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Ganzourgou : SOMISA offre des bourses d’études à deux  bacheliers de la commune de Boudry

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Ganzourgou : SOMISA offre des bourses d’études à deux  bacheliers de la commune de Boudry

Zorgho, (AIB)- Aminata Pitroipa et Abasse Wangraoua, deux jeunes bacheliers de la commune de Boudry ont signé une convention de bourses d’études avec la Société des mines de Sanbrado (SOMISA) le 25 septembre 2024.

Ce fut dans la salle de réunion de la mairie de Boudry, au cours d’une cérémonie présidée par le haut-commissaire de la province du Ganzourgou, Mme Aminata Sorgho/Gouba et en présence des autorités départementales de Boudry, des acteurs de l’éducation et des cadres de SOMISA.

Aminata Pitroipa et Abasse Wangraoua, admis au baccalauréat série D, session de 2024 avec des moyennes respectives de 13,58 et 12,71, ont été sélectionnés par SOMISA, parmi les dix meilleurs élèves des lycées de la commune de Boudry pour bénéficier d’une bourse d’études.

Leurs projets d’études ambitieux ont également séduit la société minière.

Les conventions signées garantissent à ces deux étudiants un accompagnement financier pour les trois premières années de leurs études supérieures, incluant le paiement des frais de scolarité et l’accès aux outils nécessaires.

Selon le directeur des relations communautaires de SOMISA, Assane Ouédraogo, ces bourses s’inscrivent dans le cadre d’un programme de bourses d’études destinées chaque année aux deux meilleurs bacheliers (une fille, un garçon) de la commune de Boudry.

Ce soutien vise à encourager l’excellence scolaire dans la commune et à favoriser la réussite académique.

La Partenaire d’affaires Ressources humaines senior de SOMISA, Aurélia Bassinga, a précisé les critères rigoureux pour bénéficier de ces bourses : être parmi les meilleurs élèves de la commune, présenter un dossier académique solide et un projet d’études réfléchi.

En plus de la prise en charge financière, les étudiants bénéficient d’une formation pratique adaptée à leur filière, incluant des stages au sein de la société à partir de la deuxième année, des formations en anglais, en art oratoire, en outils informatiques, ainsi que le permis de conduire.

Bien que les bourses ne garantissent pas un emploi à SOMISA, elles permettront, selon Assane Ouédraogo, de rendre les bénéficiaires compétents dans leurs domaines et employables partout où besoin sera.

Après la signature, chaque boursier a reçu un ordinateur portable équipé des logiciels spécifiques à leur domaine d’études, symbolisant le début d’une nouvelle étape dans leur parcours académique.

Le proviseur du lycée de Nédogo, Abdou Razako Sombougma, a salué cette initiative, la qualifiant de levier de promotion de l’excellence dans les établissements de la commune.

A travers ce programme de bourses lancé en 2022, quatre étudiants ont été bénéficiaires de l’accompagnement de la SOMISA.

Ces deux heureux lauréats viennent alors porter à 6 le nombre de boursiers de la commune de Boudry avec un investissement de la société estimé à plus de 30 millions de FCFA.

Pour Assane Ouédraogo, cette initiative va au-delà d’un simple soutien financier. « Nous croyons en l’éducation comme un levier fondamental pour le développement des communautés locales.

Nos bourses sont un investissement dans le potentiel de la jeunesse de Boudry. » a-t-il expliqué.

Le haut-commissaire Aminata Sorgho/Gouba a salué l’initiative de SOMISA et a félicité les lauréats.

Elle a plaidé pour l’extension du programme, en particulier pour la prise en charge de besoins supplémentaires comme le logement et l’alimentation.

L’un des bénéficiaires, Abasse Wangraoua, a exprimé sa gratitude et s’est engagé à exceller dans ses études de génie minier qu’il va poursuivre dans une université privée de Ouagadougou.

Il a incité ses camarades à viser l’excellence pour saisir de telles opportunités.
Agence d’information du Burkina
MS/dnk/ata

Burkina/Lutte contre le terrorisme « Un gros poisson » dans les filets des Forces combattantes

Burkina/Lutte contre le terrorisme « Un gros poisson » dans les filets des Forces combattantes

Ouagadougou, 12 oct. 2024 (AIB)-Les Forces combattantes ont interpellé le 10 octobre 2024, aux environs de Markoye, Adama Oumarou, un combattant et poseur de bombes de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS), lors d’une opération qui a permis de neutraliser une vingtaine de terroristes.

Fin de parcours du sieur Adama Oumarou, l’une des pièces maîtresses de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS), responsable de plusieurs attaques terroristes, de vols de bétail et de poses d’Engins Explosifs Improvisés (EEI), ayant fait des victimes dans les provinces du Séno, de l’Oudalan et du Yagha.

En effet, le 10 octobre 2024, aux environs de Markoye, les Forces combattantes ont mené une opération antiterroriste qui a permis de le neutraliser ainsi qu’une vingtaine d’autres terroristes et de récupérer une importante logistique.

Adama Oumarou a participé, le 20 février 2023, à l’attaque contre la population et le détachement de Tin-Akoff

Il faisait partie des assaillants qui ont tendu, le 11 janvier 2022, une embuscade contre une patrouille du détachement militaire de Markoye, dans le village de Tadarayat.

Un an plus tôt, soit le 18 février 2021, Adama Oumarou et d’autres terroristes de l’EIGS ont intercepté à Tadarayat (axe Markoye-Tokabangou) des camions qui avaient quitté Markoye pour le marché de Dolbèl au Niger. Neuf voyageurs y ont trouvé la mort et des véhicules ont été incendiés.

Natif de la commune de Markoye, engagé dans le terrorisme depuis cinq ans, Adama Oumarou est à la fois combattant et artificier.

Son intetpellation constitue une grosse prise pour les Forces combattantes qui poursuivent avec détermination leurs missions de reconquête du territoire national et de restauration de la paix partout au Burkina Faso.

Précisons que trois frères d’Adama Oumarou s’étaient également engagés dans des groupes terroristes.

Deux d’entre eux ont été neutralisés lors d’une opération à Tin-Zoubaraten, dans la commune de Markoye.

Agence d’Information du Burkina

Ganzourgou : La société SOMISA SA remet un moulin à grains, de kits de production et de tables et bancs à Pilaka

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Ganzourgou : La société SOMISA SA remet un moulin à grains, de kits de production et de tables et bancs à Pilaka

Zorgho, (AIB)- Le Haut-commissaire de la province du Ganzourgou, Mme Aminata Sorgho/Gouba, a présidé le 26 septembre 2024, dans le village de Pilaka, commune de Boudry, une cérémonie de remise de moulin à grains aux femmes, de kits aux jeunes formés en 2022, de bancs et de tables métalliques aux communautés. Organisée par le département des relations communautaires de la Société des Mines de Sanbrado (SOMISA SA), le don s’élève à 59 427 872 FCFA.

Cette donation témoigne de l’engagement de SOMISA SA pour le développement local et l’autonomisation des communautés. Le moulin à grains, composé de deux broyeurs, représente un véritable soulagement pour les femmes de Pilaka, qui pourront désormais alléger leur charge de travail et générer des revenus supplémentaires.

Le haut-commissaire du Ganzourgou, Mme Sorgho/Gouba, a salué cette initiative et l’a qualifiée de « symbole d’autonomie économique et de renforcement des capacités locales ». Pour elle, ce moulin facilitera non seulement la transformation des grains, mais aussi la création de nouvelles opportunités économiques pour les familles du village. Toutefois, elle a plaidé pour la construction de latrines au profit des femmes qui fréquenteront le moulin.

Outre le moulin, SOMISA SA a également investi 49 086 100 FCFA pour la formation et l’installation de 60 jeunes issus des villages impactés. Ces jeunes, formés en 2022 dans divers métiers tels que la maçonnerie, la soudure, l’électricité bâtiment et solaire et la mécanique-automobile, ont enfin reçu leurs kits professionnels, qu’ils attendaient depuis deux ans. Ces kits vont leur permettre de démarrer leurs activités professionnelles et de contribuer à l’économie locale.
Le représentant des jeunes formés, Harouna Dipama, a exprimé sa gratitude à SOMISA, tout en notant les défis rencontrés lors du processus d’acquisition des kits, causés par un prestataire défaillant. Il a salué la persévérance de SOMISA dans la résolution de ces difficultés.

Les bancs et tables métalliques, quant à eux, représentent un investissement de 2 347 500 FCFA et visent à améliorer le cadre de vie des populations réinstallées. Ces équipements sont destinés à créer des espaces communs plus fonctionnels et confortables dans les villages. Ils jouent un rôle crucial dans la dynamisation de la vie communautaire, offrant aux habitants un meilleur environnement pour leurs activités sociales et économiques.

Le directeur des relations communautaires de SOMISA, Assane Ouédraogo, a insisté sur l’importance de la cohésion sociale dans le cadre de cette initiative. « La cohésion sociale est au cœur de notre mission. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir plus prospère pour nos communautés », a-t-il affirmé. Il a exhorté les femmes et les jeunes à utiliser ces outils de manière judicieuse et exemplaire.
La représentante des associations des femmes bénéficiaires, Salamata Alice Rouamba, a exprimé sa gratitude pour les formations et l’équipement reçu. Elle a fondé l’espoir que SOMISA poursuive dans cette voie, en multipliant les opportunités pour les femmes de la commune. « Ces équipements sont un moyen pour nous de prendre soin de nos familles », a-t-elle déclaré.

Le représentant des communautés réinstallées a également tenu à remercier SOMISA pour les bancs et tables métalliques, qui contribueront à améliorer leur quotidien. Il a émis le souhait de voir la société continuer à soutenir les villages pour renforcer encore plus leur autonomie.
La cérémonie de remise de clés du moulin et des kits à Pilaka marque un nouveau départ pour les bénéficiaires. Grâce à ces initiatives, SOMISA SA contribue activement à l’amélioration des conditions de vie des femmes, des jeunes et des communautés, tout en renforçant la cohésion sociale et le développement économique local.

Agence d’information du Burkina
MS/dnk/ata

Burkina: Des étudiants créent des clubs OPUIS pour le développement de l’Afrique

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Burkina: Des étudiants créent des clubs OPUIS pour le développement de l’Afrique

Ouagadougou, le 12 oct. 2024(AIB)- Des étudiants de l’Observatoire panafricain pour l’unité, l’intégrité et la souveraineté (OPUIS), ont mis en place samedi à Ouagadougou, des clubs pour rassembler la jeunesse au tour du développement du Burkina Faso et de l’Afrique en général, a constaté l’AIB sur place.

« Ces clubs sont mis en places pour former la jeunesse à s’investir pour la construction de notre nation et du continent africain », a déclaré la présidente des clubs OPUIS, Samiratou Tiendrebéogo.

La présidente des clubs, Samiratou Tiendrebéogo s’exprimait samedi, à Ouagadougou, lors de la cérémonie de lancement des clubs de l’Observatoire.

Cette cérémonie s’est tenue sous le thème : « Le leadership des jeunes pour un impact au sein de la communauté ».

A en croire la présidente, les clubs vont commencer leurs premières activités dans les jours à venir.

Le conférencier, Clément Zongo, parlant du thème de la rencontre, a indiqué qu’il s’agit de rappeler aux jeunes le rôle et la fonction du leader afin de les engager à agir efficacement dans leurs actions de développement.

« La création des clubs OPUIS répond au besoin d’instruire les jeunes et de les former pour qu’ils comprennent la nécessité de développer leur pays », a-t-il ajouté.

Selon lui, au sortir de cette activité, les membres des clubs seront plus motivés à agir pour une transformation profonde du Burkina Faso et de l’Afrique en général.

En rappel, OPUIS est une organisation portée par des jeunes africains, pour leurs développements et leurs épanouissements.
Agence d’information du Burkina
AB/NO/AS

Plus de 500 000 tonnes de produits agricoles attendus dans la région du Nord

Plus de 500 000 tonnes de produits agricoles attendus dans la région du Nord

Ouahigouya, 12 oct. 2024 (AIB)-Une délégation des autorités, conduite par le gouverneur de la région du Nord, Issouf Ouédraogo, a visité, le vendredi 11 octobre 2024, deux sites de production agricole dans la commune de Ouahigouya. Une occasion pour l’autorité régionale d’encourager l’ensemble des acteurs pour les résultats obtenus.

L’offensive agropastorale et halieutique est une initiative lancée par le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré, pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, une préoccupation de tous les Burkinabè.

C’est dans ce cadre qu’une forte délégation, composée du directeur régional, du directeur provincial de l’agriculture, du Haut-commissaire de la province du Yatenga et du président de la délégation spéciale (PDS) de la commune de Ouahigouya, conduite par le gouverneur de la région du Nord, est allée s’imprégner des réalités de l’offensive agropastorale et halieutique 2023-2025 sur des sites de production, ce 11 octobre, dans le village de Tougzagué.

Situé à 2 km du centre-ville, au secteur 13 de Ouahigouya, le bas-fond rizicole et le site de production de maïs, de sorgho et de mil couvrent une superficie totale de 100 hectares.

Sur ce site, 70 ha sont aménagés pour la production du riz, 15 ha pour le maïs, 6 ha pour le sorgho, 4 ha pour le mil et 5 ha pour d’autres cultures telles que l’arachide, le niébé et le gombo.

Bientôt la moisson, et avec l’appui technique de l’État et de ses partenaires, la joie se lit sur les visages des producteurs et des autorités après la visite de ce 11 octobre 2024.

Selon les prévisions, l’autosuffisance alimentaire par la production agricole sera une réalité au Burkina Faso.

Le gouverneur de la région du Nord, Issouf Ouédraogo a apprécié la sortie.

« Notre sortie vise à constater l’effectivité de l’offensive agropastorale et halieutique dans la région. Nous sommes vraiment satisfaits des résultats, qui sont prometteurs.

Nous remercions l’ensemble des acteurs pour ces résultats et nous les rassurons du soutien des plus hautes autorités du pays, qui ont pris l’engagement de parvenir à la souveraineté alimentaire grâce à cette initiative.

Le Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré, met l’accent sur l’agriculture pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, et je suis convaincu qu’avec ce que nous avons vu, cela sera une réalité au Burkina Faso. »

Le directeur régional en charge de l’agriculture et des ressources animales et halieutiques du Nord, Alexis Constantin Toé, se dit très satisfait de l’évolution de la campagne agricole dans la région.

Selon lui, dans le cadre de l’offensive agropastorale et halieutique, les producteurs ont bénéficié d’un accompagnement de l’État et de ses partenaires. Beaucoup d’intrants ont été remis aux producteurs, et chaque commune a reçu un tracteur.

Plus de 4 000 ha de terres ont été labourés gratuitement au profit des producteurs de la région.

M. Toé a indiqué qu’au regard de la bonne pluviométrie jusqu’à cette date, la campagne agricole présage de bons résultats.

« Nous sommes convaincus de l’atteinte des résultats escomptés. Au total, 553 000 tonnes de produits agricoles sont attendues pour cette campagne dans la région. »

Tiadiani Savadogo, secrétaire général de la coopérative Yaolm-Néré de production de riz de Pella, exprimait sa joie.

Pour lui, grâce au soutien des autorités, la moisson s’annonce bonne. Sur le site du bas-fond rizicole du secteur 13, M. Savadogo espère récolter environ 280 tonnes de riz PADI pour la campagne.

« Nous sommes très contents de revoir M. le gouverneur sur ce site. Je remercie les autorités pour l’initiative. À l’heure actuelle, nous pouvons vous rassurer que la campagne agricole s’est bien déroulée. Dans quelques semaines, ce sera les récoltes et nous espérons atteindre les objectifs visés. »

C’est dans une bonne ambiance, avec les producteurs, partenaires et services techniques, que la visite a pris fin. M. le gouverneur a invité tout le monde à faire confiance à la vision des autorités et à soutenir nos forces combattantes jusqu’à la victoire finale contre le terrorisme.

Agence d’Information du Burkina 

BB/ata

Tuy/Excellence à l’école primaire : Les meilleurs élèves et enseignants récompensés

Tuy/Excellence à l’école primaire : Les meilleurs élèves et enseignants récompensés

Houndé, 10 oct. 2024 (AIB)-La direction provinciale de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) du Tuy a récompensé, le mardi 8 octobre 2024 à Houndé, ses enseignants et élèves qui se sont distingués par leurs résultats au cours de l’année scolaire 2023-2024.

Les acteurs de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle du Tuy ont célébré l’excellence scolaire provinciale le mardi 8 octobre 2024 sous le thème « Résilience et excellence : défis de la communauté éducative du Tuy ».

La cérémonie a été co-parrainée par le directeur général de Houndé Gold Operation (HGO) et la directrice générale de l’accès à l’éducation formelle.

À cette occasion, 3 auditeurs du préscolaire, 2 apprenants du non formel, 25 élèves et 21 enseignants du primaire, un animateur, un opérateur en alphabétisation et 3 circonscriptions d’éducation de base ont vu leurs efforts récompensés.

Les élèves Gnidé Djamilatou Traoré de l’école de Lokihoun et Serge Judicaël Palé de l’école de Koumbia D ont été distingués meilleurs élèves au CEP avec respectivement 9,35 et 9,18 de moyenne.

Ils ont été récompensés chacun avec un vélo et un kit scolaire.

Le prix du meilleur enseignant ayant présenté au moins 100 élèves au CEP est revenu à Dramane Millogo et Namawira Do de l’école de Kouloho, qui ont réalisé un taux de succès de 93,39 %.

Pour avoir obtenu un taux de réussite de 100 %, Auguste Ouédraogo et Abrahima Sawadogo de l’école de Founzan B se sont vus décerner le prix du meilleur enseignant ayant présenté 75 à 99 candidats au CEP.

Pour la qualité de leur travail, chaque binôme a bénéficié d’une moto, d’un ordinateur portable et de certificats de mérite.

Selon le directeur provincial de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle (DPEPPNF) du Tuy, Ladji Ouattara, le taux de succès à l’examen du CEP de la province est passé de 65,03 % à 79,40 % à la session de 2024.

Il a félicité les lauréats et les enseignants qui ont permis d’obtenir ces résultats.

Le DPEPPNF a également remercié les Forces de Défense et de Sécurité ainsi que les partenaires pour leur accompagnement, qui a permis de relever le défi de l’organisation des examens.

Le représentant du directeur général de HGO, Nassé Ouédraogo, qui a prononcé le discours des parrains, a félicité la DPEPPNF/Tuy pour avoir organisé cette édition.

Il s’est dit satisfait des « brillants résultats » réalisés par les lauréats. Nassé Ouédraogo a exhorté les élèves à cultiver toujours et partout l’esprit de l’excellence.

Il a par ailleurs salué le courage, l’engagement et la résilience des enseignants à vaincre l’analphabétisme malgré des conditions de travail difficiles.

Pour sa part, le directeur régional de l’éducation préscolaire, primaire et non formelle des Hauts-Bassins, Soilliou Karantao, a invité la communauté éducative de la région, et particulièrement celle du Tuy, à soutenir les enseignants sur le terrain afin de rehausser davantage le niveau de l’éducation dans les Hauts-Bassins.

Le haut-commissaire du Tuy, Issiaka Segda, qui a présidé la cérémonie, a remercié la communauté éducative qui contribue à repousser les frontières de l’ignorance dans la province et a souhaité que cette journée inspire toujours les lauréats dans leur cursus scolaire.

Agence d’Information du Burkina 

Babou Eric BAZIE (AIB/Tuy)

Kourweogo/Education : Hyacinthe Ki prend les rênes de la direction provinciale en charge de l’Education

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Kourweogo/Education : Hyacinthe Ki prend les rênes de la direction provinciale en charge de l’Education

Boussé, (AIB)-Le haut-commissaire de la province du Kourweogo, Siaka Barro, a officiellement installé, le 11 octobre 2024, le directeur provincial de l’Education préscolaire, primaire et non formelle du Kourwéogo. C’était en présence des corps constitués de la région.

Nommé en conseil des ministres du 02 octobre 2024, Hyacinthe Ki, prend les reines de la direction provinciale de l’éducation préscolaire, primaire et du non formelle du Kourwéogo.

Il remplace à ce poste Sié Palé, promu au poste de directeur régional en charge de l’Education primaire du Sud-Ouest.

Le chef du personnel de la direction provincial en charge de l’Education primaire, Hamidou Sidibé, a témoigné sa reconnaissance au directeur sortant pour son esprit de collaboration, sa disponibilité et sa capacité d’écoute.

Il a ensuite noté que la province a enregistré sous sa direction un taux de succès de 86,40 % au CEP session de 2024, hissant ainsi la province au premier rang dans la région.

M. Sidibé l’a félicité pour sa nomination et a souhaité la bienvenue au directeur entrant tout en l’assurant de la disponibilité du personnel à se battre à ses côtés pour le rayonnement de la province sur le plan de l’éducation.

Le directeur entrant Hyacinthe KI, a d’abord manifesté sa reconnaissance à tous ceux qui ont cru en lui, en le portant à ce niveau de responsabilité.

Tout en promettant d’être à la hauteur de la tâche qui lui est confiée, il a souhaité l’accompagnement de l’ensemble des partenaires sociaux et des acteurs du système éducatif de son ressort.

Le directeur sortant a fait un bref bilan de son passage dans la province.

Sié Palé, a cité entre autres, l’amélioration du taux de succès aux examens scolaires et professionnels, la relance des compétitions sportives et de l’excellence provinciale, le soutien à la scolarisation de 414 élèves déplacés internes et enfants vulnérables.

M. Ki, a rendu un vibrant hommage à ses collaborateurs, aux partenaires sociaux et à sa hiérarchie, pour leur accompagnement dans l’atteinte de ses objectifs.

En termes de défis, Hyacinthe Ki, a relevé la lutte pour la diminution du taux de déperdition scolaire.

Le haut-commissaire de la province du Kourweogo, Siaka Barro, a traduit sa reconnaissance à M. Palé pour le travail abattu au profit des populations du Kourwéogo avant de lui souhaiter une bonne suite de mission.

Au nouveau venu, il l’a rassuré de la disponibilité de son administration dans l’accomplissement de sa mission.

Agence d’information du Burkina

DB/hb/yo

France: la situation se calme en Martinique, d’après le ministre des Outres-mers

SOCIÉTÉ: MANIFESTATIONS-FRANCE-MARTINIQUE

France: la situation se calme en Martinique, d’après le ministre des Outres-mers

PARIS, 12 octobre. /TASS/. En Martinique, secouée depuis septembre par une mobilisation visant à revendiquer une baisse des prix alimentaires, la nuit dernière a été plutôt calme, selon le ministre français des Outre-mers François-Noël Buffet.

Lors de son intervention, il a souligné l’importance de rétablir l’ordre tout en offrant des solutions à la population concernant le coût de la vie. « Il ne peut pas y avoir d’évolution sérieuse dans un climat de violences », a-t-il déclaré.

La veille, les autorités du département-région ont décrété un couvre-feu dans l’ensemble de l’île et interdit toute manifestation jusqu’au 14 octobre.

Des manifestations et piquets se tiennent en Martinique depuis la mi-septembre. Les habitants s’élèvent contre la vie chère sur l’île. Depuis le début des protestations, 33 policiers et gendarmes ont été blessés et 70 personnes ont été interpellées, informe la préfecture. Les manifestants ont incendié au total 52 voitures et cambriolé 61 commerces. D’après les données de juillet de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), le niveau de vie médian de la population martiniquaise est inférieur de 14% au niveau de vie médian national. En 2023 déjà, un rapport de l’Insee constatait que les produits alimentaires en Martinique étaient en moyenne 40% plus chers qu’en Hexagone.

Avec TASS

Journée de salubrité : Le CHU de Bogodogo assaini pour la santé des patients et des travailleurs

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Journée de salubrité : Le CHU de Bogodogo assaini pour la santé des patients et des travailleurs

Ouagadougou, 12 oct. 2024 (AIB)-Dans le cadre des journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne, le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bogodogo (Ouagadougou) a organisé samedi, la 3e édition de sa journée de salubrité pour rendre propre et sécure le cadre de travail et de vie des agents et des malades.

«L’offre de soin de qualité aux patients rime avec la propreté de l’environnement du centre hospitalier», a déclaré le Directeur général (DG) du CHU de Bogodogo, Seydou Nombré.

Selon le DG, la 3e journée de salubrité qui s’inscrit dans le cadre des journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne, va permettre de rendre agréable l’environnement du CHU tant pour les usagers que pour les travailleurs.

Conscients du rôle primordial de l’hygiène de l’environnement hospitalier dans la sécurité des patients et des agents soignants, le personnel, les riverains, les forces de défense et de sécurité et les autorités coutumières se sont mobilisés pour la réussite de l’activité, a indiqué le DG.

Tout en saluant la mobilisation, M. Nombré a souhaité que l’initiative soit pérennisée et inculquée aux jeunes.

Le DG a par ailleurs invité le personnel et les riverains à un comportement civique au quotidien pour éviter de reconstituer ces déchets qui seront évacués loin de l’hôpital.

Selon le directeur de la qualité, Dr Zacharie Wendpanga Kafando, le CHU de Bogodogo est engagé dans une démarche qualité depuis son ouverture en 2017.

Pour ce faire, « sa vision est d’offrir des soins synergiques et humanisés centrés sur la personne » a-t-il laissé entendre.

La contamination environnementale dans les établissements de soins joue un rôle dans la transmission des infections associées aux soins, a indiqué Dr Kafando, citant des sources sanitaires.

C’est pourquoi, il a fait savoir que le nettoyage de l’environnement constitue une intervention fondamentale pour la prévention et le contrôle des infections dans ce centre hospitalier.

Sa majesté Yipelsé Naaba a salué l’initiative du CHU de Bogodogo qui va permettre d’éloigner des riverains et des patients, des maladies dues à l’insalubrité.

Il a dit accepter accompagner l’action du fait qu’elle rassemble les populations en leur donnant l’occasion de se familiariser pendant les travaux de nettoyage.

Sa majesté a par ailleurs invité l’ensemble des populations à faire de l’hygiène une préoccupation personnelle afin de se protéger des maladies.
Agence d’information du Burkina
ZO/AS

Burkina : Une conférence publique pour réfléchir sur la contribution du symposium de sculptures sur granite de Laongo au développement national

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Burkina : Une conférence publique pour réfléchir sur la contribution du symposium de sculptures sur granite de Laongo au développement national

Ziniaré, 12 oct. 2024 (AIB)- Dans le cadre de la 14e édition du symposium de sculptures sur granite de Laongo, une conférence publique se tient ce samedi matin à Ziniaré, sur le thème « 35 ans de création : quelle contribution au développement national ? ».

Selon la conférencière Edwige Zagré, Pr à l’université Norbert Zongo, « Laongo est un élément fédérateur, de réconciliation nationale et de culture de la paix (…), un musée à ciel ouvert et unique en son genre en Afrique, (…), un site culturel à vocation touristique, inscrit sur la liste du patrimoine national en 2023 ». Elle a précisé que « plus de 2000 œuvres étaient présentes sur le site de Laongo ».

Agence d’information du Burkina
WIS/az/ssm

Burkina : Une conférence publique se tient ce samedi matin dans le cadre de la 14e édition du symposium de sculptures sur granite de Laongo sous le thème « 35 ans de création : quelle contribution au développement national ? »

Burkina : Une conférence publique se tient ce samedi matin dans le cadre de la 14e édition du symposium de sculptures sur granite de Laongo sous le thème « 35 ans de création : quelle contribution au développement national ? »

Agence d’Information du Burkina

Burkina/Conférence publique de la 14e édition du symposium de sculptures sur granite de Laongo : « Plus de 2000 œuvres présentes sur le sites de Laongo »

Burkina/Conférence publique de la 14e édition du symposium de sculptures sur granite de Laongo : « Plus de 2000 œuvres présentes sur le sites de Laongo »

Agence d’Information du Burkina

Un expert explique l’absence d’illettrés en Chine à des journalistes burkinabè

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Un expert explique l’absence d’illettrés en Chine à des journalistes burkinabè
Changsha, 11 oct. 2024 (AIB) –L’institut professionnel du commerce extérieur de Hunan (Chine) a expliqué à des journalistes et communicateurs burkinabè le taux zéro d’illettrés atteint par la Chine depuis les années 2000 ainsi que les raisons de cette performance, vendredi à Changsha, en ouverture d’un séminaire de formation au profit des médias burkinabè
Le chercheur et vice-président de l’Institut professionnel du commerce extérieur de Hunan, Gui Cheng, intervenant sur «une longue histoire de Chine : 5000 ans de civilisation chinoise», a rappelé qu’il n’y a «pas d’illettrés en Chine» depuis le début du 21e siècle.
Selon le chercheur Gui Cheng, la décision du gouvernement de rendre l’éducation obligatoire durant sur 9 ans et d’autres mesures incitatives pour les enfants des milieu difficile d’accès, ont permis à la Chine d’atteindre 100% de taux de scolarisation.
«L’école est obligatoire pour tous en Chine durant les 9 ans au cours desquels il n’y a pas de redoublement, soit six ans à l’école primaire et 3 ans au secondaire» a indiqué le chercheur de Changsha.
Dans les zones difficiles d’accès, notamment dans les montagnes reculées, l gouvernement a décidé d’offrir des déjeuners gratuits aux élèves. «Ces repas ont soulagé, dans une certaine mesure, les familles et encouragé les parent à inscrire leurs enfants à l’école», a expliqué M. Gui Cheng.
A l’issue de la période de scolarisation obligatoire et en fonction des résultats, les enfants s’orientent dans l’enseignement normal ou professionnel.
Les matières enseignées concernent aussi bien les mathématiques, la langue, les sciences de la vie et de la terre, l’histoire, la géographie que les connaissances pratique de la vie quotidienne comme faire le ménage, reconnaitre les plantes, se servir des moyens de transport, toujours selon Gui Cheng.
De l’avis de l’expert Cheng, les efforts de réduction du taux d’analphabétisme en Chine ont débuté depuis la création de la Nouvelle Chine, soit après 1949 puis poursuivi dans les années 1980. Mais c’est à partir de 1990 coïncidant avec le dynamisme économique et la Chine que les efforts en matière d’éducation ont été parachevés.
Son exposé s’est achevé sur les performance de la Chine en matière de respect de l’environnement et de promotion des énergies renouvelable.
Ouvert ce 11 octobre au profit de 28 journalistes et communicateurs burkinabè, le séminaire de formation pour les responsables des médias du Burkina Faso prendra fin le 31 octobre.
Agence d’Information du Burkina
CK/ata

Burkina-Indonésie-Cooperation-Visa-Exemption

Burkina-Indonésie-Cooperation-Visa-Exemption

Coopération bilatérale : vers une exemption de visa entre le Burkina Faso et l’Indonésie

Ouagadougou, 12 oct  2024 (AIB)- Mme Tuty DITYAWANTY, Ambassadeur de la République d’Indonésie au Burkina Faso avec résidence à Abuja et Madame le Consul honoraire de l’Indonésie au Burkina Faso Fabiola ZONGO, ont été reçues en audience ce 11 octobre par  Karamoko Jean Marie TRAORE, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur.

Au cours de leurs échanges, les deux parties ont passé en revue la coopération entre le Burkina Faso et l’Indonésie, avec en perspective l’exemption de visas pour les citoyens des deux pays, détenteurs de passeports diplomatiques et de service.

A cet effet, elles ont convenu de poursuivre les échanges en vue de la signature d’un Accord bientôt.

À l’occasion de cette audience, la délégation indonésienne a remis une enveloppe financière de 300 000 francs CFA, comme contribution à l’effort de paix au Burkina Faso, une somme mobilisée par la dizaine d’Indonésiens vivant au pays des Hommes intègres.

La coopération entre le Burkina Faso et la République d’Indonésie ont été formalisée en 1996, et elle concerne des domaines tels que l’assistance technique, notamment pour l’acquisition d’équipements agricoles, d’intrants, et la formation sur les techniques de production d’aliments pour bétail, et désormais la formation académique.

AIB avec  DCRP/MAECR-BE

Une trentaine de journalistes et communicateurs burkinabè en formation en Chine

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Une trentaine de journalistes et communicateurs burkinabè en formation en Chine
Changsha, 12 oct. 2024 (AIB) – Une trentaine de journalistes et communicateurs burkinabè sont à Changsha, dans la province chinoise du Hunan, pour une formation sur l’histoire, la culture et le développement de la Chine en matière de coopération et de média, du 11 au 31 octobre 2024.
Intitulé «Cours de formation des responsables des médias du Burkina Faso», le séminaire formation regroupe 29 participants burkinabè venant de la presse d’Etat, de la presse privée et des services de communication étatiques et privés.
Le séminaire comprend 17 cours magistraux délivrés à l’Institut professionnel du commerce international de Hunan, 12 sorties de terrain dans des médias, des écoles, centres de formation et sites de découvertes dans la commune de Changsha et dans la province de Hunan et 3 stages et pratiques.
Il aborde les thèmes du partage de l’expérience chinoise en matière de réduction de la pauvreté, de compétences en matière de rédaction et de reportage, les nouveaux médias et transformation numérique des médias, les nouvelles internationales et communication interculturelle ou encore la production et diffusion multimédia et la gestion des médias et leadership.

Il est notamment prévu des visites au Journal du Soir et au Journal de Changde de Hunan, au groupe de radio et télévision du Hunan, à l’institut de technologie professionnelle en communication de masse de Hunan, dans les universités de Changsa et de Hunan ou encore à l’institut professionnel des Arts de Hunan.
La formation initiée dans la cadre de la coopération sino-burkinabè est sponsorisée par le gouvernement chinois à travers son ministère du commerce et organisée par l’Institut professionnel du commerce international de Hunan.
Cet institut comprend 10 facultés et 31 spécialités dont la formation sur la conception de l’art des médias numériques.
A la cérémonie d’ouverture à l’hôtel Meyes, le chef de la délégation burkinabè et chargé de mission au Ministère burkinabè en charge de la communication, Bakary Koné, a salué le partage ce moment de partage qui constitue un cadre d’échanges favorisant le dialogue et la coopération entre le Burkina Faso et la Chine.
«Nous aurons l’opportunité de au cours des trois semaines à venir de renforcer nos compétences dans les secteurs pluriels, essentiels à notre profession », a déclaré M. Koné.
Ouvert le 11 octobre, le séminaire de formation prendra fin le 31 octobre.
Agence d’Information du Burkina
CK/ata
CEREMONIE D OUVERTURE……… CEREMONIE D OUVERTURE……..
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Ouverture en Chine d’un séminaire de formation pour des responsables de médias burkinabè
Changsha, 12 oct. 2024 (AIB) – Un séminaire de formation sur la gestion des entreprises de presse et les pratiques médiatiques s’est ouverte hier vendredi au profit d’une trentaine de journalistes et communicateurs du Burkina, à Changsha, dans la province chinoise du Hunan.
La cérémonie officielle, tenue à l’ouest de Changsh, à l’hôtel Meyes, a été présidée par le vice-président de l’institut professionnel du commerce extérieur de Hunan (IPCEH) Gui Cheng et le Directeur du service d’ouverture du Parc du développement provincial du commerce de Hunan, Ye Jie.
M. Gui Cheng a rappelé le prestige de l’institut qui accueille cette formation. C’est la 14e année consécutive que le centre organise des formations sur les médias, a rappelé le vice-président de l’IPCEH.
Le directeur du service d’ouverture du Parc du développement provincial du commerce de Hunan, Ye Jie a estimé que les relations entre l’Afrique et la Chine sont au beau fixe et ayant une large marge de progression.
Nous espérons, à travers cette formation, explorer ensemble les défis de cette coopération et faire progresser la coopération dans les domaines des médias», a déclaré M. Ye Jie.
 
La formation qui durera trois semaine, est dispensée en chinois et traduits aux séminaristes par des interprètes.
Elle a été initiée dans la cadre de la coopération sino-burkinabè est sponsorisée par le gouvernement chinois à travers son ministère du commerce et organisée par l’Institut professionnel du commerce extérieur de Hunan (IPCEH).
L’IPCEH comprend 10 facultés et 31 spécialités dont la formation sur la conception de l’art des médias numériques.
Agence d’Information du Burkina
CK/ata

Madagascar: le président Rajoelina va demander à la France la restitution des îles éparses

POLITIQUE: MADAGASCAR-FRANCE-ÎLES

Madagascar: le président Rajoelina va demander à la France la restitution des îles éparses

HARARE, 11 octobre. /TASS/. Le président malgache Andry Rajoelina a annoncé son intention de défendre la souveraineté de son pays sur les îles éparses dans le détroit du Mozambique et de demander leur restitution.

« Elles [les îles éparses] sont malgaches », a déclaré le président, cité par L’Express de Madagascar. « Nous souhaitons une restitution, mais dans un cadre concerté. Il faut sérieusement étudier les voies et les moyens de le faire », a-t-il ajouté. Toute en admettant que la souveraineté sur les îles éparses est tout de même un point de contentieux avec la France, le locataire d’Iavoloha a rappelé que « ces îles contrôlent des espèces importantes, et la plus proche, Juan de Nova, est à seulement 150 kilomètres de nos côtes ».

Le président malgache a pris pour exemple la récente reconnaissance par le Royaume-Uni de la souveraineté de Maurice sur l’archipel des Chagos.

Les îles éparses sont de petites îles dans l’ouest de l’océan Indien, dans le détroit du Mozambique qui appartenaient autrefois à Madagascar et qui sont ensuite passées sous protectorat de la France, tout comme Madagascar elle-même. Apres l’indépendance de Madagascar en 1960, Paris s’est obstiné à ne pas vouloir renoncer aux îles éparses, bien que l’Assemblée générale des Nations unies ait réaffirmé le droit de Madagascar à ces îles dès 1979.

Avec TASS

La route Solenzo-Koundougou où « l’enfer » des transporteurs 

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La route Solenzo-Koundougou où « l’enfer » des transporteurs

Solenzo, 11 Oct. (AIB) – Le tronçon Solenzo-Koundougou, long de 75 kilomètres, est un véritable calvaire pour les usagers et les transporteurs en cette période de fortes pluies.

Les eaux de pluie et de ruissellement ont eu raison de cette route, la transformant par endroit en rivière, rendant ainsi difficile la circulation.

« Pour une distance de 75 kilomètres, on est obligé de parcourir 5 à 6 heures avant d’atteindre le goudron à Koundougou. Nous demandons au gouvernement de nous aider », a ajouté un chauffeur qui a requis l’anonymat.

À partir des villages de Gnassoumadougou et de Kroumani, il est souvent impossible de traverser, car la route est coupée par endroit et les transporteurs utilisent des cailloux pour boucher les trous remplis d’eau afin de pouvoir passer.

Ce vendredi 11 octobre 2024, plusieurs véhicules sont stationnés à l’entrée de Gnassoumadougou du fait qu’un véhicule s’est embourbé bloquant ainsi le passage.

« On se demande comment on pourra bouger d’ici. Il est pratiquement 11 h et nous sommes toujours là, espérant que nous allons arriver à bobo avant 14h. Nous souffrons beaucoup et nous demandons encore au gouvernement de nous venir en aide », a conclu un chauffeur qui a requis l’anonymat.

Agence d’information du Burkina

SO/DNK/

Sissili/Santé : La situation nutritionnelle et épidémiologique du district de Léo au menu des échanges

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Sissili/Santé : La situation nutritionnelle et épidémiologique du district de Léo au menu des échanges

Léo 9 oct. 2024 (AIB)- Les membres statutaires du district sanitaire de Léo se sont réunis le mercredi 9 octobre 2024 dans ladite localité, sous la présidence du haut-commissaire de la province de la Sissili, Tewendé Isaac Sia. Pour l’occasion, les indicateurs de performances du district, au cours de la semaine 1 de lannée 2024, la situation nutritionnelle et épidémiologique du district ont constitué l’ossature de la présente session.

L’occasion a été pour les acteurs d’examiner les progrès réalisés au premier semestre de 2024 par le district sanitaire de Léo dans la mise en uvre de son plan d’action, d’identifier les défis et les obstacles rencontrés et de proposer des solutions innovantes pour surmonter ces difficultés.

Il s’agit notamment de l’Etat de mise en uvre des recommandations du Conseil sanitaire du district ( CSD) de la semaine 1 de lannée 2023, des indicateurs de performances au cours de la semaine de 2024,de la situation épidémiologique du district, de la situation nutritionnelle et de l’état de fonctionnalité des Comités de gestion (COGES) des formations sanitaires.

D’autres divers ont été à l’ordre du jour, en présence des présidents des délégations spéciales des sept communes de la province de la Sissili et présidents des comités de gestion des formations sanitaires.

Pour l’occasion, le Médecin chef du district sanitaire (MCD) de Léo, Dr Aboubacary Abdou a fait aux participants une présentation sur l’état des lieux des recommandations émises lors du dernier conseil de santé tenu en 2023.

Dr Aboubacary a noté avec satisfaction que la majorité des recommandations ont été prises en compte et que des progrès significatifs ont été réalisés dans divers domaines de la santé publique.

Les participants ont également eu droit à des informations relatives à la situation épidémiologique et les indicateurs de performances du district sanitaire, à travers des exposés faits par le médecin chef du district sanitaire et ses collaborateurs.

Ainsi, des avancées significatives ont été réalisés dans les domaines tels que la vaccination, la lutte contre les maladies transmissibles, à savoir le paludisme, la dengue, la santé maternelle et infantile.

Ils se sont ensuite rendu compte des insuffisances et des difficultés rencontrées dans la mise en uvre du plan d’action du district dans certaines formations sanitaires notamment les faibles performances vaccinales et la réalisation de certaines activités dues à l’insécurité, à la perturbation et à l’absence des réseaux téléphoniques.

« Malgré les difficultés les activités vaccinales se sont bien déroulées pour le BCG, le Td2 et plus », a relevé Dr Aboubacary Abdou.

Des recommandations en lien avec l’amélioration de la santé des communautés ont été formulées par les participants présents à la session.

Il s’agit, entre autres, de la formation tous les comités de gestion des formations sanitaires du district, de la sécurisation des aires sanitaires, d’initiation de plaidoyer pour renforcer le personnel et l’établissement des documents de reconnaissances (récépissés).

Il y a aussi le recrutement un gardien dans les formations sanitaires qui n’en disposent pas afin de permettre aux Présidents des délégations spéciales (PDS) de visiter les formations sanitaires.

De ces échanges, toutes les préoccupations posées par les présidents des COGES ont été prises en compte par l’équipe cadre du district sanitaire de Léo.

Le haut- commissaire de la province de la Sissili, Tewindé Isaac Sia a félicité l’équipe cadre du district sanitaire de Léo et l’ensemble des agents de santé pour les bons résultats obtenus au cours du premier semestre de l’année 2024.

Il a invité les présidents des COGES à tenir régulièrement les réunions prendre pour la prise en compte des doléances qui se présenteront à eux.

Agence dinformation du Burkina

OAN/NO/as

 

Hôpital de Bodogo: immersion avec des médias sur l’interruption sécurisée de la grossesse

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Hôpital de Bodogo: immersion avec des médias sur l’interruption sécurisée de la grossesse 

Ouagadougou, 11 oct. 2024 (AIB)- La Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB) a organisé vendredi, dans le cadre de la célébration de la journée internationale de l’Interruption sécurisée de la grossesse, selon la loi (ISG/SL), une rencontre d’immersion avec les hommes des médias pour promouvoir le droit de la santé reproductive des femmes.

«Nous avons mené ce matin, une rencontre d’immersion au Centre hospitalier universitaire de Bodogo (CHU-B) avec les journalistes sur le contenu de la loi sur l’interruption de la grossesse sécurisée sur ladite loi permettant d’améliorer la santé sexuelle reproductive des femmes», a déclaré le président de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB), Pr Charlemagne Ouédraogo.

Selon lui, cette activité rentre dans le cadre de la célébration internationale consacrée à l’Interruption sécurisée de la grossesse selon la loi (ISG/SL), car il explique qu’au Burkina Faso, beaucoup d’hommes et de femmes des médias méconnaissent cette loi ou ne savent pas comment elle s’applique sur le terrain.

Pr Ouédraogo qui s’exprimait vendredi à Ouagadougou, dans les locaux du CHU-B où il travaille en qualité de gynécologue, a soutenu  que l’initiative de sa structure  vise à promouvoir le droit de la santé reproductive des femmes dans le pays.

Le président de la SOGOB  a par ailleurs insisté qu’au Burkina Faso, l’ISG/SL est encadrée par une équipe médicale pour fournir des services de qualité aux femmes.

A l’en croire, une femme doit remplir trois conditions pour pouvoir bénéficie d’une ISG/SL au Burkina Faso.  Pr Charlemagne Ouédraogo a rappelé que c’est lorsqu’il s’agit, d’un cas d’inceste ou de viol, de la malformation du fœtus et du cas où quand la santé de la mère est en danger.

M. Ouédraogo a également signalé que l’interruption volontaire de la grossesse est condamnable et punie selon la loi en vigueur au Burkina.

«Nous avons voulu visiter un hôpital qui prend en charge les complications de la grossesse et qui pratique l’ISG/SL  pour montrer le circuit de prise en charge des patientes, depuis la porte d’entrée en consultation interne, en passant par la salle d’échographie, de planification familiale et celle d’inspiration manuelle intra utérine, sans la pharmacie hospitalière», a-t-il précisé.

Une des patientes rencontrée au CHU-B dit être satisfaite de la prise en charge de l’équipe soignante de l’établissement sanitaire.

Elle dit  être venue avec un problème de grossesse depuis le lundi 7 octobre 2024 et sa situation sanitaire s’est nettement améliorée.

Elle a aussi remercié les agents de santé qui ont été à ses côtés pour qu’elle recouvre sa santé.
Agence d’information du Burkina
NO/AS

Burkina : les députés votent la loi sur l’identification unique électronique de la personne physique

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Burkina : les députés votent la loi sur l’identification unique électronique de la personne physique

Ouagadougou, 11 oct. 2024 (AIB)-Les députés de l’Assemblée législative de Transition ont examiné et adopté, vendredi à Ouagadougou, le projet de loi portant identification unique électronique de la personne physique afin de permettre au Burkina Faso de lutter contre la fraude de l’identité.

La Commission des affaires générales institutionnelles et des droits humains (CAGIDH) a indiqué que l’adoption de cette loi permet de doter le pays d’un cadre juridique et institutionnel sur l’identification unique électronique de base de la personne physique et de disposer d’un système d’identification accessible, robuste et interopérable.

Selon le ministre en charge de la transition digitale Aminata Zerbo/Sabané, cette loi va contribuer à une bonne maîtrise de la population aux fins de mieux planifier les projets et programmes de développement.

Elle a indiqué que le gouvernement compte enrôler au moins 80% de la population d’ici 2026.

La loi sur l’identification unique électronique de la personne physique est mise en œuvre à travers le projet Wuri dont objectif global est de fournir à au moins 85% de la population du Burkina Faso une preuve d’identité unique reconnue par le gouvernement qui facilite leur accès aux services.

Le coût de la mise en œuvre du système d’identification unique s’élève à plus de 48 milliards de FCFA, composé d’un don de plus de 15 milliards de FCFA, d’un prêt de plus de 30 milliards de FCFA et d’une contrepartie nationale de plus de 2 milliards de FCFA, ont fait savoir les responsables du projet.

A en croire la CAGIDH, l’identification unique ne remplace pas les autres systèmes ou moyens d’identification existants qui demeurent valables.

Pour rappel, l’identification unique électronique de la personne physique est un moyen d’assurer l’unicité de la personne par la prise en compte de la biométrie (empreintes digitales ou iris, ou les deux) associée aux données biographiques.

Il est prévu qu’il soit attribué à toute personne physique se trouvant sur le territoire burkinabè, quels que soient sa nationalité, son statut juridique, sa résidence et son âge.
Agence d’information du Burkina
ZO/AS

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