Sécurité dans la région des Cascades

Ousséni Compaoré dit « merci » aux gendarmes et policiers

 

Le ministre de la Sécurité, Ousséni Compaoré est allé à la rencontre des gendarmes et policiers, dans la province de la Comoé dans des Cascades le samedi 25 avril 2020. L’objectif était de galvaniser les agents de sécurité sur le terrain et de s’imprégner de leurs conditions en cette période de lutte contre le COVID-19 et le terrorisme. 

 

Les gendarmes et policiers sont en première ligne de lutte contre le terrorisme depuis des années. Aujourd’hui, ces agents de sécurité apportent leur soutien dans la lutte contre la maladie à coronavirus (COVID-19). En vue d’encourager et de galvaniser les éléments des forces de sécurité sur le terrain, le ministre de la Sécurité, Ousséni Compaoré a entrepris une tournée dans l’Ouest du Burkina Faso. Ainsi, après la province du Houet, Ousséni Compaoré est allé à la rencontre de ses « éléments » dans la province de la Comoé. C’était le samedi 25 avril 2020.

A Banfora, chef-lieu de la province de la Comoé, le premier responsable de la sécurité a encouragé policiers et gendarmes en poste pour le travail abattu, les saluant les efforts consentis. Dans la Cité du paysan noir, le ministre a également visité le chantier du camp de la compagnie de républicain de sécurité (CRS) afin d’avoir une idée sur l’état d’avancement des travaux. Après la ville de Banfora, Ousséni Compaoré et sa délégation se sont rendus à Niangoloko situé à une quarantaine de kilomètres de Banfora. Autre localité, mais toujours le même message d’encouragement et de satisfaction à l’endroit des agents de sécurité. De Niangoloko, la délégation conduite par Ousséni Compaoré s’est rendue à Yendéré, localité située à la frontière entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire.

Là encore, le ministre a exprimé sa satisfaction à l’endroit des policiers et gendarmes pour le « patriotisme » à assurer la sécurité des personnes et des biens. De Banfora à Yenderé à la frontière ivoirio-burkinabè, en passant de Niangoloko, le premier responsable de la sécurité a échangé à bâton rompu avec ses « éléments ». Une occasion pour eux d’égrener un chapelet de doléances. En effet, au cours de son périple, les agents de sécurité ont exprimé des besoins spécifiques notamment l’acquisition d’engins roulants et le carburant. Pour le ministre Compaoré, les doléances sont raisonnables et justifiées. De ce fait, il a dit avoir pris bonne note « dans la mesure des moyens, les doléances seront satisfaites ».

Boudayinga J-M THIENON

boudayinga1940@gmail.com

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