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75 ans de l’aviation civile: Le ministre Dabilgou salue le travail abattu
Ouagadougou, 7 déc. 2020 (AIB) – Le ministre en charge des Transports, Vincent Dabilgou a «salué», lundi, «le travail abattu par la communauté internationale (et) les acteurs de l’aviation civile burkinabè au fil des (75) années», d’existence de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).
«Pour ces 75 ans de célébration (de la création de l’OACI) le 7 décembre, je voudrais saluer et féliciter le travail abattu aussi bien par la communauté internationale que par les acteurs de l’aviation civile burkinabè au fil des années», a indiqué lundi, le ministre en charge des Transports Vincent Dabilgou dans un communiqué parvenu l’AIB.
Vincent Dabilgou dit prendre «l’engagement solennel de tout mettre en œuvre pour que le Burkina Faso soit toujours au diapason du développement de l’aviation civile».
Il a également exhorté «les parties prenantes nationales à travailler à la mise en œuvre de la politique nationale de l’aviation civile pour la décennie à venir».
Membre de l’OACI depuis 1962, le Burkina Faso, «a toujours été respectueux des normes et pratiques recommandées de l’institution», a indiqué le ministre Dabilgou.
Il en veut pour preuve, «ses taux de conformité très appréciables lors des audits de sécurité, taux qui positionnent toujours notre pays (Burkina Faso) comme l’un des trois premiers dans notre sous-région».
Le ministre Dabilgou note que «bien que l’année 2020 qui s’achève ait été dominée par la pandémie de la maladie à coronavirus, la communauté aéronautique nationale (…) a procédé à la certification de l’aérodrome de Ouagadougou sous l’égide de l’Agence nationale de l’aviation».
Les 75 ans d’existence de l’OACI sont célébrés ce lundi 7 décembre sous le thème «75 ans de coopération».
Pour le ministre Dabilgou, il s’agit pour l’OACI de marquer une halte, 75 ans après sa création, «pour évaluer ses performances avec les parties contractantes».
Comme bilan, Vincent Dabilgou, note l’élaboration de «plus de 12 000 normes et pratiques recommandées» par l’OACI, qui ont permis de faire du «transport aérien (…) un moyen incontournable d’échange entre les populations et un vecteur de connections entre régions du monde entier».
«L’ensemble de ces mesures prises ont permis de réduire significativement le taux d’accidents dans le monde et rendre ainsi l’aéronef comme le moyen de transport le plus rapide et le plus sûr au monde», a-t-il affirmé.
Agence d’information du Burkina
WIS/ak
Photo : Sidwaya