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Burkina/Enseignement : le gouvernement veut éviter  le chevauchement des années académiques

Ouagadougou, 5 jan. 2022 (AIB)- Des efforts seront consentis pour éviter le chevauchement des années académiques dans les différentes universités publiques au Burkina Faso, a indiqué le porte-parole du gouvernement, AlKassoum Maïga, mercredi, à l’issue du conseil des ministres.

Le porte-parole du gouvernement, par ailleurs, ministre de l’Enseignement supérieur et de l’Innovation, AlKassoum Maïga, à l’issue du Conseil des ministres de ce mercredi  s’est dit  préoccupé par la question de chevauchement des années académiques dans les universités publiques.

« Chacun doit comprendre que c’est un problème préoccupant et qu’on doit se donner les moyens nécessaires pour résoudre la situation », a-t-il  confié.

Pour lui, l’Etat et ses différents acteurs travaillent à minimiser le retard dans les universités publiques.

D’après le ministre Maïga, l’Etat met tout en œuvre pour que le Burkina Faso soit un pays de référence, en matière d’enseignement dans la sous-région.

« Nous allons faire en sorte que l’année prochaine  des questions de chevauchement des années soient des préoccupations mineures », a-t-il renchéri.

A ses dires, les étudiants qui ont eu le bac (au cours des dernières sessions), au plus tard au mois de janvier, sont dans les amphis théâtres, toute chose qui, de son avis, prouve que des efforts ont été faits en la matière.

Pour  AlKassoum Maïga, des bacheliers ne sont pas orientés dans des filières ayant accumulées beaucoup de retard. C’est le cas de celle  des Sciences de la vie et de la terre (SVT).

Il a aussi rassuré les parents de la continuité de la poursuite des efforts de l’Etat  en faveur des étudiants des universités publiques tout en demandant la tolérance  des enseignants dans la programmation des matières.

Agence d’information du Burkina

OSY-CK/no/ak

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