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Journées nationales d’engagement patriotique : La Boucle du Mouhoun commence par une montée des couleurs

Dédougou, (AIB)-Le gouverneur de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga a lancé, le mardi 26 mars 2024 à Dédougou, les Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC).

C’est parti pour les premières Journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne (JEPPC) dans la Boucle du Mouhoun.

Le lancement est intervenu le mardi 26 mars 2024 à Dédougou. C’est le gouverneur de la région, Babo Pierre Bassinga qui a présidé la cérémonie, en présence des corps constitués et des forces vives de la région, tous habillés dans leurs tenues traditionnelles (Faso danfani et kôkôdonda).  Et ce, après avoir monté haut les couleurs nationales.

Plusieurs activités, a annoncé le gouverneur, vont meubler ces journées durant les deux semaines à venir.

Il s’agit entre autres, de journées de salubrité, des conférences publiques en vue d’expliquer les valeurs  prônées par la transition aux populations, des sketchs dans des établissements et des cadres pour promouvoir la consommation des mets locaux, qui selon lui,  sont propres et digestes.

M. Bassinga, à l’occasion, est revenu sur le message du Chef de l’Etat qui invite à des gestes simples, mais pleins de sens.

Il s’agit entre autres de planter un arbre à chaque évènement heureux, de contribuer à l’effort de paix, de s’engager comme Volontaire de la défense de la Patrie (VDP), de payer ses impôts et de consommer des mets et produits locaux.

Aux agents publics, il les a invités à accomplir consciencieusement leurs tâches.

« Nous allons œuvrer à ce que ces gestes soient appliqués dans la région. Ce sont des comportements qu’il faut travailler à préserver et à léguer aux générations futures », a laissé entendre le gouverneur.

Il a souhaité que chaque fils et fille de la région et du pays de se réinvente, amorce un nouveau départ et être plus exigeant vis-à-vis de lui-même avant de l’être pour les autres.

« Ni le hasard, ni la chance n’existe. Il n’y a que le travail qui existe et qui peut véritablement nous conduire vers de lendemains meilleurs et un futur de tous les possibles », a-t-il conclu.

Agence d’information du Burkina

AS/hb/bz

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