Burkina-Environnement
L’ Institut mondial pour la croissance verte compte soutenir le Burkina Faso
Ouagadougou, 05 avr. 2019(AIB)-L’Institut mondial pour la croissance verte a présenté vendredi, au Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré, les actions déjà menées par sa structure depuis l’adhésion du Burkina Faso en 2018, et examiné des perspectives.
« Il faut dire que l’Institut mondiale pour la croissance verte est une organisation inter-gouvernementale qui vise à promouvoir et à accompagner l’ensemble des pays en voie de développement afin de les accompagner dans la mise en œuvre d’un développement durable» a déclaré le ministre de l’Environnement Batio Bassière, à sa sortie d’audience avec le Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré.
M.Bassière a indiqué que l’objectif était de présenter au chef du gouvernement, les actions déjà menées par l’institut et quelles sont les perspectives en vue de l’accompagnement du Burkina Faso.
D’après lui, des actions plus concrètes sont déjà menées par l’institut à travers, l’accompagnement pour la mise en œuvre des éco-villages, l’accompagnement du Burkina Faso pour l’accréditation d’une entité nationale dédiée au fond de croissance verte et le renforcement des capacités pour l’élaboration de projets banquables.
«Cette visite de courtoisie que nous avons menée auprès de son excellence M. le Premier ministre a été l’occasion de le transmettre le message de son excellence M. Banki-Moon qui est le président et le conseiller de l’assemblée à GGGI et également de lui transmettre les encouragements du GGGI », a déclaré le représentant de l’Institut Mahamadou Tounkara.
Il a expliqué que les engagements internationaux à travers l’accord de Paris doivent se traduire par des actions concrètes et que ces actions concrètes vont demander de l’accompagnement, en terme de mobilisation des ressources, d’élaboration de politiques et de stratégies qui vont permettre d’accompagner le Burkina vers la transition verte.
M. Tounkara a indiqué que cette transitoire vers la croissance verte doit se faire non seulement dans les villes mais également dans les campagnes.
Agence d’information du Burkina
Bz/ata
Photo: Primature