Ministère de la santé

 

Le nouveau plan de développement sanitaire 2021-2030 ne gestation

 

Le ministère de la santé organise du 17 au 22 mai 2021 un atelier de synthèse, d’amendement et de finalisation de l’analyse de situation sanitaire entrant dans le cadre de l’élaboration du nouveau plan national de développement sanitaire (PNDS) 2021-2030. Les participants à cet atelier ont la charge de décider des grands axes pour l’amélioration des offres de soins des populations pour les dix prochaines années.

 

Cinq jours, c’est le temps imparti, à compter du lundi 17 mai 2021, aux cadres du ministère de la santé et aux partenaires techniques et financiers pour amender et finaliser le nouveau plan national de développement sanitaire (PNDS) 2021-2030. Un plan qui va permettre de passer à la formulation du cadre stratégique, du cadre de mise en œuvre, du cadre de suivi-évaluation, selon le représentant du secrétaire général du ministère de la santé, Salif Sankara, par ailleurs directeur général de l’offre des soins. Cet atelier fait suite à une série de rencontres et de concertations avec les acteurs clés du système de santé qui ont proposé des axes prioritaires pour l’élaboration du plan des dix dernières années, selon la directrice générale des études et des statistiques sectorielles (DGESS), Dr Estelle Dabiré/ Dembélé. Ces consultations, aux dires du directeur général de l’offre des soins, Salif Sankara,  visaient à recueillir les observations et les contributions des acteurs clés du système de santé sur les priorités qui devraient retenir l’attention du prochain référentiel de développement sanitaire.  Aussi, ces rencontres, devrait permettre de s’assurer de l’engagement de ces acteurs à accompagner le processus ainsi que le plan sanitaire. De ces concertations, de nombreuses priorités, selon Dr Dabiré, se dégagent. Il s’agit au cours de cet atelier de Bobo-Dioulasso de trouver un consensus pour ne retenir que « les priorités des priorités dans le cadre de l’amélioration de la santé des populations pour les dix prochaines années ». Au nombre de ces priorités, la DGESS note d’ores et déjà des infrastructures de qualité et en nombre, l’amélioration de l’offre des soins, la collaboration avec tous les acteurs pour une meilleure mise en œuvre du plan sanitaire en gestation, etc. Le plan, selon Mme Dembélé va prendre en compte la pandémie de la maladie à coronavirus afin de permettre aux acteurs de mieux faire face à cette catastrophe sanitaire, ainsi que d’autres types de maladies qui peuvent s’apparenter au coronavirus.

Kamélé FAYAMA

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