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BEPC-2024/ Gnagna : 454 admis au 1er tour

BEPC-2024/ Gnagna : 454 admis au 1er tour

Bogandé, 13 juin 2024 (AIB)- La province de la Gnagna a réalisé un taux de réussite de 28,97% soit 454 candidats admis aux résultats du premier tour du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC), session 2024, a appris l’AIB.

Les résultats du premier tour du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) ont été proclamés dans l’ensemble des 6 jurys que compte la province de la Gnagna, dans la region de l’Est. La province a enregistré ce mercredi 12 juin, 454 candidats déclarés admis soit un taux de succès de 28,97 %.

De sources concordantes, le jury Bogandé 2 a rencontré des soucis avec le logiciel SIGEC et a finalement proclamé les résultats dans la soirée du mercredi 12 juin.

Selon le Service des examens et concours de la Direction provinciale des enseignements post-primaire, 545 autres candidats sont autorisés à composer les épreuves du second tour de l’examen du BEPC, session 2024.

En rappel , dans la province de la Gnagna 1567 candidats ont effectivement pris part à l’examen du BEPC, session 2024.

Agence d’information du Burkina

Balé: Les populations invitées à ne pas consommer les poissons du barrage de Sipohin

Balé: Les populations invitées à ne pas consommer les poissons du barrage de Sipohin

Boromo,le 12 juin2024(AIB)-Dans un communiqué en date du 09 juin2024 dont une copie est parvenue à l’AIB, les autorités de la délégation spéciale de Bagassi dans la province des Balé ont invité les populations de Bagassi et environnants, à ne pas consommer les poissons du barrage de Sipohin.

Selon les termes du communiqué »il a été donné de constater une forte mortalité de poissons au barrage de Sipohin dans la matinée du samedi 08 juin 2024. »

Le communiqué précise que des investigations sont en cours pour déterminer les causes de cette mortalité.

En attendant les résultats, les autorités invitent les populations à éviter la consommation du poisson provenant du barrage de Sipohin.

Selon le témoignage d’un habitant du site, les premières pluies ont drainé de grands déchets dans le lit du barrage.Aussi les poissons morts sont de petites tailles, a indiqué la même source.

Une source administrative a précisé qu’une cellule de crise a été convoquée le lundi 10 juin 2024.
Le barrage de Sipohin est l’un des points d’eau important de la commune de Bagassi.
Obkiri MIEN
AIB-BALÉ NB photo d’archive et d’illustration

La SOGOB entend vulgariser la législation burkinabè sur l’interruption sécurisée de la grossesse

La SOGOB entend vulgariser la législation burkinabè sur l’interruption sécurisée de la grossesse

Ziniaré, 12 juin. 2024 (AIB)- La Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB) organise du 12 au 14 juin, à Ziniaré, un atelier pour mieux faire connaître la législation burkinabè sur l’interruption sécurisée de la grossesse et éviter les issues dramatiques des avortements provoqués clandestins.

« La législation sur l’interruption sécurisée de grossesse est méconnue par certains acteurs de la santé. Beaucoup de personnes victimes ne sont pas également au courant de cette loi » déclare Pr Charlemagne Ouédraogo, Président de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB).

Pour lui, la législation en vigueur au Burkina Faso qui autorise l’interruption sécurisée de grossesse n’est pas assez connue par les différents acteurs du domaine.

M. Ouédraogo s’exprimait mercredi, à Ziniaré, lors de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de formation de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina sur l’interruption sécurisée de la grossesse selon la loi (ISG/SL) en partenariat avec la Fédération internationale de gynécologie obstétrique (FIGO).

Cet atelier réunit durant 72 heures, les Ordres professionnels en santé et les Sociétés savantes en médecine et pharmacie afin de clarifier certaines valeurs.

« Une loi autorise l’interruption sécurisée de grossesse selon certaines conditions. Lorsque la femme est victime d’un viol, les cas d’inceste, lorsque nous sommes dans une situation ou la poursuite de la grossesse mettra en péril la vie de la mère et lorsque nous sommes en face d’une malformation incompatible avec la vie » explique Pr Charlemagne Ouédraogo.

L’issue de cette session permettra la diffusion des dispositions de la législation burkinabè sur les droits en santé sexuelle et reproductifs.

« La SOGOB s’est engagée auprès du ministère de la Santé pour faire en sorte que l’ensemble des acteurs puissent être informés afin que les personnes victimes puissent profiter de cette loi que le Burkina Faso met à leur disposition afin d’éviter les issues dramatiques des avortements provoqués clandestins » souligne le Président de la SOGOB.

La Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina est une société savante créée en 1992 en vue d’une meilleure participation des gynécologues obstétriciens dans la mise en œuvre de la politique sanitaire en matière de santé maternelle et infantile.

Agence d’information du Burkina

DS/ata

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Foot: Messi voit Miami comme son dernier club

Foot-Carrière-Messie

Foot: Messi voit Miami comme son dernier club

Ouagadougou 13juin 2024(AIB/AFP)-L’Argentin Lionel Messi, superstar du foot, a expliqué mercredi qu’il espérait terminer sa carrière à l’Inter Miami, sans donner d’échéance précise. »Oui, aujourd’hui je pense que ce sera mon dernier club », a répondu Messi lors d’une interview qui doit être diffusée mercredi sur ESPN.

Messi, qui fêtera ses 37 ans le 24 juin, est attendu avec l’Argentine tenante du titre comme la grande star de la Copa America, qui se déroulera du 20 juin au 14 juillet aux Etats-Unis.

« Je ne suis pas prêt à quitter le football », a ajouté l’octuple Ballon d’Or, sous contrat avec Miami jusqu’en 2025, après avoir rejoint la Floride en juillet 2023 en provenance du Paris SG.

« Quitter l’Europe pour venir ici a été une marche difficile à franchir. Mais le fait d’avoir été champion du monde m’a aidé à voir les choses différemment », a indiqué le vainqueur de la Coupe du monde 2022 au Qatar, qui n’a pas exclu de défendre son titre en 2026 lors de l’édition co-organisée par les Etats-Unis, le Mexique et le Canada.

« J’ai fait ça toute ma vie. J’aime jouer au ballon. J’aime l’entraînement, le quotidien, les matches. La fin de tout ça me fait un peu peur. »

Agence d’Information du Burkina

Burkina : 373 milliards seront investis en 2024 au profit de «projets spécifiques» dont des centrales

Burkina-Investissements

Burkina : 373 milliards seront investis en 2024 au profit de «projets spécifiques» dont des centrales

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le gouvernement burkinabè a décidé d’investir 373 139 550 866 FCFA en 2024, dans des «projets spécifiques» à travers des acquisitions de matériels et des réalisations d’infrastructures au profit d’une dizaine de ministères et institutions, selon le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi, consulté par l’AIB.

Parmi ces projets figurent la réalisation d’investissements et d’équipements au profit du Bureau national des Grands projets du Burkina Faso (BN-GPB), la réalisation de centrales et l’amélioration de l’accès à l’électricité et encore la réalisation d’infrastructures, de forages, d’aménagement hydroagricole, la fourniture de prestations intellectuelles ainsi que pour l’acquisition de semences et de plants, l’acquisition de matériels d’outillage et d’équipements industriels.
Figurent également dans la liste l’acquisition de logiciels, de matériels informatiques et la réalisation de plateformes, la construction et l’équipement de salles de classes, l’acquisition de vivres pour la cantine scolaire et de fournitures scolaires, etc.

Le financement de ces investissements «est assuré par le budget de l’Etat et les partenaires techniques et financiers», précise le compte rendu.

Agence d’Information du Burkina
CK/dnk

Tina Guthrie va désormais représenter le Canada au Burkina Faso

Tina Guthrie va désormais représenter le Canada au Burkina Faso

Ouagadougou, 12 juin 2024(AIB)-Le gouvernement a validé mercredi, la nomination de Tina Guthrie comme Ambassadrice Extraordinaire et Plénipotentiaire du Canada auprès du Burkina Faso, avec résidence Ouagadougou.

Mme Guthrie occupait précédemment, le poste de cheffe de la coopération à l’ambassade du Canada en Haïti.
Agence d’information du Burkina

Les 3000 carcasses de viande de l’Arabie saoudite offertes en priorité aux PDI

Les 3000 carcasses de viande de l’Arabie saoudite offertes en priorité aux PDI

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le Burkina Faso va servir les 3000 carcasses de mouton de sacrifice offertes par l’Arabie Saoudite, en priorité aux personnes déplacées internes et aux populations des zones à fort défi sécuritaire, selon le ministère de l’Action humanitaire.

Ce don de l’Arabie Saoudite sera reparti en mettant l’accent sur les zones à fort défis sécuritaire et à forte concentration de personnes déplacées internes, a indiqué hier mardi le Secrétaire général du ministère en charge de l’Action humanitaire, Romain Compaoré.

Pour M. Compaoré, ce geste va soulager un tant soit peu les bénéficiaires.

L’ambassadeur du Royaume saoudien au Burkina Faso, Fahad Aldosari, a remis à ouagadougou 32 tonnes de viande de mouton au profit des couches vulnérables.

«C’est la contribution de mon pays pour le Burkina Faso en ces temps de crise alimentaire que traverse le Burkina Faso», a déclaré le diplomate saoudien.

Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet de l’Arabie Saoudite visant à octroyer de la viande de sacrifice à des pays, par l’entremise de la Banque islamique de développement.
Agence d’information du Burkina
YS/ata/ck

Burkina : Le plan de stabilisation et de développement exécuté à 73,4% au titre de 2023

Burkina-Gouvernance-Bilan

Burkina : Le plan de stabilisation et de développement exécuté à 73,4% au titre de 2023

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le plan d’actions pour la stabilisation et le développement (PA-SD) du Burkina Faso, déroulé en 2023, a enregistré un taux d’exécution physique de 73,4% contre 63,3% en 2022, a annoncé le gouvernement, mercredi soir à Ouagadougou.

«En dépit du contexte difficile de mise en œuvre de l’action publique, le niveau global d’exécution physique de la tranche annuelle 2023 du Plan d’actions pour la stabilisation et le développement (PA-SD)» a expliqué Jean Emmanuel Ouédraogo, ministre d’Etat et porte-parole du gouvernement, dans le compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi.

La réorganisation de l’armée, le renforcement des effectifs des Forces de défense et de sécurité (FDS) et des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), l’accroissement en équipements des FDS, la réalisation des opérations de reconquête et la réinstallation des services de l’Etat et des populations dans plusieurs localités sont des acquis de la mise en œuvre du Plan.

La réalisation de contrôle et d’audits dans les ministères, les projets et programmes, la réalisation des infrastructures socio-économiques à travers les projets et programmes de stabilisation et de développement des économies locales font également partie des acquis cité dans le rapport du Conseil des ministres.

Ce bilan 2023 a identifié des insuffisances dans la mise en œuvre du
PA-SD. Il s’agit entre autres de la lenteur du rythme de mise en œuvre de certaines réformes dans le processus de refondation et de gouvernance, dans l’exécution de certaines infrastructures socioéconomiques et dans la sécurisation des investissements.

Le Plan d’Action pour la stabilisation et le développement du Burkina Faso est axé sur la sécurisation de l’ensemble du territoire national, la réponse urgente, efficace et efficiente à la crise humanitaire, la promotion de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, l’engagement des réformes politiques, administratives et institutionnelles en vue de renforcer la culture démocratique et consolider l’Etat de droit et enfin sur la réconciliation nationale et la cohésion sociale et l’organisation d’élections libres, transparentes et inclusives.

Agence d’Information du Burkina

Baccalauréat : L’ONI vole au secours des candidats ayant perdu leurs cartes d’identité

Baccalauréat : L’ONI vole au secours des candidats ayant perdu leurs cartes d’identité

Ouagadougou, 12 juin 2024(AIB)-L’Office nationale d’identification (ONI) compte délivrer rapidement des CNIB aux candidats au baccalauréat qui les ont égarées pour leur permettre de pouvoir composer, a appris l’AIB.

« L’ONI offre l’opportunité à nos candidats au BAC qui ont égaré leurs CNIB, à pouvoir les refaire sur place afin de leur permettre de composer en toute sérénité », a écrit dans la nuit de mercredi à jeudi, ministère de l’Education nationale sur sa page Facebook.

« Pour cela, ils doivent se présenter à l’antenne régionale avec un extrait de naissance et un document attestant qu’ils sont candidats au BAC 2024 ( certificat de scolarité, CIS…) », ajoute la même source.

L’examen du baccalauréat débute le 18 juin 2024 au Burkina Faso.
Agence d’information du Burkina

Les BRICS, un bloc destiné à être «la force motrice de la démocratisation de l’économie mondiale», ministre vénézuélien

Les BRICS, un bloc destiné à être «la force motrice de la démocratisation de l’économie mondiale», ministre vénézuélien

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB/Xinhua) – Le bloc des économies émergentes des BRICS est destiné à être « la force motrice de la démocratisation de l’économie mondiale », a déclaré mardi le ministre vénézuélien des Affaires étrangères Yvan Gil, cité par la presse vénézuélienne.

«Le Venezuela reconnaît dans les BRICS une graine qui pousse sainement et fortement pour avancer dans la construction d’un monde multicentrique et pluripolaire», a déclaré M. Gil en s’adressant au «Dialogue des ministres des Affaires étrangères des BRICS avec les pays en développement» (BRICS+) dans la ville russe de Nijni Novgorod.

Le Venezuela est prêt à rejoindre les BRICS élargis en tant que membre à part entière et à partager son expérience en matière de promotion de l’intégration latino-américaine, a-t-il déclaré.

Le Venezuela est prêt à contribuer à ce modèle d’intégration grâce à ses «vastes ressources naturelles», notamment l’une des plus grandes réserves de pétrole et de gaz au monde, a fait savoir M. Gil.

Le pays sud-américain est un «partenaire fiable, doté de la force et de la détermination politique nécessaires pour promouvoir un multilatéralisme inclusif» et «la défense du droit international», a-t-il ajouté.

Agence d’Information du Burkina

Burkina/Engrais : Le sac de 50 kg de l’urée et du NPKSB passe à 18 500 FCFA

Burkina-Subventions-Prix-Engrais-Coton

Burkina/Engrais : Le sac de 50 kg de l’urée et du NPKSB passe à 18 500 FCFA

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le prix du sac de 50 kg de l’urée chute de 27 700 FCFA à 18 500 FCFA et celui de NPKSB de 25 000 FCFA à 18500 FCFA au titre de la campagne cotonnière 2024/2025, a annoncé mercredi à Ouagadougou, l’Association interprofessionnelle du coton du Burkina (AICB) au cours d’une conférence de presse, rapporte la RTB.

«Les prix de cession d’engrais pour la culture du coton conventionnel sont révisés à la baisse et fixés comme suit. L’engrais composés NPKSB 18 500 F CFA le sac de 50kg à crédit, au lieu de 25 000 F CFA et l’azotés Urées à 18 500 F CFA le sac de 50kg à crédit, au lieu de 27 700 F CFA», a annoncé le Secrétaire général (SG) de l’Association interprofessionnelle du coton du Burkina (AICB), Ousseni Traoré.

Selon M. Traoré, comparativement à la campagne écoulée, les prix de cession à crédit des engrais révisés ont baissé de 34% pour le NPKSB et 42% pour l’Urée. Selon lui, ces prix ont été obtenus sur instruction du chef de l’Etat.

De son avis, cette baisse est rendue possible grâce aux efforts du gouvernement qui a octroyé une subvention 10, 979 milliards à la filière coton pour «l’aider à juguler un tant soit peu, la problématique de l’accessibilité des prix de cession des intrants agricoles aux producteurs de coton». Il a également ajouté que l’AICB a apporté une contribution à hauteur de 1,456 milliards de FCFA, soit un montant total de subvention de 12,435 milliards de F CFA.
M. Traoré qui a reconnu la disponibilité des engrais sur le marché a également remercié le gouvernement pour avoir «prêté une nouvelle fois une oreille attentive aux préoccupations des acteurs de la filière coton».

Pour lui, «des prix d’intrants accessibles» permettront aux producteurs de coton de produire « en quantité et en qualité pour booster l’économie du pays».
Agence d’information du Burkina
DNK

Niger : L’injure et la diffamation sur internet durement punies à nouveau

Niger-Diffamation-Injure-Internet-Sanctions

Niger : L’injure et la diffamation sur internet durement punies à nouveau

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – La diffamation au moyen de communication électronique est sanctionnée, au Niger, d’une peine d’emprisonnement de 1 à 3 ans et d’une amende de 1 à 3 millions FCFA tandis que l’injure proférée dans les mêmes conditions est punie d’une peine d’emprisonnement de 2 à 5 ans et d’une amende allant de 2 à 5 millions FCFA.
Ces nouvelles sanctions ont été introduites dans la loi portant répression de la cybercriminalité au Niger à travers une ordonnance du Général Abdourahamane Tiani signée le 7 juin dernier, explique l’agence nigérienne de presse.

La modification opérée par l’ordonnance présidentielle «vise d’une part à rétablir l’équilibre entre la liberté d’expression et la protection des droits individuels et d’autre part à préserver la tranquillité et la sécurité publiques», explique l’ANP.

Dans un communiqué relayé par cette agence, le ministre nigérien de la Justice et des droits de l’Homme, Garde des sceaux, Aliou Daouda, a appelé les citoyens à la vigilance et à la responsabilité dans l’utilisation des médias et des plateformes numériques.

«Les citoyens, les journalistes, les professionnels de la communication doivent respecter les droits de chacun, veiller à ne pas porter atteinte à la réputation et la dignité d’autrui et s’abstenir de diffuser des données de nature à porter atteinte à l’unité nationale ou à l’ordre public», a-t-il dit.

En outre la diffusion de données de nature à troubler l’ordre public ou à porter atteinte à la dignité humaine est punie d’une peine de prison de 2 à5 ans et d’une amende de 2 à 5 millions FCFA.

Dans le communique, le ministre en charge de la justice prévient que «des instructions fermes ont été données aux procureurs de la République» pour qu’ils poursuivent «sans faiblesse ni complaisance» les auteurs des infractions visées.

Jusqu’alors, la diffamation et les injures sur internet étaient sanctionnées par des amendes, les peines d’emprisonnement ayant été supprimées en 2022.
Agence d’Information du Burkina
CK/dnk

Ioba : Le petit séminaire Saint Tarsicius fait un taux de réussite de 100% au 1er tour du BEPC session 2024

Burkina-Ioba-Résultats-BEPC

Ioba : Le petit séminaire Saint Tarsicius fait un taux de réussite de 100% au 1er tour du BEPC session 2024

Dano, (AIB)- La province du Ioba obtient 30,99 % de succès au premier tour du BEPC session 2024, avec un taux de 100% pour le Petit Séminaire Saint Tarsicius.

Le Petit Séminaire Saint Tarsicius s’est démarqué des autres établissements de la province en réalisant un taux de réussite de 100% au 1er tour du BEPC session 2024, avec 26 candidats présentés à l’examen.
Si les résultats sont reluisants dans cet établissement, il en va autrement pour les autres lycées de la province du Ioba.

En effet, sur un nombre total de 2982 candidats dont 1454 garçons et de 1528 filles présentés à l’examen du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) session de 2024 dans le Ioba, 924 candidats composés de 538 garçons et 386 filles sont admis dès le premier tour, soit un taux de réussite de 30,99 %.

1322 candidats composés de 599 garçons et de 723 filles sont autorisés à composer les épreuves du second tour, prévues pour le vendredi 14 juin 2024
Agence d’information du Burkina
SZ/dnk/ata

Orano prévoit d’exploiter une nouvelle mine d’uranium au Niger

Orano prévoit d’exploiter une nouvelle mine d’uranium au Niger

ÉCONOMIE: NIGER-FRANCE-URANIUM

NAIROBI, 12 juin. /TASS/. La société française Orano se prépare à commencer l’exploitation de la plus grande mine d’uranium au Niger. C’est ce qu’a rapporté l’Agence France Presse (AFP) citant un représentant de la société.

La filiale d’Orano, « Imouraren SA a franchi un nouveau jalon dans la mise en exploitation du gisement d’Imouraren » avec « le lancement des travaux préparatoires » intervenu « récemment », a déclaré un porte-parole d’Orano cité par l’agence.

Selon l’AFP, l’exploitation de la mine commencera en 2028.

Actuellement, la mine de Somair, dans la région d’Arlit au nord du pays, est gérée par Orano au Niger. Une deuxième mine, Cominak, a été mise en sommeil en 2021.

Comme indiqué précédemment, le démarrage de la production de la mine de Somair, prévu pour début 2024, a été reporté en raison d’une pénurie de produits chimiques.

Bassolma Bazié a présidé la 36e session du conseil des ministres de tutelle de la prévoyance sociale interafricaine

Afrique-Prévoyance-Sociale-Session

Bassolma Bazié a présidé la 36e session du conseil des ministres de tutelle de la prévoyance sociale interafricaine

Ouagadougou, 12 juin 2024 (AIB) – Le ministre d’Etat, ministre en charge du Travail et de la Protection sociale, Bassolma Bazié, a présidé la 36e session ordinaire du Conseil des ministres de la Conférence interafricaine de la prévoyance sociale (CIPRES), tenue du 10 au 12 juin 2024 à l’hôtel intercontinentale de Genève, en marge de la Conférence de l’OIT.

A l’ouverture de la session qui regroupe des techniciens et des ministres en charge de la protection sociale, le ministre Bazié a demandé aux participants d’œuvrer à trouver des mécanismes et des financements innovants à même de remédier aux difficultés que connaissent les systèmes de protection sociale en Afrique en général et dans l’espace CIPRES (18 états membres) en particulier.
«Les dossiers qui nous sont soumis présentent des enjeux énormes pour la bonne marche et la survie de notre institution. A cet effet, j’invite mes confrères, ministres chargés de la tutelle technique de nos organismes de prévoyance sociale, à mener des échanges emprunts de courtoisie et sans passion dans le sens du bien commun », a révélé le ministre Bazié par ailleurs président en exercice de la CIPRES.

Douze points étaient inscrits à l’ordre du jour de cette session dont l’examen et l’adoption du compte rendu de la 35e session ordinaire du Conseil des ministres de tutelle de la prévoyance sociale, tenue le 15 décembre 2023, à Ouagadougou, de l’examen et adoption du rapport d’activités de l’exercice 2023 du Secrétaire exécutif, de la requête du ministre de la Santé publique et de la Prévention de la République du Tchad relative à l’inscription de la Caisse nationale d’assurance santé (CNAS) en qualité d’observateur dans le portefeuille de la CIPRES.

A cela s’ajoutent la désignation des représentants des banques centrales au sein de la Commission de surveillance de la prévoyance sociale, le renouvellement du mandat du Secrétaire exécutif, la revalorisation des avantages accordés aux membres des organes de la CIPRES, le point sur la situation des contributions des Etats membres au budget de la Conférence…

Selon le ministre Bazié, les idées retenues à l’issue de cette session aideront les Etats membres à prendre des décisions pour impacter positivement la vie des populations.

La CIPRES comprend le Burkina Faso, le Bénin, le Togo, le Mali, le Niger, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, la Guinée, le Tchad, le Cameroun, la Centrafrique, les Comores, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, la Guinée-Bissau, la RD Congo et Madagascar.
Agence d’Information du Burkina

CK/ata

Résultats du BEPC : 84,44% de réussite à Sebba

Burkina-Sebba-Education-Examens-BEPC-Resultats

Résultats du BEPC : 84,44% de réussite à Sebba

Sebba, 11 juin 2024 (AIB)-Le proviseur du lycée provincial de Sebba M. Laré, président du jury a proclamé les résultats du BEPC session de 2024 ce 11 juin 2024 dans la cour de la mairie avec un taux de réussite de 84,44%, a constaté l’AIB sur place.

C’est aux environs de 15 heures que les élèves accompagnés de leurs parents ont été invités dans la cour de la mairie pour la proclamation des résultats du BEPC session de 2024. Avant la proclamation, la délibération a eu lieu dans la salle de réunion en présence des examinateurs. L’attente a été longue pour les parents et leurs enfants.

Le président du jury a fait savoir qu’au total il y avait 45 inscrits dont 21 garçons et 24 filles. 17 garçons et 21 filles  sont admis au premier tour soit respectivement 80,95% et 87,5% soit au total 38 admis avec un pourcentage de 84,44%. 7 élèves dont 4 garcons et 3 filles sont allés au second tour.

Dans la cour, l’émotion était très forte pour la plupart. Pour Djénéba Diabaté qui a été admise « je suis très contente parce que j’avais abandonné il y a quelques années. Je me suis marié et pensais que c’était la meilleure solution pour moi. Cette année, mon mari et moi avons échangé et il m’a encouragé. J’ai expliqué à ma cousine qui m’a dit de ne pas rater cette chance. J’ai eu un encadrement et Dieu merci je suis rentrée. Je remercie tous les professeurs et félicitation à tous les autres admis ».

Les autorités lors de la proclamation des résultats

Le directeur provincial du secondaire monsieur Ouédraogo Somnoma a fait une mention spéciale à tous les professeurs qui, malgré les conditions de travail très difficiles ont mouillé le maillot et « nous voilà avec des résultats que nous allons découvrir ensemble. De même pour les FDS/VDP qui jour et nuit travaillent pour que la population reste tranquille ».

Il a remercié les parents pour leur accompagnement et a félicité tous les élèves. « Vivement que la paix revienne pour que toutes les classes puissent fonctionner l’année prochaine », a-t-il dit.

Le proviseur M. Laré nous a fait savoir qu’il a rencontré quelques problèmes, parmi lesquels le téléchargement des données et de mise à jour de ces données. « Le wifi a un débit très faible. Il n y a pas de courant en ville. L’installation solaire de la mairie ne donne pas assez de courant. J’ai essayé de demander la connexion chez certains partenaires mais cela n’a pas été facile. Nous souhaitons que les conditions de travail soient améliorées les années à venir », a-t-il souligné.
Agence d’information du Burkina
ama/as/ata

Rémunération des prestations spécifiques : le gouvernement abroge les décrets y relatifs pour corriger les abus

Rémunération des prestations spécifiques : le gouvernement abroge les décrets y relatifs pour corriger les abus

(Ouagadougou, 12 juin 2024). Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mercredi, l’hebdomadaire Conseil des ministres. Selon le ministre d’Etat, Porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel OUEDRAOGO, le Conseil a examiné plusieurs rapports et pris d’importantes décisions pour la bonne marche de la Nation.

Au titre du ministère de l’Economie, des Finances et de la Prospective, le Conseil a adopté un décret portant abrogation de deux décrets portant réglementation des rétributions des prestations spécifiques des agents de l’administration publique, et également portant réglementation des rétributions et des prestations spécifiques des magistrats.

Selon le ministre de l’Economie, des Finances et de la Prospective, Aboubakar NACANABO, les décrets pris en 2012 et 2016 respectivement pour le personnel de l’administration et pour les magistrats ont institué des rétributions dans le cadre des prestations spécifiques ne relevant pas des attributions courantes des agents. Au regard des abus, le gouvernement a décidé d’abroger ces décrets.

« Il y avait des prestations qui relevaient des attributions de statut qui étaient rémunérées à travers les rétributions prévues par le décret. Après analyse, il a été jugé nécessaire d’abroger le décret pour faire en sorte que les ressources publiques soient utilisées de façon judicieuse », a soutenu le ministre NACANABO. Il a précisé que des mesures seront prises pour les situations spécifiques.

Au titre du ministère du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises, plusieurs décrets ont été adoptés, parmi lesquels le décret portant encadrement de la rémunération des directeurs généraux des sociétés d’Etat et des Etablissements publics de prévoyance sociale, le projet de décret portant encadrement de la rémunération des personnels des sociétés d’Etat et des Etablissements publics de prévoyance sociale.

Ainsi, le gouvernement se donne un délai de six mois pour l’application du nouveau décret sur la rémunération des directeurs généraux. « En ce qui concerne le personnel, le Conseil a décidé, dans le souci de toujours contribuer au renforcement des acquis des travailleurs dans ces différentes structures, de donner une période transitoire d’un an pour le passage et la prise en compte des rémunérations du personnel dans le nouveau référentiel », a précisé le ministre en charge du Commerce, Serge Gnaniodem Poda.

Selon lui, l’adoption de ces décrets s’inscrit dans la suite des mesures fortes annoncées par le Chef de l’Etat visant l’encadrement de la rémunération du personnel dans les sociétés d’Etat et les Etablissements publics de prévoyance sociale.

« Le Chef de l’Etat a donné des instructions afin que les économies qui seront issues de l’adoption de ce nouveau référentiel de fixation des rémunérations au sein de ces entités puissent servir à investir dans la réalisation d’infrastructures sociales de base dans le secteur de la santé, de l’éducation, des enseignements au profit de la population burkinabè », a souligné le ministre en charge du commerce.

Pour le compte du ministère de l’Energie, des Mines et de Carrières, le Conseil a adopté un décret portant conditions d’autoproduction d’énergie renouvelable, modalités d’accès des auto-producteurs d’énergie renouvelable au réseau électrique et conditions de rachat de leurs excédents d’énergie.

Pour le ministre en charge de l’énergie, Yacouba Zabré GOUBA, l’adoption de ce décret va permettre de corriger un certain nombre d’insuffisances constatées sur les décrets de 2019 et de 2020 en apportant des mesures incitatives à l’effet de permettre aux auto-producteurs de pouvoir injecter leurs excédents d’énergie dans le réseau national interconnecté.

Direction de la communication de la Présidence du Faso

Ouagadougou : un incident de tir près du siège de la télévision publique

Ouagadougou : un incident de tir près du siège de la télévision publique

Ouagadougou, 12 juin 2024(AIB)-Un incident de tir a eu lieu mercredi après-midi, près de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB), a-t-on appris auprès de sources sécuritaires.

L’incident a fait quelques blessés rapidement pris en charge et des dégâts matériels, précisent les mêmes sources.
Agence d’information du Burkina

Gayéri/BEPC : 8 admis sur 34 candidats au premier tour

Gayéri/BEPC : 8 admis sur 34 candidats au premier tour

Gayéri, le 12 juin 2024 (AIB)-Les résultats du premier tour de l’examen du BEPC sont connus pour le centre de Gayéri. Huit candidats sont admis au premier tour tandis-que quinze (15) sont autorisés à composer pour le second tour qui se tiendra le vendredi 14 juin.

Depuis hier mardi 11 juin, les candidats au BEPC du centre de Gayéri attendaient impatiemment les résultats du premier tour de l’examen du BEPC.

Il a fallu garder leur patience en main jusqu’à ce matin du 12 juin 2024 aux environs de 8heures pour que le président du centre procède à la proclamation des résultats.

Sur un total de trente-quatre (34) présentés, huit (08) ont réussi au premier tour et quinze(15) autorisés à composer pour le second tour.

Avant la proclamation, le Président du centre Monsieur Ferdinand BAKOUAN a prodigué des conseils aux candidats en leur demandant de contrôler leurs joies et leurs émotions afin d’éviter tout incident malheureux après la proclamation des résultats.

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