Festival art’dougou

Souk’art, l’innovation de la 6ème édition

L’association « teryuma » a lancé la 6ème édition du festival international « Art’dougou » le jeudi 28 janvier 2021 à Bobo-Dioulasso. Le festival se tient du 27 janvier au 2 février 2021.

Sous le thème «  la création contemporaine et numérique pour la revalorisation de la culture burkinabé », le festival international art’dougou s’est tenu du 27 janvier au 2 février 2021 à Bobo-Dioulasso. Communément appelés les frères Ouattara, tous artistes plasticiens, le président de l’association « teryuma », Assane Ouattara et son secrétaire général, Ousséni Ouattara sont les promoteurs du festival « Art’dougou ». En plus, des panels, des ateliers, des plateaux artistiques et des projections cinématographique, l’instauration du marché professionnel international des arts  « Le SOUK ‘Arts » est l’innovation majeure de cet 6ème rendez-vous culturel des frères Ouattara. « A chaque édition sa couleur », ont fait comprendre les artistes plasticiens.

Aux dires des frères Ouattara, ils ont initié ce festival international de l’art afin que les artistes puissent échanger sur les préoccupations culturelles actuelles de la sous-région, et commercialisés leurs objets d’art. La 6ème édition de Art’dougou a été l’occasion pour les promoteurs de rendre hommage à l’artiste Clément Ouezzin Coulibaly, fils de feu Daniel Ouezzin Coulibaly. Pour faciliter le partage du savoir  faire entre les artistes et améliorer les échanges culturels, les frères Ouattara ont suggéré l’implication dans la création artistique.

Plus 1 250 000 000 FCFA ont été déboursé pour soutenir l’édition art’dougou 2021, selon les confidences du ministre de la culture, des arts et du tourisme, Elise Thiombiano. Cette somme, poursuit-elle, va  aider les artistes dans leurs activités et leurs permettre de s’imposer sur les grands marchés des arts plastics. « Je souhaite que ce festival, en plus de rayonner, s’enracine au point de s’imposer comme un grands marché pour les arts plastics et les artistes plasticiens. J’invite alors les acteurs culturels de la ville de Bobo-Dioulasso à s’approprier ce festival et à mutualiser leurs efforts et énergies afin de profiter des avantages du potentiel culturel », a-t-elle souhaité.

 Aïda Koné

   Stagiaire  

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