Burkina-Communication- CASEM
Burkina : Le ministère de la Communication fait le bilan de ses activités
Ouagadougou, 27 déc. 2018- (AIB) – Le ministère en charge de la Communication a tenu ce jeudi à Ouagadougou, sa deuxième session ordinaire du Conseil d’administration du secteur et ministériel (CASEM) qui a permis de dresser le bilan annuel des actions du département, a-t-on constaté.
«Ce deuxième CASEM est une évaluation du rapport de performance, de gestion du département et un bilan des difficultés rencontrées par les structures centrales, déconcentrées et rattachées », a affirmé le ministre de la Communication et des Relations avec le parlement, Remis Fulgance Dandjinou.
Pour lui, cette rencontre placée sous le thème «Evaluation de la mise en œuvre des actions du ministère de la Communication et des Relations avec le parlement : défis et perspectives», consiste à faire une revue globale des acquis et des insuffisances en vue de mieux planifier l’année 2019.
M. Dandjinou s’exprimait jeudi à Ouagadougou à l’occasion de la deuxième session ordinaire du CASEM de l’année 2018.
De son avis, ces échanges vont s’articuler d’une part, autour de l’analyse du bilan d’exécution du programme d’activités et du rapport financier et d’autre part, autour de la programmation et de la budgétisation des activités de l’année 2019,
«En comparaison à l’année dernière, cette année a été nettement meilleure en terme notamment d’atteintes d’objectifs, même si effectivement les questions de revue budgétaire peuvent nous avoir pénalisé. Dans l’ensemble, je crois que nous avons quasiment exécuté nos missions à la date d’aujourd’hui», a-t-il laissé entendre
Remis Fulgance Dandjinou a expliqué que quelques difficultés existent mais avec la volonté et la participation de tous les acteurs, l’objectif recherché sera atteint.
Le ministre en charge de la Communication s’est enfin appesanti sur les grands projets de la nouvelle année qui sont, entre autres, l’amélioration des relations avec l’hémicycle burkinabé, l’amélioration de la communication avec les médias privés et publics. et l’opérationnalisation du fond d’appui à la presse privée.
Agence d’information du Burkina
CAK/ata/ak