Départ armée française du Burkina : Nous ne voyons pas pour quelle raison, la France ne va pas respecter le délai d’un mois, ministre Jean Emmanuel Ouédraogo
«Il ne faut pas se lancer dans des procès d’intention. L’accord est clair. L’article 16 est clair. En cas de dénonciation, il y a un préavis d’un mois qui est donné à l’autre partie. Au stade actuel, nous ne voyons aucune raison que la partie française ne respecte pas les termes d’un accord qu’elle a signé. De toutes les façons, comme on l’a dit il ne faut pas présumer, il ne faut pas faire de procès d’intention.’’ Jean Emmanuel Ouédraogo.
Agence d’Information du Burkina (AIB)