Bassolma Bazié souhaite que 2024 soit le « tombeau » de tous les ennemis du Burkina
Ouahigouya, 1er janv. 2024 (AIB)-Le ministre d’État en charge de la Fonction publique, Bassolma Bazié, a soutenu que malgré les pertes enregistrées, l’engagement du peuple, est de faire de l’année 2024, le « tombeau » de tous les ennemis du Burkina Faso.
Une délégation ministérielle, composée du ministre d’État en charge de la Fonction publique, Bassolma Bazié, du ministre en charge de l’Économie, Aboubacar Nacanabo, et de la ministre de l’Action Humanitaire, Nandy Somé, a passé le réveillon du 31 décembre 2023 à Ouahigouya avec les FDS du camp Zondoma.
C’est au camp Zondoma, précisément au 12e RIC du Nord, que les ministres ont célébré la soirée.
Autour d’un repas, ils ont félicité les FDS pour leurs victoires dans la lutte contre le terrorisme et les ont encouragées pour les combats à venir.
« Au changement de la nouvelle année pour entamer 2024, nous sommes venus signifier à nos hommes en tenue que le peuple burkinabè est fier de magnifier leur sacrifice et leur bravoure », a souligné le chef de la délégation, Bassolma Bazié.
Malgré les coups et les pertes enregistrés, le ministre a affirmé que la victoire sera au rendez-vous, et l’engagement du peuple est de faire de 2024, le tombeau de tous les ennemis qui s’en prennent au Burkina.
« Nous souhaitons que 2024 soit abordé avec beaucoup de sérénité, d’engagement, d’esprit de sacrifice et d’espoir », a-t-il ajouté, lançant un appel à tous les Burkinabè pour comprendre que la crise sécuritaire exige d’autres sacrifices.
Les Forces combattantes, par l’intermédiaire de leur commandant d’arme de la place de Ouahigouya, le chef de corps du 12e RIC, Elisée Tassembedo, ont apprécié la visite et les mots d’encouragement.
« Cela dénote de la volonté des autorités à nous soutenir, nous motiver davantage et nous inviter à donner le meilleur de nous-mêmes jusqu’au sacrifice suprême », a déclaré le chef de corps.
Le ministre a également salué la présence des forces combattantes du Niger et du Mali au camp.
Agence d’information du Burkina
FB/ata
