre de concertation provincial : Le Haut-commissaire invite les PDS à une meilleure gestion des déchets des ménages  

Yako, 13 juin 2025 (AIB)- Le Haut -commissaire du Passoré, Daouda Sangaré, a exhorté le vendredi 13 juin 2025, les Présidents des délégations spéciales des communes à une meilleure gestion des déchets des ménages et de lutter contre la divagation des animaux.

Le Haut- commissaire du Passoré, Daouda Sangaré, a interpellé les autorités locales sur la gestion des déchets des ménages et la divagation des animaux dans la commune de Yako.

M. Sangaré s’exprimait ce vendredi 13 juin 2025, lors de la deuxième session ordinaire de 2025 du Cadre de concertation provincial(CCP) à Yako.

Le Haut-commissaire a précisé qu’après la phase de sensibilisation, les éventuels propriétaires d’animaux et les chefs de ménages récalcitrants se verront appliquer toute la rigueur de la loi.

L’autorité provinciale a invité les PDS à prendre des mesures idoines, en vue de remédier à la divagation des animaux dans leurs communes respectives.

Daouda Sangaré a par ailleurs sollicité les agents de sécurité du Centre médical avec antenne chirurgicale ( CMA) de Yako à plus de vigilance, quant à la divagation des animaux au sein de la structure sanitaire.

Agence d’information du Burkina 

ZES/NO/BBP/ATA

Gourma/Campagne de reforestation 2025 : les taux de survie des plants sont à plus de 90% (direction des eaux et forêts)

BURKINA-GOURMA-ENVIRONNEMENT-ARBRES

Gourma/Campagne de reforestation 2025 : les taux de survie des plants sont à plus de 90% (direction des eaux et forêts)

Fada N’Gourma, 13 juin 2025 (AIB)-Dans le cadre des préparatifs Campagne de reforestation 2025, le directeur régional des Eaux et Forêts de l’Est, le lieutenant-colonel Romuald Nikiéma a visité trois bosquets à Fada N’Gourma où les taux de survie des plants dépassent 90%, a constaté l’AIB.

Reverdir le Burkina Faso est l’une des grandes visions du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré. Dans cette optique, la campagne de reforestation 2025 sur l’ensemble du territoire national est prévue pour le 21 juin 2025. Ainsi, le directeur régional des Eaux et Forêts de l’Est, le lieutenant-colonel Romuald Nikiéma a visité trois (03) bosquets dans le but de tirer des leçons des expériences passées pour améliorer cette campagne de reforestation.

La sortie-terrain lui a permis de s’imprégner des taux de survie des plants et de l’organisation de gestion des bosquets réalisés dans le cadre des éditions passées des Journées nationales de l’arbre (JNA). Ces bosquets sont de l’Association Tin-ba, de l’Association culturelle Terre et Percussion du Gulmu (ACTP/GUL) et de l’Institut régional de l’Administration (IRA) de l’Est.

Du constat du lieutenant-colonel Romual Nikiéma, les taux de survie des plants dans les bosquets de l’Association Tin-ba et de l’IRA de l’Est sont de 100% et celui de l’ACTP/GUL est de 90%. Il a jugé très satisfaisant le travail abattu par ces acteurs que sont les énarques et les structures associatives.

Selon lui, l’objectif de sa visite-terrain vise à tirer des leçons pour préparer le site de cette campagne de reforestation qui est spéciale. Il a précisé que la spécificité du site de cette année résulte du fait que ce site sera en même temps un bosquet à plantes médicinales avec des hommes et femmes engagés. Ce bosquet à plantes médicinales doit profiter aux tradipraticiens et à la population de la région de l’Est.

Par rapport à la campagne de reforestation 2025, le lieutenant-colonel a soutenu que sa structure est prête pour une campagne réussie. A ce titre, il a indiqué que les démarches sont en cours ; les sites sont identifiés ; la mobilisation sociale se poursuit pour que les acteurs comprennent les nouvelles innovations.

Parmi ces innovations, il y a la création des bosquets à plantes médicinales instaurés par le président du Faso et l’implantation de cinq (05) bosquets scolaires dans la région de l’Est, selon lui.

Le directeur régional invite chacun à accompagner la politique de l’heure patriotique pour reverdir le Faso prévue le 21 juin 2025 où chaque citoyen doit planter au minimum un arbre qu’il est capable d’entretenir. Pour réussir, cette politique des plus hautes autorités du Faso, le lieutenant-colonel a souligné que son service mettra des plantes à la disposition de tous ceux qui veulent planter des arbres et qui n’ont pas de moyens.
Agence d’information du Burkina

Second tour du BEPC 2025 : Le ministre Boubakar Savadogo encourage les candidats à Bobo-Dioulasso

Second tour du BEPC 2025 : Le ministre Boubakar Savadogo encourage les candidats à Bobo-Dioulasso

Bobo-Dioulasso, 13 juin 2025 (AIB) – Le ministre en charge de l’Enseignement secondaire, de la Formation professionnelle et technique, Boubakar Savadogo, a procédé, ce vendredi matin, au lancement officiel des épreuves du second tour du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), session 2025, au collège Sainte-Marie de Tounouma, à Bobo-Dioulasso.

Avant l’ouverture de la première enveloppe d’épreuve, le ministre a prodigué des conseils et encouragé les candidats, qu’il a trouvés « un peu plus timides » que ceux du premier tour. Il les a exhortés à rester concentrés et à donner le meilleur d’eux-mêmes.

« Nous espérons que le trébuchement du premier tour sera rattrapé. Il faut garder confiance et persévérer », a-t-il déclaré.

Le ministre Savadogo a salué l’organisation jugée « remarquable » de la session 2025, comparativement aux années précédentes. Il a adressé ses félicitations aux présidents de jury, surveillants, correcteurs et à l’ensemble du personnel mobilisé.

« Nous avons enregistré très peu d’incidents cette année. Dans toutes les localités visitées, les enseignants et présidents de jury sont unanimes sur la performance du logiciel de gestion des examens, signe du travail accompli depuis notre prise de fonction en août dernier », a-t-il souligné.

Le ministre a, par ailleurs, mis en garde contre toute tentative de fraude. « Il faut se concentrer sur les sujets, pas sur les poches à la recherche d’astuces non conformes », a-t-il averti.
Agence d’information du Burkina
FS/nn/ata

Poni/BEPC 2025: l’élève Yacouba Sawadogo de Kampti obtient la mention excellente avec 18,73 de moyenne

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Poni/BEPC 2025: l’élève Yacouba Sawadogo de Kampti obtient la mention excellente avec 18,73 de moyenne

Gaoua, 13 juin 2025 (AIB)- L’élève Yacouba Sawadogo du lycée départemental de Kampti, dans la province du Poni, a obtenu la mention excellente avec 18,73/20 de moyenne, à l’issue de la proclamation mercredi, des résultats du premier tour du Brevet d’études du premier cycle (BEPC).

Sur un effectif de 556 candidats inscrits, 106 ont été déclarés admis au premier tour du BEPC session de 2025, soit un taux de réussite communal de 19,06%. Le candidat Yacouba Sawadogo a obtenu la plus forte moyenne de 18,73. Il est suivi d’Adam Bachid Demi avec une moyenne de 17,83/20.

240 candidats prennent part aux épreuves du second tour ce vendredi 13 juin 2025.
Agence d’information du Burkina

L’Afrique a besoin du nucléaire civil pour s’industrialiser et nourrir sa population (Lassina Zerbo)

L’Afrique a besoin du nucléaire civil pour s’industrialiser et nourrir sa population (Lassina Zerbo)

Lomé, 13 juin 2025 (AIB) – L’énergie nucléaire civile est le socle énergétique fiable dont l’Afrique a besoin pour s’industrialiser et nourrir sa population, a soutenu le scientifique et ancien Premier ministre burkinabè Lassina Zerbo, tout en reconnaissant l’apport des énergies renouvelables.

« Intégrer les petits réacteurs modulaires permettrait d’alimenter en énergie les systèmes d’irrigation, les stations de dessalement, les chaînes de froid et les unités de transformation locales, renforçant ainsi notre sécurité alimentaire. (…) Les SMR, comme on les appelle, ces petits réacteurs modulaires, ne sont plus seulement une option technologique, mais un levier structurant de développement », a assuré Lassina Zerbo.

L’ancien Premier ministre burkinabè, aujourd’hui président de la Commission de l’énergie atomique du Rwanda, s’exprimait vendredi à Lomé, en marge des premières Journées de développement de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD).

« Quand je parle du nucléaire, on pense que je médis (critique) les renouvelables. Mais il s’agit d’un mix énergétique dans lequel les énergies renouvelables ont toute leur place. Toutefois, leur intermittence ne nous permet pas, à l’heure actuelle, d’atteindre l’industrialisation dont l’Afrique a besoin », a poursuivi l’ancien secrétaire exécutif du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE) à Vienne.

« Les SMR, qui vont de 1 à 50 MW, sont conçus pour des usages spécifiques tels que les bases militaires, les hôpitaux, les industries éloignées ou les communautés rurales. Ils nécessitent peu de personnel, ont une empreinte au sol très réduite et peuvent fonctionner pendant 10 à 20 ans de façon continue, sans rechargement de combustible. Et c’est cela qui est important », a-t-il insisté.

Il s’est félicité de la levée, par la Banque mondiale, de l’interdiction de financement du nucléaire civil en Afrique, emboîtant ainsi le pas à la BOAD.

Pour financer autrement la transition énergétique, Lassina Zerbo appelle à s’inspirer de modèles éprouvés dans le monde, comme ceux des Émirats arabes unis, de la Turquie ou encore de l’Argentine, qui ont misé sur des partenariats public-privé.

À l’instar des Émirats arabes unis qui ont lancé la tokenisation de l’or et du pétrole via des plateformes blockchain pour attirer de nouveaux capitaux, des pays africains pourraient faire de même avec leurs réserves stratégiques, a-t-il préconisé.

« Le Niger, par exemple, pourrait développer un uranium token, adossé à des réserves physiques certifiées, afin d’attirer des investisseurs internationaux et de lever des fonds pour financer des infrastructures nucléaires comme les petits réacteurs modulaires ou même les micro-réacteurs. Cette approche permettrait aussi d’assurer la transparence et de valoriser cette ressource dans un cadre civil, sécurisé et traçable », a conseillé M. Zerbo, en présence du Premier ministre nigérien Ali Mahaman Lamine Zeine.

Les BOAD Development Days, qui se tiennent jeudi et vendredi, rassemblent des experts, des décideurs et des investisseurs, dans le but d’identifier des solutions de financement innovantes et de renforcer l’implication du secteur privé dans les domaines de l’agriculture et de l’énergie.

Agence d’information du Burkina

ATA/as

 

Burkina: le nouveau code de procédure pénale institue la médiation comme alternative aux poursuites

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Burkina: le nouveau code de procédure pénale institue la médiation comme alternative aux poursuites

Ouagadougou, 12 juin 2025 (AIB)-L’Assemblée législative de Transition (ALT) du Burkina Faso a adopté  jeudi  le nouveau Code de procédure pénale (CPP) avec plusieurs innovations majeures, notamment l’institution de la médiation pénale qui, librement convenue entre les parties, met fin aux poursuites, a constaté l’AIB.

Le nouveau Code de procédure pénale (CPP) adopté par les députés, introduit de grandes innovations destinées à adapter le système judiciaire burkinabè aux réalités socioculturelles du pays pour plus d’efficacité. A l’entrée en vigueur de ladite loi de 910 articles, plusieurs mesures alternatives aux poursuites et à l’emprisonnement sont proposées.

Ainsi, une médiation librement convenue entre les parties peut mettre fin aux poursuites. Il en est de même, une convention judiciaire d’intérêt public pour les personnes morales qui devront réparer le préjudice causé et payer l’amende au trésor public avec un engagement de se conformer aux normes voilées.

La procédure de composition pénale prévue dans le nouveau CPP permettra au Procureur de proposer au condamné en lieu et place de la prison, le paiement d’une amende au trésor public en sus d’autres mesures comme le TIG, le retrait du permis de conduire.

On note également l’octroi de la qualité d’Officier de police judiciaire(OPJ) aux commandants de police municipale, les inspecteurs et contrôleurs de police municipale en matière d’hygiène et de salubrité publique, de tranquillité publique, de circulation routière, de divagation des animaux et de protection du domaine et des lieux publics.

L’instruction  jadis obligatoire en matière criminelle dans l’ancien document est devenu facultatif pour accélérer le jugement des affaires. Les infractions criminelles peuvent désormais faire l’objet d’une procédure de flagrance.

Les personnes poursuivies pour faits de terrorisme et infractions assimilées ne peuvent être libérées tant qu’il y a des voies de recours.

Le nouveau texte prévoit par ailleurs la possibilité de jugement par Visio conférence si les circonstances sont réunies et si les parties y consentent pour réduire les frais et délais de jugement, surtout des détenus des Maisons d’arrêts éloignées des Cours d’appel et ayant interjeté.

En rappel la procédure pénale est le trait d’union entre la commission de l’infraction et l’application de la sanction pénale.

Elle comporte l’ensemble des règles qui encadrent la recherche des auteurs d’infractions, leur poursuite et leur jugement.
Agence d’information du Burkina
yos/as/ata

Sebba : opération établissement de CNIB de la Coopération norvégienne au profit des populations

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Sebba : opération établissement de CNIB de la Coopération norvégienne au profit des populations

Sebba, 12 juin 2025 (AIB)-Le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC) à travers le département «ICLA» (Information, conseils, assistances légales) organise une opération d’établissement de Carte nationale d’identité burkinabè (CNIB) du 12 au 19 juin 2025 au profit des populations de la ville de Sebba, a constaté l’AIB.

Les populations de la ville de Sebba vont bénéficier du 12 au 19 juin 2025 d’une opération d’établissement de CNIB. Le NRC vient par cette occasion soulager beaucoup de personnes. En cette première journée de travail, la mobilisation a été très forte.

Selon Hama Sidi qui est l’un des premiers bénéficiaires de cette inscription, « j’ai pu m’inscrire pour l’opération CNIB. L’annonce a été faite depuis quelques jours et je me suis préparé pour être parmi les premiers. Nous attendions cette mission depuis longtemps parce que j’ai perdu mes papiers lors de la dernière attaque de la ville de Sebba. Les malfaiteurs ont brûlé la maison dans laquelle se trouvait tout ce qu’on avait. Je remercie NRC à travers ICLA pour avoir pensé à la population de Sebba qui se trouve actuellement vulnérable. Ils nous ont donné des numéros vers sur lesquels on peut appeler pour remercier les donateurs. Je prends l’engagement de les appeler pour leur dire merci pour ce geste ».

A écouter Bali Bako deuxième vice-président de la commune de Sebba, le Conseil norvégien pour les refugier à travers ICLA est venu soulager les populations de Sebba qui, depuis très longtemps attendaient de pareilles occasions. Depuis le départ de la police et avec le blocus de la ville, beaucoup de personnes ont vu leur CNIB expirer et ne peuvent rien faire.

Il explique certains ont perdu beaucoup de matériel lors de la dernière attaque dont des CNIB et d’autres documents. « Je profite de cette occasion pour dire au nom de toute la délégation spéciale de Sebba, un grand merci à NRC et à tous ceux de près ou de loin ont apporté un soutien à cette population vulnérable ».

Pour le chef de la délégation Adama Barry, « nous sommes venus à Sebba pour assister les populations à travers une opération d’établissement des CNIB. NRC pour cette opération est en partenariat avec l’Office national d’identification (ONI) de Kaya. Au niveau local, nous sommes assistés par le Centre pour la bonne gouvernance locale (CGS). Nous demandons à la population de sortir massivement pour profiter de cette mission. Nous avons à établir au moins 3000 CNIB. Je remercie les autorités pour avoir facilité le travail dès notre arrivée ».
Agence d’information du Burkina
MAM/AS

Namentenga/Entreprenariat communautaire : La province envisage une stratégie de mobilisation de 33 000 actionnaires d’ici 2026 

Burkina-Namentenga-Entreprenariat-Promotion

Namentenga/Entreprenariat communautaire : La province envisage une stratégie de mobilisation de 33 000 actionnaires d’ici 2026 

Boulsa, 13 juin 2025(AIB)- Le Haut-commissaire de la province du Namentenga, Adama Conseiga, a échangé avec les volontaires pour la collecte des souscriptions de l’Agence pour la promotion de l’entreprenariat communautaire (APEC), afin de mettre de place en place une stratégie de mobilisation dans les 8 communes. 33 000 actionnaires est le défi à relever d’ici fin janvier 2026 avec un montant total de 330 millions de F CFA à mobiliser.

«Donnez l’information juste aux potentiels actionnaires de la province du Namentenga », a indiqué le Haut-commissaire, Adama Conseiga, aux volontaires pour la collecte des souscriptions.

L’organisation des 72 heures de l’APEC dans la province du 29 juin au 1er juillet prochain , la concertation avec les différentes couches socioprofessionnelleconstituent entre autres stratégies de mobilisation des 33 000 souscripteurs d’ici fin 2026 pour un montant total de 330 millions de FCFA.

Le premier responsable de la province a rassuré les volontaires de sa disponibilité à les accompagner pour l’atteinte des objectifs fixés.7

Pour l’occasion, le Président de la délégation spéciale de la commune de Boulsa, Issaka Sangla a mis à leur disposition un local pouvant servant de bureau, un tricycle et un petit matériel de sonorisation mis à leur disposition.

Le superviseur provincial de l’APEC, Julien Mandé a remercié le Haut-commissaire et les directeurs provinciaux en charge de l’emploi Patrice Bationo et des sports, Moussa Ilboudo pour leur présence effective à leurs côtés.

Les participants ont souhaité la mise à disposition des produits de l’APEC tels que la tomate sur la place du marché.

Le haut-commissaire, Adama Conseiga a invité les volontaires à donner des informations justes à la population au cours des différents fora ou de se référer à des personnes ressources en cas de difficultés.

M. Conseiga a également exhorté la population à réserver un accueil aux volontaires et à souscrire massivement à l’entreprenariat communautaire.

Agence d’information du Burkina 

JBD/NO/ATA

Centre-sud : Des tisseuses sensibilisent à l’utilisation du fil et du pagne made in Burkina

Centre-sud : Des tisseuses sensibilisent à l’utilisation du fil et du pagne made in Burkina

Manga, 12 juin 2025 (AIB) – L’Union régionale des tisseuses du Centre-sud a mené, jeudi, des actions de sensibilisation à l’utilisation du fil 100% coton du Burkina Faso et du pagne Faso danfani, a constaté l’AIB sur place.

La campagne de sensibilisation, menée en collaboration avec la Filature du Sahel (FILSAH), a concerné une caravane d’animation et d’informations à travers les artères de Manga et une rencontre d’échanges avec des tisseuses et les populations de la ville.

L’objectif de cette série d’activités est « d’éclairer davantage les populations et les acteurs du tissage sur les enjeux liés à la consommation locale notamment l’utilisation du fil 100% burkinabè produit par FILSHA pour confectionner le Faso danfani », a indiqué la présidente de l’Union régionale des tisseuses du Centre-sud, Christine Tiemtoré.

Elle a poursuivi en notant que la campagne de sensibilisation vise aussi à rappeler à tous l’appel du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, à promouvoir la consommation locale, un tremplin vers la souveraineté économique.

A travers la ville et face aux tisseuses et aux populations, Mme Tiemtoré et son équipe ont confié dans leur message que l’utilisation du fil local et du pagne Faso danfani made in Burkina a des multiples avantages aussi bien pour les individus, pour l’économie que pour le pays.

« Les producteurs de coton gagnent de l’argent, les usines qui utilisent leur coton créent de l’emploi et développent l’économie nationale et les tisseuses et leurs employés, eux-aussi, ont leur gagne-pain », a-t-elle expliqué.

Outre cela, selon elle, le pagne Faso danfani fait à base du fil local est doux au toucher et ne procure pas d’inconfort pour celui qui le porte quelque soit la température externe.

« Le pagne fait avec le fil importé, lui, par contre, produit une forte chaleur quand vous sortez sous le soleil et pendant la confection du pagne avec ce fil, il dégage des fibres et certaines substances qui peuvent même rendre malade », a souligné Christine Tiemtoré.

Pauline Ouoba, directrice d’un Centre de formation de confection de pagne Faso danfani sise à Manga, a, elle aussi, abondé dans le même sens soulignant qu’en plus de menacer l’économie locale, le fil importé est très souvent mélangé avec du nylon et produit une mauvaise qualité de pagne.

Les services déconcentrés en charge de la Culture et du Commerce du Centre-sud, la police municipale et des structures de promotion de l’artisanat ont soutenu l’initiative des tisseuses.

Pour le président des associations provinciales des artisans et groupements d’artisans du Zoundwéogo, Hermann Zoungrana, la campagne de sensibilisation qu’elles ont entreprise est « une bonne action pour éveiller les consciences sur les dangers de l’utilisation du fil et du pagne importés au détriment de la production locale ».

Il a expliqué que le Centre-sud particulièrement qui est une région limitrophe du Ghana connait, depuis 2022, une importation massive de fils et de pagnes qui s’écoulaient dans les marchés locaux. Fort heureusement, cette tendance est baissière aujourd’hui grâce à « la dynamique de la consommation locale impulsée par les plus hautes autorités et les actions de sensibilisation telles que celle conduite par l’Union des tisseuses du centre-sud », a soutenu Herman Zoungrana.

Pour les consommateurs qui éprouveraient des difficultés à déterminer le bon fil made in Burkina du faux, importé, Christine Tiemtoré les a appelés à faire recours aux professionnels pour leur choix.

Aussi, à l’endroit des tisseuses qui ont pour prétexte la disponibilité du fil importé en plusieurs couleurs pour justifier son utilisation, elle les a exhortées à savoir raison garder en faisant le choix de la qualité et mettant en avant le patriotisme et l’intérêt général, promus à travers la consommation locale. Du reste, elle a souligné que la faitière des tisseuses du Centre-sud envisage de mener des plaidoyers auprès de partenaires d’appui pour plus de formations en teinture au profit des tisseuses locales. Cela, afin que, pour la confection des pagnes Faso danfani, le fil 100% coton burkinabè soit le seul utilisé partout, en toute circonstance et pour le bien de tous, a-t-elle confié.
Agence d’information du Burkina
MZ/AS

UEMOA : « Sans sécurité et paix, le développement va s’arrêter », prévient le ministre togolais de l’Économie

UEMOA : « Sans sécurité et paix, le développement va s’arrêter », prévient le ministre togolais de l’Économie

 Lomé, 13 juin 2025 (AIB)-Le ministre togolais de l’Économie et des Finances, Essowè Georges Barcola, a exhorté jeudi les participants aux premières Journées de développement de la BOAD à ériger la sécurité et la paix en priorités absolues, faute de quoi le développement harmonieux de l’UEMOA s’arrêtera, a constaté l’AIB.

« La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) a fait beaucoup de choses depuis sa création. Elle a investi dans divers projets de développement, dans tous les secteurs. Mais si nous n’avons pas de sécurité, si nous n’avons pas de paix, ce développement harmonieux que nous avons commencé et que nous devons renforcer, va s’arrêter », a déclaré le ministre togolais.

Il s’exprimait à l’ouverture des BOAD Development Days, une nouvelle plateforme d’échanges axée sur des solutions concrètes aux défis du développement durable dans l’espace UEMOA.

« Les défis auxquels nous sommes confrontés sont nombreux : les chocs externes, les défis climatiques, la crise sécuritaire, la sécurité alimentaire, l’accès à l’énergie, l’industrialisation, et la création d’emplois décents pour une jeunesse de plus en plus nombreuse », a souligné M. Barcola, avant d’ajouter : « Parmi tous ces chocs et défis, nous devons nous arrêter sur un seul : le défi de la crise sécuritaire. »

Essowè Georges Barcola a salué l’esprit d’anticipation du président de la République togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé, face à l’insécurité.

En 2012, alors qu’il présidait la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UEMOA, le chef de l’État a institué la Politique de paix et de sécurité au sein de l’Union, axée sur des mécanismes d’alerte et de mise en œuvre de mesures communautaires pour préserver les États du fléau de l’insécurité, a expliqué le ministre.

Les BOAD Development Days, qui se tiennent jeudi et vendredi, rassemblent des experts, des décideurs et des investisseurs, dans le but d’identifier des solutions de financement innovantes et de renforcer l’implication du secteur privé dans les domaines de l’agriculture et de l’énergie.

Agence d’information du Burkina

ATA/as

 

Le financement de l’agriculture durable dans la zone UEMOA passe d’abord par la réduction des pertes (Économiste)

Le financement de l’agriculture durable dans la zone UEMOA passe d’abord par la réduction des pertes (Économiste)

Lomé, 13 juin 2025 (AIB)Le financement de l’agriculture durable dans la zone UEMOA passe d’abord par la réduction des pertes et, par conséquent, par l’accessibilité à l’énergie, a affirmé l’économiste et ancien Premier ministre béninois, Lionel Zinsou, en marge des premières Journées de développement de la BOAD, consacrées à la transition énergétique et à l’agriculture durable.

« La première façon de financer l’agriculture, c’est de réduire ces pertes. Et le goulot d’étranglement, c’est l’énergie », a déclaré jeudi après-midi Lionel Zinsou, lors du panel « Défis de l’accès universel à l’électricité dans l’UEMOA face à la transition énergétique ».

Selon lui, le manque de silos aérés et de chaînes du froid (imputable à un déficit énergétique), pour conserver respectivement les produits agricoles secs et frais, entraîne d’énormes pertes.

« On a besoin d’énergie dans l’agriculture pour réduire les pertes, car on arrive à perdre, probablement dans notre région (UEMOA), un tiers de la production agricole », a ajouté l’économiste.

Ce manque d’énergie se fait également sentir dans l’agroalimentaire et l’agroindustrie, a conclu Lionel Zinsou.

Les BOAD Development Days, qui se tiennent jeudi et vendredi, rassemblent des experts, des décideurs et des investisseurs, dans le but d’identifier des solutions de financement innovantes et de renforcer l’implication du secteur privé dans les domaines de l’agriculture et de l’énergie.

Agence d’information du Burkina
ATA/as

 

Boulgou : 160 élèves ont décroché le BEPC au premier tour à Bittou

Burkina/Boulgou-Résultat-BEPC

Boulgou : 160 élèves ont décroché le BEPC au premier tour à Bittou

Bittou,11 juin 2025(AIB) – La proclamation des résultats du premier tour du BEPC session 2025, a eu lieu le jeudi 11 juin 2025 au lycée départemental de Bittou, en présence des examinateurs des parents d’élèves et les forces de défense et de sécurité.

Le centre de Bittou a enregistré 160 admis au premier tour du BEPC pour la session de 2025 sur 442 candidats qui ont composé, 229 candidats vont composer le second tour, le vendredi 13 juin 2025.

Lompo Yempabou Adèle, 16 ans candidate admise et Zidongo Amidou qui est admis à sa deuxième composition ont exprimé leur satisfaction. Ils ont remercié les encadreurs et les parents pour les conseils et ont demandé aux autres candidats de ne pas baisser les bras.

Le vice-président de jury 2, Lassane Sawaodogo, a invité les candidats du second tour a la sérénité et à écouter les conseils des encadreurs.

Au total, 457 candidats étaient en lice dans les deux jurys dont 442 ont composé et 15 candidats étaient absents.

Agence d’information du Burkina

Balé : La province enregistre 1226, admis soit un taux de succès de 30,23% au premier tour du BEPC, session 2025  

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Balé : La province enregistre 1226, admis soit un taux de succès de 30,23% au premier tour du BEPC, session 2025

Boromo, le 12 juin2025 (AIB) – La province des Balé a enregistré un taux de succès de 30,23% au BEPC à l’issus de la proclamation des résultats du premier tour, le mercredi 11 juin 2025 dans l’ensemble des 17 jurys de la province.

Selon les statiques du service des examens et concours 4055 candidats ont pris parts aux épreuves écrites avec 630 garçons admis sur 1737 et 596 filles admises sur 2318. Le nombre total des admis s’élève à 1226 candidats soit un taux de succès de 30,23%.

Les candidats admissibles autorisés à suivre les épreuves du second tour sont au nombre de 2080 soit 1250 garçons contre 830 filles.

Selon le président du jury1 de Sibi, Somé Noel, un candidat admis avec une moyenne 14,92% est malheureusement décédé la veille de la proclamation des résultats. Le jury lui a rendu hommage en observant une minute de silence avant la proclamation des résultats.

Dans le jury 1 de Sibi sur 226 candidats, 79 ont été déclarés admis avec 114 admissibles pour les épreuves du second tour. Le taux de succès est de 34,96%.

Le directeur provincial de l’enseignement secondaire Kèlètigui Soulama dans un message aux enseignants a exprimé son optimisme pour de meilleurs résultats après le second tour « Je reste convaincu qu’avec votre accompagnement des admissibles dans vos établissements respectifs, ce score sera amélioré au second tour » at-il déclaré.

Agence d’information du Burkina

OM/dnk/ata

Ioba : La province enregistre 782 admis soit un taux de succès de 26,81% au premier tour du BEPC session 2025

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Ioba : La province enregistre 782 admis soit un taux de succès de 26,81% au premier tour du BEPC session 2025

Dano, 12 juin 2025 (AIB) – La province du Ioba a enregistré un taux de réussite de 21,81% au premier tour de l’examen du brevet d’études du premier cycle (BEPC), session de 2025.

Les résultats du premier tour du BEPC session de 2025 ont été proclamés dans les 10 jurys de la province du Ioba le mercredi 11 juin. Sur 2917 candidats présents cette année, ce sont 782 candidats dont 312 filles et 470 garçons qui sont admis à l’issue des épreuves du premier tour.

Le taux de succès au premier tour est de 26,81 % pour le Ioba. Sont autorisés à prendre part aux épreuves du second tour 1429 candidats dont 783 filles et 646 garçons.

La composition du deuxième tour est prévue le vendredi 13 juin 2025.

Agence d’information du Burkina                  SZ/dnk as

Cascades : L’ONI lance l’opération spéciale de délivrance de CNIB dénommée « j’ai ma CNIB avant d’aller au champ », à Banfora

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Cascades : L’ONI lance l’opération spéciale de délivrance de CNIB dénommée « j’ai ma CNIB avant d’aller au champ », à Banfora

Banfora, 12 juin 2025 (AIB)- L’Office national d’identification (ONI) en collaboration avec les autorités régionales des Cascades, a organisé la première édition d’une opération spéciale de délivrance de la Carte nationale d’Identité burkinabè (CNIB) dénommé « j’ai ma CNIB avant d’aller au champ », le mercredi 11 juin 2025 à Banfora.

L’Opération spéciale « j’ai ma CNIB avant d’aller au champ » est une initiative ambitieuse, conçue pour répondre aux besoins spécifiques des populations vivant en milieu rural, souvent éloignées des centres urbains et confrontées à des difficultés d’accès aux services de l’ONI.

Le lancement de cette opération vise un double objectif qui est d’anticiper la période de faible fréquentation des centres d’enrôlement durant la campagne agricole humide, période pendant laquelle les populations sont mobilisées dans les champs, et rapprocher les services de l’ONI des citoyens vivant en milieu rural, afin de leur permettre d’obtenir leur CNIB avant le début effectif des travaux champêtres.

L’opération se déroulera sur l’ensemble du territoire nation jusqu’à la fin du mois de juillet 2025. A cet effet, les centres de production de la CNIB de Fada N’gourma, Tenkodogo, Kaya, Ouahigouya, Dédougou, Koudougou, Gaoua, Bobo-Dioulasso, Banfora et Ouagadougou seront pleinement mobilisés, a assuré le Directeur général de l’ONI, Arzouma Daouda Parfait Louré.

« La CNIB n’est pas un simple document administratif. Elle constitue la preuve l’égale de l’existence d’un citoyen. C’est un document fondamental d’accès aux droits et services sociaux de base : droit à l’éducation, accès aux soins de santé, aux services financiers, et à toutes les formes de participation citoyenne. En facilitant l’accès à la CNIB pour les populations rurales, nous contribuons à bâtir un Etat plus équitable, plus proche de ses citoyens, et plus inclusif. Nous renforçons également la sécurité de nos concitoyens, surtout dans le contexte actuel que traverse notre nation. A indiqué, le premier responsable de l’ONI », a-t-il ajouté.

M. Louré a indiqué que cette initiative est donc bien plus qu’une simple opération d’enrôlement. Elle est un acte de justice sociale, un engagement pour l’équité, un moyen de réduire les inégalités territoriales. Elle traduit la volonté du Ministère de la sécurité, à travers l’ONI, de ne laisser aucun citoyen burkinabè de côté, a-t-il confié.

Il a également invité les leaders communautaires, les journalistes et tous les participants à être des relais de cette opération spéciale. A Informer, mobiliser et sensibiliser. « Encourageons nos frères et sœurs vivant en milieu rural à saisir cette opportunité exceptionnelle pour se faire enrôler et obtenir leur CNIB avant d’aller au champ. Ce n’est qu’ensemble, par la synergie de nos efforts, que nous atteindrons les objectifs fixés », a-t-il fait savoir.

Le secrétaire général de la région des Cascades, Toussaint Meda, représentant le gouverneur, a salué les plus hautes autorités du Burkina Faso pour cette belle initiative qui vise à permettre aux populations rurales d’obtenir leur Carte nationale d’identité Burkinabè (CNIB) avant le début de la campagne agricole humide. « Elle permettra également à nos braves agriculteurs qui n’en disposent pas de réaffirmer leur citoyenneté dans un contexte sécuritaire quelque peu difficile, a-t-il ajouté.

M. Meda a saisi l’occasion pour inviter toutes les faitières des organisations paysannes à s’approprier cette initiative afin de se faire massivement enrôler avant de se retrancher dans les villages et hameaux de culture les plus reculés du Burkina Faso. Il a aussi exhorté les populations des villes à porter l’information auprès des leurs afin que cette opération connaisse un franc succès.

Le représentant du gouverneur a lancé également un appel particulier aux chefs de villages, aux leaders communautaires, aux responsables d’organisations paysannes, aux jeunes, aux femmes et à tous ceux qui portent la voix des populations rurales afin qu’ils mobilisent leurs communautés, qu’ils parlent à leurs familles, voisins et collègues de travail. Cette opération nous concerne tous. « Agissons donc en synergie pour faciliter la mobilité de nos frères et sœurs qui manquent d’une CNIB redoutent les déplacements en ville », a-t-il indiqué.

En rappel, l’Office nationale d’identification (ONI) est un établissement public de l’Etat à caractère administratif, créé par le décret n°2004-579 du 15 décembre 2004. Placé sous la tutelle technique du ministère de la Sécurité et la tutelle financière du ministère de l’Economie et des Finances, il est chargé de mettre en œuvre la politique nationale du gouvernement en matière d’identification.

Agence d’information du Burkina JPY/dnk/ata

Peinture et art : L’Ordre des architectes égaye des déplacés internes à Panzani 

Burkina-Arts-Peinture-Solidarité

Peinture et art : L’Ordre des architectes égaye des déplacés internes à Panzani

Ouagadougou, 12 juin 2025 (AIB) – L’Ordre des architectes du Burkina a organisé, au profit des Personnes déplacées internes (PDI) de Panzani, dans l’arrondissement N°9 de Ouagadougou, un atelier de création et de peinture dénommé “Étoiles et toiles d’espoir”, tenu du 27 au 29 mai 2025,

Placée sous le thème “Enfants, jeunes et femmes déplacés internes pour la reconstruction au Burkina Faso”, l’initiative s’inscrit dans le prolongement des activités de la Semaine de l’Architecte / EXPOBAT 2025, tenue du 20 au 22 mars 2025.

Soutenu par le ministère de l’Action humanitaire et de la solidarité nationale, cet atelier de création et de peinture a mobilisé plusieurs organisations et structures nationales et internationales.

Il s’agit des organisations ou organismes tels que le Fonds des nations unies pour la population (UNFPA), le Haut-commissariat des nations unies pour les réfugiés (UNHCR), l’Association Yaam Solidarité, Vivo Energy, etc.

Pendant trois jours, enfants, jeunes et femmes déplacés internes ont exprimé librement leurs talent et don dans le domaine de l’art à travers la peinture et la création artistique.

Aux dires des organisateurs, l’atelier a servi de catalyseur pour révéler les rêves des participants, leurs espoirs, mais aussi leurs blessures dans une dynamique de reconstruction sociale et psychologique.

Plusieurs personnalités et autorités locales ont honoré de leur présence le lancement de l’atelier.

Dans son allocation, le représentant résident adjoint de l’UNFPA au Burkina Faso, Keneth Ehouzou a salué l’initiative qu’il a qualifiée de porteuse de guérison et de résilience. Selon lui, l’art offre aux enfants, jeunes et femmes déplacés internes une occasion de se reconstruire et de redevenir acteurs de leur propre histoire.

« L’UNFPA accompagne ce projet car il s’inscrit pleinement dans sa mission de protection et de soutien psychosocial des populations vulnérables, tout en favorisant l’inclusion, la cohésion sociale et la dignité humaine », déclare-t-il.

Les œuvres réalisées lors de l’atelier seront mises en vente lors d’une soirée de charité, prévue ce vendredi 13 juin 2025 à l’hôtel Azalaï, avec pour objectif de récolter des fonds pour soutenir d’autres actions au profit des Personnes déplacées internes.

Agence d’information du Burkina

AK/as

Ziro/ BEPC 2025: Sapouy enregistre un taux de succès de 28,87 % 

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Ziro/ BEPC 2025: Sapouy enregistre un taux de succès de 28,87 %

Sapouy, 12 juin 2025 (AIB) – Sur un total de 1 635 candidats BEPC, 472 ont décroché au premier tour, leur parchemin, soit un taux de réussite de 28,87 % et 771 déclarés admissibles au second tour.

240 garçons et 232 filles ont été déclarés admis dès le premier tour au Brevet d’études du premiercycle(BEPC), selon les résultats proclamés hier mercredi 11 juin 2025.

329 garçons et 442 filles sont admissibles pour le second tour.

Selon le Directeur provincial de l’enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique, Dramane Ilboudo, l’organisation s’est déroulée sans incident majeur. Il a salué l’efficacité du logiciel SIGEC qui a facilité la centralisation et la publication des résultats.

En attendant les résultats du second tour, les admis savourent leur réussite, pendant que les admissibles se préparent avec espoir.

Agence d’information du Burkina

AK/MZ

Résultats 1er tour BEPC 2025 : La région du Centre-Ouest enregistre un taux de succès de 31,45%  

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Résultats 1er tour BEPC 2025 : La région du Centre-Ouest enregistre un taux de succès de 31,45%

Koudougou, le 12 juin 2025 (AIB) – Les résultats du premier tour du Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC) session de 2025 ont été proclamés hier mercredi 11 juin 2025 dans les différents jurys de la région du Centre-Ouest, révélant un taux de réussite régional de 31,45%.

Sur un effectif total de 20 550 candidats présentés, 6 463 sont admis au premier tour du BEPC 2025 dans la région du Centre-Ouest, soit un taux de succès de 31,45%.

9 918 candidats sont autorisés à composer les épreuves du second tour, prévu le vendredi 13 juin 2025

La province du Boulkiemdé vient en tête avec un taux de réussite de 32,45%, suivi du Sanguié avec 31,41% d’admis, la Sissili occupe la 3e place avec 29,04%, la province du Ziro a enregistré un taux de succès de 28,87%.

Agence d’information du Burkina

FGB/PB/bak

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