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Production d’huile alimentaire

Sika Kaboré inaugure l’«Huilerie Céleste du Burkina»

 

L’épouse du président du Faso, Sika Kaboré a procédé le samedi 12 janvier 2019 à Bobo-Dioulasso, à l’inauguration de la nouvelle huilerie dénommée « Huilerie Céleste du Burkina ». Créée en septembre 2016, cette usine est spécialisée dans la production d’huile alimentaire et d’aliments de bétail.

 

Bobo-Dioulasso compte une nouvelle huilerie dénommée « Huilerie Céleste du Burkina ». En effet, les activités de l’huilerie ont été lancées, le samedi 12 janvier 2019 dans la Cité de Sya. La cérémonie d’inauguration de l’usine s’est déroulée, sous le patronage du ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Harouna Kaboré et le parrainage de l’épouse du chef de l’Etat, Sika Kaboré. Créée en septembre 2016, cette unité industrielle située dans la zone industrielle est spécialisée dans la production d’huile alimentaire et d’aliments de bétail.

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L’usine est composée de trois magasins de stockage, d’une salle équipée de presse, d’une chaudière à pyrolyse, d’une raffinerie, d’un laboratoire d’analyse, de deux salles de conditionnement, d’un forage, d’un bâtiment administratif, et d’une salle de réunion. L’idée de création de cette usine, à en croire la promotrice Masso So, est d’apporter sa « modeste » contribution au développement économique et social des Hauts-Bassins. Cela, a-t-elle poursuivi, à travers la création d’emplois permanents et saisonniers et aussi en mettant à la disposition des populations burkinabè une huile végétale de « qualité supérieure ». L’«Huilerie Céleste du Burkina » a produit de l’huile de marque « La perle d’or », qui selon elle, est une huile végétale, pure sans cholestérol produite à base de graine de coton et enrichie à la vitamine A. Et d’ajouter que l’huile est conditionnée dans les bidons de 20 L et 35 CL afin de répondre aux besoins du marché. L’« Huilerie céleste du Burkina » a reçu en 2018 le « prix spécial pour la réalisation du produit » lors du prix burkinabè de la qualité. Mme So entend s’appuyer sur ce prix pour mettre la qualité au cœur des actions de son entreprise. C’est pourquoi, la promotrice s’est engagée à faire de la qualité son cheval de bataille afin que l’huilerie se positionne dans l’élite.

« …travailler la main dans la main »

 

Le patron de la cérémonie, le ministre Harouna Kaboré a félicité la promotrice d’avoir décidé de se lancer dans un secteur aussi « passionnant » qu’est celui de la production d’huile alimentaire et d’aliments de bétail qui s’inscrit dans l’axe 3 du PNDES notamment la transformation des matières premières locales. En effet, environ 100 000 tonnes d’huiles sont annuellement consommées au Burkina Faso, dont environ 50 000 tonnes produites localement. Pour Harouna Kaboré, l’installation de cette unité industrielle renforce le choix du gouvernement d’accompagner les unités nationales afin d’approvisionner le marché national en terme de consommation, de satisfaction de tonnage nécessaire. Cependant, l’arbre ne doit pas cacher la forêt. A ce jour, a-t-il indiqué, des unités régulièrement installées détiennent encore des stocks d’huile de la campagne qui vient de s’achever à la recherche de clients. « Le gouvernement, après avoir accompagné l’huilerie en l’inscrivant dans le Code des investissements, et pour être parmi la cinquantaine d’unités de production d’huile alimentaire régulièrement reconnu, poursuivra ses efforts d’assainissement du marché des huiles…», a-t-il souligné. Conscient de la situation, le ministre Harouna Kaboré a fait savoir que son département travaille avec les différents acteurs et ses services techniques en vue de consolider les acquis et trouver des solutions structurelles à la problématique d’écoulement des huiles alimentaires au Burkina Faso. « Pour réussir notre pari, il convient de travailler la main dans la main pour relever le défi de la qualité de nos produits et de la compétitivité de nos entreprises », a-t-il fait comprendre. L’épouse du président du Faso, Sika Kaboré a remercié la promotrice de l’avoir choisie comme marraine de cette cérémonie. Avant de se féliciter du travail « colossal » de la Mme Masso So et de sa contribution au développement économique du Burkina Faso. La promotrice fait la démonstration que les femmes de ce pays sont « valeureuses », a signifié la première dame du Faso. « Lorsqu’elles ont les possibilités, elles sont amenées à se battre aux cotés des hommes pour apporter leur contribution à l’effort de développement national », a-t-elle conclu.

 

Boudayinga J-M THIENON

L’épouse du président du Faso, Sika Kaboré a procédé le samedi 12 janvier 2019 à Bobo-Dioulasso, à l’inauguration de la nouvelle huilerie dénommée « Huilerie Céleste du Burkina ». Créée en septembre 2016, cette usine est spécialisée dans la production d’huile alimentaire et d’aliments de bétail.

 

Bobo-Dioulasso compte une nouvelle huilerie dénommée « Huilerie Céleste du Burkina ». En effet, les activités de l’huilerie ont été lancées, le samedi 12 janvier 2019 dans la Cité de Sya. La cérémonie d’inauguration de l’usine s’est déroulée, sous le patronage du ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Harouna Kaboré et le parrainage de l’épouse du chef de l’Etat, Sika Kaboré. Créée en septembre 2016, cette unité industrielle située dans la zone industrielle est spécialisée dans la production d’huile alimentaire et d’aliments de bétail. L’usine est composée de trois magasins de stockage, d’une salle équipée de presse, d’une chaudière à pyrolyse, d’une raffinerie, d’un laboratoire d’analyse, de deux salles de conditionnement, d’un forage, d’un bâtiment administratif, et d’une salle de réunion. L’idée de création de cette usine, à en croire la promotrice Masso So, est d’apporter sa « modeste » contribution au développement économique et social des Hauts-Bassins. Cela, a-t-elle poursuivi, à travers la création d’emplois permanents et saisonniers et aussi en mettant à la disposition des populations burkinabè une huile végétale de « qualité supérieure ». L’«Huilerie Céleste du Burkina » a produit de l’huile de marque « La perle d’or », qui selon elle, est une huile végétale, pure sans cholestérol produite à base de graine de coton et enrichie à la vitamine A. Et d’ajouter que l’huile est conditionnée dans les bidons de 20 L et 35 CL afin de répondre aux besoins du marché. L’« Huilerie céleste du Burkina » a reçu en 2018 le « prix spécial pour la réalisation du produit » lors du prix burkinabè de la qualité. Mme So entend s’appuyer sur ce prix pour mettre la qualité au cœur des actions de son entreprise. C’est pourquoi, la promotrice s’est engagée à faire de la qualité son cheval de bataille afin que l’huilerie se positionne dans l’élite.

« …travailler la main dans la main »

 

Le patron de la cérémonie, le ministre Harouna Kaboré a félicité la promotrice d’avoir décidé de se lancer dans un secteur aussi « passionnant » qu’est celui de la production d’huile alimentaire et d’aliments de bétail qui s’inscrit dans l’axe 3 du PNDES notamment la transformation des matières premières locales. En effet, environ 100 000 tonnes d’huiles sont annuellement consommées au Burkina Faso, dont environ 50 000 tonnes produites localement. Pour Harouna Kaboré, l’installation de cette unité industrielle renforce le choix du gouvernement d’accompagner les unités nationales afin d’approvisionner le marché national en terme de consommation, de satisfaction de tonnage nécessaire. Cependant, l’arbre ne doit pas cacher la forêt.

A ce jour, a-t-il indiqué, des unités régulièrement installées détiennent encore des stocks d’huile de la campagne qui vient de s’achever à la recherche de clients. « Le gouvernement, après avoir accompagné l’huilerie en l’inscrivant dans le Code des investissements, et pour être parmi la cinquantaine d’unités de production d’huile alimentaire régulièrement reconnu, poursuivra ses efforts d’assainissement du marché des huiles…», a-t-il souligné. Conscient de la situation, le ministre Harouna Kaboré a fait savoir que son département travaille avec les différents acteurs et ses services techniques en vue de consolider les acquis et trouver des solutions structurelles à la problématique d’écoulement des huiles alimentaires au Burkina Faso. « Pour réussir notre pari, il convient de travailler la main dans la main pour relever le défi de la qualité de nos produits et de la compétitivité de nos entreprises », a-t-il fait comprendre. L’épouse du président du Faso, Sika Kaboré a remercié la promotrice de l’avoir choisie comme marraine de cette cérémonie. Avant de se féliciter du travail « colossal » de la Mme Masso So et de sa contribution au développement économique du Burkina Faso. La promotrice fait la démonstration que les femmes de ce pays sont « valeureuses », a signifié la première dame du Faso. « Lorsqu’elles ont les possibilités, elles sont amenées à se battre aux cotés des hommes pour apporter leur contribution à l’effort de développement national », a-t-elle conclu.

 

Boudayinga J-M THIENON

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