Burkina-Eau-Approvisionnement
Le chercheur Mamadou Dango parle de son ambitieux projet d’eau potable au ministre Bassolma Bazié
Ouagadougou, 24 janv. 2024 (AIB) – Le chercheur burkinabè Mamadou Dango, aussi connu pour son intérêt pour l’égyptologie et les monuments anciens, a présenté au ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, son projet d’utiliser des sources d’eau profondes à même d’alimenter la population pendant 148 ans.
Reçu en audience par le ministre Bassolma Bazié, le géophysien Mamadou Dango a confié qu’il faudra mettre en place un important ouvrage pour atteindre de l’eau potable disponible en profondeur. «Une fois qu’on l’obtient, l’eau restera pérenne pendant 148 ans et pourra alimenter une ville de 48 000 habitants environ », a soutenu l’hôte du ministre d’Etat cité par les services de communication de celui-ci
Selon M. Dango, ce forage sera particulier parce qu’il a été conçu pour qu’il n’y a jamais de rupture d’eau selon qu’on soit en période d’équinoxes ou de solstices.
Il a évalué le coût de réalisation de ce forage entre 500 et 520 millions FCFA et a demandé le soutien de l’Etat.
A sa sortie d’audience, Mamadou Dango s’est dit satisfait des échanges qu’il a eus avec Bassolma, Bazié, ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Bassolma Bazié d’Etat.
Le chercheur Dango que l’on présente aussi comme un chercheur fou, a évoqué ce projet plusieurs fois, dans les médias notamment.
En 2020, il a confié à l’AIB, en plus de son projet d’eau potable, avoir élaboré un projet permettant de construire scanner et un autre projet de fabrication d’une arme électro-magnétique capable de détruire une cible «à plus de 22 000 mètres et 44 000 m2 de surface».et utilisant le système inverse du scanner pour fabriquer.
«Si en 1999, on avait commencé la réalisation d’une telle arme, on allait être capable de nos jours de déceler toute mine à plus de 56m en dessous du sol, sauter un char et de détruire une cible en hauteur, avec une capacité de balayage au sol et sans bruit», confiait M. Dango.
Agence d’Information du Burkina
CK/no
