Commercialisation des produits tropicaux : des acteurs reconnaissants au capitaine Ibrahim Traoré

Commercialisation des produits tropicaux

Des acteurs reconnaissants au capitaine Ibrahim Traoré

L’Association LAFIA et la Société coopérative simplifiée LAFIA (SCOOP LAFIA) de production d’anacarde et de beurre de karité de Bobo-Dioulasso ont animé une conférence de presse, le samedi 16 septembre 2023, dans la cité de Sya. A l’occasion, ils ont exprimé leur reconnaissance et leur soutien au président de la transition, Ibrahim Traoré, pour son implication dans la résolution des difficultés de ces différentes filières.

Les acteurs des filières anacardes et beurre de karité rencontrent des difficultés dans la commercialisation des produits tropicaux (anacardes, mangue, karité, sésame…). Toutefois, le président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré, s’est engagé à y trouver des solutions. C’est qu’ont fait savoir les premiers de l’Association LAFIA et la Société coopérative simplifiée LAFIA (SCOOP LAFIA) de production d’anacarde et de beurre de karité de Bobo-Dioulasso, au cours d’une conférence de presse, le samedi 16 septembre 2023. « Le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré s’investi dans la résolution de nos difficultés à travers l’actionnariat populaire en nous trouvant de nouvelles débouchées pour la commercialisation », a d’emblée fait savoir le parrain de la conférence, Issaka Bougoum, par ailleurs directeur général de SN Ranch du Koba. M. Bougoum a poursuivi lors de son voyage en Russie à l’occasion du 2^e sommet Russie-Afrique, le capitaine Ibrahim Traoré, a travaillé à avoir de nouveaux partenaires dans le pays de Vladimir Poutine pour les acteurs des anacardes, du karité, du sésame, de la mangue, etc. « La barrière linguistique faisait que nous n’avions pas un accès direct à ces partenaires, mais avec l’implication du président de la Transition, désormais nous pourront directement échanger avec eux. Et cela fait une valeur ajoutée pour nous les acteurs vu que nous allons nous passer désormais des intermédiaires qui nous faisaient perdre beaucoup d’argent », s’est félicité le directeur général de SN Ranch du Koba. Outre la barrière linguistique, a précisé le président de SCOOP LAFIA, Hamidou Mandé, les différentes filières des produits tropicaux souffrent de manque de financements, de la fixation « hasardeuse » des prix, ainsi que du non suivi de ces filières par les autorités.

Kamélé FAYAMA