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Organisation du FESPACO : « Cette année, il y a eu une vraie symbiose entre mon ministère de tutelle et moi » (responsable)

Ouagadougou, 8 avril 2023 (AIB)- « Cette année, il n’y a pas eu de soucis (dans l’organisation du FESPACO) parce que tout simplement, il y a eu une vraie symbiose entre mon ministère de tutelle et moi » a indiqué vendredi, le délégué général du FESPACO Moussa Alex Sawadogo dans le quotidien public Sidwaya.

« Cette année, il n’y a pas eu de soucis parce que tout simplement, il y a eu une vraie symbiose entre mon ministère de tutelle et moi. Le projet artistique que je lui ai proposé pour cette 28e édition a été accepté » affirmé le délégué général du FESPACO Moussa Alex Sawadogo dans la parution du vendredi du quotidien public Sidwaya.

M. Sawadogo a souligné que son ministère de tutelle a rapidement compris ce qu’il voulait, c’est-à-dire les objectifs qu’il souhaitait atteindre, le caractère professionnel qu’il voulait donner au Festival et l’impact qu’il recherchait autour.

Le délégué général s’exprimait au cours d’une interview bilan parue ce vendredi dans le quotidien public Sidwaya.

L’interview a porté sur l’organisation de la 28ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou qui a eu lieu du 25 février au 4 mars 2023 sous le thème « Cinémas d’ Afrique et culture de la paix ».

Il a estimé que « la bonne collaboration, la bonne symbiose pour ne pas dire l’interaction » qui a existé entre son ministère et lui ont fait que son équipe et lui n’ont pas eu les « difficultés » comme lors de la précédente édition du FESPACO qui a eu lieu en 2021. « C’est comme cela que l’on devrait travailler », a-t-il fait savoir.

La précédente édition du FESPACO a été marquée par des incompréhensions entre la délégation générale et le ministère de tutelle. « Il y a deux ans, c’était juste une question de manque de symbiose entre mon ministère de tutelle et moi », a déclaré le DG.

Pour Moussa Alex Sawadogo, « à partir du moment où, (…) la délégation générale du FESPACO, durant (…) un an et demi, a travaillé sur la vision du FESPACO 2023, proposé un projet artistique et commencé à y travailler. En aucun cas, des hommes et des femmes ne devraient venir à moins d’un mois ou à deux semaines de l’ouverture du festival pour remettre en cause ce projet ».

Il a relevé qu’ « il n’y a pas eu de soucis majeurs. Le projet artistique a été accepté par mon ministère de tutelle. Pour ce qui est du chorégraphe Serge Aimé Coulibaly, il a postulé à notre appel d’offre et il a été retenu. Ce qui lui a permis de parachever ce qu’il a commencé il y a deux ans ».

Les spectacles d’ouverture et de clôture de la 28è édition du Fespaco ont été mis en scène par le chorégraphe burkinabè mondialement reconnu Serge Aimé Coulibaly, de même que ceux de la précédente édition.

« Il était question qu’au-delà du FESPACO, le monde regarde le Burkina comme un pays qui ne lâche pas, un pays créatif et qui continue à influencer positivement le monde du cinéma », a expliqué le délégué général Sawadogo.

Agence d’information du Burkina

WIS/ak

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