Burkina Faso-Presse-Revue
Société et attaques terroristes, en couverture des quotidiens burkinabè
Ouagadougou, 30 sept. 2019 (AIB) – Les quotidiens burkinabè de ce lundi évoquent les récentes attaques terroristes au Centre-nord du Burkina Faso, ainsi que des faits de société dont la marche-meeting des Organisations de la société civile (OSC) à Bobo-Dioulasso.
«Grève dans le secteur de la santé : Marche des OSC de Bobo pour inviter les protagonistes à privilégier l’intérêt général», affiche le journal Le Quotidien.
L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, reprend à sa Une, les propos du Premier ministre, Christophe Dabiré qui dit au sujet de la grogne sociale: «Nous n’accepterons pas de mauvaises revendications».
Pour sa part, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé consacre sa Une aux attaques terroristes, titrant: «Enième attaque terroriste au Centre-nord : Zimtanga, souffre-douleur des terroristes».
A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, relate que les forces du Mal ont fait parler d’elles le samedi 28 septembre 2019 à Komsilga et à Deneon, deux villages de la commune rurale de Zimtanga, province du Bam.
«Le bilan, selon une source administrative, fait état de 16 civils assassinés et de dégâts matériels», écrit le journal.
Quant au quotidien national Sidwaya, il revient sur la question sécuritaire évoquée lors de la 74e session ordinaire de l’Organisation des Nations unies (ONU), dans un article intitulé: «Insécurité au Burkina : Autopsie à l’ONU».
Le même journal, dans son éditorial, évoque la rentrée scolaire, soulignant que «demain, 1er octobre 2019, c’est la rentrée des classes pour la plupart des établissements d’enseignements publics et privés».
Selon l’éditorialiste, «omme les années antérieures, cette rentrée scolaire est source d’angoisses pour les parents d’élèves.
«Mais cette année, l’Etat, notamment le ministère de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales (MENAPLN), doit être particulièrement préoccupé, car les défis sont nombreux», estime Sidwaya.
Agence d’information du Burkina