Burkina-Presse-Revue

Coopération Sino-burkinabè et contrôle des ambulances et autres véhicules à la Une des journaux

Ouagadougou, 23 sept. 2024 (AIB)- Les parutions de ce mardi font écho du communiqué de la commune de Ouagadougou soumettant les ambulanciers porteurs funéraires et autres véhicules à un contrôle policier et la rencontre entre les hommes d’affaires chinois et burkinabè.

« Coopération bilatérale, des hommes d’affaires chinois et burkinabè échangent avec le chef de l’Etat », affiche à sa Une, le quotidien d’Etat Sidwaya.
Selon le journal public, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a échangé le vendredi 20 septembre 2024 avec une délégation d’hommes d’affaires chinois et burkinabè sur les enjeux du renforcement de la coopération Chine-Burkina.

Le quotidien d’Etat précise que les hommes d’affaires des deux pays ont échangé le même jour sur des opportunités d’affaires, à l’occasion d’un forum sino-burkinabé, placé sous la présidence premier ministre, Apollinaire Kyelèm de Tambèla.

Dans la même veine, le doyen des quotidiens privés, L’Observateur Paalga, indique que l’objectif de cette rencontre est de permettre aux hommes d’affaires de nouer des partenariats pour booster l’investissement privé et par ricochet la croissance économique.

Pour sa part, le journal privé Le Pays, rapporte que selon le ministre en charge de l’Economie, Dr Aboubakar Nacanabo, la République populaire de Chine est un partenaire « fiable» pour son pays, car malgré l’insécurité, la Chine est restée aux côtés du Burkina.

Dans un autre registre, les journaux reviennent sur le communiqué de la délégation spéciale de la commune de Ouagadougou.
«Commune de Ouagadougou,  des véhicules autrefois exemptés désormais contrôlés », écrit Sidwaya à sa première page.

Selon le confrère, la commune de Ouagadougou, dans un communiqué du 20 septembre 2024, a annoncé que de nouvelles mesures de contrôle de véhicules jadis exemptés de contrôle policier seront désormais passés au peigne fin.

A propos, L’Observateur Paalga, précise que les véhicules concernés sont des ambulances et assimilés, des véhicules transportant des restes mortels, des véhicules de type fourgon blindé transportant des devises ou autres bien, des véhicules des mines et carrières, des véhicules de corps diplomatique etc.,
Et au doyen des quotidiens privés burkinabè de conclure que cette mesure vise à éviter « toute perfidie ».

Agence d’information du Burkina
YOS/no/zo/ata

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