
Concours du Festival international des radios d’Afrique francophone
Mariétou Macoulou de radio Mali remporte le premier prix
La première édition du Festival international des radios d’Afrique francophone a pris fin, dans l’après-midi du mercredi 13 février 2019. Des journalistes ayant traités des sujets relatifs au terrorisme ont été récompensés.
Le Burkina Faso à l’instar des autres pays du monde a commémoré, le mercredi 13 février 2019, la Journée mondiale des radios. Ce jour-là, les rideaux de la première édition Festival International des radios d’Afrique francophone (FIRAF) tombaient à Bobo-Dioulasso. Selon les organisateurs ce festival qui s’est tenu pendant trois jours, a permis aux journalistes d’échanger entre eux sur les responsabilités du journaliste. Le Commissaire général du festival, Abdoulaye Ouattara s’est dit « fier » d’avoir initié ce festival car, il a permis aux hommes de médias, de se rencontrer, d’échanger et de « faire de ce métier noble une réussite dans leur vie ». Avant d’ajouter que la « radio est le média le plus accessible à tous ». Donc, il est très important, de son avis, d’organiser ce festival qui va permettre de parler essentiellement de radio.
Il a par ailleurs remercié leur partenaire français « Reporters Solidaires » pour la confiance place au festival. Pour la représentante de « Reporters solidaires », Christine Cogniat, ce partenariat a été un honneur pour elle car, cela a permis d’échanger sur le sujet d’actualité présent dans les pays notamment le terrorisme. La clôture de la première édition du FIRAF a été marquée par la remise de prix aux journalistes ayant traités des sujets relatifs au terrorisme. La journaliste malienne à la radio Mali a reçu le premier prix. Le deuxième et le troisième prix ont été respectivement attribués à Mathieu Dalou Dah, journaliste à la RTB Gaoua et à Karim Ouédraogo, journaliste radio à la RTB Dédougou. Cette cérémonie a connu la présence du 4e adjoint au maire de la commune de Bobo-Dioulasso. Alain Sanou a exprimé sa solidarité envers les initiateurs de ce festival. « Le journaliste est au cœur des activités de la mairie », a-t-il poursuivi. Pour lui, il est important de les soutenir dans leur activité. Et de déclarer sa satisfaction que Bobo-Dioulasso soit aujourd’hui la capitale de la radio. De ce fait, il a assuré le promoteur du soutien de la mairie pour la promotion de ce festival.
Maoua Leilatou ZON
Barkissa BONKOUNGOU
(Stagiaires)