Planification familiale

Des animatrices et animateurs renforcent leurs capacités à Bobo-Dioulasso

 

L’association MAIA a organisé un atelier de renforcement des capacités des animateurs de la commune de Bobo-Dioulasso sur le planning familial. Ledit atelier a eu lieu du 07 au 09 mars 2020 et du 14 au 15 mars 2020 à Bobo-Dioulasso et a connu la participation de 20 animateurs de la commune de ladite ville.

 

Le planning familial est le « cheval de bataille » de plusieurs associations de la cité de Sya. C’est dans cette optique que l’association MAIA a organisé avec l’appui de ses partenaires, le mouvement français pour le planning familial (MFPF) et la mairie de paris, un atelier de renforcement de capacité des animatrices et animateurs sur le sujet de la planification familiale. C’était du 07 au 09 mars 2020 et du 14 au 15 mars 2020 dans la cité de Sya. Selon la coordonnatrice de l’association MAIA Aminata Diallo, cet atelier de renforcement de capacité s’inscrit dans le cadre d’un projet intitulé « une initiative pour la santé et la salubrité dans les villes ».

Le programme était l’initiative de la commune de Bobo-Dioulasso et de ses partenaires que sont la mairie de Paris, la fondation Bill et Melinda Gates et le MFPF que l’association MAIA a décidé désormais de perpétuer, a confié la coordonnatrice Diallo. Aux dires d’Aminata Diallo le présent atelier a connu la participation de 20 animateurs et animatrices de quatre associations de la commune de Bobo-Dioulasso en l’occurrence l’association MAIA elle-même, le groupe d’action pour le développement durable (GRADD), le club d’éducation actuelle (CLEDUCA) et Sida kataa.

A en croire la formatrice Nathalie Kaboré l’atelier a consisté à renforcer la capacité des participants à travers l’exposé de divers thèmes visant à améliorer leur capacité de communication sur le sujet du planning familial. La formatrice Kaboré a laissé entendre que les échanges ont porté entre autres sur la question du genre, les bienfaits de la planification familiale et les nombreux freins contre son application. Nathalie Kaboré attend que cet atelier puisse faciliter le travail des animateurs sur le terrain avec les populations. Pour le représentant des participants, Boureima Cissé, l’atelier était la bienvenue car ayant permis d’exposer les difficultés rencontrées sur le terrain et d’avoir eu des éclaircissements. « Nous avons été outillés sur de nouvelles techniques prenant en compte toutes les préoccupations actuelles du terrain » a-t-il confié.

Michel Kiérou KI

(Stagiaire)

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