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Nahouri/Education : Les meilleurs enseignants et élèves du village de Kaya récompensés

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Nahouri/Education : Les meilleurs enseignants et élèves du village de Kaya récompensés

Pô, 23 nov. 2025 (AIB)-Le secrétaire général de la province du Nahouri, Emile Hien, a présidé ce samedi 22 novembre 2025 à Kaya, dans la commune de Tîébélé, la journée de l’excellence. L’initiative est de l’association pour le développement de Kaya « Kaya Tiina ou espoir de Kaya », qui est à sa première édition. La cérémonie a connu la présence des fils, filles et amis de Kaya, venus soutenir l’association et les acteurs de l’éducation.

Organisée par l’association pour le développement de Kaya « Kaya Tiina ou espoir de Kaya », les responsables de cette association veulent par cette occasion encourager les meilleurs acteurs de l’éducation de leur village et susciter une saine émulation entre eux.

Pour cette première édition 2025, plus d’une soixantaine d’élèves ont vu leur mérite récompensé ce samedi 22 novembre 2025.

La meilleure fille et le meilleur garçon de chaque classe des cinq écoles du village ont été récompensés

Chaque meilleur élève des cinq écoles primaires repartent avec un kit scolaire et un vélo pour les élèves de la classe de CM2 qui passent en 6e.

La meilleure fille et le meilleur garçon des classes de la 6e en première A et D du lycée et du CEG, ont reçu chacun un kit scolaire et un vélo pour les élèves des classes de troisième qui passent en seconde.

Les deux meilleurs au BAC A et D reçoivent un ordinateur complet et les autres lauréats au BAC, une bourse de 15 000 F CFA.

Les meilleurs enseignants, directeurs d’école, du CEG et du lycée ont été aussi récompensés.

Le président de l’association, B. Faïcal Addi, a invité ses frères et sœurs de Kaya à l’union et à soutenir toute action de développement dudit village.

Pour lui, la réussite d’un fils ou fille de Kaya doit être une fierté pour tous les habitants et est une victoire pour tout Kaya.

Le développement ne peut se faire dans la division mais la solidarité a ajouté Adi.

Il a souligné que les bons résultats obtenus dans les établissements sont les fruits des efforts des enseignants et de leurs encadreurs et chaque enseignant qui travaille bien à Kaya mérite d’être félicité.

Le représentant des parrains, Maître Bouba Yaguibou, a manifesté sa reconnaissance à tous les acteurs de l’éducation du village de Kaya qui ne ménagent aucun effort pour offrir une éducation de qualité aux enfants et à l’association qui est à sa première édition.

Le secrétaire général de la province du Nahouri, Emile Hien, a félicité l’association pour cette très belle initiative.

Aux acteurs de l’éducation dont les actions conjuguées contribuent à l’édification d’une éducation de qualité dans la province, M. Hien, les a encouragé à poursuivre dans cette lancée.

Pour la session de 2025, le village de Kaya a enregistré 95 % au CEP, 36 %au BEPC et 100 % au BAC.

Le PDG de Guidjara hôtel, B. Faïcal Addi et président de l’association initiatrice de cette journée d’excellente scolaire a remis 5 matelas, cinq lits d’hospitalisation et des chaises d’ accueil pour le CSPS de Kaya d’une valeur de 1600 000 francs CFA.

Les autorités coutumières ont béni la journée et les forces combattantes engagées sur les théâtres des opérations.

Cette première édition a été coparrainée par maître Bouba Yaguibou, ancien député maire de Pô et Jacques Songa président de REA Express.

Agence d’information du Burkina

HKO/HB/OO

Bam/Sabcé : Bissa Gold offre 400 tonnes de maïs aux propriétaires terriens expropriés du projet Ronghin

Bam/Sabcé : Bissa Gold offre 400 tonnes de maïs aux propriétaires terriens expropriés du projet Ronghin

Kongoussi, 19 nov. 2025 (AIB) – La société minière Bissa Gold SA a remis lundi à Sabcé 400 tonnes de maïs aux propriétaires terriens de Ronghin, expropriés dans le cadre de l’extension du projet aurifère Ronghin.

Les bénéficiaires sont principalement de Sabcé, de Ronghin, de Boussouma et tous ceux qui ont des terres agricoles dans la zone du projet.

Cette opération de don vise à compenser les ménages qui n’ont pas pu produire au cours de la campagne agricole 2025, en raison de l’indisponibilité de leurs terres désormais intégrées à la zone d’intervention de la mine.

Selon le représentant des relations communautaires de Bissa Gold, Rasmané Ouédraogo, 266 hectares sont concernés par les activités du projet. Cette situation a empêché les propriétaires terriens d’exercer leurs activités agricoles habituelles. « Nous leur avons demandé de ne pas cultiver cette année parce que le projet est très avancé. Et comme ils n’ont pas produit, nous avons décidé d’offrir une tonne de maïs par hectare concerné, en attendant leur indemnisation définitive », a-t-il expliqué. Il a ajouté que le surplus de plus de 130 tonnes représente un geste supplémentaire de la société pour encourager la collaboration des populations riveraines.

Parmi les bénéficiaires, Kouka Ouédraogo a exprimé sa satisfaction quant à ce soutien alimentaire. Pour lui, cette dotation marque le début d’un climat de confiance entre la mine et les communautés impactées. « La mine nous avait demandé de ne pas cultiver et nous avons obéi. Aujourd’hui, elle pense à nous en nous remettant des vivres pour compenser notre manque à gagner. Nous leur disons merci pour cette compassion », a-t-il déclaré.

Le haut-commissaire de la province du Bam, Karim Ouédraogo, a salué l’initiative de Bissa Gold, qu’il a qualifiée de geste d’apaisement et de responsabilité sociale . Il a encouragé les deux parties que sont la société minière et les populations à continuer de privilégier le dialogue, la concertation et la patience, afin de préserver un climat de coopération durable. Il a également invité les bénéficiaires à faire un usage rationnel du maïs reçu pour éviter de se retrouver en difficulté alimentaire avant la prochaine saison de production.

Pour mémoire, le projet Ronghin a été autorisé par le gouvernement burkinabè. Il vise à étendre les installations de Bissa Gold, filiale du groupe russe Nordgold, déjà très active dans la commune de Sabcé. Cette extension implique la récupération de terres agricoles, avec des mécanismes d’indemnisation et d’accompagnement.

Agence d’Information du Burkina
AR/ata

𝗖𝗥𝗜𝗦𝗘 𝗗𝗘 𝗖𝗛𝗘𝗙𝗙𝗘𝗥𝗜𝗘 A 𝗬𝗔𝗥𝗚𝗔𝗧𝗘𝗡𝗚𝗔 : 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮𝘂 𝗰𝗮𝗹𝗺𝗲 𝗲𝘁 à 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁é

𝗖𝗥𝗜𝗦𝗘 𝗗𝗘 𝗖𝗛𝗘𝗙𝗙𝗘𝗥𝗜𝗘 A 𝗬𝗔𝗥𝗚𝗔𝗧𝗘𝗡𝗚𝗔 : 𝗹𝗲 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗮𝘂 𝗰𝗮𝗹𝗺𝗲 𝗲𝘁 à 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁é

Le Ministre de la Sécurité, Mahamadou SANA, a rencontré dans la matinée du dimanche 23 novembre 2025 à Tenkodogo l’ensemble des chefs coutumiers du département de Yargatenga, dans la province du Koulpélogo (région du Nakambé). Cette rencontre fait suite à un affrontement survenu le samedi 8 novembre 2025 entre des jeunes issus d’une même grande famille dans la commune de Yargatenga.

Face à cette situation, le ministre SANA a rappelé les efforts déployés pour préserver la paix et permettre aux populations de poursuivre leurs activités en toute quiétude dans cette localité. Il a adressé un message de fermeté aux jeunes, insistant sur la nécessité d’ordre, de discipline et de responsabilité.

Il a souligné que de tels comportements ne sauraient être tolérés et qu’il n’est plus acceptable que des fils et filles d’une même nation s’affrontent.

Le Ministre de la Sécurité a également mis en garde les populations de Yargatenga que si de tels actes se répètent, le Gouvernement prendra les mesures nécessaires pour restaurer l’ordre, la discipline et l’autorité de l’État. Il a par ailleurs rappelé que le Burkina Faso n’a qu’un seul ennemi qui est le terrorisme.

Mahamadou SANA a exhorté les différentes parties à privilégier les mécanismes de dialogue, en s’appuyant sur les leaders religieux, coutumiers et communautaires pour résoudre la crise.

Selon lui, ces acteurs disposent des ressources nécessaires pour ramener la paix. Ce message a été bien accueilli par les populations et les chefs coutumiers présents.Ils se sont engagés à poursuivre les discussions et à organiser prochainement une journée de pardon et de réconciliation.

Le Ministre SANA s’est toutefois dit satisfait des engagements pris et convaincu que cette crise peut être résolue. Les autorités locales, les leaders communautaires et les jeunes ont réaffirmé leur détermination à trouver des solutions durables et définitives.

Enfin, Mahamadou SANA a réaffirmé la disponibilité du ministère de la Sécurité à accompagner les acteurs dans la résolution définitive de la crise.

DCRP – MSECU

Bam/Sabé : Le haut-commissaire constate la restauration du parc à résidus de Bissa Gold

Bam/Sabé : Le haut-commissaire constate la restauration du parc à résidus de Bissa Gold

Kongoussi, 19 nov. 2025 (AIB)-Le haut-commissaire du Bam, Karim Ouédraogo, a effectué lundi 17 novembre une visite de suivi sur le parc à résidus (TSF) de la mine de Bissa Gold, afin de s’assurer du respect des normes environnementales et des dispositions prises pour protéger les populations riveraines.

Accompagné du directeur provincial des Eaux et forêts du Bam, le commandant Mahamadou Zoungrana, du directeur provincial de la Police nationale, Kito Yaya Soulama, et du commandant adjoint de la brigade territoriale de gendarmerie, le haut-commissaire a été accueilli par le directeur Santé-Sécurité-Environnement de la mine, Paul Ouédraogo.

Ce dernier a présenté l’état d’avancement des travaux de restauration du parc à résidus, qui couvre une superficie totale de 208 hectares.

« Le premier parc a été rempli en 2021 et le reboisement a débuté en 2023. À ce jour, 90% des plants survivent et certains atteignent plus de 3 mètres », a-t-il indiqué.

Pour l’année 2025, ce sont 21 000 plants ont été mis en terre, avec un taux de survie estimé également à plus de 90%.

Les espèces utilisés sont des acacias, des prosopis et Des eucalyptus. Ils ont été choisies pour leur capacité d’adaptation et leur rôle dans la lutte contre la pollution.

La délégation a visité les zones reboisées en 2023 ainsi que celles de la campagne 2025. À l’issue de la visite, le directeur provincial des Eaux et forêts a salué les efforts de la mine dans la restauration du couvert végétal, tout en l’exhortant à poursuivre des reboisements à grande échelle sur toutes les surfaces déclassées.

Concernant la poussière, il a précisé que la mine procède régulièrement à l’arrosage des surfaces afin de limiter les nuisances, une opération qui a été constatée sur le terrain par la délégation.

Le haut-commissaire a encouragé les responsables de Bissa Gold à intensifier leurs actions en vue de restaurer pleinement le TSF et d’améliorer le cadre environnemental.

En rappel, plusieurs voix se sont élevées ces derniers mois pour dénoncer la gestion du parc à résidus par la mine, notamment lors d’une manifestation organisée en août dernier à Imiougou par des organisations citoyennes.
Agence d’Information du Burkina
AR/ata

Zoundwéogo : Le Chef de canton de Bindé appelle à l’unité et au pardon pour le développement de la commune

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Zoundwéogo : Le Chef de canton de Bindé appelle à l’unité et au pardon pour le développement de la commune

Bindé, 23 nov. 2025 (AIB) – Le Chef de canton de Bindé, Naaba Yanbolobo II, a exhorté ce samedi les fils et filles de la commune à renforcer leur cohésion et à se pardonner mutuellement afin de favoriser le développement local.

« Aujourd’hui, je prends l’engagement de pardonner ceux qui m’ont offensé, et je demande également pardon à ceux que j’ai blessés pendant mon intronisation », a-t-il affirmé avant d’inviter à bannir la division et à semer l’amour et la solidarité pour le rayonnement de Bindé.

Le chef du canton s’exprimait, samedi 22 novembre 2025, lors d’une conférence communale placée sous le thème : « Cohésion sociale, paix et développement de la commune de Bindé : quelles contributions des fils et filles ? ».
Initiée par la veille citoyenne, cette rencontre a regroupé des autorités administratives, coutumières et religieuses ainsi que de larges composantes de la population.

Les fils et filles des 31 villages de la commune, résidents comme ressortissants, ont répondu massivement à l’appel. La forte mobilisation et la qualité des interventions ont été saluées par les organisateurs, qui estiment que l’objectif de renforcer la cohésion locale est pleinement atteint.

« Au vu de la mobilisation et de la qualité des interventions, surtout celles venant des leaders, je suis très satisfait », a confié le Chargé de Mission, Thierry Wendpassamdé Nikièma.

selon lui, cette démarche s’inscrit dans une logique de consolidation de l’unité sociale : « Pour le développement, il faut d’abord être unis. Et pour être unis, il faut identifier et traiter les sujets qui divisent. Lorsque la cohésion est assurée, nous pouvons nous-mêmes développer notre localité ».

Dans son message, la présidente de la délégation spéciale de la commune de Bindé, Mamounata Congo, ainsi que plusieurs personnalités dont le Directeur général de la sécurité intérieure, Aboubacar Compaoré, ont salué l’initiative et encouragé la poursuite de ce cadre de dialogue.

Agence d’information du Burkina
BGB/yos

Boulgou/Excellence Scolaire : Plusieurs acteurs de l’éducation primés

Burkina-Boulgou-Excellence-Scolaire

Boulgou/Excellence Scolaire : Plusieurs acteurs de l’éducation primés

 Zonsé, 23 nov. 2025 (AIB) – La Journée de l’Excellence scolaire célébrée samedi à Zonsé a été marquée par une mobilisation exceptionnelle de la communauté, mais surtout par l’important lot de récompenses offert aux élèves, enseignants et établissements de la commune.

Au cœur de la cérémonie, un geste fort : une moto, 15 vélos, 19 ordinateurs, 10 tablettes, des kits scolaires, du matériel didactique, des rames de papier, du matériel de jardinage et de sonorisation, ainsi que des attestations de mérite ont été remis pour encourager le travail et l’engagement.

‎Placée sous le thème : « Excellence scolaire : levier d’émulation pour une éducation de qualité dans un contexte de défis sécuritaires », la cérémonie a rassemblé dans une ambiance festive autorités administratives, chefs de services, leaders coutumiers et religieux venus de Tenkodogo, Zonsé, Bagré, Zabré, Gon-Boussougou, Ziou et d’autres localités. Une forte délégation des fils et filles de Zonsé, conduite par l’honorable Issa Zampou, a également effectué le déplacement depuis Ouagadougou pour soutenir l’initiative.

‎Le DREPPNF Bourbila Pierre Silga a salué l’union et l’engagement des filles et fils de Zonsé.

‎« Ce genre d’événement nous rappelle que nous devons œuvrer ensemble, autorités, enseignants, élèves et parents, pour offrir aux enfants les meilleures conditions d’apprentissage. C’est l’unité qui fait la force », a-t-il souligné.

‎Le préfet, président de la délégation spéciale (PDS) de Zonsé, Wêndmini Frédéric Ouédraogo, a pour sa part insisté sur la nécessité de poursuivre la dynamique enclenchée. Selon lui, « l’éducation, la culture et la solidarité sont des valeurs qui nous unissent pour bâtir un avenir meilleur pour les enfants ».

‎Le parrain de la cérémonie, Noaga Damiba, a rappelé le rôle central de l’éducation dans le développement local.

‎« L’éducation est le pilier sur lequel repose tout progrès durable. C’est à travers l’engagement des jeunes dans de telles initiatives que nous bâtirons une commune forte et solidaire », a-t-il déclaré, saluant les efforts de sensibilisation en faveur de la scolarisation.

‎« La culture et l’éducation doivent aller de pair. Nous avons voulu soutenir cette activité qui célèbre l’école tout en valorisant nos traditions. C’est une fierté de voir que ce que nous avons semé porte aujourd’hui des fruits », a-t-il indiqué.

‎Le chef de la Circonscription d’Éducation de Base (CEB) de Zonsé, Tobouré Yigo, a exprimé sa gratitude à l’endroit des fils et filles de la localité.

‎« Plus qu’un devoir, c’est une nécessité de consacrer notre intelligence et nos ressources à l’éducation, qui demeure la pierre angulaire du développement », a-t-il confié.

‎La cérémonie s’est achevée par une dégustation de mets locaux, un moment de convivialité ayant permis aux participants de partager les richesses culinaires et culturelles de Zonsé.

‎Agence d’information du Burkina

‎AG/jpb/yos

Boulkiemdé : Les Nuits Atypiques célèbrent 30 ans de créativité et de résilience culturelle

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Boulkiemdé : Les Nuits Atypiques célèbrent 30 ans de créativité et de résilience culturelle

Koudougou, 22 nov. 2025 (AIB) – La 30ᵉ édition des Nuits Atypiques de Koudougou (NAK) a été officiellement lancée ce samedi sur le site du festival au secteur 10, par le ministre en charge de la Culture, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo.

Dans son allocution, le directeur du festival, Koudbi Koala, a rappelé le chemin parcouru depuis décembre 1996, saluant avec émotion la mémoire des collaborateurs et amis disparus qui ont contribué à bâtir les NAK.

Il a exprimé sa gratitude envers la troupe Saaba, initiatrice du projet, ainsi qu’envers sa famille pour son soutien constant. Il a également remercié la population de Koudougou, les partenaires, les parrains et l’État burkinabè pour leur appui indéfectible au fil des années.
Prenant la parole au nom du gouvernement, le ministre de la Culture, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo a salué un festival devenu « un véritable carrefour de rencontres, de créativité et d’expression artistique ».

A croire le ministre, les NAK, par leur constance et leur rayonnement, constituent désormais une référence dans le paysage culturel national. Il a félicité l’association Beneb Nooma pour « sa vision sur le long terme et son engagement indéfectible », avant de rendre un hommage appuyé à son fondateur, Koudbi Koala, « visionnaire dont la détermination a permis l’émergence d’une véritable institution culturelle ».

Le ministre a également souligné le soutien constant de l’État aux NAK, affirmant que la culture demeure « un pilier essentiel de la résilience collective et un moteur de l’émergence nationale ».
Il a salué la pertinence du thème de l’édition 2025, « Culture et valorisation des instruments traditionnels », qui s’inscrit dans la politique gouvernementale de protection et de transmission du patrimoine culturel.

Le parrain, El Hadj Moussa Kouanda, représenté par le professeur Moussa Sanogo, a rappelé le rôle des NAK comme symbole de fierté burkinabè et rendez-vous culturel incontournable pour le pays, la sous-région et au-delà. Il a adressé ses félicitations à Koudbi Koala, « bâtisseur infatigable », et formulé des bénédictions pour la longévité du festival, la paix, la cohésion sociale et la prospérité du Burkina Faso.

Il a également prié pour les Forces de défense et de sécurité, ainsi que pour les VDP, engagés dans la lutte pour la restauration de la paix nationale.

Pour cette édition anniversaire, les NAK attendent plus d’une trentaine de groupes venus du Burkina, du Togo, du Bénin et de la Côte d’Ivoire.
Le programme prévoit la Scène Relev’Art dédiée aux jeunes talents du 23 au 25 novembre, l’ouverture de la grande scène live le 26 novembre, ainsi qu’un village atypique de 300 stands, une table ronde sur l’impact du festival et un espace enfants « Kombi Zaka ».

Le ministre a déclaré ouverte la 30ᵉ édition, souhaitant « plein succès aux Nuits Atypiques de Koudougou » et exhortant les festivaliers à vivre pleinement la culture burkinabè.

Agence d’information du Burkina

FGB/pb/yos

Poni : Gaoua accueille le premier Festival « Cinéma solidaire » consacré à la paix et à la résilience

Burkina – Poni – Cinéma – Festival – Paix

Poni : Gaoua accueille le premier Festival « Cinéma solidaire » consacré à la paix et à la résilience

Gaoua, 22 nov. 2025 (AIB) – L’Association pour la promotion du cinéma (APCiné) a animé, samedi, un point de presse au Haut-commissariat du Poni pour présenter la première édition de son Festival dénommé « Cinéma solidaire », prévue du 27 au 30 novembre 2025 à Gaoua, sous le thème : « Cinéma, paix et résilience ».

Selon le comité d’organisation, cette initiative ambitionne de contribuer à la paix, à la cohésion sociale et au développement culturel par le biais du septième art. Durant les 72 heures du festival, plusieurs activités sont programmées notamment des projections de films, un ciné-débats, des ateliers d’initiation aux métiers du cinéma et une collecte de sang.

Les animations se tiendront sur divers sites, notamment le ciné Poni, la Place de la Révolution, le Centre d’écoute des jeunes et certains lycées de la ville.

La projection inaugurale mettra en avant Katanga, Étalon d’or du FESPACO 2025.

Les organisateurs ont invité la population de Gaoua et des environs, en particulier la jeunesse, à s’approprier l’événement, conçu comme un cadre d’apprentissage, de sensibilisation et d’épanouissement.

En rappel, l’APCiné est une jeune association créée par un groupe de jeunes amoureux du cinéma, sous le leadership de Albertine Da. Elle vise à promouvoir le cinéma dans la région du Djôrô à travers des projections de films, des formations et la promotion de jeunes talents.

Agence d’information du Burkina

MS/yos

Kuilsé/Maladies oculaires: Une campagne gratuite de dépistage et de chirurgie prévue du 1er au 8 décembre 2025

Kuilsé/Maladies oculaires: Une campagne gratuite de dépistage et de chirurgie prévue du 1er au 8 décembre 2025

Kaya, 22 nov. 2025(AIB)-« Une bonne vue impacte positivement une bonne qualité de vie », a affirmé le président de l’association Wend La Lafi, Dr Ahmed Malick Koama, invitant les populations des Kuilsés à participer massivement à la campagne gratuite de sensibilisation, de dépistage et de chirurgie sur les maladies oculaires, prévue du 1er au 8 décembre 2025 à Boussouma.

Agence d’information du Burkina (AIB): Vous avez récemment initié une campagne gratuite de sensibilisation et de dépistage des maladies oculaires. Qu’est-ce qui vous a motivé à lancer cette initiative ?

Dr Ahmed Malick Koama (AMK): En tant qu’acteurs de la santé communautaire, nous œuvrons depuis des années sous la bannière de l’association Wend La Lafi, dont l’un des objectifs majeurs est de promouvoir la santé communautaire, notamment en ce qui concerne les maladies oculaires. Nous intervenons dans le dépistage des maladies oculaires et la prise en charge par chirurgie des cas de cataracte. Bien entendu, depuis des années d’engagement en faveur de la santé communautaire, l’accompagnement de nos autorités sanitaires ne nous a jamais fait défaut.

(AIB): Comment le ministère de la Santé vous accompagne-t-il concrètement ?

AMK: Le ministère de la Santé nous accompagne à travers nos activités. En effet, nous avons une convention de partenariat avec ce ministère. Lorsque nous voulons mener nos activités, nous adressons une correspondance pour l’en informer. Nous avons toujours bénéficié d’un avis favorable du ministère et de son accompagnement technique via la direction de la prévention et du contrôle de la maladie, ainsi que le Centre national de lutte contre la cécité. Au niveau régional, nous bénéficions également de l’appui des différentes directions régionales des localités d’intervention.

Dr Ahmed Malick Koama, spécialiste en santé, sécurité et environnement, attaché de santé en ophtalmologie

AIB: Qu’en est-il exactement de la campagne gratuite de dépistage, de chirurgie de la cataracte et de sensibilisation programmée à Boussouma dans la région du Kuilsé, du 1er au 8 décembre 2025 ?

AMK: Pour cette campagne spécifique et comme à l’accoutumée, nous avons obtenu l’avis favorable et l’appui technique de la direction de la prévention et du contrôle de la maladie, ainsi que de la direction régionale de la santé dans le Kuilsé. Il faut noter que nous avons également l’appui du médecin-chef de district de Boussouma. Pendant une semaine, nous allons mener une campagne de sensibilisation, de dépistage et de chirurgie contre la cataracte se déroulera. Nous procéderons gratuitement à des consultations ophtalmologiques de manière générale. Cela signifie que toutes les maladies oculaires seront prises en compte. Les cas de cataracte seront répertoriés et leur prise en charge sera effective au Centre médical de Boussouma, avec l’appui de la direction régionale et du district sanitaire de Boussouma.

AIB: Êtes-vous satisfait des campagnes de dépistage gratuit que vous avez organisées depuis longtemps ? Autrement dit, y a-t-il une adhésion des populations à vos initiatives ?

AMK: Il faut dire que nous avons constaté qu’il existe un véritable besoin de soins oculaires au sein de la population. Cela implique une forte mobilisation des populations lors de nos campagnes. À chaque fois, nous découvrons, au cours des dépistages, des cas de glaucome en plus des cas de cataracte. Comme vous le savez, ces maladies oculaires nécessitent une prise en charge et un suivi dans des milieux spécialisés. Nous découvrons aussi des cas d’autres maladies oculaires chez les enfants, notamment des cas d’amétropie. Dans ces cas, nous corrigeons ces problèmes à l’aide de lunettes correctrices que nous proposons aux patients concernés. Ces lunettes parviennent à corriger la vue des enfants détectés.

Le personnel sanitaire du centre de santé communautaire sera à pied d’œuvre aux côtés de leurs collègues pour assurer la réussite de la campagne de Boussouma.

AIB: Justement, parlant des maladies oculaires chez les enfants, avez-vous un partenariat avec des établissements scolaires pour toucher ce public cible ?

AMK: Nous avons eu l’autorisation, par le passé, de mener des activités dans les établissements scolaires. Nous travaillons dans ce sens pour aider à améliorer la vue des enfants en milieu scolaire. Souvent, ce sont les enseignants qui alertent les parents sur les problèmes oculaires auxquels sont exposés les élèves. Nous agissons ainsi pour trouver des solutions adaptées, notamment par la correction de la vue. Notre souhait véritable est de disposer d’une fiche médicale pour chaque enfant afin d’assurer un suivi permanent. Nous devons faire l’acuité visuelle des enfants dès la rentrée pour que ceux qui ont des problèmes de vue puissent être pris en charge de manière adéquate.

 

AIB: Pourquoi avoir choisi Boussouma pour abriter cette campagne ?

AMK: En réalité, la campagne de dépistage et de sensibilisation a été initiée avec l’accompagnement d’une organisation non gouvernementale, à savoir Christian Service International, qui est basée à Boussouma. Cette ONG ne nous prive pas de son soutien dans nos initiatives de santé communautaire. Au contraire, elle agit en tout temps pour nous prêter main forte. Dès que nous avons été approchés par cette ONG pour cette campagne, nous avons marqué notre accord. Étant donné que, les années précédentes, nous avons mené une campagne identique, qui nous a permis de prendre en charge une centaine de patients, cette campagne actuelle est la suite logique de notre partenariat avec cette ONG. La campagne passée a permis de prendre en charge des patients de Boussouma ainsi que des localités environnantes. Notre approche vise à faire en sorte que les soins oculaires se rapprochent des populations. Ce ne sont pas forcément les populations qui doivent venir vers les centres de santé. Cela aide à prévenir de nombreuses maladies oculaires et participe à la santé des populations.

AIB: Quel message adressez-vous à vos partenaires ?

AMK: Nous saluons nos partenaires techniques et financiers en leur exprimant notre profonde gratitude pour cette noble initiative qui consiste à assister les populations en matière de santé oculaire. Les consultations et les chirurgies contre la cataracte sont gratuites, et ce grâce à l’appui de l’ONG Christian Service International. Nous saisissons cette opportunité pour lancer un appel aux populations de Ouagadougou, Ziniaré, Zorgho et d’autres localités à se mobiliser massivement pour prendre part à cette campagne gratuite, tant du point de vue des consultations que de la chirurgie. Ceux qui subiront la chirurgie contre la cataracte seront suivis sur place, au Centre médical de Boussouma, ou dans leur localité d’origine. Le suivi est essentiel après la chirurgie.

Le dépistage des yeux se fera à travers plusieurs tests.

AIB: Votre structure a-t-elle pris toutes les dispositions pour assurer la prise en charge adéquate des malades en cas de forte mobilisation des populations cibles ?

AMK: L’objectif est de susciter l’engouement des personnes pour la prévention et la prise en charge des maladies oculaires. Par conséquent, toutes les dispositions sont prises pour couvrir la forte demande des populations, avec l’appui technique de la direction régionale de la santé du Kuilsé. Nous avons une expérience en la matière, puisque nous organisons des séances de dépistage comme celle qui a eu lieu à la Place de la Nation à Ouagadougou. Les ressources humaines seront mobilisées au niveau central, régional et au sein du personnel sanitaire de l’association pour faire face efficacement à la situation.

AIB: Quel appel lancez-vous aux populations concernant la campagne ?

AMK: J’appelle les populations, sans discrimination aucune, à ne pas hésiter à prendre part à la campagne. C’est un véritable tremplin de soins pour la santé oculaire, avec à la clé la chirurgie contre la cataracte pour ceux qui en ont besoin.

AIB: Quelles sont vos perspectives après la campagne gratuite de dépistage et de sensibilisation ?

AMK: Nous allons mettre en œuvre cette campagne dans les mois à venir dans d’autres régions, toujours avec l’accompagnement des autorités sanitaires. En attendant, nous allons nous concentrer sur la présente campagne et, surtout, sur le suivi des patients avant de programmer d’autres campagnes similaires. Nous sommes ouverts à toute demande de dépistage et de sensibilisation émanant des populations qui expriment le besoin. La question de la santé oculaire étant notre sacerdoce. Comme nous l’avons dit plus haut, toutes nos actions sont, au préalable, soumises à l’autorisation et à l’accompagnement des autorités sanitaires.

AIB: Avez-vous un mot pour clore notre entretien ?

AMK: Je voudrais témoigner toute ma gratitude aux autorités sanitaires, notamment la direction de la prévention et du contrôle de la maladie, ainsi qu’au Centre national de lutte contre la cécité. Nos autorités sanitaires ont fait de la santé oculaire une de leurs priorités. En tant qu’acteurs d’associations, nous ne faisons qu’accompagner la dynamique déjà amorcée par nos autorités. Nous continuons de solliciter leur soutien pour aller vers les populations des régions où le besoin d’intervention se fait sentir. Nous souhaitons dépister les enfants dans les écoles les plus reculées et aider nos mamans dans les différents villages et régions du Burkina Faso. Une vie épanouie prend en compte la qualité de la vision. Une bonne vue impacte positivement une bonne qualité de vie. Nous témoignons également notre reconnaissance à Christian Service International pour son engagement constant en faveur de la santé oculaire au profit des populations. Nous espérons atteindre plus de 1000 personnes pour cette campagne spécifique, avec un objectif de 100 à 150 patients par jour.
Numéros utiles : 70895499 / 79417970 / 66211878
Agence d’information du Burkina
ES/ata

 

 

Djôrô : La CNAVC section Djôrô commémore en différé l’an 3 du MPSR II

Burkina – Djôrô – CNAVC – soutien – MPSR II

Djôrô : La CNAVC section Djôrô commémore en différé l’an 3 du MPSR II

Gaoua, 22 nov. 2025 (AIB) – La Coordination nationale de la vieille citoyenne (CNAVC), section Djôrô, a organisé une marche-meeting ce samedi pour commémorer l’an III du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR II) et réaffirmer son soutien au capitaine Ibrahim Traoré et à l’Alliance des États du Sahel (AES).

Partis de la place de la Nation de Gaoua, les manifestants ont rallié le monument Thomas Sankara avant de rejoindre le gouvernorat où un message a été remis aux autorités régionales.

Dans son discours, le président de la CNAVC section Djôrô, René Hien, a rendu un vibrant hommage au chef de l’État. Il a salué les efforts du capitaine Traoré pour avoir restauré la souveraineté, la sécurité et l’indépendance du Burkina Faso.

Il a exprimé sa gratitude envers les Forces de défense et de sécurité, les Volontaires pour la défense de la patrie et l’ensemble des martyrs de la nation.

« Les réformes engagées depuis trois ans par le MPSR II ont permis de renforcer les capacités opérationnelles de l’armée, d’affiner les stratégies sur le terrain et de redonner confiance au peuple », a-t-il affirmé.

La CNAV a également a salué les efforts du gouvernement pour reprendre le contrôle des ressources naturelles, notamment minières, et réduire la dette publique afin de relancer l’économie nationale.

Elle a cependant appelé à rester vigilants face à la désinformation et exhorte chaque citoyen à la discipline, au patriotisme et à la solidarité, tout en invitant particulièrement la jeunesse à se mobiliser pour relever les défis du moment.

« Personne ne viendra développer le Burkina à la place des Burkinabè », a-t-il conclu.

Représentant le gouverneur du Djôrô, le haut-commissaire du Poni, Bepampo Ouoba, a salué l’initiative de la CNAVC et la forte mobilisation de la jeunesse du Djôrô.

« Cet engagement constitue une source d’énergie inépuisable pour soutenir l’action des dirigeants. Le peuple est une source d’énergie intarissable dans notre marche radieuse vers un avenir meilleur », a-t-il indiqué.

Il a assuré que le message transmis sera relayé aux autorités compétentes et a encouragé les jeunes à poursuivre leur implication, notamment dans la mise en œuvre de l’initiative présidentielle Faso-Mêbo, déjà en cours dans la région.

Le haut-commissaire a conclu en félicitant les organisateurs pour leur mobilisation et leur sens du civisme.

Agence d’information du Burkina

MS/yos

 

 

 

 

 

Jeunesse et souveraineté : M. Bazié appelle à une transformation des mentalités

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Jeunesse et souveraineté : M. Bazié appelle à une transformation des mentalités

Bobo-Dioulasso, 22 nov. 2025 (AIB) –Le président de la commission de la Confédération nationale des États du Sahel (AES), Bassolma Bazié a encouragé samedi les jeunes à « décoloniser le mental » pour bâtir une communauté plus souveraine et consciente de ses propres réalités.

Les menaces les plus profondes ne proviennent pas seulement de ce que l’on consomme physiquement, mais de ce que l’on absorbe intellectuellement, a indiqué le président de la commission nationale de l’AES, Bassolma Bazié.

« Ce qui empoisonne, c’est aussi ce qu’on écoute et ce qu’on lit », a-t-il averti.

M.Bazié s’exprimait vendredi 22 novembre 2025 à Bobo-Dioulasso lors d’une conférence.

Le conférencier a insisté sur la nécessité de revoir les contenus scolaires afin de libérer les esprits des séquelles de la domination coloniale. Rappelant les conséquences de l’esclavage et des indépendances qualifiées de « formelles », il a souligné l’importance de « décoloniser le mental » pour consolider une société souveraine et lucide.

Dans sa communication, M. Bazié a invité la les jeunes à s’engager et à développer une culture solide afin de bâtir « une jeunesse de qualité ».

Abordant la gouvernance, M. Bazié a appelé à l’exemplarité dans l’administration publique. Selon lui, toute mission confiée par le chef de l’État doit être exécutée avec rigueur et loyauté.

Il a par ailleurs dénoncé la recherche d’intérêts personnels, qu’il considère contraire à la dynamique de rectitude et de patriotisme prônée par les autorités en place.

Agence d’information du Burkina

AB/yos

 

Bazèga : Un nouveau-né d’à peine une semaine retrouvé dans une forêt près de la ville

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Bazèga : Un nouveau-né d’à peine une semaine retrouvé dans une forêt près de la ville

Kombissiri, 22 novembre 2025 (AIB), Un nouveau-né de sexe masculin d’à peine une semaine a été retrouvé le matin du samedi 22 novembre 2025 dans les encablures de Kombissiri et transporté au centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) de la ville pour une prise en charge sanitaire, a constaté l’AIB.

Tout serait parti d’un coup de fil d’un élément des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) pour signaler le commissariat central de police de la ville de Kombissiri de la découverte d’un bébé aux environs de 6 heures 30 minutes, abandonné dans la forêt, côté ouest de leur poste de surveillance à la sortie nord de la ville.

Informés des éléments du commissariat central de police de Kombissiri, se sont rendus sur les lieux, accompagnés d’un agent de la santé et de deux agents du service de la famille et de l’enfant de la direction provinciale en charge de l’action sociale du Bazèga pour constater les faits.

C’est un bébé de sexe masculin né il y a à peine une semaine, vêtu, bien enveloppé dans un pagne bleu qu’ils découvrent sur les lieux avec quelques vêtements de nouveau-né juste à côté.

Le bébé est ensuite transporté au service de la pédiatrie du CMA aux environs de 8 heures 40 minutes sous la bienveillance de la police et des trois agents de la santé et de l’action sociale, pour une prise en charge sanitaire appropriée.

Selon les agents de santé du service de la pédiatrie, le bébé fort heureusement ne présente aucun soucis de santé. ‹‹ Après examen, le bébé a juste bénéficié́ de soins essentiels pour nouveau-né́ et alimenté au lait››, ont-ils précisé.

Après cette étape de prise en charge sanitaire et les démarches entreprises par la direction provinciale en charge de l’action sociale, le nourrisson a finalement été admis le même jour dans un centre d’accueil pour enfants en détresse (CAED) dans une autre ville où il recevra une prise en charge complète.
Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de cet acte et retrouver les éventuels parents.

Agence d’information du Burkina
TPT/yos

Sissili : Le gouverneur de Nando mise sur l’unité des forces vives pour renforcer la sécurité et relancer le développement

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Sissili : Le gouverneur de Nando mise sur l’unité des forces vives pour renforcer la sécurité et relancer le développement

Léo 22 nov. 2025 (AIB) – Pour sa toute première sortie officielle dans la Sissili, le gouverneur de la région de Nando, Adama Jean Yves Béré, a placé vendredi la cohésion sociale au cœur de son message appelant les forces vives de la Sissili à « faire bloc » pour consolider la paix et accélérer le développement provincial.

La salle de conférence de la mairie de Léo, comble ce samedi, a servi de cadre à la rencontre entre l’autorité régionale, les corps constitués et les représentants des différentes composantes sociales : jeunes, femmes, chefs coutumiers et leaders religieux.
Accueilli par le Haut-commissaire de la Sissili, Téwendé Isaac Sia, le gouverneur a rappelé que cette visite répond à un besoin de proximité avec les populations et les acteurs de terrain. Selon lui, « aucune politique de développement ne peut réussir si elle n’est pas bâtie sur un dialogue constant avec ceux qui vivent les réalités quotidiennes ».

Les échanges, francs et ouverts, ont mis en lumière les priorités des populations qui se résument entre autres à renforcement du dispositif sécuritaire, la réhabilitation des routes nationales N°13 et N°20 et au soutien accru à la production agropastorale, véritable pilier de l’économie locale.

Le coordonnateur des organisations de la société civile, Azizou Yago, a salué la démarche du gouverneur, qui selon lui, traduit une écoute réelle envers une province frontalière qui joue un rôle stratégique dans la région.
En réponse aux préoccupations soulevées, l’autorité régionale a salué la résilience des habitants de la Sissili. Il les a invités à poursuivre les efforts de solidarité autour des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), rappelant que « la sécurité n’est efficace que lorsque chacun s’y engage ».

Sur la question des infrastructures, le gouverneur, a indiqué que des plaidoyers sont déjà portés auprès des ministères concernés et que des réponses sont attendues dans les prochains mois.
Cette visite de prise de contact, placée sous le signe de l’unité et de la co-construction, s’est conclue par un engagement renouvelé des forces vives à soutenir les actions du gouvernorat, dans un contexte où la cohésion sociale apparaît plus que jamais comme un moteur essentiel de la stabilité et du développement.

Agence d’information du Burkina
BAN/yos

30e édition des Nuit Atypiques de Koudougou : le Ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO salue la vision de Koudbi KOALA, fondateur de l’association « Benebnooma » dont l’ambition a permis la naissance et la pérennité des NAKs

30e édition des Nuit Atypiques de Koudougou : le Ministre Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO salue la vision de Koudbi KOALA, fondateur de l’association « Benebnooma » dont l’ambition a permis la naissance et la pérennité des NAKs

Le Ministre de la Communication, de la Culture, de sArts et du Tourisme, Pingdwendé a lancé les activités de la 30e édition des Nuits Atypiques de Koudougou (NAKs) ce samedi 22 novembre 2025 dans la région de Nando.

Au cours cette cérémonie, le Ministre Pingdwendé a salué l’initiative de cet événement culturel et surtout la constance et la résilience du fondateur, Monsieur Koudbi KOALA qui, durant 30 ans a réussi l’organisation sans discontinué, de ce rendez-vous culturel majeur dans notre pays.

La présente édition des NAKs se tient du 22 au 30 novembre sous le thème <<Culture et valorisation des instruments traditionnels>>. Une thématique qui épouse la vision du Gouvernement actuel rappelée par le chef du département de la Culture, Pindgwendé Gilbert OUEDRAOGO : <<Nos instruments traditionnels ne sont pas de simples objets : ils incarnent l’âme de nos communautés, un langage universel de cohésion et de solidarité. Ils sont le miroir vivant de notre histoire et de notre identité>>.

DCRP-MCCAT

Sissili : Une Association veut promouvoir la lecture pour combattre l’ignorance

Burkina-Sissilli-Journée-Livre

Sissili : Une Association veut promouvoir la lecture pour combattre l’ignorance

Léo , 22 nov. 2025(AIB) – L’Association Lire à Léo (A2L) a organisé, les 21 et 22 novembre 2025 à Léo, la première édition des Journées du Livre et de la Lecture de Léo (J3L), pour promouvoir la lecture comme moyen de lutte contre l’ignorance.

« Le Burkina Faso est en guerre dans tous les domaines pour son indépendance et sa souveraineté. L’ennemi le plus dangereux est l’ignorance et l’arme la plus puissante pour la combattre est la lecture », a déclaré le promoteur Savadogo, justifiant ainsi le choix d’investir le front de l’éducation.

Cette première édition qui s’est tenu sur le thème « Livre et développement endogène » a été placée sous la présidence du Haut-Commissaire de la Sissili, Téwendé Isaac Sia et parrainée par le directeur provincial de l’enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique, Serge Lawabien Toé.

Au programme de ces deux jours, une conférence sur le thème de l’édition, animée par le professeur d’université et écrivain, le Dr Dramane Konaté, a été suivie de concours de lecture, de prestations artistiques en slam et en théâtre, interprétées par des élèves et des enseignants, devant un public nombreux.

Représentant le Haut-Commissaire, le président de la délégation spéciale de la commune de Léo, Kassoum Koalaga, a salué l’initiative de l’A2L. Il a exhorté les élèves à « s’investir dans la lecture pour garantir leur succès à l’école ». Le représentant du parrain a, pour sa part, réaffirmé son soutien à une activité qui « s’inscrit dans les objectifs de sa direction pour améliorer la qualité de l’enseignement ».

La première édition des J3L s’est achevée sur une note de satisfaction générale, avec un rendez-vous déjà pris pour une seconde édition en 2026.

Fondée en 2023 par le Centre d’études et de promotion de la lecture(CEPL), dirigé par le professeur des lycées et collèges Lassané Savadogo, l’Association Lire à Léo (A2L) inscrit son action dans un contexte national particulier.

Agence d’information du Burkina

BAN/yos

Des télévisions africaines appellent à un accès intégral aux 52 matchs de la CAN

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Des télévisions africaines appellent à un accès intégral aux 52 matchs de la CAN

Lomé, 22 novembre 2025 (AIB). Réunies ce samedi à Lomé, plusieurs chaînes de télévision nationales publiques et privées africaines ont exprimé leur désaccord face à la nouvelle politique de commercialisation des droits de retransmission de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2025, mise en place par la Confédération africaine de football (CAF).

Dans une déclaration dite “Déclaration de Lomé”, les chaînes de télévision nationales publiques et privées africaines dénoncent le modèle de commercialisation adopté par la CAF à travers son agent exclusif, New World TV, un modèle qu’elles jugent « inacceptable ». En effet, seules 32 des 52 rencontres de la compétition seraient accessibles aux chaînes qui assurent pourtant un service public gratuit.

Les responsables des chaînes signataires affirment qu’ils entendent garantir aux populations « l’accès intégral aux 52 matchs », rappelant que la CAN demeure un événement fédérateur, célébrant l’identité africaine et constituant un levier essentiel de cohésion sociale.

Ils soulignent que, contrairement aux événements de la FIFA ou de l’UEFA, la CAN est largement financée par les États africains et donc par les contribuables, à travers nitamment la prise en charge des équipes nationales, la construction ou réhabilitation des infrastructures, les équipements logistiques et sécuritaires, ainsi que le paiement des droits de retransmission par les chaînes publiques.

Dans ces conditions, imposer un modèle inspiré des standards européens « sans en adopter le modèle de financement » revient, selon eux, à « spolier les peuples africains », poussés à s’abonner à des chaînes privées ou étrangères pour suivre une compétition qu’ils ont déjà contribué à financer.

Les télévisions estiment que cette démarche porte atteinte à l’égalité d’accès à un bien commun et marginalise les couches sociales les plus vulnérables. Elles y voient également une remise en cause du rôle et des missions du service public audiovisuel.

Les chaînes appellent « solennellement » la CAF à revoir ce modèle inéquitable et demandent le rétablissement du principe d’accès universel à l’ensemble des matchs pour les télévisions nationales africaines offrant un service public gratuit.

Agence d’Infirmation du Burkina ( AIB)

Kadiogo : l’association Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus sensibilise environ 200 élèves du lycée de Zagtouli sur la santé mentale

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Kadiogo : l’association Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus sensibilise environ 200 élèves du lycée de Zagtouli sur la santé mentale

Ouagadougou, 22 novembre 2025 (AIB)-L’association Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus, à travers son club Santé mentale scolaire, a mené samedi une séance d’échanges directs avec les élèves du lycée de Zagtouli sur les enjeux de la santé mentale. Cette activité vise à sensibiliser, former et accompagner les élèves en vue de promouvoir le bien-être psychologique au sein de l’établissement.

Environ 200 élèves ont été initiés à la compréhension et à la gestion des émotions, du stress et de la dépression.

Plusieurs modules ont été dispensés, portant notamment sur la découverte de la santé mentale, la connaissance de soi, la gestion des émotions et l’estime de soi.

Pour Alain Ilboudo, élève en classe de terminale, cette formation est bénéfique pour les apprenants, surtout pour ceux des classes d’examen.

« Elle nous a permis d’être mentalement forts. Nous remercions le club Santé mentale scolaire pour ses actions », a-t-il confié.

Le représentant de la proviseure du lycée de Zagtouli, Omar Boulo, a salué cette initiative salutaire qui a permis aux élèves de mieux gérer leur stress, leurs émotions et leurs traumatismes, notamment parmi les élèves déplacés internes.

Selon Max Wilson Hombre, président de l’association, la santé mentale conditionne en grande partie la réussite scolaire.

« Pour un élève, gérer sa santé mentale commence par la maîtrise des émotions, la confiance en soi et l’estime de soi », a-t-il expliqué.

En perspective, le club Santé mentale scolaire prévoit la mise en place d’un réseau interscolaire d’élèves ambassadeurs du bien-être mental, indiquent les organisateurs.

Agence d’Information du Burkina
RK/ata

Kadiogo : l’artiste Iklass dévoile Teegré, son nouvel album de 9 titres

Kadiogo : l’artiste Iklass dévoile Teegré, son nouvel album de 9 titres

Ouagadougou, 21 novembre 2025 (AIB)-L’artiste musicien Iklass signe son retour sur la scène musicale burkinabè avec le lancement de Teegré, un nouvel album de neuf titres porteur d’un message de respect, d’amour et de paix. Chanté en mooré et en français, l’opus se veut une véritable invitation à l’unité et au vivre-ensemble.

« Teegré, c’est pour dire que Dieu est au milieu de tout dans ma vie. Je me remets à lui, et je le remercie pour ses bienfaits », a confié l’artiste. Iklass

Parmi les titres phares, « IB Traoré » rend hommage au Président du Faso, tandis que « Wakat » rappelle que « chaque chose a son temps ».

De son vrai nom Omar Zongo, Iklass réside en Allemagne, mais séjourne actuellement au Burkina Faso pour ses vacances. Il invite d’ailleurs ses fans et mélomanes à s’approprier les messages inspirants contenus dans Teegré.

Avec ce quatrième album, après celui de la troisième sorti en 2027, Iklass confirme une fois de plus sa volonté de contribuer à l’essor de la musique burkinabè sur la scène internationale.

Agence d’Information du Burkina
RK/ata

‎Initiative présidentielle Faso Mêbo : ‎ »Allons aux travaux », un concept qui allie études et construction de la Nation

‎Initiative présidentielle Faso Mêbo : ‎ »Allons aux travaux », un concept qui allie études et construction de la Nation

‎(Koudougou, 22 novembre 2025). La Présidence de l’Université Norbert-ZONGO en collaboration avec l’Initiative présidentielle Faso Mêbo a procédé ce samedi au lancement du concept « Allons aux travaux ».

‎Il s’agit d’organiser des séjours d’étudiants, d’enseignants-chercheurs et du personnel ATOS de l’Université Norbert-ZONGO sur les sites de Faso Mêbo afin de participer aux différents travaux dans la région du Nando.

‎La Présidente de l’Université Norbert-ZONGO, Pr Windkouni Haoua Eugénie MAÏGA a salué la forte mobilisation des étudiants pour participer à l’initiative « Allons aux travaux ».

‎C’est un concept que « nous avons suscité afin de répondre à l’appel de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État, à contribuer à Faso Mêbo en tant qu’Université », indique-t-elle.

‎Selon la Présidente de l’UNZ, l’Université, qui compte plus 40 000 personnes, a planifié sa participation active aux travaux de Faso Mêbo pendant quatre semaines. Et c’est l’Unité de Formation et de Recherche en Sciences économiques et de Gestion (UFR/SEG), première UFR de l’UNZ, qui a ouvert le bal avec plus de 1 000 étudiants.

‎Dans l’ordre et la discipline, les étudiants se sont repartis dans les différents ateliers pour la confection, le transport et la pose des pavés.
‎« Nous espérons que les étudiants des autres UFR ainsi que le personnel administratif et les enseignants vont répondre aussi nombreux », soutient Pr Windkouni Haoua Eugénie MAÏGA.

‎La coordination régionale de l’Initiative présidentielle Faso Mêbo a salué ce bel exemple de l’UNZ. « Cela démontre que les Burkinabè ont compris que nul ne viendra développer le Burkina Faso à leur place. Le fait que ce soit les étudiants, ça montre une fois de plus que le message du Camarade Président, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a été compris. Une jeunesse au service de sa Nation », souligne le Coordonnateur régional de Faso Mêbo du Nando, le Capitaine Ismaël Nathanaël NOMBRÉ.

‎Il a saisi l’occasion pour réitérer l’appel à tous les Burkinabè à contribuer à la mise en œuvre de l’Initiative présidentielle Faso Mêbo.

‎Le concept « Allons aux travaux » va se poursuivre durant les quatre prochaines semaines avec les autres UFR, l’Institut universitaire de technologie et les Écoles doctorales de l’UNZ.

‎Direction de la communication de la Présidence du Faso

Sanguié : des acteurs font le point sur le développement et la cohésion sociale

BURKINA-SANGUIE-DEVELOPPEMENT-LOCAL-COHESION-CCP

Sanguié : des acteurs font le point sur le développement et la cohésion sociale

Réo, 21 nov. 2025 (AIB) – La province du Sanguié a tenu vendredi sa quatrième session ordinaire du cadre de concertation provincial (CCP), consacrée au développement et la cohésion sociale.

L’objectif principal de cette rencontre était de faire le bilan des actions en cours, notamment celles visant à consolider la paix et à renforcer la cohésion sociale au bénéfice des populations.

Dans son discours d’ouverture, le haut-commissaire de la province, Talari Germaine Ouoba, a salué l’engagement des acteurs locaux. Elle a réaffirmé le rôle essentiel du CCP comme « espace privilégié d’échange et de coordination des actions de développement » et a encouragé une participation active et constructive de tous.

Mme Ouoba a également exprimé sa profonde gratitude envers le consortium Terre et Paix pour l’appui financier et technique qu’il apporte dans la mise en œuvre de projets provinciaux.

Selon le chargé des missions de cohésion sociale du consortium, Victor Koné, qui a présenté le bilan à mi-parcours, ce projet, initié en septembre 2024 pour une durée de 40 mois, a ciblé les communes de Kyon, Tenado et Pouni.

A l’en croire, les efforts du projet se concentrent sur le renforcement des mécanismes locaux de prévention et de gestion des conflits communautaires, l’amélioration de l’accès à la justice et, plus globalement, la consolidation de la cohésion sociale.

Les résultats tangibles, de ses dires, sont notables. Il s’agit de la création de six observatoires départementaux dédiés à la prévention et à la gestion des conflits ; la mise en place de l’Observatoire provincial du Sanguié ; l’accompagnement de 3 600 citoyens pour l’obtention de leur Carte Nationale d’Identité (CNIB) à un coût réduit, entre autres.

La session a également abordé la réglementation des manifestations sportives et de loisirs.

En effet, le directeur provincial en charge des sports, Jean-Pierre Ouedraogo, a présenté le cahier des charges applicable aux événements privés. Il a insisté sur la nécessité de respecter des démarches administratives rigoureuses pour garantir la sécurité et la conformité des organisations.

En clôturant la session, la Secrétaire générale de la province, Antoinette Ouédraogo, a réitéré les remerciements à l’ONG Terre et Paix, tout en appelant les participants à devenir des relais d’information efficaces auprès des populations pour faciliter l’application des nouvelles mesures réglementaires et pour assurer le succès des initiatives futures.

Agence d’information du Burkina

FGB/PB/yos

 

 

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