Burkina-Presse-Revue

La réforme des examens et concours scolaires, en vedette dans les quotidiens burkinabè

Ouagadougou, 19 mars 2020 (AIB) – Les quotidiens burkinabè de ce vendredi commentent largement les réformes relatives aux examens et concours scolaires, au centre d’une conférence de presse animée la veille à Ouagadougou par les ministres en charge de l’éducation et de l’enseignement supérieur.

Le journal privé Le Quotidien reprend à sa Une les propos du ministre en charge de l’Education nationale, Stanislas Ouaro qui dit : «Pour l’année 2021, les seconds tours des examens du BEPC et du Bac ne seront pas supprimés contrairement à la rumeur qui circule».

A ce propos, le quotidien national Sidwaya rapporte que le gouvernement veut lever les incompréhensions autour des réformes en cours dans le système éducatif et qui suscitent des mouvements d’humeurs au sein des établissements scolaires.

Et le journal de relater que le ministère de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales (MENAPLN), Pr Stanislas Ouaro et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Pr Alkasoum Maïga ont co-animé, un point de presse hier jeudi.

A en croire Sidwaya, les échanges avec les journalistes ont porté sur les réformes dans leur département et particulièrement sur l’organisation du BEPC et du Baccalauréat, sujets actuels de polémiques.

De son côté, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, présente à sa Une l’image du ministre Ouaro et de son collègue Alkassoum Maïga, avec ce titre : «Reformes relatives aux examens et concours : Le second tour du Bac et du BEPC maintenu et le Bac aux mains du MENA (Ministère de l’Education nationale, Ndlr) en 2022».

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, se contente d’arborer : «Explication de textes avec les profs Ouaro et Maïga», là où Le Pays laisse lire : «Les autorités éducatives tentent de rassurer les candidats».

Le journal cité en second lieu, évoque aussi la crise au sein de la communauté musulmane, publiant le point de vue d’un citoyen qui revient sur la dernière sortie du président de la communauté musulmane, Abdoul Rasmané Sana.

L’auteur de l’écrit interroge le président Sana en ces termes: «Votre sortie médiatique ne viserait-elle pas à nourrir les desseins inavoués d’un groupe ?»

Le Pays, à travers sa rubrique ‘’Pôt-pouri’’ renseigne que dans la crise au sein de la communauté musulmane, un citoyen, «Oussénin Faïsal Nanema joue les médiateurs».

Agence d’information du Burkina

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